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  • SAVOIE, CUBA, USA, FIDEL CASTRO, RAOUL CASTRO, BARACK OBAMA, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     


    The White House, Washington

     

    Yesterday, after more than 50 years, we began to change America's relationship with the people of Cuba.

    We are recognizing the struggle and sacrifice of the Cuban people, both in the U.S. and in Cuba, and ending an outdated approach that has failed to advance U.S. interests for decades. In doing so, we will begin to normalize relations between our two countries.

     

    I was born in 1961, just over two years after Fidel Castro took power in Cuba, and just as the U.S. severed diplomatic relations with that country.

    Our complicated relationship with this nation played out over the course of my lifetime -- against the backdrop of the Cold War, with our steadfast opposition to communism in the foreground. Year after year, an ideological and economic barrier hardened between us.

     

    That previous approach failed to promote change, and it's failed to empower or engage the Cuban people. It's time to cut loose the shackles of the past and reach for a new and better future with this country.

     

    I want you to know exactly what our new approach will mean.

     

    First, I have instructed Secretary of State John Kerry to immediately begin discussions with Cuba to re-establish diplomatic relations that have been severed since 1961. Going forward, we will re-establish an embassy in Havana, and high-ranking officials will once again visit Cuba.

    Second, I have also instructed Secretary Kerry to review Cuba's designation as a State Sponsor of Terrorism -- a review guided by the facts and the law. At a time when we are focused on threats from ISIL and al Qaeda, a nation that meets our conditions and renounces terrorism should not face such a sanction.

     

    Third, we'll take steps to increase travel, commerce, and the flow of information to -- and from -- Cuba. These steps will make it easier for Americans to travel to Cuba. They will make it easier for Americans to conduct authorized trade with Cuba, including exports of food, medicine, and medical products to Cuba. And they will facilitate increased telecommunications connections between our two countries: American businesses will be able to sell goods that enable Cubans to communicate with the United States and other countries.

     

    Learn more about the steps we're taking to change our policy.

     

    These changes don't constitute a reward or a concession to Cuba. We are making them because it will spur change among the people of Cuba, and that is our main objective.

    Change is hard -- especially so when we carry the heavy weight of history on our shoulders.

    Our country is cutting that burden loose to reach for a better future.

     

    Thank you,

     

    President Barack Obama

     

    This email was sent to echosdesmontagnes@gmail.com.

  • CHERIF ABDEDAÏM, SIDA, EBOLA, FORT DETRICK, ANTHRAX, OMS, MEDECINS SANS FRONTIERES, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

    Chronique : Les marchands de la mort

    Posted: 16 Dec 2014 07:35 AM PST

     

    Chérif Abdedaïm, le 28 novembre 2014


    Le virus Ebola continue de faire des victimes ; les « humanistes » accourent de toutes parts pour sauver ces malheureux africains. Un spectacle pathétique que d’aucuns y adhèrent sans pour autant se douter des soubassements de cette funeste comédie. Le journaliste d’investigation Gordon Thomas, dans son livre « les armes secrètes de la CIA », avait pourtant alerté l’opinion sur ces expériences macabres orchestrées par les « savants » de la CIA sur des « sujets jetables ».
    Cela dit, une petite rétrospective s’impose. Le touriste en visite aux Etats-Unis, lorsqu’il quitte Washington, D.C. pour se rendre sur le champ bataille de Gettysburg (Guerre de Sécession, 1863 – bilan : 7.000 morts et 25.000 blessés en trois jours), ne se doute pas qu’il passe à proximité de la plus dangereuse usine de guerre bactériologique qui soit au monde.
    Fort Detrick (Maryland) est non seulement synonyme d’anthrax, de variole et d’autres épouvantables maladies ; c’est aussi l’endroit d’où est très vraisemblablement sorti le virus du SIDA.


    Robert Gallo, qui passe pour un des « découvreurs » de la maladie, a dirigé le département de virologie de ce laboratoire de l’armée dans la seconde moitié des années 1970. Le professeur Jakob Segal a révélé en 1986 de quelle manière le virus a été « fabriqué » puis « expérimenté » sur des prisonniers de droit commun, d’où sa propagation initiale dans les milieux homosexuels. Segal étant d’origine russe et ayant enseigné dans une université est-allemande, sa théorie a bien entendu aussitôt été rejetée comme une vulgaire machination du KGB. Il se trouve pourtant que les activités de Segal n’étaient guère appréciées des autorités soviétiques de l’époque, plutôt désireuses d’étouffer toute polémique sur ce plan avec le gouvernement américain – perestroïka oblige. Durant les dernières années de la RDA, Segal faisait en fait figure de dissident dans son pays.
    Il est possible que les ravages du SIDA en Afrique soient la conséquence de la campagne de vaccination antivariolique menée par l’OMS à la fin des années 1970, le nouveau virus ayant été mêlé au vaccin à titre « expérimental », dans le cadre d’une politique de dépopulation préconisée par certains dirigeants politiques, Henry Kissinger notamment. Aussi fantastique et aussi monstrueuse que paraisse la chose, les indices sont troublants. Il serait trop simple de tout nier en bloc et d’invoquer encore une fois la théorie du complot. Le 11 septembre a prouvé que la crédulité populaire n’était, au contraire, que trop répandue.
    Le Dr Boyd Graves, un juriste américain spécialisé dans les questions de recherche médicale, est également convaincu que le SIDA est sorti d’un laboratoire de l’armée US. Les preuves matérielles existent, mais elles sont sous clé.
    Depuis des années, Graves tente en vain d’obtenir l’accès à ces documents secrets, en vertu de la loi Freedom of Information Act. Bien entendu, le gouvernement et les tribunaux font traîner les choses en longueur, et il est facile de deviner comment tout cela va se terminer – c’est un peu le combat du pot de terre contre le pot de fer.
    En attendant, le traitement de la maladie, aussi inefficace soit-il, constitue pour l’industrie pharmaceutique une source inépuisable de profits( labos Rockefeller et consorts).
    Fort Detrick n’est pas la seule fabrique américaine d’armes biologiques de destruction massive. Il y a aussi la petite île de Plum Island, dans l’état de New York.
    Le 18 septembre 2001, une semaine après l’attentat du WTC, un présentateur de la chaîne de télévision NBC de New York reçoit une lettre contenant des bactéries d’anthrax. C’est une de ses collaboratrices qui ouvre l’enveloppe, et quelques jours plus tard, elle présente les premiers symptômes de la maladie du charbon.
    Le 30 septembre, un cas similaire se déclare à Boca Raton, en Floride, touchant un photographe travaillant pour une maison d’édition. L’homme meurt le 5 octobre, tandis que plusieurs de ses collègues tombent malades. Toutefois, on ne retrouve aucune lettre contaminée.
    La psychose du bioterrorisme s’empare alors du pays. Ben Laden, depuis sa caverne afghane, vient-il de déclencher l’offensive bactériologique contre le « monde libre » ?…
    Bientôt, les Américains se ruent sur les magasins qui vendent des masques à gaz. Des milliers de lettres potentiellement contaminées sont signalées aux autorités. Les fausses alertes se multiplient, de même que les plaisanteries douteuses et les actes de vengeance. Les pays étrangers sont gagnés eux aussi par l’hystérie.
    Quelques mois plus tard, le bilan définitif est connu: 18 cas aigus de maladie, dont 5 mortels.Trois des victimes décédées ne semblent pas avoir été en contact avec une lettre contaminée. Le mystère s’épaissit.
    En haut lieu, on se fait de plus en plus discret sur la source des attaques à l’anthrax. Déjà dès la mi-octobre, alors que l’alerte bactériologique bat son plein et que l’aviation américaine bombarde l’Afghanistan, on perçoit les premiers flottements quand il s’agit de désigner l’expéditeur des lettres fatales. Le ministre de la Santé déclare qu’il ignore si « Al-Qaïda » est responsable; le coupable peut aussi bien venir de l’intérieur. Cette retenue des milieux officiels contraste étrangement avec le zèle apporté à dénoncer les prétendus auteurs de l’attaque du 11 septembre. Pourquoi n’a-t-on subitement plus besoin de bouc émissaire ? Sommes-nous en présence d’un « cafouillage » interne ? Craint-on des révélations gênantes ? Et de la part de qui ? Toutes ces questions restent sans réponse.
    Le 1er novembre, le State Department annonce discrètement qu’il n’a pas l’intention de saisir le Conseil de Sécurité de l’ONU, car il est tout à fait possible que le responsable soit américain. La presse continue cependant sur sa lancée et pointe du doigt les méchants Arabes.
    On a retrouvé, en tout et pour tout, quatre lettres contenant le bacille. Toutes les quatre ont été envoyées de Trenton, New Jersey. L’enquête ne devrait donc pas s’avérer si difficile, et pourtant le FBI piétine.
    Le 12 novembre, la biologiste Barbara Hatch-Rosenberg, de la Federation of American Scientists, émet l’hypothèse que les spores utilisées sont issues de cultures réalisées dans un laboratoire américain de « défense » bactériologique et que le coupable travaille pour le gouvernement US. A partir de la mi-décembre, les soupçons se confirment et les porte-parole officiels évoquent de plus en plus fréquemment la probabilité d’une source américaine. Selon le journal Baltimore Sun, le laboratoire ayant mis au point la souche incriminée serait situé sur le Dugway Proving Ground, un terrain militaire de l’Utah.
    La presse, passablement frustrée, tente de diriger l’attention vers un coupable plus conforme à la tradition, par exemple l’Irak. Le FBI dément avoir la moindre trace en ce sens. Les investigations s’enlisent.
    En avril 2002, on signale un cas de contamination à Fort Detrick, Maryland, dans un autre laboratoire militaire s’occupant de « recherche » (fabrication d’armes biologiques): c’est l’USAMRIID (US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases). Les mesures de sécurité dans ce laboratoire ne sont pas très sévères; on y déplore parfois des disparitions d’échantillons bactériologiques. En février 2003, la veuve du photographe mort en Floride accuse le gouvernement américain de négligence et réclame 50 millions de dollars de dommages-intérêts.
    L’hypothèse la plus probable est que les attaques à l’anthrax sont l’œuvre (assez dilettante) d’activistes américains d’extrême droite, et que ceux-ci jouissent d’appuis et de complicités dans les organes gouvernementaux, sans toutefois que les comploteurs du 11 septembre (tous d’un calibre autrement plus élevé) aient eu connaissance de ces plans ou les aient eux-mêmes préparés. Cela expliquerait à la fois qu’il y ait eu une enquête, quoique sans résultats bien concrets, et que les milieux dirigeants aient été si réticents à mettre ces nouvelles atrocités sur le compte des coupables habituels.
    Un an après, cependant, on peut se demander si Bush – et ceux qui pensent pour lui – ne vont pas juger opportun de tout rejeter sur Saddam Hussein.
    En février 2003, Colin Powell, ministre américain des Affaires étrangères, accusera l’Irak de produire et de stocker le bacille de l’anthrax, sans toutefois faire un rapprochement explicite avec les cas observés aux USA. De toute façon, les médias savent depuis le premier jour que c’est lui qui a fait le coup. Il est donc grand temps de riposter par une nouvelle guerre…
    Les Etats-Unis, toujours prompts à reprocher aux « dictateurs » étrangers le développement, la production et le stockage d’armes bactériologiques, sont en fait les champions en la matière. Bien qu’ayant ratifié la convention internationale de Genève de 1972, qui devait régler ce problème, ils n’en n’ont jamais respecté les modalités. Aller vérifier chez les autres, d’accord; permettre une vérification chez soi, jamais ! Comme dans bien d’autres domaines (traité de non-prolifération, protocole de Kyoto, cour pénale internationale, etc.), les USA ne se sentent nullement tenus par leurs engagements. La fameuse « communauté internationale », si souvent invoquée depuis quelques années, est considérée par les gendarmes du monde comme quantité négligeable et méprisable, dans la mesure où elle ne s’aligne pas inconditionnellement sur eux. (Informations détaillées disponibles sur le site du Sunshine Project).


    Suite à cela, on a enregistré une série de « suicides » de chercheurs américains ou anglais dans les milieux se consacrant à la guerre biologique. Qu’en est-il maintenant du virus Ebola ?
    En août 2014, une épidémie d’Ebola est signalée en Afrique occidentale (Sierra Leone, Libéria, Guinée). Le virus, relativement nouveau, a été « découvert » au Zaïre (Congo) en 1976. Depuis quelques décennies, les « progrès » de la médecine et de la manipulation génétique ont permis l’apparition de maladies inexistantes auparavant (à commencer par le SIDA). Pas besoin d’être sorcier africain pour deviner que la plupart d’entre elles sortent de laboratoires (situés hors d’Afrique).


    Dans un article intitulé « Ebola, AIDS Manufactured by Western Pharmaceuticals, US DoD ? », Cyril Broderick, ancien professeur à l’Université du Libéria, pense que ces maladies ont été fabriquées par l’industrie pharmaceutique occidentale et le Pentagone, et qu’il s’agit d’armes biologiques testées en premier lieu sur les Africains dans le cadre de programmes de dépopulation. Sont impliqués, avec la complicité de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé) et de Médecins sans frontières : l’USAMRIID (US Army Medical Research Institute for Infectious Diseases) de Fort Detrick, Maryland, l’Université Tulane de La Nouvelle-Orléans, l’US Center for Disease Control (CDC) d’Atlanta, Tekmira Pharmaceuticals de Vancouver, GlaxoSmithKline (GSK) de Londres, etc…


    Cela dit, la question qui mérite méditation c’est : comment propager l’épidémie tout en faisant semblant de la combattre ».

  • VLADIMIR POUTINE, EUROPE, SIONISME, KIEV, UKRAINE, BRUXELLES, MOSCOU, SAVOIE, VILLE FRANCHE SUR MER, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

     
     

         Poutine qualifie l'Occident d'«empire»

     

    Selon Vladimir Poutine, l'Occident se comporte comme un «empire» qui veut «faire marcher au pas ses vassaux».

    Cliquez sur:  http://rutube.ru/video/f0575a9709a70123bca14847e11972a7/

     Vladimir Poutine considère que l'Occident se comporte comme un «empire» Vladimir Poutine considère que l'Occident se comporte comme un «empire»

     Pour Vladimir Poutine, l'Occident se comporte comme un «empire». Il a accusé les Occidentaux de créer un nouveau «mur» en Europe. «Il s'agit d'un mur virtuel, mais il commence déjà à être construit», a déclaré le chef de l’État russe interrogé sur le climat de confrontation entre les Russes et les Occidentaux.

    «Le bouclier antimissile près de nos frontières, ce n'est pas un mur ? Nos partenaires ont décidé qu'ils étaient les vainqueurs, qu'ils étaient désormais un empire et que les autres étaient des vassaux qu'il faut faire marcher au pas», a-t-il poursuivi.

    Le président russe a aussi dénoncé ce jeudi 18 décembre, lors de sa conférence de presse annuelle à Moscou, «l'opération punitive» lancée par Kiev contre les rebelles pro-russes dans l'est de l'Ukraine. La Russie est au menu du sommet de l'UE à Bruxelles.

     

    «Après le coup d’État mené à Kiev par la force armée», les nouvelles autorités ukrainiennes n'ont pas souhaité entamer un dialogue avec l'Est pro-russe, mais «ont envoyé la police, puis l'armée quand cela n'a pas suffi et maintenant ont instauré un blocus économique», a déclaré Vladimir Poutine.

     

    Jeudi après-midi à Bruxelles, les dirigeants de l'Union européenne doivent débattre de leur stratégie à adopter face à la Russie. Selon plusieurs diplomates, aucune nouvelle sanction contre Moscou ne devrait être décidée à cette occasion.

     Frédéric BERGER

     

  • SAVOIE, PALESTINE, CONVENTION DE GENEVE, ISRAËL, GAZA, CISJORDANIE, DROIT INTERNATIONAL HUMANITAIRE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

     
     

    Israël VIOLE   la IVe Convention de Genève

    Par Andrés Allemand
     Occupation, annexion, colonisation... L’État hébreu est accusé de violer au quotidien le droit international humanitaire. 
    Israël est signataire( comme la France) des Conventions de Genève. La quatrième est relative à la protection des populations civiles en temps de guerre. En tant que «Haute Partie contractante», l’État hébreu est tenu de les respecter. Le point, en marge de la conférence tenue aujourd'hui dans la ville d'Henry Dunant.

    Occupation. 

    Israël estime que la IVe Convention ne s’applique pas aux territoires palestiniens (Cisjordanie et Gaza). L’État hébreu dit n’être pas une «puissance occupante» puisqu’il n’a pas envahi un autre État. Il se voit en administrateur de territoires encore «disputés». Une interprétation contestée par la communauté internationale, y compris par les États-Unis.

     

    Jérusalem-Est.

      Israël n’inclut pas dans ces territoires «disputés» Jérusalem-Est et le Golan (syrien), qui ont été «annexés» et donc intégrés à l’État hébreu. Mais ce fait accompli viole l’article 47 de la Convention.

     

    Colonisation. 

     Israël juge normal d’urbaniser Jérusalem-Est comme le reste de la ville. Il a aussi multiplié les «implantations» juives en Cisjordanie. Celles-ci sont souvent proches de la célèbre «ligne verte» censée séparer l’Etat hébreu des territoires «disputés», mais parfois elles pénètrent très loin en zone palestinienne. Or, l’article 49 interdit à la puissance occupante le «transfert d’une partie de sa propre population civile dans le territoire occupé».

     

    Démolitions. 

    On reproche à Israël de détruire les maisons des familles de «terroristes» palestiniens (par exemple en représailles à des attentats). Cela viole l’article 53. Sans compter bien sûr qu’on se venge là sur des civils.

    Détentions. 

     L’article 76 dicte que les personnes inculpées soient «détenues dans le pays occupé». En cas de condamnation, «elles devront y purger leur peine». Or, nombre de Palestiniens sont transférés dans des prisons en Israël. Sont-ils donc tous des prisonniers de guerre?

     

    Gaza. Depuis l’évacuation des colonies juives de la bande de Gaza et le retrait des militaires censés les protéger, Israël estime que ce territoire n’est ni «occupé» ni même «disputé». Mais pour la communauté internationale, le blocus terrestre israélo-égyptien, le contrôle absolu de l’espace aérien et des zones maritimes, démontrent que le territoire n’est pas indépendant de la «puissance occupante». 

     

    Source: (24 heures)

     

    Frédéric BERGER, ce schéma s'applique aussi à la SAVOIE.