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ECHO DES MONTAGNES - Page 152

  • SAVOIE, ISRAËL, JERUSALEM, MANUEL VALLS, CATALAN, TALMUD, FRANCE, CRIF, LDJ, SHOA, FREDERIC BERGER

     

    et le meilleur "SAVOIE-FAIRE" est:

    Blumcheim Issac - Le droit de la race superieure. 1934.pdf

     

                                                       

    Discours du Premier ministre devant le consistoire
    9 septembre 2015 - Actualité

    "Il y a eu les mots pour défendre la laïcité, la tolérance, pour refuser tous les amalgames. Il fallait que suivent les actes, des actes forts"

    Le Premier ministre s’est rendu à la synagogue Nazareth à Paris, le 8 septembre 2015, à quelques jours de la fête de Rosh Hachana, le nouvel an juif, qui sera célébré les 14 et 15 septembre prochains. Il a rappelé les valeurs de laïcité, le devoir de mémoire et affirmé la détermination de la République et du Gouvernement face à l'antisémitisme, la haine de l’autre et le racisme.
     
    A quelques jours du nouvel an juif, le Rosh Hachana, Manuel Valls, est venu adresser un "chaleureux et républicain Shana Tova (douce année)" devant le Consistoire central israélite de France et les présidents de communautés, réunies à la synagogue Nazareth de Paris.
     
    Sans les Français juifs, la France perdrait une part essentielle d’elle-même. Les Juifs de France, depuis des siècles et des siècles, ont contribué à faire de la France ce qu’elle est aujourd’hui, le judaïsme est enraciné au plus profond de la terre, au plus profond de l’âme de notre pays.
    Manuel Valls
    Le 8 septembre 2015

    La France est riche des valeurs de laïcité et de liberté de pratique et croyance. "C’est  pour cela qu’elle continue de briller dans le monde et qu’elle reste une référence", a rappelé Manuel Valls. Des valeurs à défendre : "nous ne pouvons tolérer aucune parole, aucun geste, aucun acte qui viendrait contester ce droit inaltérable qu'ont les juifs, les catholiques, les musulmans, les protestants, tous les fidèles de croire et de pratiquer librement, sereinement, qu’ont tous les citoyens de croire ou de ne pas croire." Mais aujourd’hui, "le combat est à reprendre", a déclaré le Premier ministre.
     

    "Un combat à reprendre"

     
    "Soyons lucides, nous avons oublié. Nous avons oublié qu’après Dreyfus […], les lois scélérates de Vichy, le Vel d’Hiv, qu’il fallait continuer de s’indigner et de combattre. Nous avons oublié qu’après les attentats de la rue Copernic, de la rue des Rosiers, Carpentras et Ilan Halimi, il ne fallait jamais baisser la garde", a pointé Manuel Valls, qui a aussi rappelé les crimes de Toulouse, de Montauban, de Créteil et de la porte de Vincennes, le 9 janvier dernier.
     
    La France doit avoir plus conscience de ce que l’on ne doit jamais oublier.
    Manuel Valls
    Le 8 septembre 2015


    Des mots…

     
    La France a protesté et s’est indignée, a rappelé le Premier ministre : "il y a eu les mots pour défendre la laïcité, la tolérance, pour refuser tous les amalgames […]. Il y a eu les mots pour qualifier, pointer les failles, les fractures, pour faire ce constat que quelque chose s’était cassée dans notre société, il y a la violence, l’intolérance, la haine de l’autre, le racisme. […] Cette haine des Juifs qui a grandi dans nos quartiers populaires s’est propagée sur internet et a contaminé les esprits d’une partie de notre jeunesse."

    Une haine qui s'est traduit récemment en faits : des "tombes que l’on profane, les œuvres d’art comme celle d’Anish Kapoor". "Il y eut donc les mots, il fallait que suivent les actes, des actes forts", a expliqué Manuel Valls.
     
    Note de SAVOIE INDÉPENDANTE
     
    Pour comprendre le langage de Manuel Valls, qui est jérusaliste avant d'être colonisateur français, il faut se souvenir de ces 2 beaux manuscrits, que le président de Savoie Indépendante
    vous invite à lire en cliquant sur les liens suivants:
     
     
    et
     
     
    Cerise sur la Franceraël, l'incontournable livre de chevet, mieux que le Talmud:
     
     
    Frédéric Berger, président de Savoie Indépendante
     

     
     
     
  • SAVOIE, LE MONDE, MEDIAPART, ECHO DES MONTAGNES, RAINBOW WARRIOR, NOUVELLE ZELANDE, FREDERIC BERGER, DGSE, DCRI, ANTISEMITISME, TROTSKY, LAURENT FABIUS, PIERRE JOXE,TIBHIRINE, ALAIN JUPPE,

                   

    blasonpe.jpg

      

     "  MEDIA A PART" et RAINBOW - WARRIOR

     

    Dans la constitution de la Savoie, la liberté de la presse, la liberté d'expression, la liberté de penser et la liberté de rire de tout, sont gravées dans l'article 2.

     

    Car l'esprit est le plus fort:

    cliquez sur: 

    proverbe sioux.jpg

     

     

    Le journal "Média à part" insulte l’État Souverain dans cet article,  le président de Savoie Indépendante et le journal savoisien l’Écho des Montagnes.

     

    C'est leur droit, même s'il est tordu.

     

    Donc pour mieux connaître le patron de" Média à part" qui se dit journaliste indépendant et qui lance une quête

    sur internet pour préserver son indépendance, liée au fric.

     

    L’Écho des Montagne ne se rabaisse pas à une quête et n'en n'a pas besoin, c'est pourquoi il est libre et indépendant. 

     

    PREUVE: AVENTURE DU RAINBOW WARRIOR ET DE PLENEL.

     

                      Accrochez vous au basting(u)age, cela va secouer sec.

     

       Affaire Rainbow Warrior avec FABIUS, JOXE et PLENEL.

     

    On s’habitue à tout très vite, encore faut-il rester informé. Je découvre que « Le monde »est particulièrement hargneux sur l’affaire RAINBOW WARRIOR, et que le meneur est un certain Edwy PLENEL.

     

    Je prends pour avocat un grand du barreau Parisien, Marc BROSSOLET, aussi discret que brillant, avec qui je gagnerai sept des huit procès que nous intenterons. 

     

    Le premier sera d’ailleurs pour Edwy PLENEL

    qui ose écrire : « B.est à la droite de la droite, et pour

    lui Le Pen est à gauche » . Rien de moins ! Cela lui vaudra d’être condamné conjointement avec le directeur du Monde pour diffamation à un peu plus de 120 000 francs, ainsi qu’aux dépens et à deux insertions dans les journaux de mon choix (je choisirai « Le Monde » et « Libération » au grand drame des intéressés).

     

     Au-delà du procès, ce qui est intéressant est la

    méthode de travail de ce prétendu grand journaliste

    d’investigation. 

    Il rencontrait chaque jour dans l’arrière salle d’un établissement de la Rue des Saussaies (la rue du Ministère de l’intérieur) son ami Pierre Joxe, ministre de l’intérieur, « ancien » trotskyste comme lui, et qui avait pour mission de désamorcer l’affaire qui s’annonçait très mal pour le gouvernement du jérusaliste FABIUS.

     

    PLENEL ne trouvera rien d’autre à dire pour se justifier : « Ce sont des RG de Dieppe qui me l’ont dit ».

     Beau travail d’investigation personnel !

     

    Je rencontrerai donc le commissaire des RG que je

    menacerai d’un procès s’il restait muet.

     

     Il me dit que le ministre de l’intérieur  reconnaît qu’effectivement, les numéros appelés par M. et P. (depuis leur lieu de garde à vue…) sont bien des numéros secrets de la DGSE !

     

     J’espère que Joxe restera dans l’histoire

    comme le seul ministre occidental ayant livré ses agents

    secrets à une puissance étrangère jérusaliste en accord avec FABIUS  qui a lâché ses agents secrets, au nom d’Usraël,

    comme plus tard ALAIN JUPPE a donné l'ordre de neutraliser les moines de TIBHIRINE, selon les déclarations du préfet MARCHIANI.

     

     

    Preuve par image de l'indépendance de la presse coloniale française.

     

    Cliquez sur la photographie, merci.

                  

    mediasaqui.jpg

     

                                     

     Frédéric BERGER

     

    à suivre "Média à part" et" l'anti-Sem-itisme"

     

                               

                                                     

    frederic en arabe.jpg

     

                                   

     

     

     

  • PEDOPHILIE, MEDIAPART,

     Leçon juridique gratuite pour les journalistes de "Média à part", en espérant qu'ils ont prendrot de la graine et qu'ils publieront la vérité s'ils ont de l'honneur, notion inconnue chez les jérusalistes trotskistes, toutous serviles d'Usraël, via CIA.

     




    Le verdict du procès de Nuremberg, conformément à une maxime que nous devons à l’historienne et Présidente d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme Madeleine
    Rebérioux (aujourd’hui décédée), “ignore la focalisation sur les chambres à gaz…”, en clair : en 1945/46, accusation et partie civile n’ont pas été en mesure, devant les
    juges de Nuremberg, d’établir ne serait-ce qu’un commencement de preuve d’un “judéocide” intervenu dans des chambres à gaz sises dans les camps de concentration
    nazis.
    Après Nuremberg, il incombait aux tenants de la thèse d’un “GENOCIDE DE JUIFS DANS DES CHAMBRES A GAZ” de contester les conclusions dudit procès, dans la
    mesure où ce dernier entendait ignorer la question et, par voie de conséquence, d’obtenir sa RÉVISION AINSI QU’UN NOUVEAU PROCÈS, le tout,sur la base de la
    fourniture d’éléments nouveaux, sérieux et déterminants, susceptibles de déclencher une révision, comme ce fut le cas dans l’affaire Patrick Dils.
    Le fait est qu’en l’absence d’une révision du procès de Nuremberg, l’état de la jurisprudence reste celui établi en octobre 1946, à savoir, entre autres choses, la non
    reconnaissance d’un prétendu génocide intervenu dans des chambres à gaz.
    Le diverticule législatif baptisé “Loi Gayssot” renvoie à l’article 6 du traité constitutif du Tribunal de Nuremberg, lequel ne dit pas un mot des chambres à gaz. Mais c’est
    pourtant sur la base de cet article que la justice française a entrepris d’organiser la chasse aux sorcières révisionnistes dans un pays qui se découvre plus stalinien que
    la Russie de Poutine et Medvedev !
    Car s’il est une vérité incontestable, de nos jours, c’est que, quoi qu’on puisse leur reprocher, Robert Faurisson, Roger Garaudy et d’autres partageant leurs thèses et, a
    fortiori, tous ceux et toutes celles qui s’interrogent sur la consistance du judéocide susmentionné NE VIOLENT EN RIEN LES CONCLUSIONS CONTENUES DANS LE
    VERDICT DU PROCÈS DE NUREMBERG !
    Les chambres à gaz homicides ? Que ceux qui prétendent qu’Hitler y a enfermé des millions de Juifs dans le but de les exterminer en apportent la preuve !
    Dans le cas contraire, Nuremberg reste – malgré tous ses défauts et toutes ses insuffisances – la (seule et unique) norme, ce qui, comme il ressort du verdict du
    Tribunal militaire international de Nuremberg (octobre 1946), veut dire qu’entre 1939 et 1945, aucune extermination n’a été conduite dans quelque chambre à gaz que ce
    soit.

    NULLITÉ DU JUGEMENT DU TRIBUNAL DE NUREMBERG
    « Aliquis non debet esse judex in propria causa, quia non potest esse judex et pars »
    En date du 26 novembre 2010, la Douma (le parlement de Russie) a officiellement reconnu que le massacre de 4400 prisonniers de guerre polonais à Katyn
    (Biélorussie), perpétré entre avril et mai 1940, avait été ordonné par Staline lui-même et que l’Union soviétique était seule coupable de ce crime de guerre.
    Il est notoire que le jugement du Tribunal militaire international (TMI) siégeant à Nuremberg de 1945 à 1946, tribunal constitué par les anciennes puissances alliées (Etats-
    Unis, Grande-Bretagne, France, Union soviétique) pour juger l’Allemagne vaincue, fonde en droit les lois de censure et de répression qui ont érigé la Shoah en dogme
    historique indiscutable.
    Certes, la décision de la Douma n’apporte rien de nouveau à la connaissance de l’Histoire. En 1943 déjà, la commission d’enquête neutre dirigée par le professeur
    Naville, expert médecin légiste de Genève, avait conclu à la culpabilité des Soviétiques. En 1946, au cours des débats du Procès de Nuremberg, le juge américain
    Francis Biddle déclara que l’intervention du procureur soviétique Rudenko chargeant les Allemands du crime de Katyn [document URSS-54] était si arrogante et si
    calomnieuse qu’aux Etats-Unis ?l’auteur d’un tel document serait poursuivi pour outrage à magistrat? et qu’il fallait peut-être envoyer Rudenko ?en prison séance
    tenante?, une réaction ambigüe puisque cet acte d’accusation avait été approuvé par les quatre puissances alliées. (1)
    En 1990, Mikhaïl Gorbatchev, alors président de l’URSS, avait admis la culpabilité des soviétiques dans le massacre de Katyn. Entre 1992 et 2005, les autorités
    judiciaires de Russie menèrent une enquête et conclurent au non-lieu, avant tout pour cause de prescription, les massacres de Katyn étant qualifiés de « crime militaire ».
    Enfin, en novembre 2010, La Douma confirma officiellement la culpabilité de l’Union soviétique et la responsabilité de la Russie quant aux conséquences du massacre de
    Katyn, ce qui constitue un fait nouveau de nature juridique ouvrant, à priori, le droit à des réparations en faveur de la Pologne et des descendants des victimes.
    Or, le jugement du Tribunal de Nuremberg, sans pour autant disculper l’Allemagne accusée à tort de ce crime par le procureur soviétique, le général Rudenko (document
    URSS-54), avait occulté l’identité du véritable coupable, à savoir l’Union soviétique elle-même. A l’évidence, le Tribunal de Nuremberg ne pouvait se permettre de juger
    l’un de ses membres sans se contredire et se disqualifier. Triomphe de l’iniquité, sept prisonniers de guerre allemands furent même pendus à Leningrad par les
    Soviétiques en 1946 pour avoir, soi-disant, participé aux exécutions de Katyn. (2)
    Des soviétiques, membres d’un tribunal compétent pour juger le crime de Katyn, ont siégé en qualité de juges au Procès de Nuremberg. D’autres soviétiques, aux ordres
    de dirigeants soviétiques comme Staline et Béria (chef du NKVD), ont perpétré un crime d’Etat à Katyn. On ne peut être juge et partie. La seule présence de juges
    soviétiques dans cette même cause implique à posteriori leur récusation, voire même leur inculpation pour forfaiture et, par conséquent la nullité, dans un Etat de droit,
    d’un jugement comme celui rendu au terme du Procès de Nuremberg.
    La Douma de Russie a prononcé le même jour la nullité du jugement de Nuremberg.
    Il est inconcevable qu’une juridiction, en l’occurrence le TMI, puisse ignorer et même couvrir, en toute connaissance de cause, un crime perpétré par l’un de ses
    membres et qu’ensuite un tel jugement soit reconnu par un Etat de droit, et ceci indiscutablement quand l’auteur du crime, juge et partie, en fait officiellement l’aveu.
    La chaîne de causalité, qui va du tribunal de Nuremberg aux tribunaux actuels jugeant et condamnant des révisionnistes contestant le jugement de Nuremberg, a donc
    été brisée par ceux-là même qui l’avaient forgée et ouvre le droit à la révision de leurs procès

     

    « Nemo judex in re sua »  

    FREDERIC BERGER, rédacteur en chef de l’Écho des Montagnes 

     

     

     

      

     

  • PEDOPHILIE, AMIDLISA, MEDIAPART, ANTISEMITISME, GUERRE DU GOLFE, PIERRE JOXE, RAINBOW WARRIOR, TROSTKI, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, SAVOIE INDEPENDANTE

     

                                                  LIBERTÉ DE PRESSE

                                                OU

                                  MEDIA A PART

     

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer e bat pour la liberté de la presse, même pour une presse à part, et je cite "Média à Part".

     

    Pourquoi "Média à part", parce que cette presse est une presse qui diffuse des mensonges et des faux en écritures, ce qui est le ciment de la presse trotskiste, payée par la C.I.A.

     

    Démonstration.

     

      Votre journal indépendantiste indépendant à publier un article concernant GOOGLE

    avec la question suivante "GOOGLE ENCOURAGE -t-il la Pédophilie",.

     

    Cliquez sur le lien suivant pour vous en souvenir:  PEDOPHILIE, PEDOCRIMINALITE, GOOGLE, FRANCE, TALM...

     

    "Média à part" m'oblige à poser cette question: ce journal défend-t-il GOOGLE, donc la pédophilie?

     

    "Média à Part" écrit cet article contre votre rédacteur en chef préféré en le diffamant, en l'insultant.

    Car comme je vous l'ai prouvé le patron EDWY PLENEL n'est pas un journaliste de terrain, mais un journaliste de café, confert l'article sur "RAIBOW XARRIOR" avec JOXE, trotskiste et ancien ministre de l'intérieur qui a donné aux forces étrangères le nom de ses agents secrets! Une première dans le monde des barbouzes.

     

    "Média à part" est à part vraiment, il passe de l'article sur la pédophilie à l'antisémitisme.

    C'est normal pour "médiaà part" la pédophilie n'existe pas, preuve avec l'affaire AMIDLISA.

    Voici les écrits de "Média à part" concernant le triste dossier pédocriminel Alidlisa:"Médiapart a dit que cette affaire n'existait pas, que c'était un hoax !

     

    "Média à part" ment et diffuse de fausses informations en traitant l'Echo des Montagnes de "Echo antisémite des Montagnes" , en faisant croire de plus que l'article rédigé par Meunier est signé de l'Echo antisémite des Montagnes".

     

    Voici leur bafouille, cliquez sur:

     

    https://blogs.mediapart.fr/francois-munier/blog/190216/il-ny-pas-dantisemitisme-excusable-etude-de-cas-n-4

     

    "Média à part" traite donc votre journal d'antisémite.

    Les cons, les cons qui ne savent même pas que l'antisémitisme n'existe pas ni juridiquement, ni racialement.


    Juridiquement l'antisémistime trouve sa source dans la loi "Gayssot-Fabius" (2 jérusalistes, ami lillionnaire du peuple).

    Cette loi trouve son fondement juridique dans les procès de NÜREMBERG.

    Mais la DOUMA RUSSE a annulé les procès de Nüremberg, il y a 2 années.

    Donc la loi Gayssot-Fabius est annulé aussi, ainsi que cette fausse notion jérusaliste d'antisémitisme.

     CQFD

     

     Leçon juridique gratuite pour les journalistes de "Média à part", en espérant qu'ils ont prendrot de la graine et qu'ils publieront la vérité s'ils ont de l'honneur, notion inconnue chez les jérusalistes trotskistes, toutous serviles d'Usraël, via CIA.

     

     




    Le verdict du procès de Nuremberg, conformément à une maxime que nous devons à l’historienne et Présidente d’honneur de la Ligue des Droits de l’Homme Madeleine
    Rebérioux (aujourd’hui décédée), “ignore la focalisation sur les chambres à gaz…”, en clair : en 1945/46, accusation et partie civile n’ont pas été en mesure, devant les
    juges de Nuremberg, d’établir ne serait-ce qu’un commencement de preuve d’un “judéocide” intervenu dans des chambres à gaz sises dans les camps de concentration
    nazis.
    Après Nuremberg, il incombait aux tenants de la thèse d’un “GENOCIDE DE JUIFS DANS DES CHAMBRES A GAZ” de contester les conclusions dudit procès, dans la
    mesure où ce dernier entendait ignorer la question et, par voie de conséquence, d’obtenir sa RÉVISION AINSI QU’UN NOUVEAU PROCÈS, le tout,sur la base de la
    fourniture d’éléments nouveaux, sérieux et déterminants, susceptibles de déclencher une révision, comme ce fut le cas dans l’affaire Patrick Dils.
    Le fait est qu’en l’absence d’une révision du procès de Nuremberg, l’état de la jurisprudence reste celui établi en octobre 1946, à savoir, entre autres choses, la non
    reconnaissance d’un prétendu génocide intervenu dans des chambres à gaz.
    Le diverticule législatif baptisé “Loi Gayssot” renvoie à l’article 6 du traité constitutif du Tribunal de Nuremberg, lequel ne dit pas un mot des chambres à gaz. Mais c’est
    pourtant sur la base de cet article que la justice française a entrepris d’organiser la chasse aux sorcières révisionnistes dans un pays qui se découvre plus stalinien que
    la Russie de Poutine et Medvedev !
    Car s’il est une vérité incontestable, de nos jours, c’est que, quoi qu’on puisse leur reprocher, Robert Faurisson, Roger Garaudy et d’autres partageant leurs thèses et, a
    fortiori, tous ceux et toutes celles qui s’interrogent sur la consistance du judéocide susmentionné NE VIOLENT EN RIEN LES CONCLUSIONS CONTENUES DANS LE
    VERDICT DU PROCÈS DE NUREMBERG !
    Les chambres à gaz homicides ? Que ceux qui prétendent qu’Hitler y a enfermé des millions de Juifs dans le but de les exterminer en apportent la preuve !
    Dans le cas contraire, Nuremberg reste – malgré tous ses défauts et toutes ses insuffisances – la (seule et unique) norme, ce qui, comme il ressort du verdict du
    Tribunal militaire international de Nuremberg (octobre 1946), veut dire qu’entre 1939 et 1945, aucune extermination n’a été conduite dans quelque chambre à gaz que ce
    soit.

    NULLITÉ DU JUGEMENT DU TRIBUNAL DE NUREMBERG
    « Aliquis non debet esse judex in propria causa, quia non potest esse judex et pars »
    En date du 26 novembre 2010, la Douma (le parlement de Russie) a officiellement reconnu que le massacre de 4400 prisonniers de guerre polonais à Katyn
    (Biélorussie), perpétré entre avril et mai 1940, avait été ordonné par Staline lui-même et que l’Union soviétique était seule coupable de ce crime de guerre.
    Il est notoire que le jugement du Tribunal militaire international (TMI) siégeant à Nuremberg de 1945 à 1946, tribunal constitué par les anciennes puissances alliées (Etats-
    Unis, Grande-Bretagne, France, Union soviétique) pour juger l’Allemagne vaincue, fonde en droit les lois de censure et de répression qui ont érigé la Shoah en dogme
    historique indiscutable.
    Certes, la décision de la Douma n’apporte rien de nouveau à la connaissance de l’Histoire. En 1943 déjà, la commission d’enquête neutre dirigée par le professeur
    Naville, expert médecin légiste de Genève, avait conclu à la culpabilité des Soviétiques. En 1946, au cours des débats du Procès de Nuremberg, le juge américain
    Francis Biddle déclara que l’intervention du procureur soviétique Rudenko chargeant les Allemands du crime de Katyn [document URSS-54] était si arrogante et si
    calomnieuse qu’aux Etats-Unis ?l’auteur d’un tel document serait poursuivi pour outrage à magistrat? et qu’il fallait peut-être envoyer Rudenko ?en prison séance
    tenante?, une réaction ambigüe puisque cet acte d’accusation avait été approuvé par les quatre puissances alliées. (1)
    En 1990, Mikhaïl Gorbatchev, alors président de l’URSS, avait admis la culpabilité des soviétiques dans le massacre de Katyn. Entre 1992 et 2005, les autorités
    judiciaires de Russie menèrent une enquête et conclurent au non-lieu, avant tout pour cause de prescription, les massacres de Katyn étant qualifiés de « crime militaire ».
    Enfin, en novembre 2010, La Douma confirma officiellement la culpabilité de l’Union soviétique et la responsabilité de la Russie quant aux conséquences du massacre de
    Katyn, ce qui constitue un fait nouveau de nature juridique ouvrant, à priori, le droit à des réparations en faveur de la Pologne et des descendants des victimes.
    Or, le jugement du Tribunal de Nuremberg, sans pour autant disculper l’Allemagne accusée à tort de ce crime par le procureur soviétique, le général Rudenko (document
    URSS-54), avait occulté l’identité du véritable coupable, à savoir l’Union soviétique elle-même. A l’évidence, le Tribunal de Nuremberg ne pouvait se permettre de juger
    l’un de ses membres sans se contredire et se disqualifier. Triomphe de l’iniquité, sept prisonniers de guerre allemands furent même pendus à Leningrad par les
    Soviétiques en 1946 pour avoir, soi-disant, participé aux exécutions de Katyn. (2)
    Des soviétiques, membres d’un tribunal compétent pour juger le crime de Katyn, ont siégé en qualité de juges au Procès de Nuremberg. D’autres soviétiques, aux ordres
    de dirigeants soviétiques comme Staline et Béria (chef du NKVD), ont perpétré un crime d’Etat à Katyn. On ne peut être juge et partie. La seule présence de juges
    soviétiques dans cette même cause implique à posteriori leur récusation, voire même leur inculpation pour forfaiture et, par conséquent la nullité, dans un Etat de droit,
    d’un jugement comme celui rendu au terme du Procès de Nuremberg.
    La Douma de Russie a prononcé le même jour la nullité du jugement de Nuremberg.
    Il est inconcevable qu’une juridiction, en l’occurrence le TMI, puisse ignorer et même couvrir, en toute connaissance de cause, un crime perpétré par l’un de ses
    membres et qu’ensuite un tel jugement soit reconnu par un Etat de droit, et ceci indiscutablement quand l’auteur du crime, juge et partie, en fait officiellement l’aveu.
    La chaîne de causalité, qui va du tribunal de Nuremberg aux tribunaux actuels jugeant et condamnant des révisionnistes contestant le jugement de Nuremberg, a donc
    été brisée par ceux-là même qui l’avaient forgée et ouvre le droit à la révision de leurs procès.
    Dont acte !

     

     

    « Nemo judex in re sua »  

    FREDERIC BERGER, rédacteur en chef de l’Écho des Montagnes

     

     

     

     

  • KOWEÏT, GUERRE DU GOLFE, OPERATION DAGUET, LE MONDE, EDWY PLENEL, JOXE, FABIUS, RAINBOW WARRIOR, JULIEN COURBET, TF1, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, JOSPH FERRAYE, CHRISTIAN BASANO

     

                            RETOMBÉES RADIOACTIVES 

                                         DE LA GUERRE DU GOLFE

                                                   OU

                             OPÉRATION PéPéTE DU DÉSERT 

     

     

    L’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous demande de vous mettre à l'abri des retombées radioactives, suite à la parution de l'article concernant la guerre du Golfe ou guerre du KOWEÏT.

    Pour mémoire cliquez avec la tenue N.B.C (Nucléaire, Biologique et Chimique) sur:

              OPERATION DAGUET, GUERRE DU GOLFE, JULIEN COURBET...

     

    Les réactions ont été les suivantes:

                                                         --article incendiaire de Médiapart ; l’Écho des Montagnes, publiera à part sa réponse dé-con-taminée à Plenel, le trotskiste de service.

                                                         --censures de l'accès à internet par GOOGLE, MOZILLA FIRE FOX et INTERNET EXPLORER.

    PREUVES PAR PHOTOGRAPHIES, cliquez dessus:

                   

    attaque du 23 février 2015 par gogole.JPG

    et

    attaque mozilla le 23 février 2016.JPG

    et

    suppression de site

    CENSURE EDM PAR WORDPRESS.JPG

    Frédéric BERGER, rédacteur en chef

    Arvipâ