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JUSTICE - Page 8

  • SAVOIE, BASQUE, LICRA, CRIF, MARIAGE POUR TOUS, VATICAN, ARCANGUES, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, OURS

                                                                          « Honneur aux Basques ! »

     

                                                                                                                                           Arcangues-Blason

    Tout particulièrement à ceux d'Arcangues qui entendent résister. Le maire et tout le conseil municipal ont refusé de marier deux hommes.

    La raison ? Elle est simple comme « Egun on » (bonjour, en basque).

    Illégitime ! Pour Jean-Michel Colo et son conseil municipal, la loi est illégitime...

     

    Des Basques fidèles à une longue tradition de résistance ! Au cours de son histoire, Arcangues ne fut jamais en reste. Lors de la politique de déchristianisation consécutive à la terreur des années 1793/1794, le curé d'Arcangues refusa, comme de nombreux prêtres du pays basque, de prêter le serment de fidélité « à la Nation, à la Loi et au Roi »... Le 21 février 1906, le percepteur de Biarritz se heurtait au refus des habitants de lui donner les clefs de l'église alors qu'il venait procéder aux fameux « inventaires »...
    Le 6 mars, ledit percepteur revenait accompagné du commissaire de police de Biarritz sous bonne escorte de gendarmes et de deux compagnies du 49e régiment d'infanterie, qui cernèrent l'église. Devant un nouveau refus d'ouvrir la porte, les soldats tentèrent de la crocheter...
    Le Marquis Michel d'Arcangues, ceint de son écharpe de Maire s'interposa en criant : "A bas la République, vive le Roi". Il fut emmené, menottes aux poignets, mais la porte resta close. Il fut relâché après avoir été inculpé de propos séditieux et relevé de ses fonctions de Maire...

    http://perso.numericable.fr/choeur.adixkideak/ADIXKARCAN.htm#LES%20INVENTAIRES

    Aujourd'hui, prenant les devant, Jean-Michel Colo déclare au « Journal du Pays basque » : « Nous avons informé le préfet que nous ne célébrerions aucun mariage homosexuel à Arcangues ». Et de préciser au « Sud-Ouest » alors que deux hommes avaient souhaité se « marier » à Arcangues :
    « Ce couple m'a demandé si je pouvais les marier. Mais j'ai refusé. J'ai posé la question aux élus du Conseil municipal : personne n'a accepté »
    "On marche sur la tête avec cette loi. Qu'on ne me parle pas d'égalité quand on ne peut pas avoir d'enfants ! Quand on veut avoir des enfants, on va voir sa voisine, pas son voisin... » Et le maire d'espérer que beaucoup de maires adopteront la même attitude que lui.

    Le pays basque ? Une terre de Fors ! Notre ami La Cerda ne nous contredira pas... Et que l'on ne dise pas que les Basques sont « étrangers » à la France.

    Arcangues a donné 50 de ses fils lors de la guerre 14-18...

    Argagnon

    Source :
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/06/un-maire-du-pays-basque-refuse-dappliquer-la-loi-son-conseil-aussi.html

    http://www.lejpb.com/paperezkoa/20130607/406758/fr/Le-maire-d%E2%80%99Arcangues-refuse-marier-deux-personnes-meme-sexe

    Jean-Michel-Colo

    Jean-Michel Colo

    « Illégitime »... « On dit que les maires doivent être de bons républicains. Mais je suis avant tout un bon Français. Cette loi est illégitime »

  • PEDOPHILIE, VIOL, SODOMIE, DUTROUX, FOURNIRET, JUGE ROCHE, CHRISTIAN FONTANNEAU, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, JUSTICE, AVOCAT, JUGE, PROCUREUR, JUIF

    L'Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, continue sa guerre contre la pédocriminalité.

    Hier je vous avais parlé de ce dossier hollandais de TOOS NIJENHUIS:

       PÉDOPHILIE, PEDOCRIMINEL,TOOS NIJENHUIS, PAYS-BAS, AUSTRALIE, BELGIQUE, FRANCE, VIOL, SACRIFICE, TORTURE,SATAN, ILLUMINATI, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER

    Il y a pédocriminalité car cela rapporte des milliards d'euros; ce crime rapporte plus que la drogue d'AFGHANISTAN ou le pétrole volé aux libyens et aux irakiens.

    Il y a pédocriminalité car il y a le serment franc-maçonique qui lient les acteurs, policiers, gendarmes, juges, avocats, presse-tituée, ponctionnaires au ministère de l'iNJUSTICE.

    justice

    Dès qu'un juge parle d'un réseau pédocriminel il est soit muté soit assassiné. comme le juge ROCHE!

                          DOSSIER ROCHE

                                                  ( à suivre au pas chasseurs alpins)

    Préambule:

    LE CRIME SOUS SON ASPECT LE PLUS ATROCE, BASE SUR LA TORTURE 



    Le pillage, la séquestration, l'abus, la violence, la persécution, la torture, la privation fondamentale de tous ordres (nourriture, soins, droits ou liberté) constituent un crime.

    Un crime n'a pas de frontière et quel que soit son mode opératoire, il reste tout de même un crime à partir du moment où une action, quelle qu'elle soit, a pour conséquences de mettre en danger la vie d'autrui.

     Le crime de guerre, le crime contre la paix ou l'humanité défini par les nations unies appelle a être jugé par un tribunal international.

    Une des choses qui me rend le plus malade ... 
    S'il y a relation cause effet entre ce "qu'ils" FONT et la façon dont je mors la poussière : 
    j'accepte de prendre sur moi, mais encore faudrait-il me le montrer !
    Entre ce "qu'ils" FONT et la disparition de Stan Maillaud, cela semble normal : ils ne veulent
    pas que leurs méfaits se divulguent (surtout sur Internet).
     
    Les enfants Roche qui m'ont prévenu, en 2006. Les "Gilles de Rais" de notre époque s'organisent en groupe. Avec drogues, boissons et autres. Et tuent.
    À leurs manières. 
    Le père de Charles-Louis et Diane, Pierre Roche, haut magistrat, les a averti quand il s'est senti perdu.
    "Ils" ont eu sa peau peu de temps après. Et fait incinérer vite fait.
     
    Les enfants Roche ont dénoncé la chose pendant 10 ans, en vain. Dans un état de fatigue ... 
    Ils avaient 20 ans. Ils en ont trente !!!! Tout le monde contre eux. Du mal à trouver du boulot.
    Très bons juristes.
     
    Se trouver confronter par le même ciment armé. À percer absolument.
    Par Internet on va y arriver.
     
    FORT que cette Hollandaise ait osé parler ce 7 mai ....
     
    Michel

    AFFAIRE ROCHE

                        INTEGRITE - Justice Francaise

    Beaucoup connaissent le témoignage des enfants ROCHE, je refais passer pour ceux qui ne connaissent pas  :

     http://rutube.ru/video/052b65610b0e65863ff49697f2caa087/#.UJLodG9_lK4

    Le 11/05/2010

    Voici la transcription des deux dernières parties du "spectacle" Fils de juge:
     

    Charles-Louis Roche a écrit :

    "Et c’est donc dans ces circonstances, alors qu’il se trouve brusquement au bord du gouffre et que le sol commençait à se dérober sous ses pieds, que papa qui avait l’habitude de toujours tout maîtriser, mais qui pour la première fois de sa vie, alors là, ne contrôlait plus du tout sa trajectoire, euh, ben se remanifeste brutalement dans ma chambre d’étudiant à Toulouse. Alors Toulouse, qui est un véritable nœud dans cette affaire hein. Qui est vraiment la ville où tout se noue. Déjà, c’est la ville où papa a fait ses études, et aussi son service militaire. C’est la ville où il a eu son premier poste et ses premiers repas à un trucage de procès, la ville aussi où il va faire chanter Baudis chez lui, après avoir appartenu à la même secte, je vais vous parler de cette secte dans deux minutes, et la ville enfin, où nous étions nous aussi étudiants, et où il redébarque dans nos vies pour nous balancer dans les gencives une confession dont je crois que nous ne nous remettrons jamais.

     Alors, si je réordonne les propos de papa, sans rien y rajouter, hein, simplement je vous les synthétise, papa nous a raconté ces choses en trois séances graduelles, et puis, bon parfois, il avait une diarrhée verbale, je vous synthétise les choses sans rien y rajouter : voilà son témoignage :

     Papa, pendant des années, a appartenu à la section toulousaine d’un groupement de personnes, qui n’est pas limité à Toulouse d’ailleurs, il s’agit d’un groupe secret d’hommes de pouvoir qui appartiennent, principalement en tout cas, à cinq sphères d’influence, il nous a mentionné la politique, les médias, la finance, les milieux médicaux, et, un terrain de recrutement de choix selon lui, les milieux judiciaire, c’est-à-dire que, on trouve dans cette « assoc’ », des juges, qui, eux, sont tous les bienvenus, et puis flics et gendarmes à partir d’un certain grade, hein, en dessous desquels on n’est que de la piétaille, pas assez sélect pour entrer dans ce groupe.

     Quelles sont les activités de cette organisation ? Eh bien, elles consistent à organiser justement des soirées extrêmes, et c’est rien de le dire, qui sont de deux types. Premier type de soirées, ce sont des soirées que je qualifie de festives, faute d’un terme plus adapté, qui commencent comme des partouzes entre gens de la haute société, et puis la nature de la soirée dégénère au fur et à mesure de l’écoulement de la séance, pour inclure du sadomasochisme et de la consommation de stupéfiants, qui sont sensés augmenter le plaisir des participants, et puis alors aussi, figurez-vous modérer la douleur de ceux d’entre eux qui réclament des sévices, hein ! Et donc en modérant leur douleur ils vont pouvoir aller plus loin dans l’horrible, hein dans l’automutilation, dans ces joyeuses tortures qu’ils s’infligent entre eux, que sais-je ? ça leur permettra de battre des records…Euh, et puis alors le bouquet final de la soirée, hein, le clou, si vous me passez l’expression, c’est quand on traîne dans la pièce des victimes humaines, qui sont issues des couches les plus basses de la société, qui ont été choisies dans des catégories de populations qui sont en rupture de lien social et familial de sorte que personne ne se souciera de leur disparition, et que toute enquête à leur sujet, ben sera plus ou moins vouée à l’échec dès le départ. J’ajoute d’ailleurs que les membres de ce groupe, de par les niveaux d’influence qu’ils ont, sont toujours à même, si certaines affaires menaçaient d’éclater de les étouffer dans l’œuf en manipulant les leviers qui sont les leurs dans l’appareil d’état, de toute manière c’est le réseau et ce groupe fonctionne de telle manière qu’ils se tiennent tous par la barbichette.

    Donc, alors quelles sont les catégories de personnes visées, papa nous en a dressé une brève typologie… Ce sont des prostituées parfois mineures, euh, alors des clodos, voilà comment un magistrat, soit dit entre parenthèses, appelle les sans domicile fixe, alors qu’il est aussi à leur service, techniquement, et puis alors ce qui est peut-être le top du cynisme diabolique, des familles d’étrangers en situation irrégulière, qui n’ayant pas d’existence légale sur notre sol, eh bien sont en effet des candidats idéaux pour disparaître sans laisser de trace. Euh… Quel est le sort réservé à ces victimes par ce groupe de prédateurs ? Ben y en a qu’un, il s’agit de leur mise à mort filmée qui sert de toile de fond à un trafic de cassettes vidéos illégales, dans lesquelles on tue pour de bon des vrais gens, qui sont vendues sous le manteau à des prix fous paraît-il, qui les réservent d’emblée à une clientèle fortunée de riches dégénérés amateurs de sensations fortes. Et là encore c’est rien de le dire. Euh et puis alors dernière précision sur ce point, figurez-vous que zigouiller quelqu’un apparemment c’est rapide, ça ne prend que quelques minutes, donc pour qu’il y ait de quoi en faire un film, on fait durer le plaisir, si j’ose dire en soumettant les victimes du jour, alors à toujours la même procédure, d’ailleurs il y a quelque chose de technocratique là-dedans, je me dis que leur degré d’éducation se voit même dans ce genre de détail, c’est-à-dire que les films racontent tous la même histoire, la caméra tourne, et là on traîne dans la pièce la victime du moment, ensuite elle est successivement humiliée, quoi que ça veuille dire, violée, torturée, mise à mort, et puis alors là cette mise à mort c’est le happy end à la fois du film et de la soirée qui a servi de cadre à son tournage. Voilà pour le premier type de soirée. Alors à côté de ça vous avez un deuxième type de soirée, … déjà des soirées qui sont beaucoup plus formalistes, tout d’abord parce qu’il y a un calendrier, il y a des dates spéciales pour ça, un calendrier où ces gens se réunissent pour des cérémonies que j’ose pas appeler religieuses, ou alors c’est antireligieuses, des cérémonies de type « mystico-ésotérique », disons magiques ! Voilà ! Des cérémonies magiques qui sont présidées par… alors par un célébrant. Alors je ne serais pas capable de vous dire s’il s’agit du grand prêtre du serpent à plumes ou de je ne sais quelle autre aberration, toujours est-il que dans la bouche de papa c’est un célébrant. Un célébrant qui sacrifie, qui sacrifie des animaux pour le tout venant, et puis, je pense que vous l’avez senti venir, pour les grandes occasions, c’est sacrifice humain, de proies, donc, capturées dans je ne sais quel bas-fond toulousain.

    Il y a un équivalent local de la communion catholique. Alors je sais que la comparaison peut vous paraître audacieuse, mais on se raccroche un petit peu à ce qu’on connaît, qui s’appelle la « scarification de l’adepte ». Alors en quoi ça consiste ? Eh ben on vous entaille le poitrail à l’aide d’un couteau, alors d’un couteau cérémoniel, hein, qui a été spécialement enchanté, ou désenchanté, pour cet usage, ne pas faire ça surtout avec un canif ou le premier couteau à pain venu. Avec cette lame, on vous trace, on vous grave, j’ai envie de dire, dans les couches supérieures de l’épiderme, des sortes de figures géométriques qui sont censées relier des points névralgiques qu’on aurait sur le corps… Alors écoutez, moi, quand il m’a parlé de ça, ça m’a tout de suite fait penser à l’acupuncture, je sais pas si ce sont les mêmes points ou pas, mais il y a peut-être une pensée commune, derrière ces deux modes de pensée, et puis alors donc on est censé une fois qu’on est muni de la figure, on est censé en ressortir grandi. C’est une sorte de rite de passage, un rituel qui d’ailleurs explique peut-être bien pourquoi dans l’affaire Alègre il y a tellement de cadavres qui ont été incinérés manu militari, à commencer par celui de papa, je vais vous en parler.

    Donc ces deux types de soirées se déroulent dans des lieux qui sont situés à Toulouse ou en proche banlieue, en tout cas pour la section toulousaine, celle que fréquentait papa, dans des lieux sous-terrains qui disposent de salles, dont l’usage est l’accueil de ces soirées là, d’ailleurs elles sont spécialement équipées à cet effet, c’est-à-dire qu’on y trouve de quoi attacher et torturer son monde, tout l’attirail du parfait petit Torquemada.

    Papa a évoqué devant nous des images à vous glacer le sang, il est question de chairs transpercées, de chairs calcinées, et de l’odeur étouffante qui se dégage des brûlures infligées à la cigarette.

    Papa nous a même indiqué, tenez, la procédure d’initiation d’un nouvel adepte. Alors on repère quelqu’un, qui doit déjà avoir un niveau de pouvoir considérable ou substantiel en tout cas, dans l’une des sphères qui sont considérées comme intéressantes. Et puis alors ça ne suffit pas, il y a un deuxième pré requis, il faut avoir décelé chez le nouveau membre pressenti, ce que j’appellerai le ver de la corruption morale, c’est-à-dire une certaine propension à se laisser glisser, ben sur cette planche savonneuse sur laquelle papa s’est laissé embarquer. C’est-à-dire que, pour vous la faire courte, écoutez quelqu’un qui a une réputation de grande intégrité, celui-là, ma parole, ben on ne le veut surtout pas, alors que le corrompu ou le pervers feront parfaitement l’affaire. Alors une fois qu’on a trouvé quelqu’un qui est prometteur sur ces deux plans, on l’invite à une première soirée. Et alors là, le gogo s’imagine qu’il va seulement à une partie fine entre bourges, où il va pouvoir mêler l’utile à l’agréable, se faire de nouvelles relations… C’est un peu un dîner de cons, si vous voulez, mais d’un genre spécial, c’est-à-dire qu’il est le seul à ne pas savoir pourquoi il vient. Il ne découvre la véritable nature de la soirée qu’au fur et a mesure que ça dégénère sous ses yeux, et là il est trop tard pour faire marche arrière, même si il recule d’horreur et refuse de rejoindre le groupe, de toutes manières on le tient, il a mis le doigt dans l’engrenage et peut-être plus que le doigt, puisque des photos, quoiqu’il ait fait ou pas fait d’ailleurs, il était présent, des photos et des vidéos ont été prises dont certaines le représentent lui avec des scènes dantesques en arrière-plan, donc il n’ira jamais répéter à personne ce qu’il a vu, et s’il refuse de rejoindre le groupe, eh bien c’est pas grave, ça fera toujours un pion à l’extérieur vous voyez, si c’est un magistrat ou un flic par exemple on le tient, il va pouvoir servir à étouffer des affaires, une de plus peut-être parmi les 190 meurtres qui ont été maquillés en suicides par police et justice toulousaine. Je vais vous en reparler tout à l’heure.

    Alors à ce moment là de la discussion, vous vous dites peut-être : mais enfin quand même, qu’est-ce qui amène des gens qui sont rationnels, censément, hein, on voit pas dans leur tête, qu’est-ce qui amène des gens qui sont sérieux, ou qui en présentent les apparences plus exactement, à aller se vautrer dans un tel pandémonium. Et ben figurez-vous que les activités de cette secte sont sous-tendues par une double « philosophie ». Alors là encore chaque fois que je peux je cite, hein ! « Philosophie » c’est le terme employé par papa, le problème c’est que c’est que ça veut dire sagesse, donc je ne suis pas sûr que ce soit adapté. Une double philosophie, donc, avec laquelle on endoctrine les nouveaux adeptes.

    Alors de quoi s’agit-il ? On leur vend en quelque sorte, une culture de l’accession à un nouveau niveau de conscience par la mortification de la chair. Alors je vous laisse imaginer nos têtes quand papa nous parle de la mortification de la chair. De quoi s’agit-il ? Je reformule d’une manière peut-être un petit peu bancale mais en tout cas c’est ça que ça veut dire, il est question, pour libérer l’esprit, d’éteindre le corps. Voilà. Et pour éteindre le corps, pour éteindre le corps sans mourir, parce que ça c’est une extinction définitive, pour éteindre le corps sans mourir, on va le saturer de sensations, de plaisirs et de douleurs, qui sont procurés donc par ces soirées, le tout exalté par les drogues, jusqu’à ce que les capteurs sensoriels disjonctent, et alors là, ben quand vos capteurs sensoriels disjonctent, eh bien c’est le nirvana, c’est l’ascension spirituelle. Voilà pour le premier point, et puis alors c’est complété par un deuxième volet qui lui prêche, de :
     -briser tous les tabous, de transgresser toutes les règles, donc voilà ce qui les mène de la partouze au meurtre en passant par le viol.

    Pourquoi faut-il les transgresser ces règles, eh bien pour faire sauter des sortes de verrous mentaux qu’on aurait dans la tête, et qui sont si vous voulez, les limitations qui nous ont été apportées par la civilisation. Là encore pour schématiser, vous voyez dans la Bible il y a écrit : « tu ne tueras point. » Ben eux ils disent : « comment ça je ne peux pas tuer ? Eh bien tiens ! Je commets un premier meurtre, et comme ça je suis libre de recommencer quand je veux. » Voilà, c’est ça le schéma mental de ce deuxième volet. Euh, et alors donc, et ben au bout de ce chemin de transgression, vous voyez on est censé à la fin avoir fait sauter tous les verrous, et être devenu une sorte de « plus qu’humain, maître de sa destinée, et libre d’absolument tout », plus exactement libre d’absolument n’importe quoi. Et puis alors figurez-vous qu’en bout de piste on passe un petit coup de verni intello, en leur racontant que c’est d’inspiration nietzschéenne, Nietzsche qui doit se retourner dans sa tombe s’il apprend que son nom sert de caution pseudo-intellectuelle à un tel bazar qui n’est là que comme prétexte à cautionner les pires débordements.

     Voilà. Et puis le dernier point dont il faut que je vous parle sur cette secte ce sont quand même ses membres. Donc papa nous a cité un certain nombre des membres qu’il connaissait : (Dominique) Perben, qui n’est pas cité dans le dossier Alègre, et qui devrait l’être, (Dominique) Baudis, bien sûr, alors son vieil ami le magistrat Marc Bourragué, lui aussi cité dans le dossier Alègre. Et alors figurez-vous que Bourragué, on le retrouve aussi en travers de toutes les procédures qui auraient pu sauver bien des vies en arrêtant Patrice Alègre plus tôt. Parce que Patrice Alègre vous voyez, c’est un serial killer vraiment très peu discret, qui laissait derrière lui toute une trainée de cadavres, à plusieurs reprises on a bien failli le pincer, et à chaque fois ça a foiré grâce, dans les différents dossiers, enfin grâce, à cause d’une intervention de ce magistrat Marc Bourragué. Alors tout cela est établi par un rapport qui s’appelle le rapport Bréart, et qui est tenu au secret à la Chancellerie, sous la référence 8 CP 95, pour ceux qui veulent tout savoir.

    Et alors voilà-t-il pas que quelques années plus tôt, on retrouve ce même Alègre en train de prendre l’apéro, chez le même Marc Bourragué. Oui. Alègre le serial killer prend l’apéro chez le procureur. Et alors là Bourragué croit pouvoir se défausser en disant : « Mais attendez ! Alègre moi je ne le connais pas, il m’a été présenté par un ami commun. » Vous savez qui c’est l’ami commun, c’est Gilles Bivi, trafiquant notoire de cocaïne, dont on pourrait se demander s’il n’était pas fournisseur de ces soirées-là. Et il faudra peut-être qu’un jour on finisse par nous expliquer ce que foutent à prendre l’apéro chez le procureur, le plus amicalement du monde, entre copains et coquins, ben un trafiquant de cocaïne, et le serial killer qui échappe mystérieusement à toutes les investigations grâce aux interventions de ce même procureur. Bourragué, c’est quelqu’un qui a aussi été le subalterne immédiat de Jean Kubiec. Alors Jean Kubiec, voilà un magistrat qui n’est pas cité dans le dossier Alègre, mais qui devrait l’être, papa nous l’a mentionné comme membre de la secte. Et alors ça, c’est une vieille connaissance à lui, figurez-vous que c’est un vieux complice, c’est vieux compagnon de promotion de l’ENM, ils y ont fait leurs études en même temps. Kubiec était présent au mariage entre mes deux parents, et même je l’ai rencontré à plusieurs reprises, hein, quand j’étais petit, à l’époque où papa lui donnait du « cher ami » à tire l’Arrigo. Euh, et alors Kubiec, un chouia plus loin dans sa carrière on le retrouve comme collaborateur immédiat de Jean Volff, autre magistrat cité dans le dossier Alègre. Donc voilà une première boucle bouclée, et il y en d’autres !

     Si vous voulez connaitre l’intégralité des protagonistes et des données à leur sujet, il vous suffit de chercher sur Internet à l’interview écrite, que nous avons donné ma sœur et moi-même il y a quelques temps de cela, qui est accompagnée de deux pages de schémas, parfaitement lumineux sur qui est qui, qui fait quoi, avec toutes les infos hein sur les lieux les carrières et les dates… Euh deux schémas qui vous permettent de comprendre, eh bien en quoi papa et sa clique sont le chaînon manquant qui permet enfin de saisir la cohérence secrète qu’il y avait entre les quelques bulles qui avaient jusqu’ici crevé la surface des eaux troubles de cette sombre affaire. Donc à consulter sur Internet si vous voulez des informations complètes, je vous ai parlé disons de l’une des boucles que l’on trouve, il y en a d’autres.

     Alors maintenant il va être temps pour nous de conclure, et nous allons conclure comme papa l’a fait, par sa mort.

     Papa serait mort en février 2003. Je dis bien « serait », parce que rien que pour la date de sa mort, nous avons trois dates différentes dans trois documents différents. Il serait mort à l’âge de soixante ans, alors qu’il avait eu une vie facile, hein, il n’allait pas à la mine tous les matins, aucun antécédent cardiaque, il n’était pas malade. Donc on ne meurt pas à cet âge-là dans ces conditions. Et de manière générale, et bien c’est en vain que l’on chercherait quoi que ce soit d’un tant soit peu normal dans ce décès. L’acte de décès ne mentionne aucune cause de mort ni l’intervention d’aucun médecin. Nous, ma sœur et moi-même, nous n’avons jamais été prévenus de sa mort, et surtout pas par sa deuxième femme, qui s’est bien gardée de nous prévenir. On habitait à 20 km à l’époque, on est dans l’annuaire, et nous avons été volontairement tenus à l’écart de ce décès, décès que nous n’avons appris que par commérage, et d’ailleurs même quand on l’a appris on ne savait pas si c’était vrai, il a fallu vérifier, hein, que par commérage quant il était trop tard pour assister aux obsèques, qui ont eu lieu en toute hâte, hein, c’était du rapide. Trop tard aussi pour demander une autopsie que nous n’aurions pas manqué de demander surtout après de telles révélations, parce que papa avait été incinéré manu militari, le jour même des obsèques, je vous disais c’est du rapide, c’est même de l’express.

    Incinéré, contre sa volonté, je pourrais vous détailler en quoi papa était contre. Incinéré derrière notre dos, alors que nous sommes ses seuls parents de sang encore vivants, depuis la mort de son père en 98, on est obligé de nous consulter.

    Et puis surtout il a été incinéré en totale transgression avec les règles légales et réglementaires qui doivent présider à la crémation d’un corps, et qui sont d’ailleurs justement là pour éviter que l’on se serve de ce moyen pour se débarrasser d’un cadavre suspect.

    Note de la rédaction: Christian FONTANNEAU, dit Christian Intégrité a été incinéré dans les mêmes conditions, par les "frères".


     Bon, ma sœur et moi-même ça fait des années que nous avons remué ciel et terre, je peux vous dire que nous n’avons pas ménagé nos efforts, nous avons fait tout et même le reste, pour essayer de déterminer, déjà les causes de la mort de papa, pour commencer. Ecoutez, papa est mort il y a cinq ans, nous ne savons toujours pas de quoi il est mort. A ce jour, la cause du décès reste indéterminée, et indéterminable, malgré toutes sortes de démarches diverses et variées. Par exemple nous avons envoyé à la veuve, entre guillemets, un huissier pour lui faire une sommation interpélative, pour lui poser cette question là, nous envoyons un huissier demander de quoi il est mort, cette information nous est due de plein droit. Elle a refusé de répondre, face à notre huissier elle été saisie de peur panique, elle a tout de suite appelé, devant lui, sous ses yeux un avocat pénaliste, donc plutôt spécialisé dans les affaires de meurtre, et qu’elle avait prévenu d’avance d’ailleurs, donc rien de ce côté-là. Toujours rien sur la cause de la mort, malgré notre saisine du Garde des Sceaux qui n’ose pas nous répondre depuis des années, pas plus qu’il n’ose répondre à quinze parlementaires, députés et sénateurs confondus, qui l’ont saisi de ce dossier…

    …rien malgré trois questions écrites posées au Journal Officiel, par trois autres parlementaires, rien malgré trois saisines de deux médiateurs de la République différents, que sont Stasi et Delevoix, hein. Si vous avez un petit problème pour obtenir un papier auprès d’une administration, là, vous pouvez y aller, allez voir le médiateur, mais alors ce genre de dossier, pas touche, hein, pas question de le traiter, et rien, rien toujours rien, malgré toutes sortes d’autres démarches diverses et variées.

     Face à nous c’est le mutisme absolu… On ne fait pas même face à un mur, parce qu’un mur nous renverrait la balle, alors que le slash, il n’en est même pas question… Euh, c’est l’inertie la plus totale, la force de l’inertie, je ne sais pas si un jour nous saurons de quoi mon père est mort, et en plus, ce n’est pas la seule question, hein, c’est une question qui en amène d’autres…

     Quand… Vous voyez, bon,… papa, quoiqu’il ait fait, c’était quand même mon père, et (…) avec un père, c’est irremplaçable. Lorsqu’il est venu nous voir ma sœur et moi à Toulouse, son repentir était sincère.

     Je vous présente papa :…

     Voilà très exactement ce qui reste de lui. Même ses cendres ont disparu.

    Vous voulez savoir ce qu’il y a derrière toutes ces affaires dont on entend beaucoup parler ces dernières années, Alègre, Dutroux, Fourniret, Chanal, les disparues de L’Yonne, et puis toutes celles dont on a jamais entendu parler ? Eh bien elles suivent toutes le même schéma.

    Dans un premier temps, la Justice couvre et truque. Pour prendre l’exemple de l’affaire Alègre, vous voyez les années Alègre à Toulouse, c’est 190 meurtres qui ont été maquillés en suicides, par police et justice, et le plus souvent les deux mêmes médecins légistes, qui d’ailleurs n’ont jamais été inquiétés. On retrouve toujours les mêmes… Et vous voyez maintenant les gens on ne les assassine plus, ça posait trop de problèmes, on les suicide, c’est tellement plus simple, on peut classer le dossier de suite. Et puis un jour, cette accumulation de suicides ne tient plus. Et alors là il est temps de tous les résoudre d’un coup d’un seul par la baguette magique du maniaque. Alors ça, le serial killer c’est une explication qui est encore plus commode hein, en plus c’est à la mode, hein, ça nous vient d’outre-Atlantique, et c’est le lampiste parfait : c’est le dingo qui a tout fait ! Pourquoi ? Mais parce que c’est un malade, pardi ! Circulez, y a rien à voir. Ne cherchez pas plus loin. N’essayez surtout pas de remonter jusqu’à nos maîtres, qui sont les commanditaires dont les Alègre, Fourniret et consort ne sont que les exécutants de cinquantième zone, fournisseurs de chair fraîche, pour leurs soirées en enfer.

     Ce qu’il y a derrière cette affaire, ce qu’il y a derrière ces affaires, ce sont les protections politiques jusqu’au plus haut niveau de l’état sur la pédophilie et les enlèvements de personnes, qu’il y a dans ce pays, et dans bien d’autres,… Protection dont continue d’ailleurs à bénéficier à notre époque une liste de 71 magistrats pédophiles, qui est tenue au secret à la Chancellerie, 71 magistrats pédophiles, qui sont sciemment couverts et maintenus en fonction. Et je dirais même, qui sont d’autant plus couverts et maintenus en fonction que maintenant ils sont devenus très utiles : maintenant qu’on a un dossier sur eux et qu’ils sont sur un siège éjectable, et ben ils vont faire exactement ce que le Pouvoir leur dit. Alors après ça allez vous étonnez que parmi les magistrats du procès Colonna, qui est un procès éminemment politique, on retrouve le même Marc Bourragué dont je vous parlais tout à l’heure.

     Peuple, on te trompe !
    > > 
    > > En venant nous faire ces révélations, papa, en soulevant le voile de ces réalités terrifiantes, je crois que papa n’est pas mort pour rien, et qu’il nous a donné de quoi racheter ses péchés. Ma sœur et moi-même, cela fait des années que nous nous battons pour la vérité, pour la terrible vérité, nous n’aurons pas de repos tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur la mort de papa, et sur ce qui se passe réellement dans ce pays !

    Les magistrats ne veulent pas me rendre justice, eh bien moi je n’ai qu’une seule chose à leur dire : Messieurs les juges, ABJECTION ! Votre HORREUR !

                                             INTEGRITE - La justice se flingue

    Frédéric BERGER

     

     

  • SAVOIE, GOY, JUIF, TALMUD, MOSSAD, TSAHAL, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                                          BORGIA CITY BRÛLE-T-IL?

    L'ECHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous relate l'attentat suivant:

    Après les multiples menaces d'assassinat, d'incendie, voici que les forces d'occupation sionisto-maçonniques de la SAVOIE SOUVERAINE, continue de faire étalage de leur savoir-incendiaire.

    Pour rappel certains articles de l'EDM:

    , CIA, UMP, SIONISME, FRANC-MACON, INCENDIE, SAVOIE, LIBERTE d’EXPRESSION,CHAMPAGNY-en- VANOISE, BELLAY, SAINT-OYEN, DIEU, BIBLE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    et

    LION, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, LIBERTE D’EXPRESSION, MOSSAD, SAVOIE, DIEU

    et la liste des agents du MOSSAD:

    cliquez sur les liens suivant, en récitant le talmud à voix basse:

    opisrael

    et

    opisrael2

    Donc cela continue de plus belle, regardez les photographies:

    OLYMPUS DIGITAL CAMERAOLYMPUS DIGITAL CAMERAOLYMPUS DIGITAL CAMERAOLYMPUS DIGITAL CAMERA

    L’explication se trouve dans le texte suivant, cliquez dessus, merci:

                                                                 Talmud II

    Conclusion:

    Il ne fait pas bon d'être goy à Frontenex-Borgia-City.

    Que fais la justice putative en Savoie?

    Madame la garde des sots préfère marier des sionisto-maçonniques gay pour qu'ils obtiennent ainsi

    la nationalité française, en faisant des mariages pour tous, c'est à dire  donner la nationalité française pour toutes et tous par le cul, à tous les sionistes-maçonniques du monde.

    Ainsi elle noie le monde chrétien et musulman dans la merde!

    Frédéric BERGER, rédacteur en chef de l'Echo des Montagnes

  • DOCTEUR MARIE-HELENE GROUSSAC, DOCTEUR YVES GODARD, SAVOIE, BRETAGNE, ECOSSE, PARIS, CDCA, CAF, URSSAF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                AFFAIRE GODARD

    ou

                                               CRIME D’ÉTAT

                                                                                                                  1ère partie

    L’ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous fait part des dossiers du docteur MARIE-HÉLÈNE GROUSSAC.

    Cet article sera suivi par d’autres dossiers explosifs du docteur GROUSSAC.

    Il s’agit ici d’un crime d’état, dans la même région du « suicidé Maître  OLIVIER METZNER » et un peu plus loin, à Paris, de Monsieur NOËL ROBIN, sous-directeur des affaires économiques et financières à la police judiciaire de Paris! Dénominateur commun entre l’avocat et le policier, le dossier BETTENCOURT.

    Dénominateur commun avec le dossier GODARD: crime d’état!

    Le 09 janvier 2012
    AFFAIRE GODARD

    Hier soir, sur TV2, émission sur la disparition de la famille Godard, une nouvelle fois, sans
    changement par rapport aux émissions du passé : en clair, toujours la même hypothèse
    devenue un dogme.

    Il a tué son épouse, c’est sûr, tout le prouve, puis il est parti avec ses deux
    enfants. Et, de nouveau, les différents éléments du « pseudonaufrage » passés en revu. Et de
    nouveau les papiers du corbeau, les petits cailloux du Petit Poucet, non je veux dire les cartes
    plastiques distribuées, toutes au même endroit, de main humaine et sur des années.

    images

    Et de nouveau, la théorie, elle aussi présentée comme « vraiment vraie », il s’est suicidé en mer
    avec ses enfants. Bref, cette émission n’apporte rien de plus que les précédentes. Alors
    pourquoi récidiver?
    La solution est évidente : si tous les intervenants son morts, extinction de cette affaire, finies
    les enquêtes, finie une affaire devenue, au fil du temps, « emmerdante », c’est-à-dire à
    risques. A risques pour qui ?

    J’ai trouvé l’enquêteur très « méthode Coué » pour lui-même … et pour les auditeurs. On
    nous a montré l’ampleur de l’enquête, son coût, et pourtant, moi qui est fait un rapport en 22
    pages où la comparaison avec deux autres affaires apportait un éclairage intéressant, je ne fus
    pas auditionnée. Pourtant, cela aurait coûté moins cher et cela aurait rapporté plus à l’enquête.
    Mais cela aurait aussi mis en exergue une communauté de faits, donc un système, … donc
    peut-être une affaire d’état ? Et le voulait-on ?

    Quelques mois auparavant, un livre paraissait aux éditions « les arènes » : l’assassinat du Dr
    Godard. Je l’ai décortiqué. Pour la première fois, une hypothèse bien plus logique que la seule
    érigée en dogme (la tuerie puis le suicide) était argumentée : la famille avait été tuée, enfin
    pas tous. Le livre conservait cependant l’hypothèse initiale, à savoir Yves Godard a tué son
    épouse

    . Est-ce le fait que l’auteur est un journaliste à TV2 et TV5 ? Est-ce l’imprégnation des
    neurones des Français depuis douze ans par cette pseudo-information érigée en dogme, en
    vérité, qui a fait son oeuvre sournoise ? Probablement.
    De toute évidence, il existe un fossé ou plutôt une fosse marine entre le livre et ce que nous
    venons de voir. Aussi, est-il possible que ce soit la sortie du livre qui ait induit cette émission,
    cette fois-ci, télévisuelle, donc vue par un grand nombre de personnes. Pourtant, dans le livre,
    il est toujours question d’un mari qui tue sa femme : cela aurait dû conforter les enquêteurs. A
    aucun moment, ce travail d’enquête ne fut cité alors que des journalistes s’étant penché sur
    cette affaire furent présents. Alors ?
    Alors, le livre est riche d’une enquête sur des faits précis, bien qu’ils n’aient pas été compris.
    On ne voit, comme en recherche, que ce qu’on veut voir ! Il présente aussi une faille, de taille
    marine elle aussi, l’oubli de l’étrange voyant extralucide qui reçut un audit télévisuel
    important. A ce moment-là, il n’était plus question de sectes qui sentent le souffre comme
    dans la présentation de certaines fréquentations de Godard !

    Cet homme, proche d’Avranches, amena les enquêteurs sur la piste du corps de Marie-France, l’épouse de Yves, dans le
    cimetière de Lingèvres. De fait, sous le tas des fleurs fanées, on trouva des restes humains de
    femme, dont l’ADN se révéla ne pas être celui de Marie-France.

    Ce fait fut rapidement escamoté, comme d’autres d’ailleurs sur lesquels je reviens plus loin. Ce fait aurait pourtant
    permis de comprendre que Yves n’avait pas tué son épouse et que des individus, liés d’une
    manière ou d’une autre aux acteurs de ce scénario macabre, savaient où se trouvait le corps.
    « Oublier » ce fait avait-il un but : ne pas déroger à la théorie d’un drame au sein du couple,
    continuer de salir Yves Godard ? En cela, l’auteur du livre ne s’éloigne pas de l’émission
    télévisuelle.

    Hier soir, il fut question de cette information et, là, les restes humains sont
    devenus de simples ossements vieillis. Tout un chacun sait qu’on trouve facilement des
    ossements humains, au moindre coup de binette dans les cimetières ! L’enquêteur fut très
    évasif sur ce point et pourtant, le cimetière de Lingèvres diffère des autres présents aux
    environs. Il est récent, aux larges allées et … très en dehors du bourg, ce qui constitue des
    caractéristiques intéressantes pour une éventuelle opération. Certes, dans l’un des vieux
    cimetières environnants, il aurait été possible de trouver des ossements mais des restes
    humains dans un cimetière neuf … bizarre, bizarre…
    Il est étonnant que, durant cette émission, l’enquêteur ne souleva même pas l’existence de ce
    livre, qui n’exclue pourtant pas son hypothèse initiale. Alors ?

    Alors, il y a un « hic » : le livre fourmille de détails sur l’affaire et sur d’autres, possiblement
    en lien. Sur ce point, l’auteur a effectué un réel travail d’enquête. Imaginons que des acteurs
    de cette affaire lisent ce livre : ils vont voir que la méthode Coué a, certes, très bien
    fonctionné mais ils vont voir aussi le danger que représentent certaines informations, qui
    pourraient un jour amener la découverte de la vérité … pour peu que des individus en
    effectuent une autre lecture.

    Si les acteurs de cette macabre histoire ont lu ce livre, nul doute
    qu’ils n’aient perçu le danger … pour eux. Alors, de tenter de resservir une autre histoire par
    les médias pour noyer le poisson ? Cela signifie du même coup qu’ils ont la possibilité de
    manipuler les médias ou de les utiliser : cela n’est pas donné à tout le monde !
    Ce qui est particulier dans cette affaire, totalement hors normes, c’est le nombre
    « étrangetés ».

    La première porte sur les personnes décédées. Marie-France est décédée
    sans que l’on ait retrouvé son corps. Yves est décédé, c’est sûr depuis la découverte des os de
    membre inférieur. On pouvait s’en douter plus tôt, le jour de la découverte du crâne de
    Camille, lorsque le même chalut remonta le haut d’un crâne, avec des arcades sourcilières
    proéminentes, ce qui signe qu’il s’agit d’un homme et non d’une femme ou d’un enfant. Ce
    crâne fracturé fut rejeté en mer. Chose étonnante, tout au début de la découverte, la presse et
    la télévision parlèrent de la tête probable du père puis plus rien … ou si, elle fut tout
    simplement escamotée. Ce point est intéressant car il n’est pas anodin : il permettait de voir
    Yves Godard à travers le monde, ce qui fut rappelé dans la dernière émission mais pas dans le
    livre. Il permettait un montage malsain, visant à présenter cet homme comme un salaud.

    Quelle perversité ! Non seulement, il a été assassiné, non seulement, on lui a mis l’assassinat
    de sa femme sur le dos, mais on a délibérément continué de le salir : beau pays que la France !

    Puis lorsque tous ces Yves Godard vus à travers le monde s’évanouirent, après une période de
    redécouverte de l’existence de la tête de Yves, une nouvelle période d’escamotage de son chef
    s’ensuivit : devenue inutile depuis l’apparition des deux os ? Ou plutôt non, elle fut
    rapidement recyclée … en tête de Marius :l’intérêt ? Allons, c’est évident. Deux os + deux
    têtes = trois individus ; pour Marie-France la quantité de sang perdu implique nécessairement
    une mort violente. Donc quatre morts : le compte est bon … pour clore une affaire vraiment,
    vraiment emmerdante pour tout le monde !

    Revenons à l’enquêteur de l’émission du 08 janvier dernier, celui qui connaît plus que bien
    cette affaire. Il commit tout de même de curieuses erreurs, pour quelqu’un qui connaît le sujet,
    erreurs que ne commit pas l’auteur du livre : nombre d’enfants du premier mariage de Yves,
    plaid plein de sang. Ce dernier détail s’appelle prendre des vessies pour des lanternes,
    autrement dit prendre ses désirs pour des réalités : dans le livre, le plaid est lavé depuis
    quelques jours dans la machine à laver. C’est la fille aînée de Marie-France qui le sort et le
    remet en place, lors de son premier passage, début septembre. A ce stade, rien ne lui apparaît
    anormal au point que les enquêteurs envahissent la maison pour l’investigation après deux
    autres jours. Ce n’est pas tout à fait pareil, surtout dans une affaire criminelle !

    Les restes humains d’une femme présent sous le tas de chrysanthèmes et autres fleurs
    défraîchies sont devenus des ossements enterrés : là encore, ce n’est pas tout à fait la même
    chose ! Cela, de plus, ne colle pas avec le type de cimetière, trop neuf ! Cela commence à
    faire tâche dans le tableau brossé.

    Les douaniers ont vu Yves Godard vers le port de l’anse Bréhec, où il est décrit comme un
    suspect et les enfants comme drogués au fond du bateau. Dans le livre, Yves et ses enfants
    sont allés acheter des glaces à la petite échoppe de la plage, sans se cacher. L’interprétation de
    l’auteur du livre me semble meilleure que celle de l’enquêteur : Yves Godard attendait
    quelqu’un mais qui ? Sa femme ? C’est possible. Plus tard, des personnes ont vu le bateau,
    sans ses occupants, puis un autre témoin vit un homme partir seul à bord de ce bateau, alors
    que Yves et ses enfants étaient vus à Roscoff, sur l’embarcadère. Tout cela ne colle pas avec
    une autre couleuvre que l’on essaie de nous faire avaler : Yves Godard aurait sabordé son
    bateau (facile et on nous montre comment faire) en tuant ses enfants et en se suicidant. Oui
    mais voilà, précédemment des marins avaient expliqué et c’est repris dans le livre, ce bateau,
    s’il avait coulé, aurait explosé et de multiples débris auraient été trouvés, ce qui ne fut pas le
    cas …là encore, cela sent le montage !

    L’auteur du livre démontre, et je le croîs volontiers, qu’Yves Godard était bien à l’île de Man
    une semaine après son départ, puis sur l’île Lewis, en Ecosse. De fait, c’est ce qu’indique les
    billets du corbeau. Tous les détails que l’auteur donne trahissent la vérité. Il est donc bizarre
    que l’enquêteur passe sur cette épisode, avec une attitude visant à le minimiser, traduisant le
    ridicule de cette idée par une mimique adaptée … mais en donnant toutefois précisément la
    durée du séjour sur Man. Je le cite : du 7 au 14 septembre. Pourquoi ? Est-ce parce que le
    risque encouru par les acteurs de ce crime familial, risque dont je fais état plus haut, se situe
    précisément à ce moment-là ? J’ai l’impression que cette partie de l’histoire est elle aussi
    volontairement escamotée.

    L’auteur du live a interrogé suffisamment de témoins pour que la
    présence de Yves et de ses deux enfants soit avérée. Un homme voit Camille en train de
    pleurer sa maman : elle a compris que sa mère n’est plus de ce monde ; Marius est plus jeune,
    il n’a pas été vu dans le même état. Les tabloids anglais qu’ils avaient pu voir faisaient état de
    la disparition de la famille et de la mort quasi certaine de Marie-France. L’auteur signale qu’il
    y a avait, à l’hôtel à Douglas, ville de l’île de Man, une femme qui donnait des ordres aux
    deux enfants. Cette dernière aussi est escamotée : pourquoi ? Qui est-elle ? Elle est ensuite
    vue à Lewis, toujours avec Yves Godard et les enfants. Yves interpelle une passante qui ne
    peut que s’en souvenir car il signale qu’il est français, qu’il est médecin, il fait froid et sombre
    et les enfants sont habillés comme en été. Bizarre, bizarre. N’est-ce pas là un signe que les
    vêtements des enfants n’étaient pas adaptés parce que le séjour à Lewis n’était pas prévu ?

    Que Yves Godard faisait tout pour se faire repérer ? N’est-ce pas là l’attitude d’une personne
    tombée dans un piège et qui tente, discrètement, par tous les moyens, d’éveiller l’attention et
    donc d’alerter autant que faire se peut ? N’est-ce donc pas lui l’informateur du corbeau ?
    Visiblement, l’auteur n’a pas compris mais cela ne veut pas dire qu’une autre personne ne
    comprendra pas un jour : est-ce là le danger que l’on veut éviter ?

    L’auteur suit les traces de Yves Godard jusqu’à Lewis, puis sur le ferry vers la terre ferme,
    puis vers Inverness puis vers un petit bourg sur la côte nord de l’Ecosse. Visiblement, l’auteur
    ne comprend pas parce qu’il n’a pas les bonnes cartes pour le faire et pourtant… Autant
    l’attitude de Yves que celle des enfants, si l’on considère qu’il ne sont plus libres, devient plus
    explicite. La femme est toujours là, cela signifie que le père et ses enfants sont sous sa
    surveillance. Dès lors, on commence à percevoir le danger, pour les acteurs, que l’affaire
    réelle soit découverte. Par exemple, le papier écrit par Yves à destination des autres enfants et
    trouvé dans la maison pourrait être un signe qu’il partait et que sa femme devait le rejoindre :
    dans ce cas, il a remis ce papier lorsqu’il était dans l’anse Bréhec à un individu dans lequel il
    avait confiance. Il s’est fait piégé et le piège était d’une perversité, d’une étendue hors
    normes.
    Le corbeau, en donnant l’alerte que Yves espérait, entraînait l’activation d’Interpol. Les
    péripéties d’Interpol sont aussi ubuesques : se faire coffrer dans une chambre d’hôtel puis
    conduire à l’aéroport pour un retour sur le sol français, ce n’est pas commun ! On peut dire
    que Yves et ses enfants ont joué de malchance ou plutôt que les acteurs ont joué de chance :
    tout dépend de quel côté on se place. La diplomatie est intervenue : qui dirigeait, en France, à
    cette époque le ministère des affaires étrangères ? Le ministre était forcément partie prenante
    de cette étrange affaire. Aussi, commence-t-on à mieux comprendre l’intérêt de la
    manipulation actuelle, donc de dire que Yves Godard a tué sa famille ?

    L’auteur du livre reste interloqué lorsqu’il découvre le parcours des trois entre Lewis et
    Inverness. Ensuite, seul Yves et sa fille sont vus, pour la dernière fois, sur la côte nord, près
    de la mer, à Thurso. Il s’étonne de cette destination, tout en signalant la présence d’une
    centrale nucléaire et d’un site secret de construction de sous-marins, juste à côté. En fait, sans
    le comprendre, il met en danger les acteurs de cette affaire. L’ensemble industriel si
    particulier est une clé importante de ce dossier, ne ressemble-t-il pas à l’ensemble qui se
    trouve à la pointe de la Bretagne, près de Crozon ? Ce genre d’ensemble est surveillé par des
    services militaires très spéciaux. Faîtes un petit tour sur zones par Google earth et vous
    constaterez que ce type de complexe militaro-industriel possède, à proximité, un aéroport
    militaire. A Thurso, il se nomme Lower Dounreay : est-ce par là que Yves et Camille sont
    revenus sur le sol français, plus exactement sur le sol breton ? Pour qui était la carte expédié
    de là, comportant un nounours ? Il est maintenant facile de deviner, non ? La dernière fois
    qu’ils ont été vus, Marius n’était plus là : alors ? ? De fait, seules les preuves matérielles de la
    mort de Yves et Camille existent vraiment.

    On comprend mieux l’intérêt de faire passer le crâne de Yves pour … celui de Marius ! On a vite compris dans certains lieux le danger que
    constituait cette enquête qui, même en partant du principe que Yves avait tué sa femme,
    risquait de devenir explosive ! Les anglais adorent les chiens et les chats, alors un petit garçon
    de 4 ans et demi ? mais la petite fille de deux ans son aînée ? Non ? Pourquoi ? Trop âgée ?
    Elle avait pris conscience de la disparition mortelle de sa mère ou bien sa présence était-elle
    nécessaire pour la suite de l’opération ?

    En quittant le sol écossais, Yves et Camille savaient ce qui les attendaient, la mort : le second
    billet du corbeau en fait foie. Camille avait 6 ans et demi. Ils ont eu deux mois ou plus pour
    vivre cette condamnation à mort. J’ai souvent pensé, depuis que je me suis approchée de la
    probable vérité, à leurs derniers moments. Y a t il eu, en outre, torture de Yves ? Découpage
    du ou des corps ? En tout cas, vu les délais maximum possibles entre la mise à mort et la
    découverte, il y a eu décapitation des deux, car les têtes ne se détachent pas facilement des
    corps noyés, … le tout, sans jugement, dans le pays des droits de l’homme, qui est, en outre,
    très fier d’avoir aboli la peine de mort ! Pourquoi, si Yves était réellement le tueur de son
    épouse, ne pas le livrer à la justice ? Même Carlos fut jugé après avoir été amené sur le sol
    français d’une manière similaire !

    Yves et sa famille me hantent comme un certain garde des Sceaux fut hanté par le
    « guillotinage » dans les prisons. Le type de mise à mort d’innocents, sporadique mais pas si
    rare que cela dans ce pays, exécutions dont les raisons sont souvent liées à l’occultation de la
    corruption de la « Françafric » au détriment du peuple, m’est insupportable. Elle l’a été dès le
    début de cette affaire.

    Me hantent aussi ceux qui furent les divers acteurs de l’affaire Godard dans son entier. Pour
    les plus intimes de ce crime d’état (car c’est un crime d’état), n’ont-ils pas reçu une prime de
    fin d’année pour leurs hauts faits d’arme ? Avec laquelle ils fêtaient en famille, avec leurs
    enfants, le Noël 1999 et l’arrivée du nouveau siècle, dans le pays des droits de l’Homme ?

    L’auteur du livre qui relie cette affaire avec le CDCA a raison sur certains points : les autres
    assassinats. Le plus curieux est que les enquêteurs sur l’affaire Godard ont contacté, toujours
    dans le but de clore le dossier, d’autres enquêteurs sur certains assassinats de personnes du
    CDCA et ô miracle (ou plutôt non, ô merde ?), on leur donna des tuyaux sur un homme se
    trouvant au Brésil et ayant avoué s’être occupé aussi de Godard et des enfants. Pourquoi la
    télé ne s’est-elle pas penché sur ce rebondissement intéressant ? Pourquoi continuer de vouloir
    clore l’enquête ? Pourquoi ne pas demander l’extradition de cet homme ? Pourquoi étouffer à
    nouveau cette affaire ? N’y aurait-il pas une raison diplomatique, voire de personnel
    diplomatique ? Qui protège-t-on de cette manière ? Assurément, des personnages très, très
    puissants depuis 1999 !

    La CDCA n’avait pas cette possibilité, il suffit d’avoir vu une certain
    émission de télévision il y a quelques années, à une heure de grande écoute et l’effondrement
    de ce syndicat qui s’ensuivit pour comprendre que le véritable lien n’est pas de cet ordre.
    Sur l’interprétation, il a tort : un tel montage, une telle précision, autant de preuves, une telle
    couverture de l’affaire, une telle étendue dans le temps et dans l’espace, une telle utilisation
    des médias signent une affaire d’état, une de plus ! Il a tort aussi sur la limitation des
    corrélations aux décès touchant la CDCA.

    En France, le milieu médical, en particulier celui de
    la médecine et des travaux scientifiques alternatifs, paye un lourd tribu, depuis ces mêmes
    années : n’est-ce pas plutôt dans cette direction qu’il faut rechercher les raisons de cette
    affaire ? Sans compter que le nombre de médecins qui ne supportaient plus des cotisations
    devenues de véritables gabelles et qui se dirigeaient vers la CDCA devenait un véritable
    problème pour le gouvernement en place. Alors, un exemple visant à refroidir certaines
    professions de ne pas passer sous les fourches caudines de l’état français, visant à protéger
    certains circuits financiers opaques? Et là, il faut visiter d’autres affaires simultanées, par
    exemple celle d’un certain journaliste de l’est de la France lorsqu’il démontait les rouages des
    échanges financiers internationaux au Luxembourg.

    Autre exemple, ce que subissait un Normand qui refusa que son logiciel soit trafiqué pour réaliser une « lessiveuse » sur les
    cotisations dues à la CAF et à l’URSSAF. Tiens, mais Godard, révolté, avait décidé de lutter
    contre ce système national de cotisations invivables qui a contribué à broyer l’économie de
    base dans ce pays au bénéfice de l’économie passant par la lessiveuse de Clearstream.

    Bizarre, non ? De tels systèmes n’ont-ils pas été à l’origine de l’affaire de la MNEF ?

    Y a-t-il eu d’autres extensions à ce système, extensions que le docteur Godard dérangeait,
    plus qu’il ne l’avait compris .

    A-t-il deviné cela avant d’être liquidé ? A-t-il été torturé pour savoir ce qu’il savait, ce qu’il avait éventuellement découvert de ces occultes manoeuvres ?

    A-t-il été torturé pour savoir qui d’autre était au courant de ces circuits occultes de fric ? Pour
    les protéger ?

    N’est-ce pas plutôt dans cette direction qu’il faut recherche les causes de cette
    affaire ? Curieusement, dès 2004, la caisse de retraite des médecins lançait une alerte rouge
    sur le taux de suicide des médecins, double de celui de la population, à âge équivalent. Cela
    signifiait que le phénomène avait commencé en 2003, année du rapport 1664, voire en 2002.
    Récemment, on fit, aux informations télévisuelles, pour la première fois, état de ce
    phénomène, soit plus de 9 ans après son début. N’est-ce pas là un des prix à payer d’avoir
    laissé instrumentaliser l’affaire Godard ?

    Pourquoi la France, qui se prétend un état – nation,
    n’a-t-elle pas pris la mesure, en temps utile, de la jacquerie qui montait dans le milieu médical
    afin d’y porter remède, plutôt que de mettre des couvercles sur l’eau qui bout, plutôt que
    d’écraser, manu militari, ceux qui donnaient des signaux d’une dérive en cours ? Que de
    suicides de non révoltés auraient pu être ainsi évités dans les années qui suivirent, sans
    compter la disparition en cours de la profession médicale.

    En conclusion, probablement, plusieurs raisons ont amené au sacrifice de cette famille, plutôt
    qu’une autre. Ce fut un carnage et l’horreur confinant au cynisme. Ne comprend-on pas mieux
    maintenant tous les efforts pour ensabler les cartes, pour blanchir les os et chairs, pour décrire
    un livre à message dans le combi, véhicule curieusement resté ouvert, bref pour « emmurer »
    cette affaire ?

    La justice n’a-t-elle pas amené, par ses compromissions, ce pays dans un système de dictature
    d’un nouveau genre mais dont les méthodes sont universelles ? Avec l’affaire Godard,
    véritable « Tchétchène français », la France n’a-t-elle pas perdu son âme ? Peut-elle encore se
    définir comme une démocratie ??

    Dr Marie-Hélène Groussac

  • SAVOIE, MAÎTRE FABRICE BONNARD, RADIO DES MONTAGNES, ECHO DES MONTAGNES, RALPHE BARETTA, FREDERIC BERGER

    ARMES DE LA MAISOIN DE SAVOIEL’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous donne cet entretien, réalisé par la radio libre et indépendante, la RADIO des MONTAGNES.

    M.RALPHE BARETTA discute et pose des questions, non préparées à l'avance, à Maître Fabrice BONNARD, président du CONSEIL NATIONAL de l’État SOUVERAIN de SAVOIE.

    Entendez cette vidéo, assez longue mais complète, sur le combat pacifique que nous menons en Savoie pour accéder à notre droit, la SOUVERAINETÉ de la SAVOIE.

    Voici la vidéo et félicitations à RADIO des MONTAGNES, radio aussi indépendante que votre journal.