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ECHO DES MONTAGNES - Page 285

  • POMME, APPLE, SAVOIE, NICOLAS SARKÖSY DE NAGY-BOCSA, FRANC-MACON, MAURICE CHEVALLIER, CIMETIERE, 1ère GUERRE MONDIALE, THERESE DE CHAMPAGNY DU BOUQUETIN

     

      SANS COMMENTAIRE:

     

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    et cimetières,merci les français d'occupation de la SAVOIE!

    Les français, force d'occupation en SAVOIE SOUVERAINE, nous ont laissé que les cimetières aux obus, en violation des traités de neutralité de la SAVOIE, la preuve la chanson de "THERESE"

    Frédéric BERGER

  • SAVOIE, BERLIN, PARIS, LONDRES, ADOLF HITLER, PHILIPPE PETAIN, DE GAULLE, FRANCE

    Dans le légitime but de vous informer, l'ECHO DES MONTAGNES, vous donne une des causes du conflit de la 2ème guerre mondiale.

    Il est important d'informer et en plus c'est un droit.

     

    Voici la vidéo historique:

     

     

    De plus si vous voulez connaître la lignée de vos ancêtres, cliquez sur le lien,appelé

                                "arbre généalogique"

     

    Frédéric BERGER

  • TIBHIRINE, MOINES DE TIBHIRINE, ALGER, ALGERIE, GIA, MOHAMED ISSAMI, LE SOIR d'ALGERIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     Dans le légitime but de vous informer, l'Echo des Montagnes, continue son investigation, concernant l'assassinat des moines de TIBHIRINE, en Algérie.

     

    Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, sept moines trappistes du Monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés lors de la guerre civile algérienne, et séquestrés pendant deux mois. L'assassinat des moines est annoncé le 21 mai 1996, dans un communiqué attribué au Groupe islamique armé. Les têtes des moines décapités ne sont retrouvées que le 30 mai 1996, non loin de Medea, mais pas leurs corps, ce qui suscite les doutes sur la thèse officielle expliquant leur décès.

     

    Clic sur la photographie, merci:




    Votre journal vous livre l'enquête du journaliste MOHAMED ISSAMI, spécialiste en matière de terrorisme en Algérie, et retrouvé mort le lundi 20 avril 2010, dans sa chambre d'hôtel.

     

    Par Badiaa Amarni

    Mourir seul et à des centaines de kilomètres de chez soi, sans personne à ses côtés, est sans doute la pire des morts. C’est ainsi qu’est parti le journaliste Mohamed Issami, de son vrai nom Mohamed Rouabhi, retrouvé mort lundi dernier dans sa chambre à l’hôtel El Manar de Sidi Fredj. N’ayant pas donné signe de vie, sa famille a pris attache avec l’un de ses proches collègues qui a tenté
    de le contacter dans sa chambre mais sans succès. Inquiet, il avise l’administration. Celle-ci, sans tarder, a pris la décision de défoncer la porte. Il était déjà mort. Aussitôt, la Protection civile et la gendarmerie sont arrivées sur les lieux. Vers 21 h, l’ambulance du secteur sanitaire de Zéralda est arrivée avec l’équipe médicale pour constater le décès et évacuer le corps à la morgue de l’hôpital de Zéralda où il passera la nuit avant de subir, hier, une autopsie pour déterminer les causes de son décès.
    La nouvelle de son décès s’est répandue comme une traînée de poudre parmi ses collègues et confrères nombreux à habiter cet hôtel. Les journalistes affichaient une tristesse sans égale.
    La consternation et la douleur se lisaient sur tous les visages.
    Le directeur du journal le Soir d’Algérie, la dernière halte du défunt, a tenu à être présent.
    Les témoignages recueillis sur place s’accordent à dire que le défunt «est rentré à l’hôtel dimanche en début de soirée comme à l’accoutumée, avec son café et sa cigarette à la main», nous raconte un agent. Des collègues disent qu’«il souffrait ces derniers temps de difficultés respiratoires». Tous ses collègues lui reconnaissent «son talent» comme journaliste, mais aussi ses qualités humaines, notamment «sa modestie et sa timidité».
    Mohamed Issami s’en est allé seul à l’âge de 60 ans, sans faire ses adieux à sa famille, à ses amis et à ses collègues et sans finir l’œuvre qu’il a commencée sur le terrorisme. En effet, journaliste spécialisé et connaisseur du monde rural, il s’est distingué par ses écrits et ses investigations sur le terrorisme dont il a fait une autre spécialité. Il avait même publié un livre sur le terrorisme intitulé
    Au cœur de l’enfer.
    La presse est à nouveau endeuillée, cinq mois après le décès de Chawki Madani, journaliste à El Khabar, dans une chambre du même hôtel. Père de trois enfants, Mohamed Issami a travaillé dans de nombreux quotidiens nationaux, notamment le Patriote, Ouest Tribune, la Voix de l’Oranie, le Matin, El Watan et enfin le Soir d’Algérie. 

     

    Notre collègue et ami Mohamed Rouabhi, plus connu sous son pseudonyme «Mohamed Issami», nous a quittés à tout jamais, en ce triste lundi 19 avril 2010.

    Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - 

     

    Mohamed est décédé à l’âge de 61 ans, dans sa chambre de l’hôtel El-Manar, de Sidi-Fredj à Alger. N’ayant plus donné signe de vie depuis qu’il avouait, en début de semaine à sa famille résidant à Oran, qu’il était un peu malade, l’inquiétude de ses amis et collègues vire au cauchemar en cette sinistre fin de journée de lundi. Notre confrère et ami Mountassar Oubetroun, très proche du défunt, avait, hélas, raison d’être plus inquiet que nous autres : «Allah yerrahmou», arrivaitil difficilement à prononcer. Une phrase péniblement arrachée à l’émotion et aux sanglots lors de cet énième appel téléphonique. Mohamed Rouabhi nous quitte et laisse derrière lui une veuve et quatre enfants d’une dignité exemplaire. Mais aussi une œuvre qui fait autorité. Natif de Frenda, Mohamed n’a jamais dévié de sa trajectoire et de son engagement politique pour une Algérie démocratique et moderniste. Un idéal pour lequel il sacrifia toute sa jeunesse dans les rangs du PAGS, du temps de la clandestinité. Et c’est ce même idéal aussi qui lui fera, tôt, ouvrir les yeux sur le plus grand danger qui menaçait — et qui atteindra malheureusement — ce rêve et cet idéal : l’islamisme politique et son prolongement fatal, le terrorisme.

     

     Son parcours journalistique de ces dernières décades, depuis Alger républicain, Le Matin, El Watan, La Tribune de l’Ouest, La Voix de l’Oranie et, enfin, Le Soir d’Algérie est entièrement consacré à cela. Mohamed Issami était non seulement un spécialiste de la question sécuritaire, mais aussi un connaisseur hors pair des nuances les plus insoupçonnées a priori entre les différents groupes armés islamistes, leur histoire, leur répartition géographique, leur prolongement «politique» (djazariste, salafiste, etc.). Il était le premier à «déceler» l’empreinte d’Al Qaïda au Maghreb, par exemple. Au cœur de l’enfer, c’est le titre d’un remarquable livre dans lequel il relate la terrible décennie 90. 

     

    Lors de son dernier passage à la rédaction du Soir d’Algérie, le mercredi 14 avril dernier, Mohamed proposait un projet d’une série de livres, tous consacrés au terrorisme, et sollicitant une contribution du Soir d’Algérie pour leur édition. Hélas, le sort en a décidé autrement. Mohamed n’a eu que le temps d’envoyer son dernier article, vendredi, paru samedi dernier. L’homme qui a inlassablement mené la guerre aux terroristes à travers ses écrits a été inhumé hier en fin de journée au cimetière de Aïn-El-Beïda à Oran. Repose en paix, cher collègue et ami.
    K. A. 

     

    Pour lire la vérité de l'assassinat des moines de TIBHIRINE, clic sur le lien suivant:

     

                           Moines de TIBHIRINE

    à Dieu

     

    Frédéric BERGER

     


  • JUIF, JONATHAN MOADAB, PALESTINE, GAZA, CRIF, LICRA, LIGUE DE DEFENSE JUIVE, PALESTINE, GAZA, FREDERIC BERGER, ECHO DES MONTAGNES

    La Ligue de Défense juive commet une nouvelle attaque anti-juive ! par Jonathan Moadab

     

     

    IRIB-Jonathan Moadab, journaliste indépendant, a été victime le 13 septembre dernier d’une attaque revendiquée par la Ligue de Défense Juive.

     

    Une bombe artisanale a explosé sous son véhicule, et des menaces de mort ont été proférées contre lui, et sa famille.

     

    Un juif agressé par la Ligue de Défense Juive, donc d’autres juifs ? Oui oui, vous avez bien lu. Je vais en ces lignes exposer ce qui a mené aux faits qui m’ont touché le jeudi 13 septembre 2012, puis effectuer une analyse de cette attaque.

     

    Le début du contentieux démarre avec l’affaire Oberlin. Christophe Oberlin est un professeur d’Université à Paris VII, spécialisé en médecine humanitaire. C’est parce qu’il a posé une question à propos de Gaza que j’ai été amené, avec mon ami et binôme Raphaël « JahRaph » Berland, à le rencontrer. Nous cherchions à comprendre pourquoi une simple question d’examen avait déclenché un tel torrent de calomnies à son égard. Après avoir effectué une interview d’une trentaine de minutes, je la mettais en ligne adjointe d’une analyse détaillée de la situation, ainsi que d’une déconstruction méthodique des attaques publiques dont il était victime (voir l’article :Christophe Oberlin : nouvelle victime du lobby sioniste de France).

     

    C’est à ce moment que plusieurs organisations communautaires juives se sont mises à nous calomnier. Tout d’abord, JCall s’est fendue, par le biais de la plume de l’ancien directeur de l’Arche Meir Waintrater (aujourd’hui remercié), d’un article diffamatoire à notre égard, nous qualifiant notamment de « rouges-brun-pro Assad-antisionistes-identitaires ». 

     

    Ensuite, Jean-Marc Moskowicz, Président de l’association ultra-sioniste Europe-Israël, m’invitait dans les commentaires de l’article à effectuer une contre-interview : « Jonathan l’antisioniste/antisémite primaire, toute l’équipe d’Europe Israël vous attend dimanche 24 juin à 15 h devant l’UNESCO pour nous interviewer sur le cas Oberlin. Venez nous vous attendons impatiemment. Jean-Marc ». Pris par des obligations familiales, je n’ai pas pu m’y rendre. Ce sont donc d’autres membres du Cercle des Volontaires qui s’y rendront, après avoir couvert une manifestation en solidarité avec le Printemps Érable (Voir 24 juin, journée du Québec libre !)Arrivés sur place, ils voient leur entretien reporté d’une heure par M. Moscowitz qui affirme avoir d’autres choses à faire avant. Lorsque les journalistes du Cercle reviennent une heure plus tard, les manifestants les plus âgés avaient quitté l’UNESCO pour ne laisser place qu’à quelques dizaines de jeunes de la Ligue de Défense Juive. L’interview se fera quand même… Mais ne sera jamais publiée.

     

    Intimidations, insultes, menaces de mort… Les jeunes de la LDJ font monter la pression. Alors que les cinq membres du CdV s’éloignaient et quittaient les lieux, JahRaph, qui avait mené l’interview, reçoit deux coups dans la mâchoire. Les victimes, après une nuit de débats intenses, décident collégialement de ne pas porter plainte. La raison majeure étant qu’elles ne souhaitaient passer du temps et de l’énergie contre la LDJ ; elles préféraient le consacrer à autre chose, et notamment le métier de journaliste.

    Seule une main courante sera déposée pour prendre acte de ce qu’il s’était passé. Le Cercle ne communiquera pas sur ce sujet, mis à part au travers d’un article d’Oscar : A propos de l’entretien avec M. Jean-Marc Moskowicz, Président de l’association Europe-Israël, qui, contre sa volonté et pour respecter la volonté du groupe, n’abordera que très peu l’altercation. L’heure était donc à l’apaisement, même si le chef de la LDJ (que l’on peut voirs’entrainer avec son Glock 19 dans le dernier Enquête Exclusive, mais aussi conter son expérience de la guerre au Liban lorsqu’il servait dans Tsahal) avait émis le souhait de me retrouver, et de « s’occuper » de moi.

     

    Quelques temps passent. Puis, suite à la publication d’un reportage (La mission « Bienvenue en Palestine » refoulée au checkpoint d’Allenby) les intimidations ont repris sur notre page Facebook. Après avoir passé de nombreuses heures à dialoguer en vain avec eux, j’ai tout simplement arrêté de leur répondre. C’est justement à ce moment que commencent à fleurir sur la toile de nouveaux documents calomnieux à notre égard. Tout d’abord, un amas de mensonges publié le 10 septembre intitulé « Alerte antifasciste : le Cercle des Volontaires » hébergé par le site Indymedia Paris (repris sur le site de la Ligue de Défense Juive), puis une vidéo mise en ligne le 11 septembre utilisant les images filmées par la LDJ le jour de la manifestation du 24 juin (Alerte antifasciste : le Cercle des Volontaires). Même titre et mêmes photos utilisées à un jour d’intervalle…

    Deux jours plus tard, alors que j’étais revenu à mon domicile familial pour fêter la naissance de mon neveu, je reçois un coup de fil anonyme qui se solde par un « Am Israel Haï ». Ce slogan, qui signifie littéralement « le peuple d’Israël vivra », ne concernait pour mes agresseurs qu’Israël et les juifs sionistes, et non les juifs, comme ce qui suit peut en attester.

    1h30 plus tard, j’entends une détonation venant de mon parking. Une bombe artisanale (constituée d’une bouteille de plastique, de liquide inflammable, d’acide et d’aluminium) vient d’exploser sous ma voiture. Plus de bruit que de mal, l’engin explosif avait valeur d’avertissement, ainsi qu’en attestent les tags effectués sur les panneaux situés sur la clôture : « Ligue de Défense Juive – Fais attention à toi avec ton Cercle des Volontaires ». Mon pare-brise arrière et mon rétroviseur ont eux aussi été tagués « LDJ », adjoint d’un symbole de la culture juive et d’Israël : la maguen david. Une demie-heure plus tard, lorsque les gendarmes seront sur place, se seront eux qui auront la joie et le bonheur d’entendre les menaces de mort qui m’étaient adressées par téléphone, ainsi qu’à ma famille. Quelques jours plus tard, après un formidable travail de la gendarmerie, deux jeunes de 17 et 20 ans sont interpellés, ainsi qu’un troisième plus âgé ayant, selon toute vraisemblance, supervisé l’opération.

     

    Analyse -

     

    J’éprouve une sorte de peine pour mes agresseurs. Sans connaître la trajectoire sociologique de ces deux jeunes juifs (17 et 20 ans), il m’est aisé de comprendre que seul un endoctrinement idéologique a pu les pousser à commettre un acte aussi déraisonné. S’abaisser à user de ce genre de méthodes pour limiter la liberté d’expression dans la République, au nom de la Torah et d’Israël, est une véritable capitulation intellectuelle. Incapables de débattre des idées que je défend, ils préfèrent employer la force pour arriver à leurs fins. Le sentiment d’impunité qui les habite est notamment dû à la protection de cette organisation au niveau politico-médiatico-judiciaire.

     

     On minimise l’impact et l’importance de cette faction dans l’opinion, on classe des dossiers ou on prononce des peines clémentes à l’égard de ses membres, on cache les enjeux de ces débats… Voilà quelques éléments qui expliquent que la LDJ fasse preuve d’autant d’audace et d’impudence dans ses actions. La protection communautaire juive (dont le CRIF, dont le Président Richard Prasquier a récemment déclaré à Politis – dans un courageux article consacré au groupuscule sioniste – : « Le choix de la dissolution ne me paraît pas être un sujet d’une grande urgence. Je ne pense pas que la LDJ ait été accusée de méfaits graves. J’en n’en sais d’ailleurs pas grand-chose. ») est évidente et rend encore plus difficile le traitement de ce sujet par les journalistes. S’attaquer à la Ligue de Défense Juive, c’est s’attaquer à ceux qui s’affichent sionistes, et donc majoritairement à des juifs. C’est pourquoi lorsque certaines attaques de la LDJ sont médiatisées, seuls les faits sont traités. Il n’est jamais question du fond idéologique, bien trop complexe et sulfureux.

     

    D’ailleurs, concernant mon affaire, si une première dépêche AFP avait fait mention de mon appartenance religieuse, cette caractéristique éclairante des paradoxes de la Ligue de Défense Juive a ensuite disparue des articles qui ont suivi pour me qualifier de « pro-palestinien ». S’il peut apparaître « logique » (mais aussi critiquable) pour un pro-palestinien d’avoir des ennuis avec cette faction, insister sur le fait que l’agressé soit juif pourrait rendre confus le discours habituel concernant les juifs de France et leur « soutien inconditionnel » supposé à Israël. Or, et ainsi que j’ai pu le montrer dans plusieurs documents, dont cette vidéo retraçant les agressions d’Olivia Zémor et Jacob Cohen (tous deux juifs), il existe une politique d’épuration intellectuelle menée contre les membres juifs de ce que nous pourrions appeler la dissidence. Insister sur le fait que, parmi les juifs, il existe des individus opposés à la politique du gouvernement israélien, voir même du concept d’une souveraineté nationale juive en Palestine, remet en question la représentativité des organisations qui disent parler au nom des juifs, et qui prennent systématiquement le parti d’Israël au nom du judaïsme, ou de l’identité juive.

    Est-ce parce que je ne partage pas leurs convictions politiques, que cela fait de moi un « juif indigne », ou un juif traître ? Le fait qu’ils se soient sentis obligés de dessiner des symboles juifs sur ma voiture démontre bien que pour ces gens, l’identité juive est indissociable de l’allégeance à Israël. Et bien, s’il fût un temps où j’adhérais à ce postulat (dans mon enfance et mon adolescence), les discussions, débats et lectures que j’ai effectué à l’âge adulte m’ont mené vers d’autres conclusions. 

     

    J’ai parfaitement le droit (conformément à la loi française et aux principes universels des Droits de l’Homme) d’expliquer celles-ci et de les promouvoir au travers d’articles, d’interviews, ou de reportages. Mais la Ligue de Défense Juive, et ceux qui la supporte, cherchent à annihiler ce droit au nom de l’Etat juif et de l’identité juive. En effet, le soutien de la « diaspora » à Israël est indispensable à sa légitimation.

     

    En cette fin de Yom Kippour, c’est avant tout un message d’apaisement que j’envoie au travers de cet article. Je n’ai rien de personnel contre les membres de la LDJ (qui se sont pourtant déclarés mes ennemis), ni contre les juifs sionistes. Je ne les combat pas eux, je combat simplement leurs idées, que j’estime dangereuses à plus d’un titre…

     

     L’existence d’une contradiction crédible dans le débat public n’est-elle pas indispensable au caractère démocratique d’une société ? Il semble que la France s’éloigne de plus en plus de celui-ci…

  • TIBHIRINE, SAVOIE, ABBAYE DE TAMIE, JUIF, MOINE, GIA, ALGERIE, MICHEL BARNIER, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Les moines de TIBHIRINE  ont été assassiné le 21 mai 1996.

    Les assassins courent toujours le djebel, malgré les promesses du président BOUTEFLIKA , qui déclara pendant sa campagne de réélection  sur LCI, le 26 mars 2004:
          

    "Toute vérité n'est pas bonne à dire à chaud. C'est flou pour l'instant.
    Lorsque j'aurai des informations, je les dirai"!

    On attend toujours et la France jérusaliste de François HOLLANDE n'ose pas remuer la merde. Si les assassinés avaient été desjuifs, l'affaire aurait été éclairci rapidement... .
    N'est-pas- MICHEL BARNIER, à qui il faut pardonner, au sens trappiste du mot?

    Regardez cette vidéo d'investigation sur le crime de TIBHIRINE: