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JUSTICE - Page 4

  • RENE HOFFER, POLYNESIE FRANCAISE, TAHITI, CONSEIL D'ETAT, CONSEIL CONSTITUTIONNEL, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

      

    Plainte pour faux et escroquerie du conseil d’État.

     L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre cette plainte contre le Conseil d’État Français, plainte déposée par RENE HOFFER, président de la« la Polynésie française » .

             

     

    A  lire et à en prendre note pour agir efficacement contre ces monstres d'injustice aux ordres!

    Le président de « la Polynésie française »                                

       Le 26 octobre 2015.

    René, Georges, HOFFER

    2, rue de la Porte basse

    67118 – GEISPOLSHEIM

    rollstahiti@gmail.com

     

                                                               à      

     

        Monsieur le vice-président du conseil d’État

                                                                         

      Jean-Marc SAUVE

     1, place du Palais royal

                                                                           75100 – PARIS

     

    Objet : Plainte pour faux arrêt rendu par Pierre COLLIN.

     

    Référence : 388937 390361

     

    Affaire suivie par : Mme Savignac

     

    Monsieur le vice-président du conseil d’État Jean-Marc SAUVE,

     

    Le 11 septembre 2015 j’adressai à ta secrétaire de première sous-section Anne-Sophie SAVIGNAC le courrier ci-joint (PJ1), suite à sa lettre du 1er septembre 2015 où elle me reprochait de ne faire état d’aucune erreur matérielle dont la décision 388937 390361 serait entachée. (PJ2)

     

    Lui ayant répondu  que « le recours en rectification d’erreurs matérielles doit aussi être interprété (…) comme valant recours contre omission de statuer », je lui avais demandé les références SAGACE du dossier n° 388937 par ailleurs, vu l’embrouillamini créé par le greffe avec le n° 390361.

     

    Sans réponse à ce jour et sans nouvelles de mon affaire puisque pour ce recours en rectification et omission je n’ai pas non plus de numéro, ni de référence SAGACE, je compte sur ton intervention dans ce dossier qui, bien plus qu’une rectification d’erreurs matérielles ou même une rectification d’omission de statuer est en fait une escroquerie.

     

    En effet, tu trouveras ci-joint (PJ3) la version reçue par voie postale (2C09501599730) et celle que m’a transmise l’avocat Blaise CAPRON par e-mail dès le 31 juillet 2015. (PJ4)

     

    Merci de me tenir informé quel arrêt est le bon car : celui où les 3 dernières phrases de la page 1 et les 3 première phrases de la page 2 ainsi que le paragraphe « Par un mémoire enregistré le 22 mai 2015 (…) justice administrative » sont remplacés par des rangées de points, ou l’autre où figurent ces 11 lignes au total ?

     

    En effet, nulle trace sur le site legifrance.gouv.fr ou conseil-etat.fr pour savoir quelle version est la bonne ? Et merci d’avance et le cas échéant de m’informer de la suite que tu réserveras à ma présente plainte en falsification plus encore que celle en rectification ou omission !

     

    Avec Honneur

     

     Pièces jointes:

     

     

    1)       Lettre du 11 septembre 2015 à Madame Anne-Sophie SAVIGNAC.

    2)       Lettre du 1er septembre de Madame Anne-Sophie SAVIGNAC.

    3)       Arrêt 388937-390361 du 31 juillet 2014 version AVEC mention des deux QPC.

    4)       Arrêt 388937-390361 du 31 juillet 2014 version expurgée des deux mentions relatives aux QPC.

     Preuves, cliquez sur:

    fwdplaintepourfauxetescroquerieduconseildetat_arr.zip

     

     Frédéric Berger

     

     

  • BRIGITTE BONELLO, ROBERT BIBEAU, FÊTE DU TRAVAIL, 1er MAI, SALAIRE, EMPLOI, HANDICAP, INSOUMISSION, ECHO DES MONTAGNES , FREDERIC BERGER

        LE TEMPS DE L'INSOUMISSION EST POUR NOUS

    Après cette fête du Travail le 02.05.14 petites réflexions concernant l'emploi

    Par Brigitte Bonello, travailleuse handicapée.

                     

    "Aujourd'hui je vois un article avec le Préfet du Rhône sur le chômage et les contrats aidés.

    Monsieur Carencon ne comprend pas pourquoi le chômage ne baisse pas?
    Il suffirait déjà que les emplois pérennes comme celui des fonctionnaires catégories C ne soient pas déjà torpillés par des mises à la retraites abusives
    Quant à l'imposture des contrats aidés
    J'ai été secrétaire administrative avec un contrat dit aidés Contrat Unique Insertion et il en est exactement de même avec les contrats dits d'avenir
    Oui mais l'avenir de qui?
    Que penser de cette imposture ?
    Pour avoir été la secrétaire administrative j'ai eu à ma connaissance puisque c'est moi qui ouvrait les courriers que pour m'employer en contrat aidé mon employeur recevait 729€ de la part de la Trésorerie Générale (donc de la poche des contribuables français) et que mon employeur lui ne versait donc que le complément du royal salaire de 825€
    Pour avoir un salarié corvéable à merci sans droits (puisque le temps travaillé ne correspond qu'à un mi temps et n'ouvre donc pas de droits corrects ni à retraite ni à chômage ni à soins appropriés mais coupant des droits CAF), et limogeable au bout de 6 mois pour un salarié plus frais, mon employeur n'avait à verser que 96€
    Cherchez l'erreur
    Il n'y a guère que l'employeur et l'Etat qui s'y retrouvent car le salarié lui ne peut cumuler deux contrats aidés
    Une véritable fumisterie qui permet à l’État de modifier la donne
    Ce doit être cela le NEW DEAL
    Et donc d'obtenir une masse salariale bien obéissante par peur de perdre cet emploi précaire et très rentable donc;
    Il est peut être temps que les Français soient conscients de ce qui se passe dans les hautes sphères
     

    http://www.lyoncapitale.fr/Journal/Lyon/Actualite/Economie/Le-prefet-ne-comprend-pas-pourquoi-le-chomage-ne-baisse-pas

    http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/16/1796016-jean-pierre-cazenave-lacrouts-prefet-lot-emploi-securite-restent-prioritaires.html

    Ce même Jean-Pierre Cazenave Lacrouts qui pour faire cesser sa grève de la faim a promis à Brigitte la réintégration
     
    Tous les emplois pérennes sont en train de s'évaporer au profit de ces similis emplois qui ne laisseront qu'une France ravagée prête à accepter comme en allemagne les contrats à 1euro
     

    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20130418.OBS6269/l-economie-allemande-respire-les-chomeurs-etouffent.html

     
    Une monstruosité européenne donc se mettant en place pour obtenir des salariés plus que rentables plus que corvéables à merci et plus que jetables
    Merci à vous les Hauts Fonctionnaires
     
    Je vous dégage 888000 euros

     

    Soit mon salaire d'adjoint administratif de la Police Nationale pendant 50 ans oui 50 ans
    Et pour travailler pas pour
    juste pointer et me barrer en week-end

    A bon entendeur

    B.B." 

     

    et

     

     

    LE PRIX D’UN HOMME !

    Posted: 01 May 2014 10:21 AM PDT

    Par Robert Bibeau, le 30 avril 2014

    Je ne connais pas l’homme! Je connais son prix!

     

    En 1930, le dramaturge allemand Berthold Brecht a écrit une pièce, La décision. Un personnage de celle-ci (un marchand) déclare : «Je ne sais pas ce qu’est un homme, je ne connais que son prix ». Les années trente, c’était la dépression, celle qui jeta des millions de travailleurs à la rue à travers le monde. Celle qui a servi de prétexte aux capitalistes pour assassiner les communistes allemands, pour ensuite installer Hitler au pouvoir. On connait la suite.

    L’année 2014, c’est la crise. Des millions de travailleurs deviennent «inutiles». On les exproprie, on les licencie aux USA, en Europe et au Canada. Partout. Ils sont 3 000 en France le 31 janvier chez Mory Ducros, 2 500 chez ING en Hollande, 5 000 chez Dassault en Europe, 8 000 au Japon chez Panasonic, 3 000 chez Faurecia en Europe, 1 300 chez Electrolux et 700 chez Bombardier au Canada.

     

    La faute à qui? La concurrence? La Chine? Les patrons? Syndicats et gauche caviar se lamentent. Il faut nationaliser, disent les uns. Sortons de l’euro, ou «Faisons payer les riches», et «Partageons la richesse» crient les autres. Pendant ce temps, l’État-patron réduit le nombre de ses fonctionnaires, l’État congédie aux Postes, à l’éducation, à la culture, dans les services sociaux. Et puis, avec le Pacte de Responsabilité, le gouvernement de «gauche homard» en France va offrir 30 milliards d’euros en cadeaux aux grands patrons (ceux du CAC 40!). Même stratagème au Canada et au Québec, ce ne sont que les noms des programmes sociaux, des ministères, des corporations et des grands patrons qui changent et la taille des sacrifices imposés aux salariés qui varie. Car, ce qui est cher, c’est… l’ouvrier, c’est-à-dire le prix de sa force de travail.

     

     

     

    Rien ne se crée. Tout se transforme.

     

    Dans la nature, rien ne se perd – rien ne se crée, tout se transforme, dit l’adage. Dans la société capitaliste, il en est exactement ainsi. Rien ne se crée de lui-même. Aucune richesse – aucune valeur ne se crée d’elle-même. Le capital ne crée ni ne produit aucune valeur, aucune richesse. Seule la force vivante du labeur ouvrier peut transformer une matière première, une ressource, un bien semi-ouvré en un nouveau produit, un bien ouvré. La pierre philosophale, c’est le labeur du travailleur.

    Ce faisant, le travail de l’ouvrier crée bien plus qu’un nouveau bien mobilier, un nouveau produit, il crée une «marchandise» objet de la convoitise du patron acheteur de la force de travail. Une «marchandise» est un bien – un produit – transformé en valeur marchande. Une marchandise est un objet matériel tangible transformé en valeur dont s’approprie le propriétaire de l’entreprise, celui qui a consommé la marchandise «force de travail» de l’ouvrier que nous venons d’observer se dépenser pour transformer un bien inerte et sans valeur et lui transmettre de la valeur. Cette nouvelle valeur, créée par le travail de l’ouvrier, le capitaliste – propriétaire privé – la monnaye sur le marché. Il réalise ainsi son profit et toute la chaîne d’accaparement de la valeur se met en branle pour s’emparer chacun de sa portion de valeur-profit -rente- bénéfice- dividende.

    Pour ces gens-là (capitalistes industriels, marchands et financiers), l’homme travailleur a un prix. Et ce prix serait trop élevé, d’où ils veulent réduire ce prix d’achat (réduire son salaire). De fait, ce n’est pas tout à fait exact. Ce n’est pas le prix de la force de travail (des bras et du cerveau du travailleur) qui est trop élevé, c’est plutôt que l’autre portion de la valeur créée par l’ouvrier, la portion qui lui est spoliée, le surtravail = la plus-value = ce pour quoi le capitaliste l’a embauché, puis exproprié, cette portion-profit est trop petite.

     

     

    Les profits appellent les profits.

     

     

    Qu’est-ce qui détermine que la portion de profit est trop petite, et trop petite par rapport à quoi au juste ?

    C’est la concurrence inter-capital et inter-capitaliste – ces individus n’étant que des rouages dans le vaste appareil de production-distribution – qui en décide. Le mécanisme de fonctionnement du mode de production capitaliste est ainsi conçu que le capital se déplace et s’agglutine toujours au pôle économique le plus rentable, le plus profitable. Ce processus est totalement indépendant des «gérants d’estrade», des milliardaires propriétaires de plus de la moitié des richesses de l’humanité. C’est une tendance imprescriptible, mécanique, la plus grosse électrode positive, générant le profit maximum, attire vers elle la plus grande part des capitaux productifs.

     

     

    Tendance «normale» à l’exploitation maximale.

     

    Il ne demeure alors que deux solutions pour le capitaliste qui se retrouve propriétaire d’unités de transformation de biens (usines, chantiers, ateliers, paquebots, flottes de camions, avions) en marchandises moins profitables que celles de ses concurrents = des capitalistes propriétaires privés – plus-exploiteurs:

    1) soit réduire le nombre de travailleurs-travailleuses tout en maintenant le même niveau de production (mais c’est difficile, car il a tendance à résister l’ouvrier surexploité);

    2) soit de réduire le prix de l’homme travailleur (son salaire, la valeur de sa force de travail, élargissant d’autant l’autre portion, c’est-à-dire la plus-value et le profit).

    Pourquoi donc un travailleur en France serait-il payé 1 200 euros environ alors que pour le même travail, en Bulgarie, on gagne 250 euros, 20 dollars environ en Centrafrique et 60 dollars au Vietnam? La démonstration serait la même pour un travailleur canadien, québécois ou états-unien. C’est ce qu’il y a de pratique sous régime impérialiste, le mode de production et les rapports de production sont identiques, partout les mêmes, seuls la dénomination monétaire et le nom des milliardaires varient d’un pays à un autre, mais ils sont tous interconnectés-inter-reliés à s’entre-déchirer.

    Quand vous entendez les slogans : «Faisons payer les riches» et «Ils doivent payer leur juste part» ou encore «Partageons la richesse», le capitaliste, ses politiciens véreux, ses économistes et ses journalistes à la solde, eux, entendent tous que les «riches» ce sont les smicards à 1200 euros par mois, les assistés sociaux, les chômeurs sans assurance, les salariés trop payés (sic), les petits-bourgeois trop gras, les étudiants qui ne paient pas assez de frais de scolarité (sic), les fonctionnaires et les retraités pas indexés, etc.

    L’État, les grands patrons, les syndicats ne parlent pas la même langue que vous et moi. Le prix de votre esclavage, le prix de vos heures de boulot, le prix même de votre travail du dimanche est scandaleusement trop élevé pour ces écervelés, car ce prix = salaire = empiète sur leurs profits et s’ils ne peuvent soutirer la plus-value maximum, alors les gestionnaires du capital financier déplaceront leurs investissements vers la Corée, le Vietnam, l’Inde, ou la Chine où l’ouvrier est obligé de mourir en travaillant plutôt que de travailler en vivant.

    N’ayez aucune illusion, là-bas aussi, dans ces pays impérialistes lointains, on leur sert le même refrain et l’ouvrier chinois (ils sont des centaines de milliers en grève contre Adidas et Nike) se fait dire que s’il ne veut plus être spolié de sa force de travail, Nike et Adidas iront s’installer ailleurs… il y a toujours plus misérable que soi.

    Les syndicats?

     

    Les syndicats? Comme disait un ouvrier de chez Mory-Ducros : «j’ai été floué par mon patron et maintenant je suis floué par mon syndicat». Il n’appréciait pas d’avoir perdu son travail et d’entendre les dirigeants syndicaux se féliciter d’avoir obtenu une indemnité de départ de 9 000 euros au lieu de 7 000! Après 15 ou 20 ans de boulot et pratiquement aucune chance de se replacer! Quelle victoire à la Pyrrhus!

    Il faut comprendre, pour que seuls les produits aient un prix, et que les ouvriers et les ouvrières cessent d’être monnayées, marchandées, saquées, réembauchées; c’est le mode de production tout entier qu’il faut changer, y compris les rapports sociaux de production. Nous devons construire un nouveau mode de production et de nouveaux rapports de production.

    Nous savons combien nous coûtent tous ces parasites, patrons, politiciens, cadres et bureaucrates syndicaux, tous bien payés, pour essayer d’enterrer nos luttes et notre combativité. Ils veulent «réduire le coût du travail» comme ils disent, pour hausser la productivité et doper la profitabilité et la quantité de dividendes à verser aux actionnaires roturiers.

     

     

     

    Ne nous trompons pas de cible.

    Ne nous trompons pas de cible. Les roumains, les peuples d’Europe, les Arabes, les Africains, les Latinos subissent tous le même sort que nous.

     

    La révolte gronde partout. Le temps de l’insoumission est pour nous.

     

     

    VOLUME D’ÉCONOMIE GRATUIT. Téléchargez : http://www.robertbibeau.ca/VolumeDeclin.html

    Source : Que faire ? Vol 1. No 1. Paris. http://www.orgcomfr.com/QUE_FAIRE_01.pdf

    http://www.les7duquebec.com/7-au-front/le-prix-dun-homme/

     

            SOURCE:   Le blog de Chérif Abdedaïm 

     

  • BRIGITTE BONELLO, GOY, TALMUD, ASSEMBLEE NATIONALE, DEPUTE, MANUEL VALLS, CRIF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

         BRIGITTE BONELLO, 5ème JOUR GREVE DE LA FAIM

     

    "Laissez venir à moi les petits Députés
    Pff fatiguée
    Parlez moi pas des presstituées Z'on bien tourné les yeux de l'autre côté."

     

    B.B.

     

    Les députés, zélus de l'Assemblée dite Nationale de Franceraël, sont tous destinataires

    du dossier et de la grève de la faim de Brigitte Bonello: pas un zélu ne bouge le petit doigt pour elle, donc l'article 40 du code de procédure pénal s'apliquera aux députés zélus.

     

    Pourquoi les zélus ont-ils peur de BRIGITTE BONELLO?

     

    Parce que Brigitte incarne la France, la vrai, celle des valeurs que les zélus pourris et corrompus non plus: la preuve Brigitte fait la grève de la faim, en étant handicapée, et ils s'en foutent pourvu que Brigitte ne leur enlèvent pas leurs avantages outranciés pour des Femmes et des Hommes dit de gauche caviar du parti so-c.i.a-liste.

     

      L'homme couché devant l'assemblée peut crever ils s'en foutent, car ils sont des Femmes et des Hommes de la gauche caviar maçonique-talmudique.

     

       Le destin de cet homme (voir photo) et celui de Brigitte est le destin de tous les goys français.

    Les sionistes au pouvoir ont pour mission talmudique de détruire et de tuer les goys, par tous les moyens.

     

    Cet homme peut crever, les Zélues et Zélus passent devant, tout juste s'ils ne pissent pas dessus, car c'est un GOY!

     

                       

    Brigitte devant l'assemblée des zélus maçonniques-talmudiques:

                  

    Frédéric BERGER

     

     

  • STAN MAILLAUD, PEDOPHILIE, PEDOCRIMINALITE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, continue son long

    combat contre la pédocriminalité.

     

    Voici une vidéo formidable de par son repentir et de par sa vérité.

    Je rends hommage donc à Djé, courageux qui assume. 

    Saches "Djeff que tu n'es pas tout seul"!

     

       TEXTE de la vidéo du 20 avril 2014:

     

     

    Publiée le 22 avr. 2014

     

    Après plus d'un an d'attente et de mensonge sur l'affaire Maillaud, ne voyant pas la vérité surgir de la bouche du concerné, je me dois de publier la vérité sur cette affaire de disparition de Stan. De nombreuses personnes me demandent régulièrement de ses nouvelles, les gens le croient mort ou retenu captif quelque part, ce qui n'est pas le cas. Voici donc LA vérité sur cette histoire, pas MA vérité.

    Je suis sincèrement désolé pour tous les torts occasionné par cette sombre histoire.

     

    Reportage vidéo:

      

      CONCLU-SION

      

      Donc la disparition de Jeannette serait aussi une fausse disparition à la gare de Freibourg-in-Breigau, dans le Land du BADENWÜRTEMBERG !

        Dont acte.

     Frédéric BERGER, rédacteur en chef savoisien de l'Echo des Montagnes, journal savoisien

     

       A'rvipâ

  • Brigitte BONELLO, FREDERIC MITTERRAND, PARIS, GREVE DE LA FAIM, POLICE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

       MARCHE OU GRÉVE DE LA FAIM

     

    Bonjour à tous,
    Aujourd'hui on change de cap.
    J'ai donc décidé de ne commencer la grève de la faim que demain
    Il a été déclaré une manifestation pacifique à la Préfecture de Police donc j'entamerai la grève de la faim demain.
    Je passe tout d'abord puisque c'est sur mon chemin, à France 3
    Samia à l'accueil est attentive à mon histoire - c'est une très gentille jeune femme.
    Elle fera son possible pour que je rencontre une personne de la rédaction
    Ce sera Anne Franchu qui écoutera mon histoire et réceptionnera mes tracts et le Marche ou Crève.Elle me donnera également un téléphone où appeler du fait que je sois de la région lyonnaise.
    Puis je fais sensation dans le tramway - en effet ma pancarte ne passe pas inaperçue.
    Je me rend à l'Assemblée Nationale
    Se trouvent sur place une délégation de taxis très en colère des nouvelles mesures qui portent atteinte à leur profession
    Je discuterai avec eux et ils me prendront des tracts
    Carlos échangera avec moi - un garçon très sympathique
    Fatih bien au fait que certains taxis ne peuvent se permettre de faire grève sur une période trop longue parle d'une idée intelligente - une grève tournante
    il a pris mon tract et m'a fait un don très généreux - merci Fatih
    Que Dieu vous garde
    Les journalistes de BFM sont là
    Deux femmes - elles baisseront les yeux devant ma pancarte
    Comment peut être à ce point instrumentalisé et inhumain
    Comme je leur ferai la remarque du fait qu'elles ne voient que ce qu'elles veulent voir l'une des deux me dit que je l'agresse
    Moi ce qui m'agresse c'est cette propension à toujours mentir au peuple
    Moi ce qui m'agresse c'est facilité de toujours servir la soupe aux maîtres
    Une fois les journalistes partis, un fonctionnaire de Police agréable viendra vers moi pour me demander les raisons de ma présence - on lui  a demandé puisque je suis sous l’œil des caméras de me faire partir mais il le fait avec compréhension envers ma situation et me souhaite le meilleur - je lui ai parlé d'Alain Patrick Véro et tous eux qui subissent la vindicte de la Maison Police pour avoir dénoncé des pratiques illicites et lui ai laissé le Marche ou Crève ainsi que le tract SUD
    Deux gendarmes de la garde Nationale feront de même et seront atterrés par cette histoire
    En fait il faudrait que je sois dans un enclos à bestiau pas triste du tout et surtout éloigné de ceux qui décident des lois
    C'est sûr c'est plus facile de faire le mal quand on ne risque pas de représailles et qu'on s'accorde la tranquillité!!
    Cet enclos me déprime grave - je décide d'aller voir ma postière préférée du coin - il s'agit de Virginie qui travaille avec Sébastien
    C'est une femme adorable et compétente qui hier m'avait plu par son professionnalisme
    Elle ressemble de visage à ma belle soeur Céline
    Je lui dois ma photo avec ma pancarte - merci Virginie
    Je rencontre un très sympathique homme nommé Mo qui acceptera de prendre mon tract qui ira voir le comité de soutien et avec qui nous faisons une belle photo - Merci Mo
    En sortant de La Poste je tombe sur Frédéric Mittérand - il prend ma pancarte pour la lire et me demande des explications
    Je lui laisse le tract de SUD et mon tract - la lettre ouverte à Mr Hollande ne l'intéresse pas
    Un homme passe qui se prénomme Michel et me parle de personnes qui voulaient se débarrasser des élus et qui ont été massacrés - il porte un balai en pins dans lequel il y a deux V - Virez les Voleurs
    Puis passe un jeune homme qui me regarde regarde ma pancarte et commence par s'éloigner puis revient sur ses pas
    Il s'agit de Redouane qui travaille à l'Assemblée Nationale
    Nous avons eu un contact très enrichissant , très humain
    Il acceptera de faire une photo - j'apprendrai que son nom signifie le Blond comme l'étaient ses ancêtres
    Merci Redouane à un moment où parquée dans l'enclos je me demandais ce que j'allais faire j'ai repris espoir
    je décide de ne pas rester parquée jusqu'à 18H là
    Je préfère partir pancarte au cou à travers les rues de Paris
    Je passe devant une maison appelée Maison Picot et je pense à mes parents - oui la maison Picot me manque terriblement
    Mais tellement de choses à faire et si peu de temps comme disait Cecil Rhodes
    Demain sera un jour plus douloureux
    Après avoir accompli les formalités pour changer de crèche une fois de plus - je me rendrai à l'Esplanade Henri de France
    J'invite tous les Parisiens à venir m'y faire un petit coucou et m'y apporter un peu de soutien
    Ce sera surtout pour lundi date à laquelle j'y resterai en permanence
    Car si je cesse de m'alimenter à partir de demain je me reposerai encore le week-end sous un toît
    Ce ne sera pas le cas dès lundi et toutes les bonnes volontés sont invitées afin que je ne sois pas malmenée par les forces de l'ordre ou autre
    A partir de demain les comptes rendus risquent d'être plus succincts .

     

    ​Continuez à faire connaître le comité de soutien à brigitte bonello - à aimer la page et à la partager
    Continuez à faire connaître la pétition et à la signer.
     
    si vous n'êtes pas à Paris - c'est la meilleure aide que vous puissiez m'apporter​


    Très chaleureusement


    BB
    https://www.facebook.com/MarchepourlaJustice
    http://www.mesopinions.com/petition/droits-homme/droit-travail-personne-handicapee/11616

     

                        LETTRE OUVERTE à FRANÇOIS HOLLANDE

     

     Madame Brigitte BONELLO PARIS, le 22 avril 2014
    5 rue Emile Decorps
    69100 VILLEURBANNE
    Monsieur Le Président de la République,
    Pour faire valoir mes droits légitimes au travail et à la Justice, j’ai fait en mars 2014, une marche de Lyon à Paris, au terme de laquelle, j’ai sollicité une audience dès le 07.04.2014, auprès de l’Élysée, du Ministère de l’Intérieur et du Ministère de la Justice.
    A ce jour, seuls vos services m’ont répondu et ce dès le 10.04.2014 (réponse standard sans doute car très rapide) pour m’informer que « vous étiez très attentif aux préoccupations de vos concitoyens » et qu’ils transmettaient ma demande au Ministre de l’Intérieur.
    Comment imaginer une seconde que le Ministre de l’Intérieur et ses services sourds à mes doléances et celles de SUD INTERIEUR depuis des années, puisse soudainement apporter une réponse à la situation que le SGAP de Lyon a créée en 2008, alors même que le dossier de réintégration traîne depuis 2012 sans qu’une solution humaine ait pu y être apportée?
    Un véritable chef est une personne qui solutionne les problèmes en y apportant la solution humaine adaptée de lui-même, pas une personne qui délègue à ceux qui sont à l’origine même du problème.
    Handicapée depuis 2004 et de façon avérée depuis 2007, j’ai fait l’objet d’un acharnement innommable et permanent depuis 2008, date de mon licenciement abusif de la Police Nationale.
    Séniore handicapée, je suis aujourd’hui, demandeuse d’emploi, sans perspective d’emploi pérenne avec les difficultés que cela comporte - plus d’accès aux soins adaptés du fait de la CMU, perspective d’être expulsée de mon logement HLM et je vous en passe.
    Est-ce être attentif aux préoccupations de vos concitoyens que de me refuser une audience afin de pouvoir apporter à ma situation délicate, enfin au terme de 6 années de grand malheur et de grand courage pour affronter cette situation, une réponse adaptée et humaine ?
    Je demande une audience en ce sens.
    J’entame donc ce 24.04.2014, une grève de la faim afin d’être rétablie dans mes droits au travail et à la Justice.
    Dans l’attente de votre réponse, me tenant à votre entière disposition, je vous prie d‘agréer, Monsieur Le Président de la République, l’expression de mes salutations distinguées.
    Brigitte BONELLO
    Monsieur François HOLLANDE
    Président de la République
    Palais de l’Elysée
    55 rue du Faubourg Saint Honoré
    75 008 PARIS
    Lettre ouverte

     

    A la sortie de la poste, avec Frédéric Mitterrand 

     

    14 - A la sortie de la poste Frédéric Mittèrand.jpgle dernier tract de SUD sur ma grève de la faim

    Solidaires Unitaires Démocratiques Intérieur
    Membre de l’Union Syndicale Solidaires

    80-82 rue de Montreuil
    75011 Paris

    www.sudinterieur.fr
    sud.interieur@gmail.com

    Tel : 06 48 57 04 98
    25 avril 2014
    www.solidaires.org
    BRIGITTE BONELLO :
    L’ATTITUDE DU MINISTERE LA POUSSE A LA GREVE DE LA FAIM
    Début septembre 2013, SUD Intérieur avait diffusé un tract également consultable sur notre
    site racontant son histoire (1).
    Le 27 mars, un nouveau tract était diffusé sur son histoire à l’occasion de son arrivée à PARIS
    le 27 mars, le terme de sa marche commencée à LYON avec une lettre ouverte adressée au même
    moment sur sa situation à l’ancien ministre de l’intérieur devenu le premier d’entre eux, Manuel
    VALLS …lui demandant de la recevoir. Aucune réponse.
    Ce 27 mars, SUD Intérieur adressait un courrier aux plus hauts – responsables du ministère
    pour être reçus. Aucune réponse.
    Le 8 avril, SUD Intérieur sollicite une entrevue avec le nouveau ministre Bernard CAZENEUVE
    pour évoquer différents sujets et des dossiers individuels dont celui de Brigitte BONELLO. Aucune
    réponse.
    Le 22 avril, SUD Intérieur adresse une nouvelle demande de rendez-vous urgent au ministre
    car Brigitte BONELLO a finalement décidé de démarrer une grève de la faim sur PARIS, annonce faite
    dans une lettre ouverte au président de la République datée du 22 avril.
    Le syndicat précise bien au ministre qu’il n’est pas favorable à ce type d’action et qu’il a
    jusqu’au bout cherché à la dissuader d’agir ainsi, insistant toujours sur le fait qu’une solution par le
    dialogue finirait bien par être trouvée.
    Mais, que face à l’inertie de l’administration qu’il dirige aujourd’hui – et dont les services ont
    systématiquement refusé de répondre à nos demandes d’entrevue pour évoquer son dossier -, il la
    « poussait » en quelque sorte vers cette action extrême.
    Nous avons lancé ce 22 avril une alerte particulièrement inquiète au ministre pour trouver
    enfin la solution permettant de sortir de l’impasse dans laquelle l’administration a placé Brigitte
    BONELLO. Nous avions espéré que notre adresse serait entendue, il n’en a toujours rien été. Aucune
    réponse.
    Une chose est certaine : si la santé de Brigitte BONELLO venait à se dégrader dangereusement
    à la suite de sa grève de la faim, la responsabilité en incomberait totalement aux responsables du
    ministère de l’intérieur qui se sont succédé au fil du temps.
    Sauront-ils enfin comprendre qu’il est maintenant temps de s’asseoir autour d’une table pour
    discuter sereinement avec SUD Intérieur de l’avenir de Brigitte BONELLO ? Rien de plus simple.
    (1) http://www.sudinterieur.fr/2013/09/05/brigitte-bonello-un-autre-exemple-de-descente-aux-enfers/
    BRIGITTE BONELLO :
    PETIT RESUME DE SON HISTOIRE
    Le 31 août 2009, cette adjointe administrative de la police nationale du SGAP de LYON est
    placée, contre son gré, en retraite pour invalidité non imputable au service après un congé de longue
    durée.
    Après un long combat (y compris toujours en cours devant les tribunaux), et appuyée par SUD
    Intérieur depuis 2011, elle obtient que sa situation soit réexaminée pour une réintégration.
    Le 20 février 2013, la commission de réforme départementale émet un avis défavorable (mais
    partagé) sur la seule base du rapport - uniquement à charge - d'un expert non agréé auprès du préfet,
    le Docteur HOESTLANDT, lequel concluait à l'impossibilité d'une réintégration, alors que des dizaines
    d'autres rapports médicaux démontraient eux sa parfaite aptitude au travail, sous réserve, vu
    son handicap, de l'aménagement de son poste.
    Plus de 14 mois après la commission de réforme, le directeur général de la police nationale
    (DGPN), Claude BALAND, n'a toujours pas pris cette décision administrative qui se doit d’être explicite
    (qu’elle soit positive ou négative), obligeant ainsi Brigitte BONELLO a engager une nouvelle procédure
    juridictionnelle dans laquelle SUD Intérieur intervient cette fois-ci directement.
    A ce jour, les services de la DGPN n’ont toujours pas produit le moindre mémoire en réponse.
    Point essentiel : le décisionnaire n'a aucune obligation de suivre l'avis de la commission de
    réforme.
    LES CONSEQUENCES
    Une attitude d’autant plus scandaleuse, que Brigitte BONELLO est reconnue travailleuse
    handicapée, qu’elle est menacée de perdre le bénéfice de l’allocation de solidarité spécifique (483,
    30 € par mois), mais aussi de se faire expulser de son logement si elle ne paie pas un arriéré de loyer
    de 1 141 € qu’elle ne peut plus…payer ! La situation est donc très grave et l'acharnement de
    l'administration ne va faire que l'aggraver.
    BRIGITTE BONELLO NE LACHERA JAMAIS
    Depuis le 27 mars, elle continue son combat en « déambulant » dans la capitale pour le faire
    connaître. Elle fait quotidiennement de fantastiques rencontres qui sont l’occasion d’échanges
    intenses. Et de faire prendre conscience à ses interlocuteurs du « déshumanisme » du ministère de
    l’intérieur.
    Brigitte BONELLO est plus que jamais déterminée. Si, nous le répétons, SUD Intérieur
    n’approuve pas comme mode d’action une grève de la faim, cela ne nous empêchera pas de continuer
    à la soutenir jusqu’à son rétablissement dans ses droits.
    UNE SOLUTION SIMPLE :
    LA REINTEGRATION
    Depuis l’engagement de la procédure de réintégration, tous les locataires de la place
    BEAUVAU se sont refusés à imposer à leurs services cette décision. Bernard CAZENEUVE saura t-il, lui,
    le faire ? L’effort n’est pas insurmontable.
    BRIGITTE BONELLO :
    UN COMBAT EXEMPLAIRE
    Malheureusement, le cas de Brigitte BONELLO n’est pas isolé au ministère comme le démontrent les
    histoires de Patrick CAHEZ, Nadia GAUTREAU et Martine TESSIER que nous avons déjà relatées (2 et 3).
    (2) http://www.sudinterieur.fr/2013/02/25/harcelement-et-chape-de-plomb-dans-la-police-nationale/
    (3) http://www.sudinterieur.fr/2013/10/04/nadia-gautreau-et-martine-tessier-autopsie-dune-veritable-descente-aux-enfers/