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France - Page 6

  • NIKOLA ALEKSIC, OGM, CHEMTRAILS, TOUR DE FRANCE, JUIF, FRANC-MACON, JESUITE, PEDOPHILE, VATICAN, DOLLAR, EURO, OR, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                                        OGM  et CHEMTRAILS

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous a informé , qu'un député courageux serbe (en France, il n'y en a presque pas, car ils sont Usraéliens),

    a dénoncé les OGM et les Chemtrails, pour vous en souvenir, si besoin est, cliquez sur:

                                       SERBIE, NICOLA ALKSIC, SIONISME, OGM, CHEMTRAILS, PEDOPHILIE, TOUR DE FRANCE, JUIF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Résultat des courses, lisez simplement l'article suivant et vous comprendrez que les francs-maçons-jésuites-talmudiques tuent pour garder leur pouvoir putatif:

     

    Dans cette vidéo remarquable en provenance de Serbie, Nikola Aleksic, directeur du Mouvement écologique du Novi Sad, émet un avertissement sévère au président Boris Tadic pour arrêter l'importation des aliments basés sur les OGM et l'arrêt de la pulvérisation de chemtrails par des avions banalisés ou il appellera et dirigera personnellement les gens de la Serbie à descendre dans les rues. Il conclut son discours en disant: «Vous pouvez être sûr que moi, Nikola Aleksic, garderai ma parole - même au prix de ma propre vie".

    http://lesmoutonsenrages.fr/2011/10/02/tentative-dassassinat-de-nikola-aleksic/

    Tentative d’assassinat de Nikola Aleksic…

         

    Tentative d’assassinat de Nikola Aleksic… en Serbie !  Celui qui demandait à son gouvernement d’abattre les avions « chemtrails » !

    http://www.examiner.com/human-rights-in-national/anti-chemtrail-rights-defender-assassination-attempt#comments

     

     

     

     

  • TOUR DE FRANCE, EPO, CRIF, LICRA, JUIF, JERUSALISTE, SATAN, DIEU, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Procès BDS D’Alençon : les Tartuffes démasqués !

    jeudi 27 juin 2013
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    Si les Ghozlan, Goldnadel & Co avaient voulu populariser le boycott d’Israël, ils ne s’y seraient pas pris autrement ! Les quelques 200 soutiens à la campagne BDS qui se sont relayés dans la salle d’audience ce jeudi 27 juin, de 9 du matin à 16 H 30, n’ont pas été déçus. Un vrai festival : 7 prévenus déterminés et sûrs de leur bon droit, dont le doyen Pierre Fresnay, 80 ans, qui n’a pas la langue dans sa poche, 5 autres retraités de la fonction publique, et la cadette, une institutrice de 54 ans, 4 témoins de grande qualité, et une plaidoierie admirable de l’avocate de la défense, Me Dominique Cochain !

    C’est le procès de l’hypocrisie qui s’est déroulé aujourd’hui à Alençon où 7 militants ayant participé à une action de boycott dans un magasin Carrefour Market de la ville en février 2010, comparaissaient pour répondre dont on ne sait pas vraiment quels faits, puisque le Parquet qui a entamé ces poursuites n’ a pas été capable de motiver ses reproches.

    Ils sont en effet allés à une vingtaine ce jour là dialoguer avec le responsable du magasin pour lui demander d’enlever des produits étiquetés « Israël », mais sans la moindre traçabilité, et ayant de très fortes chances de provenir des colonies illégalement installées dans les territoires palestiniens occupés.

    Ce que le responsable du magasin a fait de bon gré, n’ayant pas d’argument à leur opposer. Il a même refusé de déposer plainte, précisant lors de l’enquête que tout s’était passé de manière très courtoise et sans le moindre trouble à l’ordre public.

    Les clients à l’entrée du magasin ont quant à eux reçu un tract les mettant en garde sur les tromperies sur la marchandise présente dans certains rayons et leur demandant de ne pas encourager la colonisation israélienne.

    Plusieurs prévenus ont d’ailleurs porté plainte auprès du procureur contre le caractère trompeur et frauduleux de l’étiquetage de certains fruits et légumes, mais leur plainte a été classée sans suite !

    En revanche, les demandes de la Chambre de Commerce France-israël, malgré le caractère irrecevable de cette association qui n’a pas qualité pour porter plainte contre une « incitation à la haine raciale » ainsi que celles des autres officines israéliennes que l’on retrouve dans tous les procès BDS, ont été prises en compte malgré leur absence totale de fondement ;

    Elles accusent en effet ces militants (pris au hasard sur la vingtaine qui ont participé à cette action) de discrimination raciste (en détournant comme d’habitude l’article de loi qui punit les « discriminations contre une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine, leur ethnie, leur religion ou leur nation ») et d’« entrave à l’exercice normal d’une activité économique ».

    Ainsi Me Markovitch qui représentait à lui tout seul les 4 parties civiles se faisait-il à la fois le défenseur :

    • des « pauvres consommateurs qui n’avaient pas pu trouver d’avocats israéliens dans les rayons de ce supermarché » pendant quelques heures
    • des travailleurs palestiniens lésés dans leurs ressources économiques par cette action vu que ce sont souvent eux qui récoltent ces fruits et légumes dans les colonies (sic)
    • de la nation israélienne
    • et plaidait une fois de plus que le boycott des produits israéliens pouvait choquer des âmes sensibles, à la vue d’images représentant des oranges sanguines, ou pousser à l’antisémitisme des imams qui décrètent des fatwas contre les juifs...

    Un vrai catalogue à la Prévert, M. Markovitch ayant surmonté depuis longtemps toute peur du ridicule, lui qui se promène à tous les procès avec deux gardes du corps pour assurer sa « sécurité ».

    Alain Bertin, Joseph Montier, François Tollot, Pierre Fresnay, Chantal Mallet, Nicole Busnel et Christine Coulon, ont d’abord défilé à la barre pour expliquer le caractère politique de leur démarche et la revendiquer, dans la mesure où ils ne voient pas de meilleur moyen de soutenir la cause palestinienne dans un contexte de violation de tout le droit international et des droits de l’homme par Israël, avec la complicité de nos gouvernants.

    Pierre Fresnay qui a personnellement vécu l’Exode pendant la deuxième guerre mondiale et participé au boycott des oranges outspan pendant la ségrégation en Afrique du Sud a promis que s’il a la chance de vivre aussi longtemps que Stephane Hessel, il consacrerait ses prochaines 14 années à lutter contre l’expulsion et le nettoyage ethnique des Palestiniens, s’il le fallait, et ne cesserait de boycotter Israël que lorsque le peuple palestinien aura retrouvé sa liberté et son foyer.

    Leurs quatre témoins,, Alain Krivine du NPA, Alain Bosc de la Cimade, Jean-Claude Lefort, ex-président de l’AFPS, ainsi que Daniel Lévyne de l’UJFP, ont complété leurs arguments, en faisant valoir notamment que :

    • des millions de professions de foi de la LCR comprenant tout un paragraphe pour appeler au boycott d’Israël, ont été validées sans problème par la Commission ad hoc lors des élections européennes de 2009 !
    • la majorité des parlementaires européens avaient eux aussi appelé à suspendre l’accord commercial entre l’Europe et Israel en 2002, du fait du non respect des droits de l’Homme par cet Etat et que personne ne les avait poursuivis en justice pour antisémitisme.
    • que seul le boycott d’Israël était systématiquement mis en cause alors que tous les autres appels à boycotter d’autres pays ne posaient aucun problème....
    • que c’était le monde à l’envers d’accuser de discrimination des personnes qui luttent justement contre les terribles discriminations que subissent les Palestiniens depuis des décennies.

    Me Dominique Cochain a réduit en miettes les pseudo-arguments des parties civiles et de la Procureure qui a demandé aux juges d’entrer en condamnation et requis une amende de 1000 euros contre chaque prévenu.

    Après avoir montré la nullité de toute la procédure : problèmes de prescription, absence de motivations des accusations, double qualification (incitation à la haine raciale et entrave économique), elle a mis en cause le système judiciaire qui ose produire des circulaires aussi aberrantes que celle de Mme Alliot-Marie, s’appuyer sur ses mensonges (concernant notamment les produits casher), et donner aux parquets des ordres qui relèvent de toute évidence de consignes politiques détournant sans scrupule le droit.

    Elle s’est indignée que l’on ose évoquer la « violence morale ou verbale » du boycott quand on ne s’émeut pas de la violence réelle qui s’exerce quotidiennement contre la population palestinienne, à coup de bombes au phosphore, d’emprisonnement, de torture des enfants, de démolitions de maison, de murs et de miradors.

    Elle a également souligné le peu de respect du droit international des parties civiles, qui continuent dans une enceinte judiciaire, à parler de « territoires disputés ou contestés », refusant le qualificatif de « territoires occupés » pourtant établi par la France.

    Et ce lobby israélien n’a qu’un objectif, a-t-elle martelé : faire taire tous ceux qui se sentent concernés par le sort des Palestiniens. Et ce n’est d’ailleurs pas uniquement le boycott des produits israéliens qu’ils veulent faire interdire, mais toute manifestation, toute exposition, toute conférence universitaire, tout reportage qui montre la réalité de l’occupation israélienne.

    Alors, Mesdames et Monsieur les juges qui rendrez votre jugement le 19 septembre, un peu de dignité et de courage, un peu de considération pour votre propre métier !

    CAPJPO-EuroPalestine

  • DOCTEUR MARIE-HELENE GROUSSAC, DOCTEUR YVES GODARD, SAVOIE, BRETAGNE, ECOSSE, PARIS, CDCA, CAF, URSSAF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                AFFAIRE GODARD

    ou

                                               CRIME D’ÉTAT

                                                                                                                  1ère partie

    L’ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous fait part des dossiers du docteur MARIE-HÉLÈNE GROUSSAC.

    Cet article sera suivi par d’autres dossiers explosifs du docteur GROUSSAC.

    Il s’agit ici d’un crime d’état, dans la même région du « suicidé Maître  OLIVIER METZNER » et un peu plus loin, à Paris, de Monsieur NOËL ROBIN, sous-directeur des affaires économiques et financières à la police judiciaire de Paris! Dénominateur commun entre l’avocat et le policier, le dossier BETTENCOURT.

    Dénominateur commun avec le dossier GODARD: crime d’état!

    Le 09 janvier 2012
    AFFAIRE GODARD

    Hier soir, sur TV2, émission sur la disparition de la famille Godard, une nouvelle fois, sans
    changement par rapport aux émissions du passé : en clair, toujours la même hypothèse
    devenue un dogme.

    Il a tué son épouse, c’est sûr, tout le prouve, puis il est parti avec ses deux
    enfants. Et, de nouveau, les différents éléments du « pseudonaufrage » passés en revu. Et de
    nouveau les papiers du corbeau, les petits cailloux du Petit Poucet, non je veux dire les cartes
    plastiques distribuées, toutes au même endroit, de main humaine et sur des années.

    images

    Et de nouveau, la théorie, elle aussi présentée comme « vraiment vraie », il s’est suicidé en mer
    avec ses enfants. Bref, cette émission n’apporte rien de plus que les précédentes. Alors
    pourquoi récidiver?
    La solution est évidente : si tous les intervenants son morts, extinction de cette affaire, finies
    les enquêtes, finie une affaire devenue, au fil du temps, « emmerdante », c’est-à-dire à
    risques. A risques pour qui ?

    J’ai trouvé l’enquêteur très « méthode Coué » pour lui-même … et pour les auditeurs. On
    nous a montré l’ampleur de l’enquête, son coût, et pourtant, moi qui est fait un rapport en 22
    pages où la comparaison avec deux autres affaires apportait un éclairage intéressant, je ne fus
    pas auditionnée. Pourtant, cela aurait coûté moins cher et cela aurait rapporté plus à l’enquête.
    Mais cela aurait aussi mis en exergue une communauté de faits, donc un système, … donc
    peut-être une affaire d’état ? Et le voulait-on ?

    Quelques mois auparavant, un livre paraissait aux éditions « les arènes » : l’assassinat du Dr
    Godard. Je l’ai décortiqué. Pour la première fois, une hypothèse bien plus logique que la seule
    érigée en dogme (la tuerie puis le suicide) était argumentée : la famille avait été tuée, enfin
    pas tous. Le livre conservait cependant l’hypothèse initiale, à savoir Yves Godard a tué son
    épouse

    . Est-ce le fait que l’auteur est un journaliste à TV2 et TV5 ? Est-ce l’imprégnation des
    neurones des Français depuis douze ans par cette pseudo-information érigée en dogme, en
    vérité, qui a fait son oeuvre sournoise ? Probablement.
    De toute évidence, il existe un fossé ou plutôt une fosse marine entre le livre et ce que nous
    venons de voir. Aussi, est-il possible que ce soit la sortie du livre qui ait induit cette émission,
    cette fois-ci, télévisuelle, donc vue par un grand nombre de personnes. Pourtant, dans le livre,
    il est toujours question d’un mari qui tue sa femme : cela aurait dû conforter les enquêteurs. A
    aucun moment, ce travail d’enquête ne fut cité alors que des journalistes s’étant penché sur
    cette affaire furent présents. Alors ?
    Alors, le livre est riche d’une enquête sur des faits précis, bien qu’ils n’aient pas été compris.
    On ne voit, comme en recherche, que ce qu’on veut voir ! Il présente aussi une faille, de taille
    marine elle aussi, l’oubli de l’étrange voyant extralucide qui reçut un audit télévisuel
    important. A ce moment-là, il n’était plus question de sectes qui sentent le souffre comme
    dans la présentation de certaines fréquentations de Godard !

    Cet homme, proche d’Avranches, amena les enquêteurs sur la piste du corps de Marie-France, l’épouse de Yves, dans le
    cimetière de Lingèvres. De fait, sous le tas des fleurs fanées, on trouva des restes humains de
    femme, dont l’ADN se révéla ne pas être celui de Marie-France.

    Ce fait fut rapidement escamoté, comme d’autres d’ailleurs sur lesquels je reviens plus loin. Ce fait aurait pourtant
    permis de comprendre que Yves n’avait pas tué son épouse et que des individus, liés d’une
    manière ou d’une autre aux acteurs de ce scénario macabre, savaient où se trouvait le corps.
    « Oublier » ce fait avait-il un but : ne pas déroger à la théorie d’un drame au sein du couple,
    continuer de salir Yves Godard ? En cela, l’auteur du livre ne s’éloigne pas de l’émission
    télévisuelle.

    Hier soir, il fut question de cette information et, là, les restes humains sont
    devenus de simples ossements vieillis. Tout un chacun sait qu’on trouve facilement des
    ossements humains, au moindre coup de binette dans les cimetières ! L’enquêteur fut très
    évasif sur ce point et pourtant, le cimetière de Lingèvres diffère des autres présents aux
    environs. Il est récent, aux larges allées et … très en dehors du bourg, ce qui constitue des
    caractéristiques intéressantes pour une éventuelle opération. Certes, dans l’un des vieux
    cimetières environnants, il aurait été possible de trouver des ossements mais des restes
    humains dans un cimetière neuf … bizarre, bizarre…
    Il est étonnant que, durant cette émission, l’enquêteur ne souleva même pas l’existence de ce
    livre, qui n’exclue pourtant pas son hypothèse initiale. Alors ?

    Alors, il y a un « hic » : le livre fourmille de détails sur l’affaire et sur d’autres, possiblement
    en lien. Sur ce point, l’auteur a effectué un réel travail d’enquête. Imaginons que des acteurs
    de cette affaire lisent ce livre : ils vont voir que la méthode Coué a, certes, très bien
    fonctionné mais ils vont voir aussi le danger que représentent certaines informations, qui
    pourraient un jour amener la découverte de la vérité … pour peu que des individus en
    effectuent une autre lecture.

    Si les acteurs de cette macabre histoire ont lu ce livre, nul doute
    qu’ils n’aient perçu le danger … pour eux. Alors, de tenter de resservir une autre histoire par
    les médias pour noyer le poisson ? Cela signifie du même coup qu’ils ont la possibilité de
    manipuler les médias ou de les utiliser : cela n’est pas donné à tout le monde !
    Ce qui est particulier dans cette affaire, totalement hors normes, c’est le nombre
    « étrangetés ».

    La première porte sur les personnes décédées. Marie-France est décédée
    sans que l’on ait retrouvé son corps. Yves est décédé, c’est sûr depuis la découverte des os de
    membre inférieur. On pouvait s’en douter plus tôt, le jour de la découverte du crâne de
    Camille, lorsque le même chalut remonta le haut d’un crâne, avec des arcades sourcilières
    proéminentes, ce qui signe qu’il s’agit d’un homme et non d’une femme ou d’un enfant. Ce
    crâne fracturé fut rejeté en mer. Chose étonnante, tout au début de la découverte, la presse et
    la télévision parlèrent de la tête probable du père puis plus rien … ou si, elle fut tout
    simplement escamotée. Ce point est intéressant car il n’est pas anodin : il permettait de voir
    Yves Godard à travers le monde, ce qui fut rappelé dans la dernière émission mais pas dans le
    livre. Il permettait un montage malsain, visant à présenter cet homme comme un salaud.

    Quelle perversité ! Non seulement, il a été assassiné, non seulement, on lui a mis l’assassinat
    de sa femme sur le dos, mais on a délibérément continué de le salir : beau pays que la France !

    Puis lorsque tous ces Yves Godard vus à travers le monde s’évanouirent, après une période de
    redécouverte de l’existence de la tête de Yves, une nouvelle période d’escamotage de son chef
    s’ensuivit : devenue inutile depuis l’apparition des deux os ? Ou plutôt non, elle fut
    rapidement recyclée … en tête de Marius :l’intérêt ? Allons, c’est évident. Deux os + deux
    têtes = trois individus ; pour Marie-France la quantité de sang perdu implique nécessairement
    une mort violente. Donc quatre morts : le compte est bon … pour clore une affaire vraiment,
    vraiment emmerdante pour tout le monde !

    Revenons à l’enquêteur de l’émission du 08 janvier dernier, celui qui connaît plus que bien
    cette affaire. Il commit tout de même de curieuses erreurs, pour quelqu’un qui connaît le sujet,
    erreurs que ne commit pas l’auteur du livre : nombre d’enfants du premier mariage de Yves,
    plaid plein de sang. Ce dernier détail s’appelle prendre des vessies pour des lanternes,
    autrement dit prendre ses désirs pour des réalités : dans le livre, le plaid est lavé depuis
    quelques jours dans la machine à laver. C’est la fille aînée de Marie-France qui le sort et le
    remet en place, lors de son premier passage, début septembre. A ce stade, rien ne lui apparaît
    anormal au point que les enquêteurs envahissent la maison pour l’investigation après deux
    autres jours. Ce n’est pas tout à fait pareil, surtout dans une affaire criminelle !

    Les restes humains d’une femme présent sous le tas de chrysanthèmes et autres fleurs
    défraîchies sont devenus des ossements enterrés : là encore, ce n’est pas tout à fait la même
    chose ! Cela, de plus, ne colle pas avec le type de cimetière, trop neuf ! Cela commence à
    faire tâche dans le tableau brossé.

    Les douaniers ont vu Yves Godard vers le port de l’anse Bréhec, où il est décrit comme un
    suspect et les enfants comme drogués au fond du bateau. Dans le livre, Yves et ses enfants
    sont allés acheter des glaces à la petite échoppe de la plage, sans se cacher. L’interprétation de
    l’auteur du livre me semble meilleure que celle de l’enquêteur : Yves Godard attendait
    quelqu’un mais qui ? Sa femme ? C’est possible. Plus tard, des personnes ont vu le bateau,
    sans ses occupants, puis un autre témoin vit un homme partir seul à bord de ce bateau, alors
    que Yves et ses enfants étaient vus à Roscoff, sur l’embarcadère. Tout cela ne colle pas avec
    une autre couleuvre que l’on essaie de nous faire avaler : Yves Godard aurait sabordé son
    bateau (facile et on nous montre comment faire) en tuant ses enfants et en se suicidant. Oui
    mais voilà, précédemment des marins avaient expliqué et c’est repris dans le livre, ce bateau,
    s’il avait coulé, aurait explosé et de multiples débris auraient été trouvés, ce qui ne fut pas le
    cas …là encore, cela sent le montage !

    L’auteur du livre démontre, et je le croîs volontiers, qu’Yves Godard était bien à l’île de Man
    une semaine après son départ, puis sur l’île Lewis, en Ecosse. De fait, c’est ce qu’indique les
    billets du corbeau. Tous les détails que l’auteur donne trahissent la vérité. Il est donc bizarre
    que l’enquêteur passe sur cette épisode, avec une attitude visant à le minimiser, traduisant le
    ridicule de cette idée par une mimique adaptée … mais en donnant toutefois précisément la
    durée du séjour sur Man. Je le cite : du 7 au 14 septembre. Pourquoi ? Est-ce parce que le
    risque encouru par les acteurs de ce crime familial, risque dont je fais état plus haut, se situe
    précisément à ce moment-là ? J’ai l’impression que cette partie de l’histoire est elle aussi
    volontairement escamotée.

    L’auteur du live a interrogé suffisamment de témoins pour que la
    présence de Yves et de ses deux enfants soit avérée. Un homme voit Camille en train de
    pleurer sa maman : elle a compris que sa mère n’est plus de ce monde ; Marius est plus jeune,
    il n’a pas été vu dans le même état. Les tabloids anglais qu’ils avaient pu voir faisaient état de
    la disparition de la famille et de la mort quasi certaine de Marie-France. L’auteur signale qu’il
    y a avait, à l’hôtel à Douglas, ville de l’île de Man, une femme qui donnait des ordres aux
    deux enfants. Cette dernière aussi est escamotée : pourquoi ? Qui est-elle ? Elle est ensuite
    vue à Lewis, toujours avec Yves Godard et les enfants. Yves interpelle une passante qui ne
    peut que s’en souvenir car il signale qu’il est français, qu’il est médecin, il fait froid et sombre
    et les enfants sont habillés comme en été. Bizarre, bizarre. N’est-ce pas là un signe que les
    vêtements des enfants n’étaient pas adaptés parce que le séjour à Lewis n’était pas prévu ?

    Que Yves Godard faisait tout pour se faire repérer ? N’est-ce pas là l’attitude d’une personne
    tombée dans un piège et qui tente, discrètement, par tous les moyens, d’éveiller l’attention et
    donc d’alerter autant que faire se peut ? N’est-ce donc pas lui l’informateur du corbeau ?
    Visiblement, l’auteur n’a pas compris mais cela ne veut pas dire qu’une autre personne ne
    comprendra pas un jour : est-ce là le danger que l’on veut éviter ?

    L’auteur suit les traces de Yves Godard jusqu’à Lewis, puis sur le ferry vers la terre ferme,
    puis vers Inverness puis vers un petit bourg sur la côte nord de l’Ecosse. Visiblement, l’auteur
    ne comprend pas parce qu’il n’a pas les bonnes cartes pour le faire et pourtant… Autant
    l’attitude de Yves que celle des enfants, si l’on considère qu’il ne sont plus libres, devient plus
    explicite. La femme est toujours là, cela signifie que le père et ses enfants sont sous sa
    surveillance. Dès lors, on commence à percevoir le danger, pour les acteurs, que l’affaire
    réelle soit découverte. Par exemple, le papier écrit par Yves à destination des autres enfants et
    trouvé dans la maison pourrait être un signe qu’il partait et que sa femme devait le rejoindre :
    dans ce cas, il a remis ce papier lorsqu’il était dans l’anse Bréhec à un individu dans lequel il
    avait confiance. Il s’est fait piégé et le piège était d’une perversité, d’une étendue hors
    normes.
    Le corbeau, en donnant l’alerte que Yves espérait, entraînait l’activation d’Interpol. Les
    péripéties d’Interpol sont aussi ubuesques : se faire coffrer dans une chambre d’hôtel puis
    conduire à l’aéroport pour un retour sur le sol français, ce n’est pas commun ! On peut dire
    que Yves et ses enfants ont joué de malchance ou plutôt que les acteurs ont joué de chance :
    tout dépend de quel côté on se place. La diplomatie est intervenue : qui dirigeait, en France, à
    cette époque le ministère des affaires étrangères ? Le ministre était forcément partie prenante
    de cette étrange affaire. Aussi, commence-t-on à mieux comprendre l’intérêt de la
    manipulation actuelle, donc de dire que Yves Godard a tué sa famille ?

    L’auteur du livre reste interloqué lorsqu’il découvre le parcours des trois entre Lewis et
    Inverness. Ensuite, seul Yves et sa fille sont vus, pour la dernière fois, sur la côte nord, près
    de la mer, à Thurso. Il s’étonne de cette destination, tout en signalant la présence d’une
    centrale nucléaire et d’un site secret de construction de sous-marins, juste à côté. En fait, sans
    le comprendre, il met en danger les acteurs de cette affaire. L’ensemble industriel si
    particulier est une clé importante de ce dossier, ne ressemble-t-il pas à l’ensemble qui se
    trouve à la pointe de la Bretagne, près de Crozon ? Ce genre d’ensemble est surveillé par des
    services militaires très spéciaux. Faîtes un petit tour sur zones par Google earth et vous
    constaterez que ce type de complexe militaro-industriel possède, à proximité, un aéroport
    militaire. A Thurso, il se nomme Lower Dounreay : est-ce par là que Yves et Camille sont
    revenus sur le sol français, plus exactement sur le sol breton ? Pour qui était la carte expédié
    de là, comportant un nounours ? Il est maintenant facile de deviner, non ? La dernière fois
    qu’ils ont été vus, Marius n’était plus là : alors ? ? De fait, seules les preuves matérielles de la
    mort de Yves et Camille existent vraiment.

    On comprend mieux l’intérêt de faire passer le crâne de Yves pour … celui de Marius ! On a vite compris dans certains lieux le danger que
    constituait cette enquête qui, même en partant du principe que Yves avait tué sa femme,
    risquait de devenir explosive ! Les anglais adorent les chiens et les chats, alors un petit garçon
    de 4 ans et demi ? mais la petite fille de deux ans son aînée ? Non ? Pourquoi ? Trop âgée ?
    Elle avait pris conscience de la disparition mortelle de sa mère ou bien sa présence était-elle
    nécessaire pour la suite de l’opération ?

    En quittant le sol écossais, Yves et Camille savaient ce qui les attendaient, la mort : le second
    billet du corbeau en fait foie. Camille avait 6 ans et demi. Ils ont eu deux mois ou plus pour
    vivre cette condamnation à mort. J’ai souvent pensé, depuis que je me suis approchée de la
    probable vérité, à leurs derniers moments. Y a t il eu, en outre, torture de Yves ? Découpage
    du ou des corps ? En tout cas, vu les délais maximum possibles entre la mise à mort et la
    découverte, il y a eu décapitation des deux, car les têtes ne se détachent pas facilement des
    corps noyés, … le tout, sans jugement, dans le pays des droits de l’homme, qui est, en outre,
    très fier d’avoir aboli la peine de mort ! Pourquoi, si Yves était réellement le tueur de son
    épouse, ne pas le livrer à la justice ? Même Carlos fut jugé après avoir été amené sur le sol
    français d’une manière similaire !

    Yves et sa famille me hantent comme un certain garde des Sceaux fut hanté par le
    « guillotinage » dans les prisons. Le type de mise à mort d’innocents, sporadique mais pas si
    rare que cela dans ce pays, exécutions dont les raisons sont souvent liées à l’occultation de la
    corruption de la « Françafric » au détriment du peuple, m’est insupportable. Elle l’a été dès le
    début de cette affaire.

    Me hantent aussi ceux qui furent les divers acteurs de l’affaire Godard dans son entier. Pour
    les plus intimes de ce crime d’état (car c’est un crime d’état), n’ont-ils pas reçu une prime de
    fin d’année pour leurs hauts faits d’arme ? Avec laquelle ils fêtaient en famille, avec leurs
    enfants, le Noël 1999 et l’arrivée du nouveau siècle, dans le pays des droits de l’Homme ?

    L’auteur du livre qui relie cette affaire avec le CDCA a raison sur certains points : les autres
    assassinats. Le plus curieux est que les enquêteurs sur l’affaire Godard ont contacté, toujours
    dans le but de clore le dossier, d’autres enquêteurs sur certains assassinats de personnes du
    CDCA et ô miracle (ou plutôt non, ô merde ?), on leur donna des tuyaux sur un homme se
    trouvant au Brésil et ayant avoué s’être occupé aussi de Godard et des enfants. Pourquoi la
    télé ne s’est-elle pas penché sur ce rebondissement intéressant ? Pourquoi continuer de vouloir
    clore l’enquête ? Pourquoi ne pas demander l’extradition de cet homme ? Pourquoi étouffer à
    nouveau cette affaire ? N’y aurait-il pas une raison diplomatique, voire de personnel
    diplomatique ? Qui protège-t-on de cette manière ? Assurément, des personnages très, très
    puissants depuis 1999 !

    La CDCA n’avait pas cette possibilité, il suffit d’avoir vu une certain
    émission de télévision il y a quelques années, à une heure de grande écoute et l’effondrement
    de ce syndicat qui s’ensuivit pour comprendre que le véritable lien n’est pas de cet ordre.
    Sur l’interprétation, il a tort : un tel montage, une telle précision, autant de preuves, une telle
    couverture de l’affaire, une telle étendue dans le temps et dans l’espace, une telle utilisation
    des médias signent une affaire d’état, une de plus ! Il a tort aussi sur la limitation des
    corrélations aux décès touchant la CDCA.

    En France, le milieu médical, en particulier celui de
    la médecine et des travaux scientifiques alternatifs, paye un lourd tribu, depuis ces mêmes
    années : n’est-ce pas plutôt dans cette direction qu’il faut rechercher les raisons de cette
    affaire ? Sans compter que le nombre de médecins qui ne supportaient plus des cotisations
    devenues de véritables gabelles et qui se dirigeaient vers la CDCA devenait un véritable
    problème pour le gouvernement en place. Alors, un exemple visant à refroidir certaines
    professions de ne pas passer sous les fourches caudines de l’état français, visant à protéger
    certains circuits financiers opaques? Et là, il faut visiter d’autres affaires simultanées, par
    exemple celle d’un certain journaliste de l’est de la France lorsqu’il démontait les rouages des
    échanges financiers internationaux au Luxembourg.

    Autre exemple, ce que subissait un Normand qui refusa que son logiciel soit trafiqué pour réaliser une « lessiveuse » sur les
    cotisations dues à la CAF et à l’URSSAF. Tiens, mais Godard, révolté, avait décidé de lutter
    contre ce système national de cotisations invivables qui a contribué à broyer l’économie de
    base dans ce pays au bénéfice de l’économie passant par la lessiveuse de Clearstream.

    Bizarre, non ? De tels systèmes n’ont-ils pas été à l’origine de l’affaire de la MNEF ?

    Y a-t-il eu d’autres extensions à ce système, extensions que le docteur Godard dérangeait,
    plus qu’il ne l’avait compris .

    A-t-il deviné cela avant d’être liquidé ? A-t-il été torturé pour savoir ce qu’il savait, ce qu’il avait éventuellement découvert de ces occultes manoeuvres ?

    A-t-il été torturé pour savoir qui d’autre était au courant de ces circuits occultes de fric ? Pour
    les protéger ?

    N’est-ce pas plutôt dans cette direction qu’il faut recherche les causes de cette
    affaire ? Curieusement, dès 2004, la caisse de retraite des médecins lançait une alerte rouge
    sur le taux de suicide des médecins, double de celui de la population, à âge équivalent. Cela
    signifiait que le phénomène avait commencé en 2003, année du rapport 1664, voire en 2002.
    Récemment, on fit, aux informations télévisuelles, pour la première fois, état de ce
    phénomène, soit plus de 9 ans après son début. N’est-ce pas là un des prix à payer d’avoir
    laissé instrumentaliser l’affaire Godard ?

    Pourquoi la France, qui se prétend un état – nation,
    n’a-t-elle pas pris la mesure, en temps utile, de la jacquerie qui montait dans le milieu médical
    afin d’y porter remède, plutôt que de mettre des couvercles sur l’eau qui bout, plutôt que
    d’écraser, manu militari, ceux qui donnaient des signaux d’une dérive en cours ? Que de
    suicides de non révoltés auraient pu être ainsi évités dans les années qui suivirent, sans
    compter la disparition en cours de la profession médicale.

    En conclusion, probablement, plusieurs raisons ont amené au sacrifice de cette famille, plutôt
    qu’une autre. Ce fut un carnage et l’horreur confinant au cynisme. Ne comprend-on pas mieux
    maintenant tous les efforts pour ensabler les cartes, pour blanchir les os et chairs, pour décrire
    un livre à message dans le combi, véhicule curieusement resté ouvert, bref pour « emmurer »
    cette affaire ?

    La justice n’a-t-elle pas amené, par ses compromissions, ce pays dans un système de dictature
    d’un nouveau genre mais dont les méthodes sont universelles ? Avec l’affaire Godard,
    véritable « Tchétchène français », la France n’a-t-elle pas perdu son âme ? Peut-elle encore se
    définir comme une démocratie ??

    Dr Marie-Hélène Groussac

  • SAVOIE, MAÎTRE FABRICE BONNARD, RADIO DES MONTAGNES, ECHO DES MONTAGNES, RALPHE BARETTA, FREDERIC BERGER

    ARMES DE LA MAISOIN DE SAVOIEL’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous donne cet entretien, réalisé par la radio libre et indépendante, la RADIO des MONTAGNES.

    M.RALPHE BARETTA discute et pose des questions, non préparées à l'avance, à Maître Fabrice BONNARD, président du CONSEIL NATIONAL de l’État SOUVERAIN de SAVOIE.

    Entendez cette vidéo, assez longue mais complète, sur le combat pacifique que nous menons en Savoie pour accéder à notre droit, la SOUVERAINETÉ de la SAVOIE.

    Voici la vidéo et félicitations à RADIO des MONTAGNES, radio aussi indépendante que votre journal.

  • VIEUX, ORDURE, RECYCLAGE, SIONISME, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                         RECYCLAGE DES VIEUX

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    L’ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous révèle le dossier du recyclage des vieux.

    Le recyclage de vos ordures  est à la mode en ce moment et génère de vrais bénéfices pour les sociétés qui recyclent.

    Mais une question cruciale se pose: comment recycler les vieux qui n'ont plus d'argent pour se payer un enterrement. Le marché devient lucratif....et les sionistes-jérusalistes se sont emparés de ce marché, bien sur là où il y a du pèze à faire, ils rappliquent au galop!

    Gunther Von Hagens, né Gunther Liebchen en 1945 en Allemagne (le fils caché du docteur Mengele , dans une famille juive à POZNAN) est un anatomiste qui a inventé la plastination, technique qui consiste à conserver des corps (décédés bien entendu ou fusillé). A défaut de rafraichir les vieilles peaux (chirurgien plasticien), il conserve les peaux mortes ; une sorte de chirurgien « plastination » quoi !

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    La ville de POZNAN, ville  à dominante juive polonaise, a un destin d'exploitation des cadavres.

    En effet ,Juda Loew ben Bezalel (1512-1609), Grand-Rabbin de Prague son nom a été associé à la légende du Golem, célèbre dans la culture juive d'Europe centrale,  qui est créature humanoïde d'argile qui se meut si l'on lui appose le nom ineffable de Dieu.

    La plastination est un procédé relativement simple, conçu pour conserver les corps à des fins éducatives et instructives.  La première étape du procédé consiste à empêcher la décomposition en injectant du formaldéhyde dans les artères du corps. Le formaldéhyde tue les bactéries et arrête chimiquement la décomposition des tissus. À l’aide d’instruments de dissection, la peau ainsi que les graisses et les tissus conjonctifs sont retirés afin de préparer les structures anatomiques individuelles. En gros au lieu de mettre le cadavre dans le bocal de formol, on met le formol directo dans le macchabée.

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    Gunther von Hagens  possède une société à Dalian Chine : Von Hagens Dalian Plastination Ltd, ce qui pose la question de la provenance des corps.

    Le fondateur de la société allemande plastinarium.de Gunther von Hagens (68), qui recycle les vieux et les plus jeunes sous formes d'œuvres d'art et qui, peut-être, alimente l'industrie en éléments de base pour la production de produits de beauté et de savon et qui vend ses produits humains sur le Net , sera, selon sa décision, recyclé très bientôt à son tour.

    Atteint de la maladie de Parkinson, ses jours sont dorénavant comptés. L'Allemagne, qui compte une mortalité de 850 000 décès par an, va atteindre le million en 2050 selon l'institut d'économie de Cologne. Pour les Allemands, voulant faire des économies, ou ne pouvant pas régler leurs factures, la fabrique de recyclage de Gunther von Hagens est une solution idéale et devient un véritable fait de société dans un pays cité en exemple.

    Les politiques s'en foutent.Cette industrie de découpage en série et de réalisations « d'œuvres d'art » à partir de cadavres n'a jamais été un sujet évoqué parmi les députés du Bundestag récemment réunis pour parler de la grandeur des valeurs humanistes de la France alors que les élus français citaient au Bundestag Victor Hugo. D'ailleurs, ni les sages du Comité d'éthique allemand, ni les Eurodéputés avec surtout son président Martin Schulz, SPD, qui fut un temps représentant des droits fondamentaux, ne s'inquiètent de cette dérive... « Vous savez cette entreprise est tout à fait légale car les gens signent un contrat », avait d'ailleurs un jour répondu la députée Angelica Schwall-Düren, vice-présidente du groupe parlementaire du SPD au Bundestag de 2002 à 2010 pour l'Union européenne, depuis 2010 ministre chargée des questions fédérales, des questions européennes et des médias et aussi connu pour son rôle au sein de son parti des relations avec la France et le Parti socialiste. Une preuve que l'intérêt du peuple n'est pas l'intérêt principal des députés. Ce recyclage des vieux est aussi et surtout une preuve que la pauvreté parmi les retraités et dans la société allemande a très fortement augmentée s'accompagnant d'un changement inquiétant et radical de la tradition du deuil envers les anciens.

    Véritables raisons. Les retraités allemands ont perdu depuis 2000 un cinquième de leur capacité d'achat et le député Bernd Riexinger des Linke demande au Gouvernement fédéral d'intervenir pour stopper la chute du niveau des retraites. Les Allemands s'appauvrissent ce qui expliquent qu'ils signent le contrat à la plastination car le traitement de leur dépouille après leur décès est gratuit. Une véritable aubaine quand on sait que la famille du défunt devrait débourser entre 5 000 et 6 000 euros et que les caisses d'assurance maladie d’État ne remboursent rien. Seuls les services sociaux donnent une aide financière qui reste limitée et qui souvent payée en décalage ne permet pas de s'assurer les services des pompes funèbres. Rien qu'à Berlin un Berlinois sur dix ne peut pas payer son enterrement. Quand on rencontre des retraités allemands, ils disent au début d'une conversation qu'il faut bien aider la science. Mais en enquêtant de plus près, ils parlent de leurs petites retraites et de leurs enfants souvent au chômage qui souhaite réaliser des économies sur leur vieux os.

    Une voiture spéciale, qui a été plus de cinq cents fois en service dans toute l'Allemagne depuis 2006, la Body Mobile, récupère gratuitement les corps des retraités. Les médecins ont l'interdiction de toucher le corps d'un donateur à la plastination ne serait-ce que pour émettre un avis de décès. Le donateur doit arriver à la fabrique « en entier et assez frais pour être travaillé ».

    Savon, produit de beauté. Les médias se sont toujours bornés à parler des cadavres transformés sous la forme de sculptures mais ils ne parlent jamais de ce qui se passe avec les litres de graisse récupérés dans les cuves lors du transfert chimique de la plastination. Plusieurs centaines de litres de produits gras sont en tout cas récupérés durant la transformation chimique. Et les cadavres n'ont plus leur peau. Des centaines de corps sont entreposés sur le site de la fabrique, non loin d'une chapelle ardente où se trouve, à l'imitation de Jésus, un cadavre dépecé les « couilles pendantes sur une croix en bois». La presse allemande avait, déjà du temps de Rudolf Ausgtein fondateur du Spiegel, relaté le trafic de cervelles humaines dans les caves des morgues allemandes pour alimenter l'industrie pharmaceutique. La fabrique du docteur atteint de Parkinson exploite déjà tout du corps : des rétines en passant aux mâchoires et aux os pour les revendre à l'industrie. A 70 000 euros un cadavre recyclé vendu, l'affaire est très juteuse. Aussi, est-ce-que les litres de graisse rejetés durant la phase de plastination sont utilisés pour faire des savons ou autres crèmes de beauté ? La fabrique ne répondant pas aux questions, on peut le penser.

    La gauche au pouvoir. En 2006 la fabrique de cadavres a ouvert ses portes dans la petite ville de Guben dans le Land de Brandenbourg dans lequel se trouve la capitale de Postdam avec son célèbre château de Frédéric II et son parlement à majorité de gauche avec les Linke et le SPD. Durant l'ouverture de la fabrique de Guben en 2006, plusieurs personnes, surtout des femmes, sont accouru pour postuler à un emploi. Guben étant une ville sinistrée par le chômage, l'Agence pour l'emploi allemande oblige alors de nombreux chômeurs à y travailler sous peine de se voir rayer des aides sociales. Ainsi, des bouchers, des mécaniciens autos se retrouvent à la découpe et à la préparation des corps. Par esprit d'entreprise les employés de la fabrique signent aussi leur contrat à la plastination.

    Les visiteurs. Déjà plus de 20 millions de personnes ont vu les diverses expositions organisées par la fabrique. Sur le site, même les élèves des écoles vont visiter le musée qui s’étale sur les 25 000 m² de cette ancienne fabrique de chapeaux de la RDA. On y voit même des enfants âgés de trois ans accompagnés de leurs parents déambulant parmi les squelettes ou parmi les cadavres fraîchement « plastinés » posés sur des tables de dissection où les anciens chômeurs devenus préparateurs les travaillent. A quelques mètres des préparateurs, pendant que les parents contemplent les lieux, les enfants peuvent jouer dans un bac à sable sur les rebords duquel se tiennent des cadavres dépecés, les parties génitales bien en vue, par exemple déguisés en Pirates. Et tous les ans au mois de mai plus de cinq cents donateurs se retrouvent entre eux pour manger des amuse-gueules.

    Nombre de donateurs. Selon la fabrique le plus « grand lot » de donateurs se trouve en Rhénanie du Nord Westphalie avec 1 989 donateurs, le Bade-Wurtemberg avec 1 446, la Bavière avec 1 088, la Saxe avec 1 045, le Brandebourg avec 976, Berlin avec 838, la Basse-Saxe avec 833, la Hesse avec 801, la Rhénanie-Palatinat avec 781, la Thuringe avec 437, la Saxe-Anhalt avec 300, le Schleswig-Holstein avec 200, Hambourg 144, la Poméranie-occidentale avec 142, la Sarre avec 93 et Brême avec 90 donateurs. Cette énumération montre le niveau atteint de la civilisation dans laquelle l’Allemagne se trouve. C'est une évolution inquiétante car les responsables politiques se taisent et laissent cette entreprise se développer. Le président François Hollande accompagné des élus du Sénat et de l'Assemblé nationale au Bundestag pour les 50 ans du Traité de l’Élysée, parlant des mérites de l'Allemagne pour ses valeurs fondamentales identiques à la France, montrent là encore leur incompétence sur les dossiers les plus élémentaires.

    Voir le dossier concernant ANGELINA WHALLEY, épouse de LIEBCHEN GUNTHER, dit von HAGENS, en cliquant sur le lien suivant: 10_AngelinaWhalley_mosi_0408

    Conclusion:

    Lady Gaga pourrait utiliser de vrais cadavres pour assurer le show sur scène...

    : "Elle est fascinée par le travail de Gunther (…) Ils ont déjà eu des échanges par email et cela s’est bien passé. Elle aimerait avoir quelques éléments de son exposition Body Worlds dans l’un de ses spectacles".

    Lady-Gaga-prete-a-utiliser-des-cadavres-pour-sa-tournee_portrait_w532

     

    Conclusion de la conclusion:

     Si  tu es goy, t'es bon pour la parfumerie des élites....contre une aumône en guise d'héritage à tes enfants....

    Frédéric BERGER