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International

  • PALESTINE, JORDANIE, YAHIA GOUASMI, NEOM, MOÏSE, BIBLE, CORAN, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


    TORTURE EN SAVOIE ET EN FRANCE

    L'Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous a déjà parler de la torture aussi bien en France qu'en Savoie.

    Yahia Gouasmi prévient l’opinion publique sur l’importance du projet NEOM, qui prévoit d’ériger une méga-cité futuriste, gérée par l’Intelligence Artificielle, sur la terre sacrée de la région de Djebel al Lawz.
    Un projet qui viendra souiller cette terre prophétique sur laquelle Moise (psl) reçu la révélation, pour recréer un veau d’or devant qui se prosternera l’Humanité.
    Yahia Gouasmi nous alerte sur ce qui se déroule en ce moment, et appelle à une prise de conscience face aux enjeux purement eschatologiques de NEOM.

    Voici la dernière partie en vidéo.

    Cliquez avec l'Arche sur: https://youtu.be/2Sc08Vfd1j8

    Frédéric BERGER von Götz von Berlischingen

  • SUISSE, SAVOIE, CENSURE INTERNET, ONU, CORRUPTION, CONTÉ DE VAUX, STÉPHANE PARRONE, OCHR, DONALD TRUMP, GERHARD ULRICH, FRANC-MAÇON, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER

    180127PlainteOCHR-f.pdf







    Plainte contre la Suisse pour censure illicite de l’Internet.

    L'État Souverain de Savoie a toujours pris la défense des ses Amis Suisses et réciproquement.
    Donc voici une nouvelle preuve de notre fidélité avec nos amis de la Confédération Helvétique.
    Pas une pomme de discorde entre Gerhard Ulrich et la Savoie, même pas celle de Guillaume Tel.

    Preuve:

    Écoutons Gerhard, cela vous servira aussi:

    "Gerhard ULRICH                                          Morges, le 27.01.18
    Avenue de Lonay 17
    CH-1110 Morges
     
     
     
    Alain BERSET
    Président de la Confédération
    La Forge – Route du Centre 35
    CH-1782 Belfaux
    cc: A qui de droit
     
    Plainte contre la Suisse pour censure illicite de l’Internet
     
    Monsieur le Président de la Confédération,
     
    Il est sûr et certain que vous n’avez pas informé le Président des États Unis, Donald TRUMP, que la Suisse pratique la censure. Quelqu’un doit alors informer le monde. J’ai utilisé toutes les voies légales nationales pour tenter, en vain, de lever cette censure soutenue en dernière instance par le «juge» fédéral Christian DENYS. Il n’est de loin pas le seul magistrat fédéral qui dysfonctionne régulièrement. 
     
     
    A la Cour Européenne des Droits de l’Homme la situation est identique. Veuillez trouver la plainte contre la Suisse pour censure auprès de l’ONU ci-joint. Voir annexe.
    Dans ce système d’injustices la désobéissance devient un devoir civique. A bon entendeur
                                                                Gerhard ULRICH
     
     
    PS : Les députés vaudois viennent d’élire Stéphane PARRONE juge cantonal, pour le récompenser pour sa corruption:
     
    www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2016-07-15_Karapetyan-f.pdf 

    Cliquez surtout sur ce formidable document, fignoléavec un couteau suisse, aux mains de Gerhard Ulrich, remarquable; à protéger, à sauvegarder, à diffuser, ski vous plaît.


    180127PlainteOCHR-f.pdf



     Frédéric Berger von Götz von Berlischingen

  • GERHARD ULRICH, TRIBUNAL YVERDON LES BAINS, SUISSE, FRANC-MAÇON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Supercherie au Tribunal d‘Yverdon

    Procès pénal Claude BUDRY  c/Gerhard ULRICH, accusé pour une prétendue calomnie
    27.11.17  à Yverdon-les-Bains devant les tables de la « juge » PITTET Véronique


    Procès en 3 actes

    Texte parlé : en police romaine, noir

    Commentaires : en italique, noir
    Texte traduit : en rouge

    Les requêtes d’avoir une salle plus grande et de l’enregistrement audio-visuel ont été balayées par la «juge».
    Les journalistes sont autorisés à filmer dans la cour, devant le Tribunal, escortés par 2 policiers.

    Le plaignant est appelé, assisté par son avocat.
    L’accusé est appelé, accompagné par son défenseur.
    Les journalistes sont appelés.
    Un policier confisque les portables des observateurs qui sont admis dans la salle.
    60 à 70 observateurs ont fait le voyage, mais le prétoire est équipé seulement avec 20 chaises. L’accusé a établi une liste d’accès prioritaire.
    3 sbires en civil sont placés dans le public.

    Acte I : 5 minutes

    Juge:
    « Accusé, levez-vous ! »

    Accusé:
    « Je présume que vous êtes Véronique PITTET. C’est votre droit de m’ordonner de me lever, et c’est mon droit de rester assis. »

    Juge:
    «Alors, je vous permets de rester assis.»

    L’audience est ouverte. Le plaignant Claude BUDRY, assisté par son avocat Eric HESS a comparu.
    L’accusé Gerhard ULRICH, assisté par son avocat d’office, Me Georges REYMOND a comparu.»

    Enervement de la juge car certains n’entendent pas et le font savoir, car l’interprète murmure et est particulièrement  mauvais. On fera donc abstraction de ses interventions dans cette transcription. La juge menace donc de faire sortir quiconque dans la salle qui se manifestera bruyamment exigeant  un public docile et muet.

    Juge :
    «L’accusé est identifié. Êtes-vous Gerhard ULRICH ?»

    Accusé:
    «Do ut des» (Je te donne, afin que tu me donnes.)

    Juge :
    «Êtes-vous Gerhard ULRICH ? »

    Accusé:
    «Frédéric le Grand a ordonné que tous les juges de son royaume portent des robes noires, ‘afin de reconnaître les filous tout de suite de loin’. Vous, Madame, vous portez une robe noire. Je déduis donc, que vous êtes une juge vaudoise. »

    Juge :
    « Greffière, verbalisez que l’accusé refuse de s’identifier. »

    Accusé:
    «Pas du tout. Mais: Do ut des.»

    Juge:
    «Alors, vous êtes Gerhard ULRICH?»

    Accusé:
    «Exact»

    Juge:
    «Né le 16 décembre 1944 à Winterthur?»

    Accusé:
    «Exact»

    Juge:
    «Citoyen de Waltalingen, canton de Zurich ?»
    Accusé :
    «C’est ça. »

    Juge :
    « Fils de Johann ULRICH et Anna, née BÜHLMANN ?»

    Accusé :
    «Oui»

    La juge veut continuer, mais l’accusé se lève, s’avance devant la table de la juge, se dirige ensuite vers l’avocat du plaignant, Claude BUDRY, assis à ses côtés, ensuite il revient vers son avocat, transmettant à tous les 3 une feuille, intitulée : Demande de transparence.
    La juge fait ramasser les feuilles par sa greffière qui les rend à ULRICH.

    Accusé :
    « Je me suis identifié, alors je veux savoir à mon tour, à qui j’ai à faire. Je prie Véronique PITTET, Me Eric HESS et Me Georges REYMOND de remplir ce formulaire avec ma demande de transparence. Puisque nous sommes confrontés à un complot maçonnique, ce n’est que logique.
    Je veux connaître votre appartenance éventuelle à des sociétés secrètes.»

    La juge s’énerve et ordonne à l’accusé de se taire.

    Juge :
    «Maître REYMOND, expliquez à votre client que c’est vous qui le représentez, et que tout ce passe entre vous et moi.
    Avez-vous une requête préliminaire pour une décision incidente à présenter ? »

    Me REYMOND :
    «Euh, oui, Madame la Présidente. Mon client désire de pouvoir apporter la preuve d’avoir dit la vérité. »
    L’accusé parle à son avocat, et celui-là continue :
    «Madame la Présidente, Monsieur ULRICH me demande de présenter lui-même une requête pour une décision incidente. Je ne peux pas le faire, car je ne la connais pas. Je ne peux tout de même pas présenter n’importe quoi.»

    L’accusé insiste vis-à-vis de son défenseur de pouvoir présenter lui-même cette requête.

    Juge :
    «Nous interrompons l’audience pour 5 minutes, afin que Monsieur ULRICH puisse s’accorder avec son avocat.»


    La transcription  a été reconstituée selon la mémoire de l’accusé, assisté par l’une des observatrices dans le public.
    Idem pour ce qui sera à rapporter au sujet des entractes. Les actes II et III ont été enregistrés à l’insu de la Juge.



    Premier entracte
    L’accusé se rend avec son défenseur dans une pièce réservée aux avocats pour discuter avec son client. Me REYMOND explique que les requêtes sont à présenter impérativement par l’avocat, et non pas par l’accusé.
    L’accusé répète qu’on affronte le complot maçonnique en l’espèce, et qu’il n’est que logique dans ces circonstances de demander à tous les acteurs de la justice la transparence, quant à leur appartenance éventuelle à des sociétés secrètes, donc y inclus à son propre avocat.
    Me REYMOND refuse avec véhémence de signer un tel formulaire, tout en déclarant qu’il n’est pas franc-maçon. L’accusé rétorque qu’il doit le croire, sauf preuve contraire, mais qu’il serait possible qu’un non-franc-maçon soit sous l’emprise des sociétés secrètes.
    REYMOND, se sentant visiblement sous pression, éclate en sanglots. Il débite ses phrases. Non, exclu de signer un tel formulaire. Il demande, pour quelle raison son client ne l’avait pas averti lors des séances de préparation du procès. L’accusé explique que les francs-maçons agissent de rigueur dans le secret le plus total. Dans ces circonstances, il serait fatal de jouer cartes ouvertes. Après avoir constaté mutuellement que le lien de confiance était rompu, Me REYMOND explique à son client, qu’il était possible que la juge ne le délie pas de son mandat, lui imposant la défense forcée. L’accusé  lui recommande alors de suivre la ligne de conduite de son ancien avocat d’office. Quand le juge WINZAP lui avait ordonné au début de ce procès du passé, d’assumer, Me Urs SAAL a déclaré avec détermination qu’il refusait, quitte d’être éjecté de l’Ordre des Avocats Vaudois.

    40 à 50 observateurs en puissance n’ont pas été admis dans la salle d’audience, et attendaient dans le corridor. Certains sortirent dans la cour pour fumer. Ils voyaient arriver le Procureur général VD, Eric COTTIER dans son carrosse, l’ingénieur en chef de la corruption dans le canton de Vaud, ayant 2 crimes judiciaires à son palmarès (affaires SÊGALAT + LÊGERET). Escorté par 2 policiers en uniforme, il disparaissait dans le bâtiment. Une coïncidence ?









    Acte II : 3 minutes – La perte de confiance entre avocat et client

    300 journalistes ont été informés de la tenue de ce procès. Seulement les Allemands Volker HOFFMANN et Klaus OVERHOFF ont fait le voyage – aucun Suisse. L’Omertà helvetica est imposée aux pauvres diables de journaleux avec rigueur.
    Attendant l’entrée dans la salle, le franc-maçon plaignant calomniateur, incendiaire criminel et escroc à l’assurance, Claude BUDRY est de nouveau positionné à 2 m de distance vis-à-vis Gerhard ULRICH, accusé abusivement de calomnie. Auparavant, BUDRY avait bravé le contact des yeux cherché par ULRICH. Le regard de BUDRY lançait à ULRICH le défi : Je vais te démolir, nain misérable.
    Hélas, à partir de cette attente pour entamer l’acte II, BUDRY fuyait le contact des yeux.

    Juge :
     «Asseyez-vous. Voilà. L’audience est reprise. Maître REYMOND ».

    Me REYMOND:
    «Oui Mme la Présidente.»

    Juge :
     « Est-ce que j’ouvre le procès-verbal ? »

    Me REYMOND :
    « Alors, la pause a permis de mettre en évidence une rupture du lien de confiance entre Mr ULRICH et moi-même qui donc je suis prêt pour ces raisons qui me conduisent à demander à être relevé de mon mandat d’avocat d’office».

    Juge à la greffière :
    « Ok donc Me Georges REYMOND demande à être relevé de son mandat de défendeur.
     Doki, d’accord, alors je vais statuer sur ce point là - je vous demande deux petites secondes. Vous voulez peut-être plaider ou..? »

    Me REYMOND :
    « Alors oui Mme la Présidente, très brièvement, je dois dire que je connais Mr ULRICH de longue date, c’est vrai que je l’ai défendu dans plusieurs causes, il m’a demandé d’être son avocat dans ce dossier euuuuh la raison pour laquelle Mr ULRICH n’a pas les moyens d’assumer un avocat, j’ai demandé à être désigné avocat d’office, effectivement j’ai été désigné avocat euh d’office, euuh ce qui m’a conduit aujourd’hui à demander à être relevé de mon mandat ce sont des faits qui sont apparus aujourd’hui, sinon je l’aurai fait euh au préalable, aujourd’hui euh alors sans porter aucun jugement sur les demandes de Mr ULRICH ; Mr ULRICH me demande de signer euh une demande de transparence sur laquelle euh il souhaite que j’indique si je suis franc maçon, j’appartiens à d’autres associations telles que le ROTARY, le LIONS CLUB… les ZOFINGIENS, l’OPUS DEI ou d’autres associations donc, par rapport à la matière concernée, mon mandat jusqu’à présent était toujours  basé sur un rapport de confiance et je soutiens qu’il n’y a aucune raison de signer ce formulaire. De plus il souhaite que je produise comme vous avez demandé à ce que les pièces soient produites par l’avocat et non par le prévenu, ce que je comprends tout à fait,  Mr ULRICH voudrait que je produise ce formulaire et me demande de le remplir ce que je ne peux pas le faire par rapport à l’éthique et par rapport à la déontologie euh c’est ce qui m’amène aujourd’hui à réagir avec Mr ULRICH en bonne harmonie. Il y a rupture du lien de confiance, réelle raison pour laquelle bien malgré moi, pour la suite de l’audience, je demande à être relevé de mon mandat d’avocat  d’office. »

    Juge :
     « Ok, vous souhaitez vous exprimer Me HESS ? »

    Me HESS :
    « Juste brièvement, pour dire qu’il y a des dossiers difficiles, il y a des clients difficiles j’avoue que je suis très heureux d’être à ma place plutôt qu’à celle de mon confrère cela étant le lien de confiance qui contrôle les liens personnels entre mon estimé confrère et son client est important »

    Juge :
    «  Rien à ajouter ? On va suspendre. Je vais statuer. Je vous demande de vous retirer le temps que je statue je vous demanderai de prendre toutes vos affaires avec vous »



    Deuxième entracte
    L’accusé se rend au guichet de la dame qui assume la fonction d’huissier. Il lui remet 3 grandes enveloppes, adressées à la juge et les 2 avocats, contenant sa requête d’une décision incidente motivée.
    La dame se rend dans la salle d’audience, pour revenir aussitôt. Elle hausse les épaules : Madame la Présidente refuse de se faire remettre ces enveloppes.

    La pause se tire en longueur. Atmosphère hilare entre observateurs du procès. Ceux qui ont dû rester dehors, ont reçu, comme ceux qui ont pu rentrer dans la salle, copie de ladite requête.
    Tout le monde se demande, ce que Madame la Présidente bricole entretemps.
    L’accusé présume, qu’elle est au téléphone avec Lausanne, pour se faire donner les instructions, que faire dans cette situation peu fréquente.
    Autre hypothèse : elle se fait donner les ordres par le Procureur général COTTIER, venu exprès de Lausanne, pour diriger les opérations dans les coulisses.

    Au bout de 20 minutes, l’accusé demande à l’huissier d’aller annoncer à la Présidente qu’il quittera le Tribunal, si l’interruption durerait encore plus de 5 minutes. Les 5 minutes écoulées, l’accusé ouvre la porte du prétoire, et annonce à Mme la Présidente, que lui et ses sympathisants quittent le prétoire. Elle répond, qu’il faut juste encore patienter 4 minutes. L’accusé : «4 minutes, pas une de plus. »
    Ce laps de temps écoulé, l’accusé invite la foule de se déplacer à l’extérieur dans la cour pour recevoir les consignes pour la suite du jour. Les gens commencent à se faire remettre leurs portables.
    Quelques personnes ont déjà récupéré leurs portables, quand Madame l’huissier accourt, tout excitée, pour annoncer que l’audience est reprise.



    Acte III : L’accusé, empêché de s’exprimer, préfère quitter la salle
    (18 minutes)

    De nouvelles personnes sont parmi les 21 observateurs/témoins autorisés
    BROUHAHA DANS LA SALLE.

    Juge :
     « Je vais vous donner lecture de la décision que j’ai rendue. Vu la requête déposée par l’avocat Georges REYMOND en date de ce jour considérant que celui-ci demande à être relevé de son mandat de défenseur d’office au motif que la confiance est rompue et considérant la demande de transparence par laquelle il doit attester qu’il n’appartenait pas à certains clubs services, que son client lui a également demandé de produire ce genre de formulaire à l’intention du Tribunal , que dans ces conditions, il estime que la confiance est rompue, considérant que conformément à l’article 134 al 2 du CCP sur la relation de confiance entre prévenu et défenseur d’office est gravement perturbée (…), il n’y a pas lieu, le justifiant lorsque le défenseur d’office ne rencontre pas une stratégie de défense problématique (…) selon là (…) (énumération de jurisprudences.) Qu’en l’espèce, les circonstances invoquées par l’avocat Georges REYMOND ne justifient pas un changement de défenseur d’office, (…), ne sont pas de nature à empêcher son mandat. Par ces motifs, le tribunal, appliquant l’article 134, alinéa 2 et 339, alinéa 2 du CCP rejette la requête formulée par Me Georges REYMOND et maintient la défense à la charge de Me REYMOND.
    Voilà donc, vous n’êtes pas relevé de votre mandat, Le Tribunal estime qu’en vertu qu’en dépit de ce que pouviez lui demander(…) vous êtes maintenu dans votre charge pour assurer la défense. »

    La juge, s’adressant à l’interprète : « Vous pouvez peut être  traduire à Monsieur ULRICH», à la greffière : « Vous m’enregistrez l’acte »

    Juge :
    « Alors euh, donc on va revenir aux réquisitions précises que je n’ai pas encore traitées, donc euh, euh donc vous avez euh déposé cette requête incidente hein ? ».

    Me REYMOND :
    « Oui mais je laisse Mr ULRICH …».

    Juge :
    « Euh tout passe par vous, vous êtes là, tout passe par vous ! ».

    Me REYMOND :
    « Ça va être difficile Je ne sais même pas quelle est cette requête incidente. Je ne peux pas en parler, donc voilà ! »

    Juge :
     « Ah vous ne savez pas ? »

    Me REYMOND :
    « Non il ne m’en a pas parlé, donc voilà il m’a donné des papiers, mais il y a des pages et des pages, c’est quand même compliqué de le faire moi-même alors je ne sais même pas de quoi il s’agit ».

    Juge :
    « Alors voilà, vous allez donc parler Mr ULRICH je veux bien écouter la requête incidente. J’estimerai si c’est formellement une requête incidente ou pas et une fois que vous aurez parlé, je regarderai avec Me REYMOND, d’accord ?»

    Accusé :
    « D’accord. »

    Juge :
    «Alors, vous voulez une traduction ou pas Monsieur ULRICH ? »

    Accusé :
    « Oui »

    Juge :
     « Alors je vous écoute Monsieur ULRICH »

    Juge à l’interprète :
     « Allez-y, vous traduisez, traduisez !»
    Traduction très laborieuse de l’interprète 

    Juge :
     « Alors je vous écoute Monsieur ULRICH ».

    L’accusé se lève pour prendre la parole.

    Juge:
    «Asseyez-vous!»

    L’accusé reste debout.

    Véronique PITTET d’une voix énervée et exaspérée : « Monsieur ULRICH quand je vous demande de vous lever vous vous levez pas et quand je vous demande de vous assoir vous ne vous asseyez pas, c’est à ne plus rien comprendre ».

    Accusé :
     « J’ai l’habitude de m’exprimer debout.»

    Juge :
     « Ok vous pouvez rester debout,  ok alors allez-y ». »

    Accusé:
    «Ici nous parlons d’un complot maçonnique, et où il y a complot, il n’est que logique … il n’est que logique de soumettre aux parties, et y inclus au juge une demande de transparence, pour savoir, si vous ou l’avocat de la partie adverse, ou mon propre avocat sont membres de sociétés secrètes. »

    Juge :
    «D’accord »

    Accusé :
    « Maintenant, j’arrive à la présentation proprement dite : requête d’une décision incidente.

    Juge :
     « Là Mr ULRICH c’est, on essaye de voir comment on va gérer le problème, on n’est pas sur le fond ».
    Provoqué par une fausse traduction

    Accusé :
    «Non, non ! Une requête pour une décision incidente. Je l’ai très bien compris. »

    Flottement, causé par la juge.

    Juge :
    « Bon, allez-y ! »

    Accusé :
    « Non, il n’y aura pas d’abjuration. »
    L’interprête reste muet, incapable de traduire.

    Accusé :
     « Nous avons ici un Alsacien, je crois, Monsieur JUND… »

    Josef JUND :
     «Oui »

    Juge très excitée :
    «Non! Stop, stop, stop, stop ! OK, Ok il y a  un traducteur il est ici, alors vous expliquez ».

    Accusé:
    «Non, il n’y aura pas d’abjuration. On est noyé dans les évidences du crime crapuleux couvert par le crime judiciaire.»

    Juge :
     « Si vous aviez un document écrit peut-être à donner à l’interprète »

    Gerhard ULRICH donne un mémoire à l’interprète, sans pour autant que ses capacités à traduire ne s’améliorent !

    Juge :
     « Et vous demandez quoi Mr ULRICH, qu’est-ce que vous voulez de ma part ?  Qu’est-ce que vous voulez Mr ULRICH ?».

    Accusé :
    «Requérir une décision incidente. »

    Juge:
    « Alors Monsieur ULRICH, moi j’ai compris la première, vous demandez que je vous coche si j’appartiens à un club services, ça j’ai compris, la deuxième c’est quoi Monsieur ULRICH »

    Accusé :
    « Non, il n’y aura pas d’abjuration. On est noyé dans les évidences du crime crapuleux couvert par le crime judiciaire. Je continue à dénoncer le complot aux dépens du paysan Jakob GUTKNECHT. »

    Juge :
     « Alors Monsieur ULRICH, moi j’ai compris la première, vous demandez que je vous coche si j’appartiens à un club services, ça j’ai compris, la deuxième c’est quoi Monsieur ULRICH »

    Accusé :
     «Non, je ne suis même pas encore là. Je veux seulement requérir une décision incidente, et ne pas être interrompu en permanence. »

    Juge :
    Incompréhensible. Il semble qu’elle permet à l’accusé de continuer.



    Accusé :
    « Non, il n’y aura pas d’abjuration. On est noyé dans les évidences du crime crapuleux couvert par le crime judiciaire. Je continue à dénoncer le complot aux dépens du paysan Jakob GUTKNECHT.
    Requête d’une décision incidente… »

    Juge :
    « Voilà stop stop, écoutez Mr ULRICH, moi je veux bien vous écouter  d’accord, mais là vous êtes en train de faire un monologue, OK, moi je veux savoir ce que vous voulez et vous me répondez».
    Très énervée et très fort : « Qu’est-ce que vous VOULEZ ? »

    Accusé :
    «Une requête d’une décision incidente ! »

    Juge :
    « Non ! Qu’est-ce que vous voulez ?  Hein faites ce que je dis !»

    Accusé, la calmant :
    «Oui, oui, Madame ».

    Juge, hystérique :
    «Qu’est-ce que vous voulez ? »

    Accusé:
    « Il est requis que les requêtes soumises le 18.10.17 soient intégralement implémentées pour célébrer ce procès.»

    Juge :
    « Par ma récusation ? C’est quoi ? »

    Accusé :
    «Par courrier du 20.11.17, vous avez rejeté l’essentiel de ces requêtes, en ignorant tout simplement les motivations fouillées présentées. C’est inadmissible.
    Il est exclu que la juge de céans, Véronique PITTET puisse enquêter les crimes constatés, commis par ses supérieurs, voire elle-même. Il serait incompatible de laisser des magistrats vaudois instruire la dénonciation ci-dessous. Le conflit d’intérêt est trop évident.»

    Le portable d’une personne dans le public sonne.
    «Cette dénonciation est à transmettre impérativement à une instance fédérale.
    Ce procès du 27.11.17, BUDRY c/ULRICH est à suspendre séance tenante.»
    Policier à gauche dans la salle à un témoin : «Monsieur, vous avez un téléphone. C’est interdit.»
    Interpellation de l’accusé : «Silence !»
    Brouhaha dans la salle à cause de l’incident du téléphone - les voix de l’interprète et de l’accusé deviennent inaudibles.

    L’accusé continue :
    «Vu le nombre de magistrats impliqués dans ce scandale, il est irréel de prétendre que les magistrats vaudois restants n’auraient aucun lien, soit par corporatisme, voire par l’effet des sociétés secrètes, avec leurs collègues/supérieurs accusés….»

    Juge, crie :
     « Alors vous sortez tout de suite vous sortez ! J’ai demandé à ce qu’il n’y ait pas d’appareils, euh vous sortez ! J’ai demandé à ce que les téléphones portables soient déposés. Vous n’avez pas respecté alors vous sortez ».
    Le « coupable » quitte la salle.
    « Voilà je vous écoute reprenez Mr ULRICH. Dites à Mr ULRICH de reprendre ».

    L’interprète baragouine.

    L’accusé continue :
    «…soit par corporatisme, voire par l’effet des sociétés secrètes, avec leurs collègues/supérieurs accusés.»

    Juge :
     « Donc Mr ULRICH, écoutez-moi, maintenant j’ai compris vous demandez ma récusation c’est d’accord ? »

    Me REYMOND :
     « Nous sommes en train d’apprécier la traduction »

    Juge,  (laquelle comprend manifestement très bien l’allemand):
     « Alors il a demandé ma récusation ? ».

    Me REYMOND parle de façon inaudible

    Accusé :
    «Pas tout-à-fait. »

    Juge :
    « Non je ne suis pas d’accord, non je ne suis pas d’accord, Monsieur ULRICH, Non Monsieur ULRICH vous m’écoutez s’il vous plait ».
     J’ai bien compris, Me REYMOND il me demande que je signe une déclaration de transparence si j’ai bien compris et puis il demande ma récusation ».

    Me REYMOND :
     « Je crois qu’il voulait demander autre chose ».
    Juge :
    « Alors vous demandez ma récusation ? Autre chose ? Ben moi je sais pas. Ecoutez Monsieur ULRICH… »

    L’accusé, en français :
    «Il faut finir !»
    Continue en allemand :
    «Je réclame…»

    Juge, interrompe : «Monsieur ULRICH, vous m’écoutez s.v.p !»

    L’accusé reprend :
    «Je réclame mon droit d’être entendu !»

    La juge l’interrompe, en criant : «Monsieur Ulrich !»

    L’accusé répète :
    «Je réclame mon droit d’être entendu !»

    Juge, l’interrompe en criant :
    «Non, Monsieur ULRICH, je ne suis pas d’accord ! Je ne suis pas d’accord !
    Non, Monsieur ULRICH vous m’écoutez s.v.p. ! Si j’ai bien compris, Me REYMOND me demande de signer une déclaration de transparence, si j’ai bien compris, et vous me demandez ma récusation ?»

    Me REYMOND :
    «Je crois que mon client demande autre chose. »

    Juge :
    L’accusé interrompe la juge :
    «Le droit d’être entendu ! Le droit d’être entendu! Je réclame le droit d’être entendu!»

    Juge :
    «La troisième chose, la troisième chose c’est quoi Monsieur ULRICH ?»

    Accusé :
    «On me refuse le droit d’être entendu !

    Juge:
    « C’est quoi la 3ème chose ? »

    Accusé :
    «Eh bien, j’aimerais pouvoir présenter enfin ma requête.»

    Juge :
    «Vous ne plaidez pas ! Vous ne plaidez pas !

    Accusé :
    «J’ai tout préparé »

    Juge :
    «Après on plaide ! Après on plaide!
    La troisième requête, c’est quoi ?
    Je ne veux pas vous entendre lire et plaider. D’accord ? La présidente on est au procès non le prévenu (La juge perd pied ici) la présidente rappelle au prévenu qu’il n’y a pas lieu actuellement de plaider »

    Accusé :
    «Je mandate mon avocat d‘office…(juge interrompe) je mandate mon avocat d’office de faire verbaliser qu’on me refuse le droit d’être entendu.»

    Juge :`
    «OK, Monsieur ULRICH, c’est quoi la troisième ?»

    Accusé:
    «Alors, je peux continuer? »

    Juge :
    «  Je ne veux pas de plaidoirie. Dites-lui qu’il doit me dire la 3ème .»

    Accusé :
    «Ce n’est pas un plaidoyer. C’est une requête d’une…»

    Juge :
    « Je ne veux pas de plaidoyer. Pas de plaidoyer ».

    Accusé :
    «Non, s’est une requête d’une décision incidente !»

    Juge:
    «  Alors il y a quoi c’est quoi la 3ème   soit il me répond soit… »

    Me REYMOND :
    « J’ai pas compris ».

    Juge :
    « Pardon !»

    Me REYMOND :
    « Là, j’ai pas compris ce qu’il entendait. Si vous pouvez me le dire en français peut être ce sera plus simple ».

    Accusé, s’adressant à Me REYMOND en français :
    «Je n’ai pas le droit d’être entendu. »

    Juge :
    «Mais vous êtes entendu ! »

    Accusé:
    «Non, je suis tout le temps interrompu.»

    Juge :
    « Ok d’accord OK, alors là ce sera plus loin. Si vous voulez dire euh qu’il y a violation du droit d’être entendu, c’est pas après moi. D’accord ? Ce sera si vous faites appel, avec …dans le cadre d’un recours. Moi,  avec euh dans le cadre d’un recours, moi là c’est pas ça mais vous êtes entendu, là je vous entends ».

    Accusé :
    «Oui, je veux que cette requête…»

    Juge :
    «Vous ne pouvez pas lire ça ? »

    Accusé, en français:
    «Je veux que cette requête soit intégralement reproduite dans le jugement.»

    Juge :
    « Vous voulez ? Alors, Donnez-moi, donnez-moi ».

    BROUHAHA
    L’accusé transmet à la juge une enveloppe, contenant sa requête écrite, contenant entre autres une clé USB.

    Juge aboie:
     « C’est quoi ça ? Une clé USB ? ».

    Accusé :
    «En effet. Ainsi, il vous sera facile de la reproduire dans le jugement. Je facilite votre travail !»

    Juge interrompt l’accusé :
    «Y a-t-il autre chose, Monsieur ULRICH ?»
    Accusé:
    «Normalement, c’est comme devant un notaire… (interruption par la Juge) …qu’on peut présenter une requête comme devant un notaire.
    Vous me prévenez de le faire, mais j’estime que c’est accompli avec la transmission de la requête écrite ».

    La juge peine à dicter à la greffière au procès-verbal.

    Juge :
    « Mr ULRICH moi je veux bien vous écouter, je veux bien statuer sur ce qui s’est passé avec (inaudible)…mais vous devez me laisser faire mon travail là vous ne me laissez pas faire mon travail  ok alors laissez-moi si j’ai bien compris voilà il y a ma récusation»

    Me HESS :
    « Moi j’ai pas le droit à la clé USB ? ».

    Me REYMOND :
    « Non vous n’avez pas le droit à la clé USB. Moi d’ailleurs non plus »

    La juge dicte à la greffière.

    Me REYMOND :
    « Il vous demande de signer le formulaire, il demande la récusation et il dépose cette requête incidente. La requête incidente elle reprend tous les points de son courrier du mois d’octobre où il a demandé… ».

    La juge dicte à la greffière « Alors on va mettre au nom de Me REYMOND
    « A titre incident, euh virgule,  acte …».

    «Vous faites quoi, Monsieur ULRICH ?».

    L’accusé, se tournant vers le public :

     «Non, ça ne vaut plus la peine, parce que nous avons encore mieux à faire que…
    Venez, bonnes gens, nous on part ! Nous partons !»

    Juge :
     « Monsieur ULRICH si vous partez…
    Vous avez le droit d’être entendu. »

    Accusé en français:
     «  Je n’ai pas eu le droit d’être entendu. Vous avez tous ce que j’avais à dire par écrit ».


    Juge :
     « Mr ULRICH vous serez jugé … ».

    Accusé en français :
     « Mais vous n’avez pas besoin de moi.
    Bien sûr. Vous pouvez faire votre petit jeu entre vous ».


    T B (observateur) :
     «Moi je serai lui je serais resté. C’est dommage, là il part ça va être intéressant »

    BB (observatrice) :
    « Bah ça changera rien »

    Juge:
    « Ceux qui veulent partir partent ceux qui veulent rester restent, au revoir ».




    On peut lire la requête incidente écrite, voir :

    www.worldcorruption.info/index_htm_files/gu_2017-11-27_pittet-f.pdf



    Comme dessert, écoutez l’enregistrement sonore du blabla et les cris hystériques de la «Juge» PITTET Véronique !
    Difficilement audible au début, mais compréhensible au bout de 4 minutes, la joie à partir de 4 minutes 45 secondes, et le comble du bonheur, dès 6 minutes.

                      


    Transcription établie par une équipe d’observateurs au procès.
    Morges, le 06.12.17
    Gerhard ULRICH

  • BDS, PALESTINE, ISRAËL, BOYCOTT, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    200 juristes européens signent pour le droit de boycotter Israël

     

    DÉCLARATION DE JURISTES CONTRE LES MESURES ADOPTÉES PAR CERTAINS GOUVERNEMENTS VISANT À PROSCRIRE LE MOUVEMENT BDS

     

    "Boycott, Désengagement et Sanctions (BDS) est un mouvement global et pacifique mené par la société civile palestinienne. Il vise à forcer Israël à exécuter ses obligations en matière de droit international humanitaire et de normes internationales relatives aux droits de l’homme, telles qu’exigées par de multiples résolutions de l’ONU. Plus particulièrement, les objectifs poursuivis sont la fin de l’occupation des territoires palestiniens et syriens, la cessation de la discrimination systématique contre les palestiniens dans les Territoires palestiniens occupés et en Israël même ainsi que le retour des réfugiés palestiniens.

     

    Le mouvement BDS s’est établi sur le modèle du Mouvement Anti-Apartheid, qui mobilisait la société civile contre l’apartheid en Afrique du Sud. Ce premier a évolué en un mouvement puissant et efficace dans la promotion des mesures visant à faire pression sur Israël pour qu’il se conforme au droit international, ainsi que dans la persuasion d’Etats tiers et d’entreprises commerciales pour que ces derniers s’abstiennent d’apporter leur soutien aux violations du droit international commises par Israël.

     

    La mobilisation de la société civile pour le respect des droits de l’homme - telle qu’elle a eu lieu durant la campagne contre l’apartheid en Afrique du Sud ou encore lors du mouvement afro-américain des droits civiques aux Etats-Unis - n’a jamais été entravée par l’action de gouvernements étrangers. Cependant, l’efficacité de BDS a entraîné non seulement Israël, mais aussi divers Etats tiers, à adopter des mesures aux fins de suppression de ce mouvement.

    La France, la Grande-Bretagne, le Canada et certaines assemblées législatives aux États-Unis ont adopté des lois et pris des mesures exécutives pour supprimer, proscrire, et parfois pénaliser les actions du mouvement. Ce type de mesures vise à sanctionner les individus, les entreprises ainsi que les institutions privées et publiques, qui prennent des décisions commerciales, d’investissement ou d’approvisionnement respectueuses tant de la morale que du droit.

    D’autres Etats (notamment la Suède, les Pays-Bas et l’Irlande), bien que désapprouvant un boycott d’Israël, ont considéré que la mobilisation du mouvement BDS constituait un exercice légitime de la liberté d’expression, droit fondamental consacré en droit interne et dans les conventions internationales des droits de l’homme. Des organisations réputées de défense des droits de l’homme, notamment la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) et Human Rights Watch, ont également estimé que les individus, les associations, les institutions publiques et privées ainsi que les gouvernements et les entreprises régionales étaient fondés à promouvoir et à mettre en œuvre le mouvement BDS, exerçant ainsi leur droit fondamental à la liberté d’expression.

     

    Les Etats et organisations qui considèrent que BDS exerce légitimement sa liberté d’expression ont raison. La question n’est pas de savoir si l’on approuve l’objectif ou les méthodes de BDS. Il s’agit de savoir si afin de protéger Israël, une exception à la liberté d’expression, pierre angulaire des droits de l’homme, doit être permise. Les Etats prohibant le mouvement BDS compromettent ce droit fondamental. En exonérant un Etat en particulier de la promotion de mesures pacifiques, qui visent à obtenir sa conformité avec le droit international, ils menacent la crédibilité des droits de l’homme."

    • Signataires

    GRANDE BRETAGNE :

    Prof. Guy Goodwin-Gill, Emeritus Fellow, All Souls College, University of Oxford

    Prof. Sir Geoffrey Bindman QC, barrister ; University College London and London South Bank University

    Prof. Conor Gearty, London School of Economics

    Prof. Iain Scobbie, University of Manchester

    Prof. William Schabas, Middlesex University, London

    Prof. Bill Bowring, Birkbeck University of London

    Prof. Rachel Murray, University of Bristol

    Prof. Robert Wintemute, King’s College London

    Prof. Kevin Jon Heller, SOAS University of London

    Prof. Penny Green, Queen Mary University of London

    Prof. Sol Picciotto, Lancaster University

    Prof. Oren Ben-Dor, University of Southampton

    Prof. Wade Mansell, University of Kent

    Michael Mansfield QC, barrister, London

    Kirsty Brimelow QC, barrister, London

    Paul Ridge, barrister, London

    David Renton, barrister, London

    Daniel Machover, lawyer, London

    Dr. Ntina Tzouvala, University of Durham

    Dr. Gleider I. Hernández, University of Durham

    Dr. Ralph Wilde, University College London

    Dr Vanja Hamzić, SOAS University of London

    Dr. Christine Schwoebel-Patel, University of Liverpool

    Dr. Mazen Masri, City, University London

    Dr. Michael Kearney, University of Sussex

    Dr. Brenna Bhandar, SOAS University of London

    Dr. Isra Black, University of York

    Dr. Nadine El-Enany, Birkbeck University of London

    Dr. Gina Heathcote, SOAS University of London

    Dr. Edel Hughes, University of East London

    Dr. Ioannis Kalpouzos, City, University of London

    Dr. Sarah Keenan, Birkbeck University of London

    Dr. Vidya Kumar, University of Leicester

    Dr. Thomas MacManus, Queen Mary University of London

    Dr. Paul O’Connell, SOAS University of London

    Dr. Graham Smith, University of Manchester

    Dr. Nimer Sultany, SOAS University of London

    Dr. Michelle Burgis-Kasthala, University of Edinburgh, Scotland

    Dr. Charlotte Peevers, University of Glasgow

    Dr. Mohsen Al-Attar, Queen’s University Belfast

     

    IRLANDE

     

    Dr. John Reynolds, National University of Ireland, Maynooth

    PAYS-BAS

    Prof. John Dugard, University of Leiden

    Prof. Paul de Waart, Emeritus VU University Amsterdam

    Prof. Liesbeth Zegveld, University of Amsterdam ; lawyer

    Prof. Karin Arts, ISS of Erasmus University Rotterdam

    Dr. Jeff Handmaker, ISS of Erasmus University Rotterdam

    Dr. Joseph Powderly, Assistant-Professor, University of Leiden

    Dr. Marloes van Noorloos, Tilburg University

    Dr. Michiel Bot, Tilburg University

     

    BELGIQUE

     

    Prof. Eric David, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Jean Salmon, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Olivier Corten, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Francois Dubuisson, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Pierre Klein, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Jaques Englebert, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Anne Lagerwall, Université Libre de Bruxelles

    Prof. François Ost, Université Saint-Louis, Bruxelles

    Prof. dr. emeritus Dirk Voorhoof, Ghent University ; European Centre for Press and Media Freedom

    Prof. Dr. Eva Brems, Human Rights Center, Ghent University

    Alexis Deswaef, avocat au barreau de Bruxelles ; président de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)

    Véronique van der Plancke, advocate au barreau de Bruxelles ; Université de Louvain

     

    LUXEMBOURG

     

    Dr. Parvathi Menon, Max Planck Institute Luxembourg for Procedural Law

     

    FRANCE

     

    Prof. Jean Matringe, Université de Paris I Panthéon Sorbonne

    Prof. Xavier Dupré de Boulois, Université de Paris I Panthéon Sorbonne

    Prof. Catherine Kessedjian, Université de Paris II Panthéon Assas

    Prof. Thomas Perroud, Université de Paris II Panthéon Assas

    Prof. Gilles Guglielmi, Université de Paris II Panthéon Assas

    Prof. Stéphanie Dijoux, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. Franck Latty, Université Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. émérite Géraud de la Pradelle, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. émérite Alain Pellet, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. émérite Monique Chemillier-Gendreau, Université Paris Diderot

    Prof. émérite Robert Charvin, Université de Nice Sophia Antipolis

    Prof. émérite, Paul Allies, Université de Montpellier I

    Prof. émérite, Gérard Blanc, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Delphine Costa, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Marie-Pierre Lanfranchi, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Elise Carpentier, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Josiane Auvret-Finck, Université de Nice Sophia Antipolis

    Prof. Philippe Lagrange, Université de Poitiers

    Prof. Arnaud de Nanteuil, Université du Maine

    Prof. Alina Miron, Université d’Angers

    Prof. Diane Roman, Université François Rabelais Tours

    Prof. Marie-Laure Basilien-Gainche, Université Jean Moulin Lyon III

    Prof. émérite Armel Kerrest, Université de Bretagne Occidentale

    Prof. Xavier Souvignet, Université de Grenoble Alpes

    Prof. Thierry Garcia, Université Grenoble Alpes

    Prof. Romain Tinière, Université Grenoble Alpes

    Prof. Aurélien Antoine, Université Jean Monnet - Saint-Etienne

    Prof. Jacques Larrieu, Université de Toulouse I Capitole

    Prof. Sébastien Platon, Université de Bordeaux

    Prof. François Quastana, Université de Lille II

    Prof. Emmanuelle Tourme Jouannet, Institut d’études politiques de Paris

    Prof. Vincent Dubois, Institut d’études politiques de Strasbourg

    Prof. Laurent Sermet, Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence

    Prof. Pascal Jan, Institut d’études politiques de Bordeaux

    Prof. Dominique Darbon, Institut d’études politiques de Bordeaux

    Prof. Cécile Rapoport, Université de Rennes 1

    Prof. Mouloud Boumghar, Université de Picardie Jules Verne

    Prof. Carlos Miguel Herrera, Université de Cergy-Pontoise

    Marine Eudes, Maître de conférences, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Christophe Voilliot, Maître de conférences, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Marc Touillier, Maître de conférences, Université Paris Ouest Nanterre La Défense

    Ismael Omarjee, Maître de conferences, Université de Paris-Ouest Nanterre La Défense

    Nicolas Gabayet, Maître de conférences, Université Paris Est Créteil

    Lucie Sponchiado, Maître de conférences, Université Paris Est-Créteil

    Véronique Mikalef-Toudic, Maître de conférences, Université de Caen Normandie

    Magalie Flores-Lonjou, Maître de conférences, Université de La Rochelle

    François-Xavier Morisset, Maître de conférences à l’Université de La Rochelle

    Malik Boumediene, Maître de conférences, Université de Toulouse II Le Mirail

    Lucien Maurin, Maître de conférences, Université d’Aix-Marseille

    Bastien Brignon, Maître de conférences, Université d’Aix-Marseille

    Pascal Richard, Maître de conférences, Université du Sud Toulon Var

    Anouche Beaudouin, Maître de conférences, Université de Nice Sophia Antipolis

    Philippe Enclos, Maître de conférences, Université de Lille II

    Alexandre Barège, Maître de conférences, Université de Lille II

    Rhita Bousta, Maître de conférences, Université de Lille II

    Patrice Le Maigat, Maître de conférences, Université de Rennes I

    Romain Loir, Maître de conférences, Université de La Réunion

    Aurélien Siri, Maître de conférences, Centre universitaire de Mayotte

    Jean-Christophe Lapouble, Maître de conférences, Institut d’études politiques de Bordeaux

    Alexandre Zabalza, Maître de conferences, Université de Bordeaux

    Philippe Icard, Maître de conférences, Université de Bourgogne

    Christine Bertrand, Maître de conferences, Université d’Auvergne

    Caroline Lantero, Maître de conferences, Université d’Auvergne

    Anne-Sophie Denolle, Maître de conferences, Université de Nimes

    Rodolphe Bigot, maître de conférences, Université de Picardie Jules Verne

    François Henot, Maître de conferences, Université de Picardie Jules Verne

     

    AUTRICHE

     

    Prof. Franz Leidenmühler, University of Linz

     

    ALLEMAGNE

     

    Prof. Norman Paech, Emeritus, University of Hamburg

     

    SUISSE

     

    Prof. Robert Kolb, Université de Genève

    Prof. Marco Sassòli, Université de Genève

    Prof. Stefan Trechsel, Emeritus, University of Zurich ; Bern

    Prof. Regula Kägi-Diener, University of St. Gallen ; lawyer

    Prof. em. Dr. Wolf Linder, political scientist and jurist, Bern

    Dr. h .c. Marco Mona, lawyer, Zurich

    Dr. Tom Moerenhout, Graduate Institute of International Development Studies, Genève

    Markus Bischoff, lawyer, member of Council-Kanton of Zurich

    Jürg Meyer, jurist ; member of Council-Kanton Basel City

    Robert Cramer, avocat, Conseiller aux Etats, Genève

    Nils de Dardel, avocat, ancien conseiller national, Genève

    Marcel Bosonnet, lawyer, Zurich

    Romolo Molo, avocat, Genève

    Jean-Michel Dolivo, avocat, Lausanne

    Hüsnü Yilmaz, avocat ; co-president des Juristes Progressistes Vaudois

    Beat Leuthardt, jurist, Basel

    Olivier Peter, avocat, Genève

    Leila Batou, avocat, Genève

    Miriam Gantner, jurist, Basel

     

    ITALIE

     

    Livio Pepino, già magistrato, consigliere della Corte di Cassazione e membro del Consiglio Superiore della Magistratura, Torino

    Prof. Gustavo Gozzi, Università di Bologna

    Fabio Marcelli, Istituto Studi Giuridici Internazionali - Consiglio Nazionale delle Ricerche

    Prof. Marco Balboni, Università di Bologna

    Prof. Silvia Buzzelli, Università di Milano-Bicocca

    Prof. Chantal Meloni, Università degli Studi di Milano

    Prof. Luca Masera, Università degli Studi di Brescia

    Prof. Marco Pertile, Università di Trento

    Prof. Carlo Sotis, Università della Tuscia

    Dr. Francesca De Vittor, Università Cattolica del Sacro Cuore, Milano

    Gilberto Pagani, avvocato, Milano

    Fausto Gianelli, avvocato, Modena

    Dario Rossi, avvocato, Genova

     

    PORTUGAL

     

    Dr. Tor Krever, London School of Economics ; Centre for Social Studies, University of Coimbra

    ESPAGNE

    Prof. David Bondia García, University of Barcelona ; president, Human Rights Institute of Catalonia

    Justice José Antonio Martín Pallín, former judge, Supreme Court

    Justice Juan Pedro Illanez Suárez, Palma de Mallorca

    Prof. Nicolás Navarro Batista, Gran Canaria

    Prof. Itziar Ruiz-Gimenez Arrieta, Madrid

    Prof. Rosario Gonzalez Arias, lawyer, Oviedo ; Autonomous University of Querétaro, Mexico

    Antonio Segura Hernández, lawyer, Madrid

    Carmelo Faleh-Pérez, Spanish Association for International Law and Human Rights 

    (AEDIDH)

     

    ESPAGNE

     

    Jacinto José Gil Ugena, lawyer, Madrid
    Francisco García Cediel, lawyer, Madrid
    César Pinto Cañón, lawyer, Madrid

    Enrique Santiago Romero, lawyer, Madrid

    Nadia Chliha ben Mohito, lawyer, Madrid
    Diego Catriel Herchhoren, lawyer, Madrid
    Tarek Khalaf Alonso, lawyer, Madrid
    Redouan Zidi Tassakourt, lawyer, Madrid
    Hana Cheikh Ali, lawyer, Madrid
    Amira Cheikh Ali, lawyer, Madrid

    María Soledad García Bau, lawyer, Madrid

    José Ricardo Gayol García, lawyer, Madrid

    Andrés García, lawyer

    Montserrat Vinyest i Pagès, lawyer, Girona

    Benet Salellas i Vilar, lawyer, Girona

    Ana Maria Fernandez Llamazares, lawyer, Barcelona

    Ana Osa Farré, lawyer, Barcelona

    Concepción Trabado Álvarez, lawyer, Fabero (León)

    Juan M. Prieto Santos, lawyer, Gijón-Xixón

    María Xulia Fernández Suárez, lawyer, Gijón-Xixón

    Joan Tamayo, lawyer, Terrassa

    Pilar Mateo Lisa, lawyer, Terrassa

     

    NORVEGE

     

    Prof. Peter Ørebech, Arctic University of Norway, Tromsø

    Justice Ketil Lund, Supreme Court (1990 – 2009) ; chair, International Commission of Jurists-

     

     Norway

     

    Harald Stabell, barrister, Oslo

    Kjell Brygfjeld, lawyer, Stavanger

    Geir Høin, lawyer, Oslo

    Bent Endresen, lawyer, Stavanger

    Pål Hadler, lawyer, Stavanger

     

    SUEDE

     

    Prof. Pål Wrange, Stockholm University ; Stockholm Center for International Law and Justice

    Dr. Markus Gunneflo, Lund University

     

    FINLANDE

     

    Prof. Emeritus Lauri Hannikainen, University of Helsinki

    Prof. Jarna Petman, University of Helsinki ; Erik Castrén Institute of International Law and Human Rights

    Source : https://bdsmovement.net/news/groundbreaking-statement-200-european-legal-scholars-upholds-right-bds-palestinian-rights

    CAPJPO-EuroPalestine

     

  • SATAN, TOUSSAINT, FRONTENEX, GENDARMERIE, POLICE, ALBERTVILLE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                            BORGIA CITY

                                      OU

                                SATAN CITY

     

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous relate la nuit satanique à Frontenex, 73 460, en Savoie.

     

    Les enfants sataniques français crient jusque tard dans la nuit en lançant des pétards .

     

    Les sataniques jérusalistes français, occupant militairement la Savoie, sont manipulés par Satan.

    Ils se déguisent en diable, cornu, fourchu et chantent des odes à la gloire de Lucifer, accompagnés des parents français d'occupation.

     

    La Savoie, terre chrétienne est envahie par les satanistes d’Israël et de Wa-ss-hington, cohali-sion pour la 3ème guerre mondiale.

     

    Ces pauvres enfants, manipulés, drogués par leurs parents hérétiques,

    vont fêté Jésus dans un mois.

    C'est pour pourrir la fête chrétienne de la Nativité de Notre Sauveur, que les Satanistes ont inventé la fête satanique pédophilique Halloween.

     

    Donc Frédéric BERGER a été la cible des sataniques lucifériens sionsites français une fois de plus.

     

    Cazeneuve, sinistre français de l'Intérieur des chiottes d'Israël, franc-maçon, donc faisant parti de la secte sioniste, laisse faire; car il a pour mission de couvrir KARACHI, malgré son livre sur le sujet.

     

    Le fric de Karachi a tué les moines de Tibhirine; car le meurtre des moines avait pour mission de détourner l'attention des français du fric de Karachi qu'avait touché la Chiraquie, le PS, le  PC, les verts de gris etc.....

     

    Voila donc le résultat: cliquez sur le lien suivant pour voir la vidéo de Borgia fric city, en Savoie.

     

    https://youtu.be/-fstptty2DE

     

     

    Frédéric Berger