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International - Page 12

  • CORSE, SAVOIE, USA, NEWTOWN, ISRAËL, JUIF, TALMUD, ECHO DES MONTAGNES, NOËL, FREDERIC BERGER, JOUET, ARMES A FEU

     

                PROTOCOLES DE TORONTO

    gun

    Micheal Harris affirme qu'Israël est derrière la fusillade de Newtown

    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Aslh1DebPw4

     
     Le père d'une des victimes filmé en train de rire avant de simuler des pleurs pour sa déclaration devant les caméras:
     
     
    Les amerloques doivent être contrôlés par des gendarmes français d'occupation de la CORSE:
                                contrôle corse
     
    CONCLUSION:
     
                tueur fou
     
         Frédéric BERGER
  • GAZA, PALESTINE, JUIF, CRIF, CHERIF ABDEDAÏM, LA NOUVELLE REPUBLIQUE, ALGER, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Chronique: La horde terrifiée

    Posted: 24 Nov 2012 06:13 AM PST

    Par Chérif Abdedaïm, La NOuvelle République du samedi 24 novembre 2012

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    ILS N’ONT CESSÉ D’ABOYER À PROPOS DE L’IRAN. ILS ONT VOULU MORDRE DU PALESTINIEN À COUPS DE CANINES. ILS ONT CERTES MORDU LÂCHEMENT DES ENFANTS PALESTINIENS À LA CHAIR TENDRE. MAIS, VOILÀ, ILS SONT TOMBÉS SUR L’OS DUR DE LA RÉSISTANCE.

    Il a suffi quelques répliques des missiles de la résistance et un attentat en plein milieu de Tel-Aviv pour que ces chiens réalisent amèrement qu’ils ne sont que des bêtes terrifiées.

    Leur maître, un aliéné qui s’est évadé d’on ne sait quel asile, croyait impressionner les Palestiniens en lâchant ses hordes. Quand on sait que Bibi le fou, assisté par son sinistre des AF, un doberman  hybride, tablent sur une alliance victorieuse aux prochaines élections, on ne saurait que donner raison à leur mentor qui a justifié la fin par toutes sortes de moyens.

    Principe luciférien a toujours recouru la horde des Bibi, Brak et Doberman.

    Malheureusement, ils avaient oublié ces images de soldats du Tsahal sanglotant  après le cuisant échec que leur a infligé le Hezbollah en 2006. Il faut voir ces images pour réaliser les gifles reçues par l’armée «la plus immorale du monde». Quant aux récentes images de 2012, elles nous montrent des soldats sionistes couchés à même le sol, bouchant leurs oreilles assourdies par les déflagrations des missiles de la résistance. Une scène qui nous rappelle de fait l’héroïsme d’une meute face à une pauvre victime esseulée.

    Ces images ont suscité de nombreuses critiques. Critiques également de l’échec qui est apparu après la fin de la censure militaire sur les médias. Dans ce contexte, Aryeh Eldad, un membre de la Knesset, a déclaré : «L’annonce de la trêve signifie qu’Israël a hissé le drapeau blanc et soumis au terrorisme (la résistance palestinienne, NDLR)». Et d’ajouter : «Nous avons demandé à Netanyahu de quitter l’armée car il s’est soumis tel un chien».

    Un autre membre de la Knesset, Michael Ben Ari, a demandé au Premier sinistre Bibi le fou de  démissionner suite à son incapacité à gérer la récente agression contre Ghaza, l’accusant de «conduire Israël vers l’échec». Le chef de l’opposition israélienne et le chef du parti Kadima, Shaoul Mofaz, ont déclaré : «Hamas a triomphé et Israël est le grand perdant. Au lieu de laisser l’armée israélienne travailler à détruire Hamas, le gouvernement de Netanyahou a mis fin à la campagne vainement et sans pouvoir réaliser l’objectif de l’opération militaire».

    Ils ont aussi appelé Netanyahu à démissionner. Quelle explication plausible à ces colères en chœur ? Apparemment, les membres de la Knesset ont été touchés dans leur orgueil au moment où l’un des missiles à longue portée lancé par la résistance a atteint leur fief à Jérusalem. En d’autres termes, ce n’était qu’un simple message à ces dictateurs de la pensée sioniste qui devraient dorénavant mesurer la portée de leur politique parce que les Palestiniens disposent également de missiles à longue portée. Dans la foulée, une manifestation a eu lieu mercredi hier soir, à Ashdod et Sderot, appelant Bibi à regagner son asile et que ce qui s’est passé présente un échec catastrophique du gouvernement israélien.

    Cela dit, tout le monde semble être d’accord sur le fait que les chiens de Bibi se sont cassés les dents en prenant un os pour de la chair tendre. Tant pis pour eux, la prochaine fois, ils doivent s’armer de dentiers en acier.

    Chérif  AbdedaÏm, La Nouvelle République du 24 novembre 2012

    http://www.lnr-dz.com/index.php?page=details&id=19640

    http://www.palestine-solidarite.org/analyses.Cherif_Abdedaim.241112.htm

    Et voici le reportage photographique de ZIAD MEDOUKH

    Bonjour de Gaza

    Quelques photos de Gaza la détruite, Gaza la martyre
    Destruction massive: maisons- stades- immeubles-bâtiments-écoles-banques-bureaux-centres commerciaux 
    Ruines partout à Gaza
    Pour que le monde entier comprenne la  barbarie de cette occupation coloniale
    Nous n’oublierons pas l'histoire noire de cette occupation aveugle
    Nous allons tout reconstruire avec notre volonté remarquable
     

     





     

     

     
     
     
  • PRESSE, LIBERTE EXPRESSION, CRIF, JOURNALISME, JUIF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, PALESTINE, GAZA


     
    La formation des étudiants en journalisme confiée … au CRIF

     



     

    Le « directeur des études » de l’Ecole Supérieure de Journalisme (ESJ) de Lille vient de faire fort, en matière d’indépendance de la presse, en confiant au CRIF la formation de ses élèves.

    Le site Rue89 a en effet révélé mardi, sous le titre « Le CRIF envoie des étudiants en journalisme en Israël », le prochain départ, financé et organisé par le lobby israélien en France, d’une soixantaine des élèves de l’école, pour un séjour de 9 jours en Israël.

    Dans leurs déclarations à Rue89, les représentants du CRIF ne cachent pas (pourquoi se gêneraient-ils, d’ailleurs ?) qu’ils ont bien l’intention de bourrer le crâne des futurs « journalistes » avec un programme à leur sauce, dont la Palestine occupée et le peuple palestinien seront bien évidemment absents.

    Mais cela ne gêne pas notre « directeur des études », M. Pierre Savary. De fait, nous apprend Rue89, la première réaction d’un certain nombre d’étudiants, quand le projet a été connu, a été une saine réaction de méfiance et de rejet, face à une entreprise aussi flagrante de propagande. Le directeur des études veillait cependant au grain, et il a « fini par les convaincre que le voyage serait équilibré », poursuit Rue89.

    Pour ce qui est de l’équilibre, M. Savary est apparemment un expert : ainsi, dit-il , un journaliste ne doit pas forcément parler des « colonies », il peut tout aussi bien reprendre le terme « implantations », exigé par le CRIF et les différents services israéliens. Les termes de « colonies » et « colonisation » sont pourtant ceux employés officiellement dans le monde entier, y compris par le gouvernement français, peu suspect de sévérité vis-à-vis d’Israël comme on le sait.

    De même, il n’est pas sûr, selon M. Savary, que la ville de Hébron soit palestinienne, « tout dépend où l’on place le curseur historique » !

    Un peu gêné quand même aux entournures, Pierre Savary annonce que le voyage n’est pas concocté à 100 % par le CRIF, et qu’il a lui-même pris des contacts avec Breaking the Silence, une organisation d’anciens soldats devenus contestataires. M. Savary ne précise pas si un rendez-vous effectif a été fixé et encore moins si ses chaperons israéliens permettront une éventuelle rencontre.

    Rappelons tout de même à M. Savary, qui ambitionne de devenir le patron de l’école dans quelques mois, que l’ESJ vit des deniers publics, sous la forme d’une subvention annuelle du ministère de l’Enseignement supérieur. Et nous disons aux élèves de l’école que leur premier réflexe, celui de la méfiance face à une tentative de formatage de leur esprit critique, était le bon : ils n’ont pas à cautionner par leur participation l’étranglement du peuple palestinien, qui se poursuit jour après jour, à l’abri des regards.

    Enfin, nous invitons nos lecteurs à interpeller la direction de l’ESJ à propos de sa scandaleuse initiative, en écrivant à :

    esj@esj-lille.fr

    ou bien : M. Pierre Savary, Ecole Supérieure de Journalisme, 50 rue Gauthier de Chatillon 59000 Lille (tel 03 20 30 44 00)!

     

    CAPJPO-EuroPalestine

    NOTES DE L'ECHO des MONTAGNES:

    La rédaction de l'ECHO des MONTAGNES demande à Pierre SAVARY, si le rapport de l'ONU, occulté par le lobby juif, concernant le "droit à l'alimentation dans les territoires palestiniens occupés" sera donné aux stagiaires de FRANCERAËL ou sera au programme une fois arrivé en USRAËL!

    Pour faciliter la tâche à SAVARY, l'ECHO des MONTAGNES, lui donne le rapport en question pour diffusion à ses élèves, chiche!

         Pour lire le rapport,, cliquez sur (Ebook Fr) Ziegler Jean. Droit à l'alimentation dans les territoires palestiniens occupés. Rapport ONU occulté par lobby juif. Palestine

     

    Frédéric BERGER, rédacteur en chef

     


  • SAVOIE, INDEPENDANCE, AVOCAT, FABRICE BONNARD, LA NOUVELLE REPUBLIQUE, CHERIF ABDEDAÏM, P.L.S., ECHO DES MONTAGNES, SAVOIE INDEPENDANTE

    L'ECHO des MONTAGNES a l'honneur de vous communiquer l'interviouve, paru dans le journal: " la NOUVELLE REPUBLIQUE "à Alger.

    Cet interviouve a été réalisé par M.Chérif Abdédaïm, journaliste, écrivain, poète, chanteur et musicien.

    Il est journaliste à la NOUVELLE REPUBLIQUE d'ALGER.

    Cet interviouve concerne l'Indépendance et la Souveraineté de l'ETAT de SAVOIE.

    Pour lire cet interviouve exclusif, cliquez sur:

                         interviouve de maître FABRICE BONNARD

  • TIBHIRINE, MOINES DE TIBHIRINE, ALGER, ALGERIE, GIA, MOHAMED ISSAMI, LE SOIR d'ALGERIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     Dans le légitime but de vous informer, l'Echo des Montagnes, continue son investigation, concernant l'assassinat des moines de TIBHIRINE, en Algérie.

     

    Dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, sept moines trappistes du Monastère de Tibhirine, en Algérie, sont enlevés lors de la guerre civile algérienne, et séquestrés pendant deux mois. L'assassinat des moines est annoncé le 21 mai 1996, dans un communiqué attribué au Groupe islamique armé. Les têtes des moines décapités ne sont retrouvées que le 30 mai 1996, non loin de Medea, mais pas leurs corps, ce qui suscite les doutes sur la thèse officielle expliquant leur décès.

     

    Clic sur la photographie, merci:




    Votre journal vous livre l'enquête du journaliste MOHAMED ISSAMI, spécialiste en matière de terrorisme en Algérie, et retrouvé mort le lundi 20 avril 2010, dans sa chambre d'hôtel.

     

    Par Badiaa Amarni

    Mourir seul et à des centaines de kilomètres de chez soi, sans personne à ses côtés, est sans doute la pire des morts. C’est ainsi qu’est parti le journaliste Mohamed Issami, de son vrai nom Mohamed Rouabhi, retrouvé mort lundi dernier dans sa chambre à l’hôtel El Manar de Sidi Fredj. N’ayant pas donné signe de vie, sa famille a pris attache avec l’un de ses proches collègues qui a tenté
    de le contacter dans sa chambre mais sans succès. Inquiet, il avise l’administration. Celle-ci, sans tarder, a pris la décision de défoncer la porte. Il était déjà mort. Aussitôt, la Protection civile et la gendarmerie sont arrivées sur les lieux. Vers 21 h, l’ambulance du secteur sanitaire de Zéralda est arrivée avec l’équipe médicale pour constater le décès et évacuer le corps à la morgue de l’hôpital de Zéralda où il passera la nuit avant de subir, hier, une autopsie pour déterminer les causes de son décès.
    La nouvelle de son décès s’est répandue comme une traînée de poudre parmi ses collègues et confrères nombreux à habiter cet hôtel. Les journalistes affichaient une tristesse sans égale.
    La consternation et la douleur se lisaient sur tous les visages.
    Le directeur du journal le Soir d’Algérie, la dernière halte du défunt, a tenu à être présent.
    Les témoignages recueillis sur place s’accordent à dire que le défunt «est rentré à l’hôtel dimanche en début de soirée comme à l’accoutumée, avec son café et sa cigarette à la main», nous raconte un agent. Des collègues disent qu’«il souffrait ces derniers temps de difficultés respiratoires». Tous ses collègues lui reconnaissent «son talent» comme journaliste, mais aussi ses qualités humaines, notamment «sa modestie et sa timidité».
    Mohamed Issami s’en est allé seul à l’âge de 60 ans, sans faire ses adieux à sa famille, à ses amis et à ses collègues et sans finir l’œuvre qu’il a commencée sur le terrorisme. En effet, journaliste spécialisé et connaisseur du monde rural, il s’est distingué par ses écrits et ses investigations sur le terrorisme dont il a fait une autre spécialité. Il avait même publié un livre sur le terrorisme intitulé
    Au cœur de l’enfer.
    La presse est à nouveau endeuillée, cinq mois après le décès de Chawki Madani, journaliste à El Khabar, dans une chambre du même hôtel. Père de trois enfants, Mohamed Issami a travaillé dans de nombreux quotidiens nationaux, notamment le Patriote, Ouest Tribune, la Voix de l’Oranie, le Matin, El Watan et enfin le Soir d’Algérie. 

     

    Notre collègue et ami Mohamed Rouabhi, plus connu sous son pseudonyme «Mohamed Issami», nous a quittés à tout jamais, en ce triste lundi 19 avril 2010.

    Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - 

     

    Mohamed est décédé à l’âge de 61 ans, dans sa chambre de l’hôtel El-Manar, de Sidi-Fredj à Alger. N’ayant plus donné signe de vie depuis qu’il avouait, en début de semaine à sa famille résidant à Oran, qu’il était un peu malade, l’inquiétude de ses amis et collègues vire au cauchemar en cette sinistre fin de journée de lundi. Notre confrère et ami Mountassar Oubetroun, très proche du défunt, avait, hélas, raison d’être plus inquiet que nous autres : «Allah yerrahmou», arrivaitil difficilement à prononcer. Une phrase péniblement arrachée à l’émotion et aux sanglots lors de cet énième appel téléphonique. Mohamed Rouabhi nous quitte et laisse derrière lui une veuve et quatre enfants d’une dignité exemplaire. Mais aussi une œuvre qui fait autorité. Natif de Frenda, Mohamed n’a jamais dévié de sa trajectoire et de son engagement politique pour une Algérie démocratique et moderniste. Un idéal pour lequel il sacrifia toute sa jeunesse dans les rangs du PAGS, du temps de la clandestinité. Et c’est ce même idéal aussi qui lui fera, tôt, ouvrir les yeux sur le plus grand danger qui menaçait — et qui atteindra malheureusement — ce rêve et cet idéal : l’islamisme politique et son prolongement fatal, le terrorisme.

     

     Son parcours journalistique de ces dernières décades, depuis Alger républicain, Le Matin, El Watan, La Tribune de l’Ouest, La Voix de l’Oranie et, enfin, Le Soir d’Algérie est entièrement consacré à cela. Mohamed Issami était non seulement un spécialiste de la question sécuritaire, mais aussi un connaisseur hors pair des nuances les plus insoupçonnées a priori entre les différents groupes armés islamistes, leur histoire, leur répartition géographique, leur prolongement «politique» (djazariste, salafiste, etc.). Il était le premier à «déceler» l’empreinte d’Al Qaïda au Maghreb, par exemple. Au cœur de l’enfer, c’est le titre d’un remarquable livre dans lequel il relate la terrible décennie 90. 

     

    Lors de son dernier passage à la rédaction du Soir d’Algérie, le mercredi 14 avril dernier, Mohamed proposait un projet d’une série de livres, tous consacrés au terrorisme, et sollicitant une contribution du Soir d’Algérie pour leur édition. Hélas, le sort en a décidé autrement. Mohamed n’a eu que le temps d’envoyer son dernier article, vendredi, paru samedi dernier. L’homme qui a inlassablement mené la guerre aux terroristes à travers ses écrits a été inhumé hier en fin de journée au cimetière de Aïn-El-Beïda à Oran. Repose en paix, cher collègue et ami.
    K. A. 

     

    Pour lire la vérité de l'assassinat des moines de TIBHIRINE, clic sur le lien suivant:

     

                           Moines de TIBHIRINE

    à Dieu

     

    Frédéric BERGER