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  • DOMINIQUE LE NEN, PALESTINE, GAZA, PAIX, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

       Lettre ouverte… à nos politiques… à la société civile
    Israël – Palestine… « la paix est-elle possible » ?



    La paix est-elle possible ? Slogan idéaliste ou réaliste ? Et si réaliste, réalisable ou utopiste ? Pourquoi cet article, alors que la Syrie ou l’Ukraine mobilise les médias du monde entier, laissant au second plan le douloureux et chronique conflit israélo-palestinien ? Pourquoi cet article alors que je ne suis ni analyste politique, ni militant, mais un chirurgien orthopédiste-traumatologue ayant mis mes compétences au service de la population palestinienne depuis 2002.


    C’est sans aucun doute une goutte d’eau qui fit déborder un vase rempli, une anecdote récente qui pourrait passer pour anodine, mais lourde de symbole et qui m’attrista profondément, me poussant à écrire cet article. Un ami palestinien de Jénine, en Cisjordanie, s’inscrit à un congrès en France ayant lieu en novembre 2013. Il procède à son inscription en ligne et au moment de sélectionner son pays d’origine, le menu déroulant décline les Etats du monde, mais la Palestine n’apparaît pas. Il fait un choix, par défaut, celui de la Jordanie. Pendant toute la durée du congrès, son badge affichera ses nom et prénom et un pays d’emprunt. Cet homme, ce père de famille, ce citoyen du monde est apatride.


    La Palestine existe-t-elle ?


    Quelle leçon tirer de cette « anecdote »? Tout d’abord pour cet homme une grande humiliation, la poursuite d’une désillusion, non seulement à l’intérieur de son « pays » mais plus encore, à l’extérieur. La Palestine existe-telle ? Dans le cœur des uns, certainement, mais pas dans celui des autres, et en tous les cas, elle n’a pas de reconnaissance officielle universelle. Et lorsqu’Alain Gresh s’interroge : « De quoi la Palestine est-elle le nom », ne pose-t-il pas LA bonne question, la seule qui mérite d’être posée ? Souvent, le terme consacré, celui de « Territoires palestiniens » ou de « Territoires occupés » - jusque dans certains guides touristiques -, représente la dure réalité de terrain et indique implicitement qu’il existe un occupé et un occupant.

    Un grand pas fut néanmoins franchi à l’ONU le 31 octobre 2011, lors de l’adhésion de la Palestine à l’UNESCO - l'Autorité palestinienne ayant présenté la candidature de Bethléem en Cisjordanie au patrimoine mondial. Mais les sanctions vis à vis de l’organisme et le vote des Etats-Unis et d’Israël contre cette adhésion prouvent les obstacles à la reconnaissance de la Palestine. Et pourtant, il s’agissait de l’éducation, des sciences et de la culture, ce qui n’était pas encore la reconnaissance d’un Etat palestinien.


    La paix est-elle possible ?


    Si la paix doit voir le jour, ce n’est que par la reconnaissance de deux Etats pour deux peuples souverains, vivant côte à côte, dans le respect mutuel des uns et des autres, dans la reconnaissance des uns et des autres. Selon le droit international, les Palestiniens ont le même droit à un Etat que les autres peuples de la région. Alors utopie ou réalité ? Entre les embrasements généralisés, les incendies et les foyers résiduels qui se succèdent depuis des décennies dans cette région du monde, l’espoir d’une paix réside pourtant dans les marques de coopération, synonymes d’apaisement, dans la mobilisation permanente de la communauté internationale, dans une prise de conscience des Palestiniens eux-mêmes et des Israéliens. Cette prise de conscience eu une réalité très récente loin de la Palestine, en Afrique du sud, car un autre combat pour la paix s’est ravivé avec la mort d’une icône internationale. Nelson Mandela, dont les hommages ont afflué du monde entier, écrivait, évoquant ses négociations avec le gouvernement sud-africain et ses demandes d’arrêter la violence, du temps de l’apartheid : « Je répondais que l’État était responsable de la violence et que c’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense. » Mandela jugé, emprisonné et que l’on définissait de « terroriste » fut libéré de prison le 11 février 1990 par Frederik De Klerk, sans condition. L’un était noir, l’autre blanc, différence de couleur qui entretenait pourtant cet apartheid. De Klerk négocia avec lui, d’égal à égal, les premières élections multiraciales du pays. Tous deux reçurent en 1993 le prix Nobel de la paix. Concessions, prises de conscience et respect de l’autre ont œuvré pour cette réunification. Ce qui fut possible en Afrique du sud pourrait-il l’être au Proche-Orient ? Je l’appelle de mes vœux

    . Y aura-t-il des femmes ou des hommes politiques, israéliens et palestiniens, ensemble suffisamment puissants, charismatiques et convaincus de pouvoir œuvrer en faveur de la paix, prêts à neutraliser par leurs efforts les extrémismes radicaux qui paralysent le processus enclenché, et prêts à reconnaître ensemble le droit à l'existence d'Israël et de l'Etat palestinien dans des frontières sûres, le partage de la terre entre les deux Etats, le partage de la souveraineté sur Jérusalem, enfin le retour des réfugiés palestiniens sur le territoire de l’État palestinien ? Je l’appelle de mes vœux. Idéalisme ou réalisme ? Et si réalisme, réalisable ou utopique ? Certains, dont Ziyad Clot, ex-négociateur palestinien, pensent qu’une solution pacifique à ce conflit ne peut plus passer que par un État unique au sein duquel Palestiniens et Israéliens devraient vivre ensemble. « Ce pays hybride, Israeltine, est d’ailleurs déjà là » .


    Oui la paix est possible, grâce au soutien et à la mobilisation des citoyens de ce monde. La société civile, en s’emparant de ce vaste chantier, pourra avancer en faisant pression sur les « décideurs », mais aussi en accumulant, en multipliant les messages de paix voire d’unification. Alain Gresch, n’écrivait-il pas : « … le rôle de la société civile acquiert une importance nouvelle, car elle seule peut se mobiliser pour imposer la justice et l’égalité ».


    Oui, la paix est possible et même souhaitable de « l’intérieur » par les hommes de volonté en Israël et en Palestine. Ils existent et ont pourtant bien existé ces hommes, ces lumières dans un ciel sombre. Ce passage d’un discours d’Itzhak Rabin en dit long sur la volonté de paix exprimée alors : « Je vous le dis sans fard, nous avons trouvé des partenaires pour la paix également parmi les Palestiniens : l’OLP, jadis notre ennemi, qui a cessé son activité terroriste. Sans partenaires prêts à œuvrer pour la paix, rien n’est possible. Nous exigerons qu’ils respectent leurs engagements envers la paix, comme nous respecterons les nôtres, afin de défaire le nœud le plus complexe, le plus long et le plus sensible du conflit israélo-arabe : le conflit israélo-palestinien… Mais la voie de la paix reste encore préférable à celle de la guerre. Je l’affirme en tant que militaire et ministre de la Défense, qui assiste trop souvent à la douleur des familles des soldats de Tsahal. Pour eux, pour nos enfants, et, dans mon cas, pour nos petits-enfants, je veux que ce gouvernement déploie toute son énergie et ses facultés en vue de promouvoir et établir une paix globale.… » Itzhak Rabin fut assassiné quelques instants après son discours, le 4 novembre 1995, par Yigal Amir, extrémiste de droite vigoureusement opposé au processus de paix enclenché.


    Depuis les violences des années 2000, un statut quo a balayé les tentatives de paix. Un dialogue direct s’établira-t-il entre Mahmoud Abbas et Benyamin Netanyahou ? Pour l’heure, il n’a pas trouvé place, bien que le processus de paix ait été relancé depuis moins d’un an par l’intermédiaire de l’émissaire américain John Kerry, avec pour conséquence la libération à trois reprises de prisonniers palestiniens mais parallèlement la poursuite des constructions en Cisjordanie. Un processus de paix paraît clairement à réinventer.

    C’est à cause de l’injustice faite au Palestiniens que je souhaite la paix et que je la crois possible, même primordiale pour libérer deux peuples victimes d’un emprisonnement mutuel : les palestiniens derrière des frontières de barbelé et de béton, les israéliens derrière le mur de leur suprématie. Ne nous y trompons pas, promouvoir la justice pour les palestiniens ne signifie pas promouvoir la haine contre Israël - l’amalgame est tellement facile - car nous n’avancerons que dans le respect des deux peuples.


    Uri Avnery, écrivain et journaliste israélien, militant des droits des palestiniens et pacifiste convaincu, cofonda le Gush Shalom, mouvement israélien qui milite pour la paix et en vue de la création d'un État palestinien . Il déclara à l’occasion du discours d'acceptation du prix Nobel alternatif qui lui était décerné, le 9 décembre 2001 : « Notre rôle n'est qu'un petit rôle dans une lutte mondiale pour la paix, la justice et l'égalité entre les êtres humains et entre les nations, pour la préservation de notre planète. Tout cela peut se résumer en un mot, qui à la fois en hébreu et en arabe signifie pas seulement la paix, mais aussi l'intégrité, sécurité et bien-être : Shalom, Salam. »


    Je me suis rendu dans ces « Territoires palestiniens », Gaza et la Cisjordanie, et m’y rends encore régulièrement, dans le cadre de mes missions de chirurgie humanitaire ; j’y ai vu guerre et désolation en 2002, et aujourd’hui, depuis fin 2008, un « statut quo », en fait un écran de fumée, des femmes et des hommes qui veulent sortir par le haut de cette situation, avec la fierté d’un peuple privé de mouvements, pourtant libéré par un farouche instinct de survie. De cette expérience, j’en ressors avec le souhait profondément ancré d’une paix entre ces deux peuples, pour que la Terre Sainte demeure cette lumière vers laquelle convergent les femmes et les hommes du monde entier, quelle que soit leur appartenance culturelle ou religieuse.


    Osons nous indigner !


    Indignez-vous, écrivait Stéphane Hessel ! Osons nous indigner, reprendrais-je ! Ayons, où que l’on soit, le pouvoir de nous indigner lorsqu’une cause nous paraît juste. Ce grand humaniste qui connut la guerre et le camp de Buchenwald, nous donna et nous enseigne des leçons de paix que nous devons porter, diffuser à la communauté internationale. Alors nous, les non-palestiniens, vivant dans la patrie de l’Egalité, de la Liberté – nous en fûmes privés en des temps d’occupation - et de la Fraternité, ne pourrions-nous pas, au nom de la justice pour un peuple apatride, reconnaître la Palestine ? Le combat pour une paix juste ne passera que par cette reconnaissance dont les médias, les politiques, ont le pouvoir de véhiculer et marteler le message. Reconnaissons aux palestiniens leur appartenance à la Palestine, quelle qu’en soient les frontières, et œuvrons ensemble pour une paix juste au proche Orient. A l’aube de fêter le centenaire de la Grande Guerre - l’une des trois guerres que connurent le France et l’Allemagne au XIX et XXe siècles -, actuellement loin dernière nous, continuez et continuons à nous indigner ouvertement.


    Dominique Le Nen
    Professeur des Universités – Chirurgien des Hôpitaux


    1 - Alain Gresh. De quoi la Palestine est-elle le nom ? Ed. Les Liens qui Libèrent, 2010.
    2 - Israel and the Palestinian Territories. Ed. Loney Planet (5th edition), 2007.
    3 - Nelson Mandela. Un long chemin vers la liberté. Ed. Livre de poche, 1996, p. 647.
    4 - Ziyad Clot. Il n’y aura pas d’Etat palestinien. Journal d’un négociateur en Palestine. Ed. Max Milo, 2010.
    5 - Dominique Le Nen. De Gaza à Jénine, au cœur de la Palestine. Ed L’Harmattan, 2012, p. 12.
    6 - Itzhak Rabin, David Ben Gourion, Yasser Arafat. Israël / Palestine. Ed. Points, 2010, p. 13-14.
    7 - Uri Avnery, Chronique d'un pacifiste israélien pendant l'intifada, Ed. L'Harmattan,‎ 2003.
    8 - Stéphane Hessel. Indignez-vous. Indigène Editions, 2011.

  • ZIAD MEDOUKH, PALESTINE, GAZA, CISJORDANIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    C’est ici notre terre 

    Ziad Medoukh

     

    C’est ici notre terre, nous ne partirons pas, nous resterons attachés à cette terre sacrée de Palestine, quelles que soient les mesures de l'occupation! Nous y poursuivrons notre existence jusqu'à la liberté et l'indépendance, jusqu'à la fin de l'occupation israélienne, jusqu'à l'instauration d'une paix juste et durable ...

    C’est le message  de tout un peuple palestinien  existant et résistant, message adressé au monde entier, et en particulier à la force de l’occupation israélienne,  chaque année, le 30 mars,  journée de la terre et de la résistance en Palestine.

    Notre peuple  commémore  cette journée. C’est  la journée de l'attachement à ses racines et à son histoire, cette histoire profondément marquée par la résistance et l'affrontement à l'occupant qui continue de lui voler ses champs et ses arbres, ses maisons et sa terre.

    Les Palestiniens qui vivent dans les territoires de 1948, ceux des territoires de 1967, sans oublier ceux de l’exil, montrent par cette commémoration les liens qui les unissent tous.

    Le 30 mars 1976, des dizaines de Palestiniens, civils et paysans, ont été tués par les forces de l'occupation alors qu'ils manifestaient pacifiquement contre la confiscation de leur terre par l'administration israélienne. Et depuis, pour rendre hommage à ces victimes, pour montrer l'attachement des Palestiniens à cette terre, ceux-ci commémorent chaque année cette répression sanglante. 

    38 ans après, et dans une conjoncture difficile et particulière en Palestine, marquée par la poursuite de la souffrance des Palestiniens en Cisjordanie , dans la bande de Gaza, et partout en Palestine, avec le mur, la colonisation, les attaques et les agressions israéliennes permanentes, le blocus, et les lois racistes contre les Palestiniens de 1948, mais surtout, devant l’absence de perspectives pour l’avenir, les Palestiniens sont plus que jamais déterminés à réaliser leurs revendications nationales.

    Ils vont poursuivre leur résistance, sous toutes ses formes, afin de vivre libres sur leur terre. 

    Par cette résistance et par cet attachement à leur terre, ils visent  la création d'un Etat libre et indépendant où l'on peut vivre une paix  juste et durable.

    A cette occasion, nous confirmons notre attachement à nos racines, à notre terre. Elle est ici. Elle est ici notre patrie. Nous ne partirons pas, en dépit des mesures atroces de l'occupation, en dépit de toutes les difficultés, de toutes  les souffrances. Nous allons continuer à donner  notre sang  pour elle, notre terre de  Palestine.

    Ici, notre terre,

     Ici, nos racines,

    Ici, notre histoire,

     Ici, notre vie, notre avenir,

     Et ici, notre Palestine!

     
  • BRIGITTE BONELLO, MANGER, POUBELLE, ELECTIONS MUNICIPALES, MANUEL VALLS, COLUCHE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    1. LES FRANÇAIS FONT LES POUBELLES POUR SURVIVRE

          Voila Brigitte fait les poubelles pour se nourrir:

          pour l'aider, brigitte.bonello@gmail.com

     

         Voici son texte:

           "Bonjour à tous,

    Une journée de silence due à une très grande fatigue
    Affaiblie par un méchant refroidissement j'ai été complètement HS hier
    Une journée à dormir d'un très mauvais sommeil accompagnée de frissons
    et de douleurs
    J'avais auparavant eu le temps d'aller chez le dentiste pour mes
    douleurs dentaires et de passer à la laverie
    Très mal fichue j'ai donc fait un break, ce qui a inquiété bon nombre
    de mes soutiens - je les remercie tous pour leurs messages.
    Mais cela me permet aujourd'hui un peu plus fraîche de revenir vers vous
    Donc un rendez-vous a été demandé à Mme COLIN DRH de la Police
    Nationale - A ce jour elle a toujours refusé de nous recevoir ou de
    discuter du dossier
    Très déterminée à ne pas revenir sans rien sur Lyon, je vais donc
    réfléchir aux actions à engager sur Paris - Je n'ai pas l'intention de
    finir mes jours à fouiller les poubelles pour me nourrir pendant que
    certains se gavent sur les fonds publics.
    Vous n'avez vu aucun média relayer mes 18 jours de marche - cela pose
    question quant aux traitements des informations sur les dossiers
    "chauds"
    d'autant qu'ils ont été très nombreux à être informé de mon action.
    Mais votre soutien est précieux à ce stade.
    Le cinquième pouvoir c'est vous et vos réseaux sociaux
    N'hésitez pas à balancer mes mails à vos contacts afin de faire
    connaître autour de vous mon juste combat à l'emploi
    J'ai eu ces derniers jours de très nombreux messages d'encouragements
    et de soutien
    Je pense notamment à celui de Mémé qui m'a réchauffé le coeur
    Que Dieu la bénisse
    Demain jour du Seigneur vous n'aurez pas de mail non plus.
    Ce sera une journée de réflexion sur les personnes à rencontrer pour
    faire avancer ce dossier sensible
    Une curiosité que je tiens à signaler à tous.
    Jusqu'à présent, le conseil d'état a systématiquement rejeté mes
    demandes d'aides juridictionnelles au motif de l'article 7 "demande
    dénuée de fondement" - ces 7 rejets ayant été signalés à la Ministre
    de la Justice démontrant l'impossibilité d'acter en cassation pour un
    citoyen démuni contre les actes de l'état
    Alors que je vis depuis 2011 d'une allocation solidarité spécifique le
    conseil d'état Bureau d'aide juridictionnelle me demande de produire
    sous 8 jours un avis d'imposition faute de quoi ma demande d'aide
    juridictionnelle sera rejetée - Décidément tous les moyens leur sont
    bons pour vous spolier de votre droit à la cassation
    A noter pour ce jugement également le refus du rapporteur public Mme
    LESIEUX de donner son rapport ce qui indique bien que le dossier n'est
    pas net !
    Honte à ces magistrats qui déshonorent leur profession et qui couvrent
    les actes délictueux de l'État.
    A aucun moment mon dossier sur Lyon n'a fait l'objet de l'équité et de
    l'impartialité prévue par les textes de Lois
    Pas de doute nous sommes en Démon cratie
    A lundi pour un nouveau compte rendu
    Passez tous un bon dimanche
    Très chaleureusement"

             Reportage photographique:

           C'est ce qui m'attend demain - ce pauvre homme a retiré une baguette de la poubelle pour la manger - Honte à tous ces politicards.

              C est ce qui m attend demain ce pauvre homme a retire une baguette de la poubelle pour la manger honte a tous ces politicards

     

                       Les studios de france televisions

     

                         TRACT DE BRIGITTE BONELLO POUR MANUEL VALLS:

                            Cliquez sur le dossier pdf, merci:

                           Tractarrive parisbb14 03 28Tractarrive parisbb14 03 28 (127.5 Ko)

     

                          CONCLU-SION

                                                       Aujourd'hui en FRANCERAËL, le samedi 29 mars 2014, les Françaises et les Français doivent faire les poubelles pour manger,   pour nourrir leur famille, pour survivre dans un pays socialiste , membre des pays les plus riches du monde.

                                                        Demain aux élections municipales, prière de ne pas les oubliez, Coluche avait raison: les banksters jérusalistes sont plus égaux que d'autres, dans

                                               le pays des droits des banquiers jésuites.

                                  Frédéric BERGER

                    

                    

  • BRIGITTE BONELLO, PARIS, MANUEL VALLS, ELECTIONS MUNICIPALES, PLACE BEAUVAU, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                        Pour Brigitte "hiphip hourra"

                       Formidable femme de grande volonté, bravo.

                       Voici Brigitte à Paris à J+18:

                       "

    Bonjour à tous

    Partie de BOISSY SAINT LÉGER je suis donc partie de bonne heure en direction de PARIS.
    Je suis contente de quitter les cités dortoirs
    J'y ai toutefois rencontré des personnes formidables toutes effarées par l'histoire qui m'est arrivée et qui ont toutes eu des paroles chaleureuses de réconfort et de soutien.
    En arrivant sur PARIS je vois un café nommé Le PARIS LYON
    Pas tout de suite - pas tout de suite
    Je ne quitterai pas PARIS sans avoir eu de la part du Ministère de l'Intérieur une avancée positive dans mon dossier.
    J'arrive ou plutôt volontairement je me dirige vers la Cathédrale Notre Dame.
    C'est spectaculaire - on tourne un film devant cette dernière - je me renseigne - il s'agit d'un remake de Rosemary's Baby
    J'entre dans cette cathédrale et ce que j'y vois ne m'enchante guère - des touristes en veux tu en voilà
    du bruit du mouvement impossible de s'y recueillir - je décide donc de ressortir très rapidement de ce lieu.
    En face se trouve la Mairie de PARIS
    Dernier tampon sur mon carnet de route
    Impossible d'y être reçue par qui que ce soit
    Alain agent de sécurité écoutera avec attention mon histoire et ce avec beaucoup d'empathie.
    Puis il me dirigera vers la mairie du 4ème pour le tampon
    En face je ferai la connaissance de David Jimmy et de Mad, trois sympathiques agents de sécurité
    Dans la mairie du 4ème j'obtiendrai ce tampon de la part de Claudia une charmante secrétaire avec qui j'aurai des moments intenses d'échanges - A l'entrée Fatou agent de sécurité aura pour moi des paroles de grand réconfort - Dommage cette jolie jeune femme d'une vingtaine d'années ne souhaitera pas être prise en photo
    C'est alors qu'entrera dans la danse mon ami Bruno  du Syndicat SUD INTÉRIEUR - c'est chez lui que je trouverai mon hébergement.
    Passage au Tribunal Administratif de Lyon - accueil chaleureux de la part des 3 secrétaires
    Nous nous dirigeons Place BEAUVAU
    Petite photo de rigueur de ce haut lieu et devant l'Elysée
    Les chinois étant dans le coin tous sont nerveux
    Me sera demandé des comptes sur mon drapeau pourtant non déplié
    Nous sommes rejoints par Michèle syndicaliste également et ces derniers m'emmènent au restau administratif des fonctionnaires de la Place BEAUVAU où nous distribuons le tracts sur mon arrivée à PARIS
    Franc succès - par ailleurs le fait que je sois présente pour un tract parlant de moi s'avère précieux et les tracts partent comme des petits pains
    Succès non démenti par le fait que nous sommes rapidement interpellés par un commandant de Police qui estime que nous n'avons pas le droit de tracter.
    A ce moment précis j'ai un appel téléphonique de Jacques homme charmant rencontré lors de cette marche avec sa compagne - je le remercie de son soutien qui perdure dans le temps ainsi qu'Annie sa compagne.
    Nous nous rendons alors au siège de SOLIDAIRES - afin d'y faire le point sur la conduite à tenir
    Est ainsi décidé de demander à Mme COLIN DRH PARIS un entretien
    afin de régler une affaire qui n'a que trop duré

     

    La lettre à Manuel VALLS est déposé au cabinet avec le tract
    Nous prendrons le temps de la concer
    tation afin de pouvoir mener une action parisienne constructive
    je suis un peu fatiguée alors je vous dis à demain

    Très chaleureusement".

         Reportage photographique

     

                  Notre Dame de Paris

               3 notre dame de paris 1

        Brigitte devant l'Elysée:

                 7 bb devant l elysee

     

                          BRIGITTE BONELLO, place BEAUVAU, au ministère de l'intérieur:

                                        Manuel Valls à nous deux!!!!

           Place beauvau nous y voila

     

                     OBSERVATIONS DE L'ECHO DES MONTAGNES  :

     

    Brigitte nous a parlé de la Chine, bon l'Echo des Montagnes vous fournit donc

    une vidéo, qui va être censurée, sur la visite du président PING-PONG.

       Dnas cette vidéo vous remarquerez que la dictature jérusaliste-atlandiste est bien réelle et que la France n'est plus la FRANCE, mais bien la FRANCERAËL.

                            --la dame au vélo doit rappeler au CRSS qu'elle est française.

                          --un handicapé se fait jeter hors des clous

                         --le président PING-PONG grille les feux rouges

                       --les policiers grillent les feux rouges

                      --les CRS grillent les feux rouges

                      --la foule crient son amour pour Hollande:" Hollande démission"!

                     --les CRS piétinent les plates bandes et écrasent les fleurs: qui payent ?

                         Rappelez vous le maire homosexuel de Paris-raël a demonté 1 millin d'euros pour ses plates bandes à la "manif pour tous"!

                          Va-t-il faire de même vis à vice des CRSS?

                     Voici la vidéo censurée bientôt:

                                 cliquez dessus ou copier coller dans un navigateur:

                          http://www.youtube.com/watch?v=eecekODmJs0

                        

                     Frédéric BERGER

     

  • BRIGITTE BONELLO, GEORGES BRASSENS, PARIS, MANUEL VALLS, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

           Brigitte est presque arrivée: félicitations et merci aux amis qui l'ont aidé et soutenus.

         Voici son message:

         "Bonjour à tous,

    La phase 1 du périple tourne à son terme.
    Dès demain c'en sera fini des longues journées de marche sans fin
    Mais je ne compte pas quitter la capitale sans avoir obtenu gain de cause
    S'il faut passer à un autre type d'action, je le ferai car je n'oublie
    pas que chez moi se trouvent des huissiers prêts à bondir pour
    m'expulser de mon logement HLM.
     . Je n'ai pas l'intention de finir SDF.
     . Je n'ai pas l'intention de continuer à quémander des aides
    alimentaires au CCAS.
     . Je n'ai pas l'intention de me laisser harceler par Pôle Emploi sur
    des questions futiles alors qu'en 3 ans cet organisme n'a pas été
    fichu de trouver à une personne compétente tant en administratif qu'en
    droit de lui trouver le moindre poste.
    J'ai passé un concours pour entrer dans la Police Nationale pour
    lequel j'ai travaillé très dur - parfois jusqu'à 4H du matin pour
    réenclencher une journée de travail sans jamais y démériter.
    Ma seule faute si tant est que c'en sois une est d'avoir été malade et
    de devenir handicapée.
    Il appartient  à l'État de protéger ses travailleurs handicapés -
    c'est inscrit dans les textes de lois.
    Aujourd'hui j'ai commencé ma journée par une discussion avec un homme
    agréable et travailleur. Miguel un portugais qui faisait un extra à
    l'hôtel enclenchant deux journées de travail pour élever ses 3
    enfants. Il a été scandalisé d'apprendre mon histoire.
    J'ai eu droit à un café supplémentaire.
    Puis j'ai pris la route.
    Il fait beau mais très froid. Peu importe, je marche d'un pas décidé
    et je transpire.
    Le plus dur ce sont les pauses nécessaires (boissons - soins des
    pieds)qui font sentir le froid.
    J'arrive sur une ville nommée LIEUSAINT. Le nom m'inspire - un lieu
    idéal pour les pèlerins (euh doit on dire pèlerine avec celle
    féminisation des fonctions bien en vogue ces derniers temps?)
    Je vois une Mairie - bien évidemment je m'y arrête.
    Je suis reçue dans le Bâtiment de côté par deux charmantes femmes
    prénommées Florence et Crémilde (quel joli nom - je ne connaissais
    pas) - adorables avec moi, elles ont été très émues par mon histoire
    et ont pris mon tract. Puis elles m'ont dirigé vers le secrétariat du
    maire.
    J'ai été reçue par Isabelle une femme aussi belle d'extérieur que
    d'intérieur. Dommage elle ne veut pas que je la prenne en photo et je
    respecte son désir.
    Nous avons eu un long échange qui s'est terminé par un mot dans le
    carnet de route, des voeux de réussite pour ma démarche et une empathie
    qui m'a vrillé les tripes.
    On se rapproche de Paris, les lieux sont moins beaux mais le coeur des
    hommes et des femmes avec qui je discute et j'échange est le même.
    Cela me réconforte pleinement.
    Puis je prends le chemin de la ville suivante COMBS LA VILLE.
    J'y ferai mon premier en-cas.
    Puis je continuerai ma route un peu plus fraîche.
    L'étape suivante sera VILLENEUVE SAINT GEORGES.
    J'y ferai la connaissance d'une postière très humaniste.
    de Rosa et surtout de KADER un généreux cabaretier hôtelier qui
    m'offrira mon repas et deux cafés. Ce sympathique kabyle a écouté mon
    histoire et m'a souhaité que j'aboutisse dans ma démarche de
    réintégration.
    Je pars ensuite pour la Mairie où l'accueil sera également très
    chaleureux et réconfortant.
    J'y obtiendrai un tampon et un gentil mot d'encouragement
    Puis la dernière étape sur BOISSY SAINT LEGER pour un repos mérité de
    mes pieds endoloris et après passage dans une pharmacie pour y trouver
    les pansements pour les 3 ampoules.

    Un grand merci à Odile pour son message chaleureux de soutien à un
    moment où j'en avais bien besoin
    Un grand merci à mon facteur Aïssam pour son gentil SMS de soutien -
    mon porteur de LRAR me manque
    Un grand merci à Guy qui est et reste un allié de poids et un ami sur qui
    on peut compter
    Et plus généralement un grand merci à tous ceux qui LUTTENT et RÉSISTENT.
    chacun à leur manière contre cette déshumanisation que l'on veut nous
    imposer de force et toutes les injustices, ils se reconnaîtront
    Quoi qu'il en soit je garderai en mémoire les temps forts de ce voyage
    hommage à Georges BRASSENS

    https://www.youtube.com/watch?v=GWlLNpJE1zI

    Heureux qui comme Ulysse
    A fait un beau voyage
    Heureux qui comme Ulysse
    A vu cent paysages
    Et puis a retrouvé après
    Maintes traversées
    Le pays des vertes allées
    Quand c'en est fini des malheurs
    Quand un ami sèche vos pleurs
    Qu'elle est belle la liberté
    La liberté"

         REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE:

         LIEU SAINT, un joli nom pour une pélerine comme moi:

         3 lieusaint un joli nom de ville pour un p lerin pas vrai 1

     

                                      Voila un arbre de la laïcité (?):

            18 tiens un arbre de la la cit

     

                        Voila Brigitte: "Tous ces kilomètres ,ça frisent ou ça défrisent".

             13 tous ces kilom tres a d frisent ou a frise l insolence

              S.O.S:

          Qui peut héberger Brigitte sur Paris ?

         COURRIEL: brigitte.bonello@gmail.com

                    Frédéric BERGER