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  • PEDOPHILIE, EELV, PS, UMP, FN, ELECTION MUNICIPALE, SOCHI, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                          

                                                          Pedophilie 2                                         

    Scandale – Des élus EELV et PS se préparent à honorer un défenseur de la pédophilie

    Jean_Le_Bitoux-MPI

     Je vous  signale qu’un square de Montreuil devrait bientôt porter le nom de Jean Le Bitoux. L’inauguration est annoncée le 15 mars à 11 h. Dominique Voynet (EELV), maire de Montreuil, a prévu de faire un discours louangeur concernant ce triste personnage. Et différents élus politiques ont déjà annoncé leur présence, s’il faut en croire le site communautariste homosexuel Yagg. Comme Christophe Girard (PS), maire du IVe arrondissement de Paris, Jean-Luc Romero (PS), conseiller régional d’Île-de-France, ou encore Pierre Serne, tête de liste EELV à Vincennes.

    Faut-il en déduire que ces personnalités soutiennent les positions de Jean Le Bitoux à propos de la pédophilie ? Raffraichissons la mémoire à ceux qui s’apprêtent à proposer Jean Le Bitoux en modèle…

    Dans un entretien accordé au magazine homosexuel Illico en mars 2001, Jean Le Bitoux (1948-2010) déclarait :

    « En France, l’homosexualité vient d’une culture pédophile avec André Gide. En 1968, il existait même un comité d’action pédérastique révolutionnaire. Dans le discours du G.L.H. [Groupe de Libération Homosexuelle] à partir de 1975, il y a tout un héritage du F.H.A.R. [Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire] notamment sur la question pédophile. À l’époque, il s’agissait de libérer son corps, libérer ses fantasmes. Il ne faut pas oublier qu’à cette époque-là la majorité est à 21 ans, ce qui est bien tard. Dans les années 1970, tout est à libérer y compris l’enfant qui est corseté comme la femme, comme l’homosexuel. Aujourd’hui, on ne parle plus du tout du même enfant. L’enfant des années 1970 était l’esclave d’une vieille civilisation, l’enfant d’aujourd’hui est extrêmement sacralisé. [...] Tony Duvert tenait une rubrique dans Gai Pied où il affirmait : la question pédophile existe et certains gays sont pédophobes et ils considèrent que l’émancipation des homosexuels se fera sur le dos des pédophiles. On a inventé un homosexuel qui laisse de côté la question pédophile. [...] Aujourd’hui, je pense que les pédophiles sont toujours les boucs émissaires des homosexuels. Le débat n’est plus du côté d’un espace de liberté que les pédophiles n’ont toujours pas, mais du côté de la jeunesse des homosexuels. »

     

              CONCLU-SION

     

                    Preuve en est que la Franceraël est une république maçionique- jérusaliste-atlandiste

                                                 France

              Frédéric BERGER

  • BRIGITTE BONELLO, PARIS, HANDICAP, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

      

     

        MARCHE OU CRÈVE J+4

     

       Brigitte Bonello, fatiguée nous envoie le chant des "partisans" qui lui redonne "force et courage"!

       Ecoutez Brigitte

     

      Fatiguee mais le chant des partisans redonnent le courage et la forcefatiguee.mais.le.chant.des.partisans.redonnent.le.courage.et.la.force.mp4 (563.92 Ko)

     

       Aidez Brigitte, son combat contre l'injustice est le nôtre:

                brigitte.bonello@gmail.com

     

      Frédéric BERGER

  • VINCENT REYNOUARD, SHOA, HOLOCAUSTE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

    L' Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous donne un scoop:

       Vincent Reynouard est enfin devenu un croyant. Dans cette vidéo, il explique sa conversion à la religion de la Shoah.

                             Clic sur le lien avec un masque à Fukushima:

                                   http://youtu.be/7Hj6Ismyxyg

        et

                               

        Conclusion:

     

                   Dessin holoholo

                             

  • ZIAD MEDOUKH, GAZA, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

       La poursuite des raids israéliens sur Gaza

     

    La bande de Gaza de nouveaux bombardée ce vendredi 14 mars 2014
    Trois raids israéliens tôt ce matin 
    Deux raids aériens ont frappé la ville de Gaza et un troisième raid contre la ville de Rafah au sud de la bande de Gaza
    Aucune victime n' a été signalée
    Comme d'habitude, l'armée israélienne justifie ces raids en riposte aux tirs de roquettes depuis la bande de Gaza
    Les violations israéliennes de la trêve rétablie hier soir sous médiations égyptienne se poursuivent
    L'Europe officielle condamne les tirs de roquettes venus de Gaza, et réaffirme le droit d’Israël à se défendre, et n'évoque jamais les agressions israéliennes permanentes contre toute une population civile en Palestine, ni le blocus israélien inhumain qui entre sa huitième année: quelle hypocrisie?
    Les médias occidentaux montrent la version israélienne, et n'évoquent jamais les dix morts palestiniens à Gaza et en Cisjordanie, assassinés de sang froid par l'armée de l'occupation israélienne la veille de cette nouvelle escalade militaire israélienne contre la bande de Gaza: deux poids et deux mesures ! 
     
    Gaza sous blocus résiste!
    Gaza sous les bombes existe!
    Gaza l'espoir vit!
     
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  • QUEBEC, UKRAINE, CRIMEE, POUTINE, CHERIF ABDEDAÏM, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

           

    Crise ukrainienne : La carotte ou le bâton

     

     

    CHÉRIF ABDEDAÏM :

    Après la tenue d’un référendum, la Crimée, en tant qu’Etat indépendant, adressera à la Fédération de Russie une demande d’adhésion au sein de la Russie en qualité de sujet fédéral », a expliqué le porte-parole.

    La semaine dernière, le parlement de Crimée a voté en faveur de l’adhésion de la république au sein de la Fédération de Russie et décidé d’organiser un référendum sur ce sujet le 16 mars 2014. 

    En dépit de cet état de fait,  le secrétaire d’Etat américain John Kerry a déclaré samedi dans une conversation téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, que toute démarche favorisant le détachement de la Crimée du territoire ukrainien rendrait impossible un règlement diplomatique de la crise, écrit mardi le quotidien RBC Daily.

    Washington a déjà laissé entendre qu’hormis les sanctions promises contre de hauts fonctionnaires russes, il comptait faire pression sur la Russie en renforçant la présence militaire de l’Otan aux frontières russes.

    Le président américain Barack Obama s’est également entretenu par téléphone avec les dirigeants des pays baltes pour la première fois depuis le début de la crise en Ukraine.  « Le président a confirmé l’engagement des Etats-Unis pour la protection collective dans le cadre du traité de l’Atlantique Nord et son soutien à la sécurité et la démocratie de nos alliés baltes », a déclaré la Maison blanche. La projection dans les pays baltes de six chasseurs américains F-15 supplémentaires, appelés à renforcer la sécurité de l’espace aérien des alliés, devrait convaincre ces derniers du sérieux des promesses d’Obama.

    Ce qui vient en partie renforcer  les ambitions des Etats baltes qui affichent depuis quelques jours la volonté d’augmenter leur budget de défense pour être mieux à même de faire face aux agissements de la Russie limitrophe. C’est le leitmotiv entendu à Tallinn, Riga et Vilnius, où les agissements russes en Ukraine inquiètent. Ces événements  « envoient un message clair à l’Estonie et à l’ensemble de la région : « nous devons faire plus dans le domaine de la défense. Des budgets suffisants sont rès importants pour notre sécurité », a souligné le président  Toomas Hendrik Ilves. En Lettonie, les dépenses de défense s’élevaient à 0,9% du PIB l’an dernier, en Lituanie à un peu moins de à,8%. Seule l’Estonie respecte l’objectif de 2% fixé aux membres de l’Otan. La hausse des dépenses sera progressive, a toutefois averti le ministre lituanien des Finances. La Lettonie, elle, a promis d’atteindre les 2% en 2020. AU désespoir  de l’Estonie qui craint que, vu du siège de l’Otan, elle soit rangée dans le même panier balte des membres qui ne tiennent pas leurs promesses.

    La Pologne, pour sa part, allant jusqu’à parler du déplacement de troupes de l’Otan aux «frontières de l’Est ». Discours confirmé par le ministre polonais de la Défense, qui, à la question : «La Pologne cherche-t-elle à obtenir une déclaration sur la participation militaire de lʼOtan ?», a répondu avec un «il est trop tôt pour en parler». Un «pour en parler» lourd de sens. La «vieille Europe», essentiellement  lʼAllemagne et la France, sʼemployant à calmer le jeu, à rappeler quʼil faut garder ouvert un canal de discussions avec Moscou, bien sûr pour aider à trouver une solution à la crise, mais aussi en prévision des négociations à venir sur le traité START, sur les antimissiles… Les Britanniques restant, à lʼOtan comme ailleurs, étrangement silencieux. Il est vrai que leur premier souci semble être dʼéviter des sanctions économiques qui, par effet boomerang, pèseraient lourd sur la City où de très nombreuses entreprises russes sont cotées ! Et plus quʼun «canal de discussions» ouvert, ce sont les diplomates allemands – Angela Merkel jouant les premiers rôles –, français et américains qui tentent de convaincre Moscou de participer à un groupe de contact permettant dʼenfin «discuter» ou, plus précisément, faire dialoguer Russes et Ukrainiens.

    Aussi, faut-il préciser que sur cet échiquier, l’absence d’unité de l’Occident concernant les sanctions diplomatiques et économiques à adopter contre la Russie pousse les Etats-Unis à renforcer la pression militaire sur cette dernière. Le sommet extraordinaire de l’UE, la semaine dernière, a montré que les puissances européennes n’y étaient pas prêtes. « Nous ne pouvons pas nous permettre une politique de sanctions à l’égard de la Russie car depuis que l’Allemagne a renoncé à l’énergie nucléaire nous sommes de plus en plus dépendants des fournitures de gaz russe. Les sanctions frapperaient comme un boomerang l’Allemagne et l’UE », a déclaré Hans-Werner Sinn, directeur de l’institut Ifo de Munich.

    Face à cette « panique », et persuadé que le temps joue en sa faveur, Moscou  ne semble pas pressé. Pour Poutine, lʼUkraine, comme au temps de la Guerre froide, est le «pivot géopolitique du continent». La Crimée – bien au-delà de lʼhistoire –, cʼest la base navale donnant accès à la Méditerranée. Celle de Tartous en Syrie nʼaurait pas grand sens pour lui, sʼil nʼa pas les mains libres en Crimée… Y conforter sa présence, cʼest aussi dire aux Moldaves – et aux Allemands – que la Transnistrie est «intouchable».

    Et il nʼa pas encore eu besoin de rappeler que la protection des minorités russophones fait partie de la doctrine militaire russe ! Mais il sait aussi que lʼUkraine est un «plus gros morceau» que lʼAbkhazie. Donc il souffle le chaud et le froid, multiplie les signes pour «ancrer» la Crimée à la Russie, faisant annoncer quʼun pont de plus de 4 kilomètres serait construit sur le détroit de Kertch, permettant dʼarrimer enfin la Crimée à la Russie. Se sert des erreurs majeures des Ukrainiens sur lʼinterdiction des «autres langues», même Ankara a protesté au nom des Tartares turcophones. Mais il sait aussi que ce qui fut possible à Budapest, à Prague ne lʼest plus. Envahir lʼUkraine ? Dans les chancelleries, personne ne croit que cette solution soit envisagée. Reste donc la négociation. Mais la marge est étroite entre une Crimée en quelque sorte affermée à Moscou ou vraiment rattachée.

    Après la tenue d’un référendum, la Crimée, en tant qu’Etat indépendant, adressera à la Fédération de Russie une demande d’adhésion au sein de la Russie en qualité de sujet fédéral », a expliqué le porte-parole.

    La semaine dernière, le parlement de Crimée a voté en faveur de l’adhésion de la république au sein de la Fédération de Russie et décidé d’organiser un référendum sur ce sujet le 16 mars 2014. 

    En dépit de cet état de fait,  le secrétaire d’Etat américain John Kerry a déclaré samedi dans une conversation téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, que toute démarche favorisant le détachement de la Crimée du territoire ukrainien rendrait impossible un règlement diplomatique de la crise, écrit mardi le quotidien RBC Daily.

    Washington a déjà laissé entendre qu’hormis les sanctions promises contre de hauts fonctionnaires russes, il comptait faire pression sur la Russie en renforçant la présence militaire de l’Otan aux frontières russes.

    Le président américain Barack Obama s’est également entretenu par téléphone avec les dirigeants des pays baltes pour la première fois depuis le début de la crise en Ukraine.  « Le président a confirmé l’engagement des Etats-Unis pour la protection collective dans le cadre du traité de l’Atlantique Nord et son soutien à la sécurité et la démocratie de nos alliés baltes », a déclaré la Maison blanche. La projection dans les pays baltes de six chasseurs américains F-15 supplémentaires, appelés à renforcer la sécurité de l’espace aérien des alliés, devrait convaincre ces derniers du sérieux des promesses d’Obama.

    Ce  qui  vient  renforcer en partie les ambitions des Etats baltes qui affichent depuis quelques  jours  la volonté  d’augmenter  leur budget  de défense pour être mieux à même de faire face aux agissements de la Russie limitrophe. C’est le leitmotiv entendu à Tallinn, Riga et Vilnius, où  les agissements russes en Ukraine inquiètent. Ces événements «envoient  un message  clair à l’Estonie et à  l’ensemble de la région : nous devons faire plus dans le domaine de la défense. Des budgets suffisants sont très importants pour notre sécurité», a souligné le président Toomas Hendrik Ilves. En Lettonie, les dépenses de défense  s’élevaient à 0,9 % du PIB  l’an dernier, en  Lituanie à un peu moins de 0,8 %. Seule l’Estonie respecte l’objectif de 2 % fixé aux membres de l’Otan. La hausse des dépenses sera  progressive, a toutefois averti le  ministre lituanien des Finances. La Lettonie, elle,  a promis  d’atteindre les 2 % en 2020. Au  désespoir de l’Estonie qui craint que, vu  du  siège de l’Otan,  elle  soit rangée dans le même panier  balte des membres qui ne tiennent  pas leurs  promesses.

    La Pologne, pour sa part, allant jusqu’à parler du déplacement de troupes de l’Otan aux «frontières de l’Est ». Discours confirmé par le ministre polonais de la Défense, qui, à la question : «La Pologne cherche-t-elle à obtenir une déclaration sur la participation militaire de lʼOtan ?», a répondu avec un «il est trop tôt pour en parler». Un «pour en parler» lourd de sens. La «vieille Europe», essentiellement  lʼAllemagne et la France, sʼemployant à calmer le jeu, à rappeler quʼil faut garder ouvert un canal de discussions avec Moscou, bien sûr pour aider à trouver une solution à la crise, mais aussi en prévision des négociations à venir sur le traité START, sur les antimissiles… Les Britanniques restant, à lʼOtan comme ailleurs, étrangement silencieux. Il est vrai que leur premier souci semble être dʼéviter des sanctions économiques qui, par effet boomerang, pèseraient lourd sur la City où de très nombreuses entreprises russes sont cotées ! Et plus quʼun «canal de discussions» ouvert, ce sont les diplomates allemands – Angela Merkel jouant les premiers rôles –, français et américains qui tentent de convaincre Moscou de participer à un groupe de contact permettant dʼenfin «discuter» ou, plus précisément, faire dialoguer Russes et Ukrainiens.

    Aussi, faut-il préciser que sur cet échiquier, l’absence d’unité de l’Occident concernant les sanctions diplomatiques et économiques à adopter contre la Russie pousse les Etats-Unis à renforcer la pression militaire sur cette dernière. Le sommet extraordinaire de l’UE, la semaine dernière, a montré que les puissances européennes n’y étaient pas prêtes. « Nous ne pouvons pas nous permettre une politique de sanctions à l’égard de la Russie car depuis que l’Allemagne a renoncé à l’énergie nucléaire nous sommes de plus en plus dépendants des fournitures de gaz russe. Les sanctions frapperaient comme un boomerang l’Allemagne et l’UE », a déclaré Hans-Werner Sinn, directeur de l’institut Ifo de Munich.

    Face à cette « panique », et persuadé que le temps joue en sa faveur, Moscou  ne semble pas pressé. Pour Poutine, lʼUkraine, comme au temps de la Guerre froide, est le «pivot géopolitique du continent». La Crimée – bien au-delà de lʼhistoire –, cʼest la base navale donnant accès à la Méditerranée. Celle de Tartous en Syrie nʼaurait pas grand sens pour lui, sʼil nʼa pas les mains libres en Crimée… Y conforter sa présence, cʼest aussi dire aux Moldaves – et aux Allemands – que la Transnistrie est «intouchable».

    Et il nʼa pas encore eu besoin de rappeler que la protection des minorités russophones fait partie de la doctrine militaire russe ! Mais il sait aussi que lʼUkraine est un «plus gros morceau» que lʼAbkhazie. Donc il souffle le chaud et le froid, multiplie les signes pour «ancrer» la Crimée à la Russie, faisant annoncer quʼun pont de plus de 4 kilomètres serait construit sur le détroit de Kertch, permettant dʼarrimer enfin la Crimée à la Russie. Se sert des erreurs majeures des Ukrainiens sur lʼinterdiction des «autres langues», même Ankara a protesté au nom des Tartares turcophones. Mais il sait aussi que ce qui fut possible à Budapest, à Prague ne lʼest plus. Envahir lʼUkraine ? Dans les chancelleries, personne ne croit que cette solution soit envisagée. Reste donc la négociation. Mais la marge est étroite entre une Crimée en quelque sorte affermée à Moscou ou vraiment rattachée.

      source/ http://www.les7duquebec.com/