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FRANC-MACON - Page 9

  • GOOGLE, ORANGE, CENSURE, ILLUMINATI, ORDRE, ETAT D'URGENCE, FRANCOIS HOLLANDE, TEL-AVIV, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                           CENSURE DE GOOGLE

                        1ère partie

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, va vous démontrer, par preuve par image, comment GOOGLE et son complice Orange, vous censure.

    Axiome: ne mettez jamais un seul mot ou document dans un "cloud"= "nuage" de n'importe quel fournisseur; c'est un piège à con pour récupérer vos données facilement.

     

    Ceci étant dit, comment GOOGLE  procède-t-il?

     

    Google est malin; n'oubliez pas que Google était le site hacker de l'armée américaine; souvenez-vous des premières pages de GOOGLE, c'était la bannière étoilée!

    Google pour contourner le 1er article de la constitution américaine, qui garanti la liberté d'expres-sion, a trouvé une astuce pour fermer un site.

     

    Il invoque la sécurité des comptes; il vous envoie un message suivant: "vous venez de changer votre mot de passe, alors remplissez cette fiche pour retrouver votre compte.

     

    Voici les preuves par photographies.

     

    C'est un peu long, mais si vous avez la patience de regarder vous serez gagnant et vous quitterez définitivement l'espion traître qu'est Google.

     

    DÉMONSTRATION:

     

     Google déclare vous avez changé votre mot de passe, ce qui est faux, mais permet de censurer sous prétexte de la sécurité:

      Cliquez dessus:

    Puis remplissez le dossier

    censure gmail google.JPG

    censure gogoule.JPG

    L'escroquerie de Google en un seul compte, pour tout bloquer

    DSCN0088.JPG

    à suivre demain pour savoir comment Google via ses sbires essaye de vous soutirer vos comptes bancaires

     

    Frédéric BERGER

  • DIEN BIEN PHU, SAVOIE, JEAN PAX MEFRET, 7 MAI 1954, MAIRIE, MAIRE,FRANCE, PARIS, FRANCOIS HOLLANDE, EMMANUEL MACRON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                               DIEN BIEN PHU

     

    A Dien Bien Phu 11721 soldats de l'Union Française capturés, valides ou blessés, l'ennemi en a rendu 3290, il en manque 7801 ! Que sont-ils devenus ?

     

    Dien-Bien-Phu.pps

     

    ET

     

    JEAN-PAX MÉFRET A L'OLYMPIA : Dien Bien Phu (version intégrale ...

    Frédéric Berger, ancien  supplétif du 1er REP à Zéralda, Alger.

     

     

  • ALGER, ALGERIE, 8 mai 1945, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                        8 MAI 1945

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous pose une question simple si vous le voulez:

       "Connaissez-vous le 8 mai 1945"?

     

     Si la réponse est "non" cliquez sur:

     

                   Vallet Eugène - Un drame algérien La vérité sur les émeutes de mai 1945.pdf

     

      Frédéric Berger

     

     

     

  • PEINE DE MORT, DAECH, SIONISME, JUIF, ECHAFFAUD, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    COMBATTRE LE TERRORISME !

     

    « La croyance superstitieuse en la force historique des complots (quand bien même ils existeraient, de type individuel ou collectif) laisse complètement de côté la cause principale des échecs subis aussi bien par les individus que par les Etats : les faiblesses humaines » - Alexandre Soljenitsyne 

     

                Qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car « vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit ». Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.

    Le caractère d’extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France (et désormais de la Belgique) l’une de ses plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences » révolutionnaires… d’autant plus que ces actions terroristes impliquent nécessairement une chaine de connivence et d’appui logistique sur notre sol et une préparation minutieuse…

    A la guerre révolutionnaire ou « guerre sainte » prônée par les islamistes, nous devons opposer la guerre populaire totale ou guerre de libération nationale. Face à une menace terroriste, il faut faire le choix majeur qui s’impose et en tirer toutes les conséquences ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l’insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu’au bout ». La France est aux yeux de l’islam une aire de guerre, « dâr al-harb », et elle se doit de traiter ce dernier de la même manière qu’il la traite.

    Nous n’arriverons probablement jamais -en dépit de toute fermeté- à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d’en limiter le nombre par l’instauration d’une juridiction et de tribunaux d’exception identiques à ceux créés par le régime gaulliste durant la guerre d’Algérie afin d’éradiquer l’OAS… et qui menèrent sans le moindre état d’âme au poteau d’exécution quatre soldats français dont deux officiers.

                Puisque cela fut accompli contre des patriotes dont le seul crime fut de vouloir conserver l’Algérie française, pourquoi cette juridiction ne serait-elle pas reconduite contre les ennemis de la France reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes ? Dès lors, le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort seraient prononcés à leur endroit. Qui a tué doit être tué ! L’horreur du mal est le principe même de la justice. Elle doit s’imposer comme une règle impérative, car elle est notre propre raison. « La loi, en général, est la raison humaine –disait Montesquieu- en tant qu’elle gouverne tous les peuples de la terre »

                Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, les condamner à mort ou leur infliger une sanction à la hauteur de leurs crimes, ne ferait -dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice- que révolter les consciences de la « bien-pensance », des associations « humanistes » et provoquer la colère des islamo-compatibles issus de la gauche bobo-caviar et de la droite capitularde et louvoyante toujours prompts à brandir le carton rouge au nom de leur angélisme républicain.

    Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation. Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel.

    Négligeant cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des « égarés » ou des « déséquilibrés ». Or, on ne combat pas des terroristes avec de simples lois. On doit adopter une riposte appropriée afin de les arrêter dans leur élan velléitaire et agressif. « Plus l’Etat est corrompu, plus les lois se multiplient » clamait Tacite, cet historien et sénateur de l’antique Rome.

    La France vit sous des menaces de plus en plus récurrentes que l’on ne peut contenir par la seule force de la loi. « Les français vont devoir s’habituer non à la menace des attentats, mais à la réalité des attentats qui vont, à mes yeux, immanquablement survenir. Nous sommes désormais dans l’œil du cyclone, le pire et devant nous » a déclaré dans « Ouest France », le 14 novembre 2015, au lendemain des attentats de Paris, le juge Marc Trévidic.

    Bruxelles vient à son tour d’en subir les affres… et les terroristes vont de nouveau frapper. La France, confrontée à l’un des plus graves périls de son histoire ne doit pas s’embarrasser de préjugés pour prendre les mesures appropriées afin d’assurer sa propre survie. « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski.

                Mais, empêtrée dans ses règles, ses décrets et ses scrupules, voilà notre civilisation chrétienne paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent, qui ne peut transgresser sans se renier. Et voici les barbares –forts de cette assurance- qui répandent leur terreur en voulant tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour. Voici qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues… Et voici que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n’ont fait autant de ravages… semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : « Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde ».

    Et nous, pauvres occidentaux, sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu’irrémédiablement condamnés à capituler… au nom de la défense de la civilisation qui n’est autre qu’un suicide devant un assaut qui en nie l’essentiel.

                Soljenitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la violence : c’est la fermeté ! »

               Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.

     

    José CASTANO

                                                                           e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

     

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     NOTES DE L’ÉCHO DES MONTAGNES

     

    En Savoie, la peine de mort existe, elle n'a pas été abolie (entre autre elle est réservée aux franc-maçons = secte sioniste,par édit royal de 1794)

     

    Qu'on se le dise 

    De plus seule la peine de mort est la vrai réponse politique au chef de DAECH, qui est un sioniste du Mossad et non une improvisa-sion d'état d'urgence dans l'urgence des urgences vu l'urgence des urgents non admis aux urgences depuis 1945....

    L'état dit islamique est un état mafieux satanique aux ordres d'Usraël et armé par cette dernière via WASHINGTON et TEL AVIV et soutenu par tous les chefs d'état jérusalistes d'Europe et des States, David premier sinistre anglais y compris.

    Vous qui êtes intelligent, chères Amies et Amis lecteurs de l'Echo des Montagnes, vous avez remarqué qu'il n'y a pas d'attentat dans les pays qui pratiquent la peine de mort.

    Sabre au clair y compris avec légion d'horreur à la clé  remise, non par SAINT PIERRE, mais par François du" Pays Creux "de la vague de chômage des goys.

    CQFD 

    Frédéric BERGER 

  • LAMARTINE, VAUGELAS, SAVOIE, HELENE CARRERE D'ENCAUSSE, ACADEMIE FRANCAISE, RICHELIEU, VALLAUD-BELKACEM, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

     

     

     

     

                           LAMARTINE, VAUGELAS ET LA LANGUE FRANÇAISE

     

     

    Lorsque LAMARTINE se réfugia en Savoie pour fuir la France , il a été surpris par le "bon parler français" en Savoie et le poète du Lac d'ajouter :"les Savoyens parlent mieux le français qu'à Paris"!

     

    Vaugelas  de la vallée de Maurienne en Savoie a donné à la France sa grammaire.

    Voila pour le vrai et bon usage de la langue française.

    Qu'en est-il en France actuellement?

     

    Comme pour tout les jérusalistes s'appliquent à tout détruire ce qui fait le terreau des français de souche, ce qui fait "la douce France",cher à Trenet.

     

    Analysons en 2 temps la situation catastrophique de la langue française, situation voulue par la "sire concise".

     

                                      L'IMMORTELLE

                                                    et

                                       La ministridicule

     

     

    Ce qui manque à Madame Vallaud-Belkacem, outre l'humilité, c'est la profondeur française et les racines françaises!.  

                                                    Hélène Carrère d'Encausse 

     

    Professeur de philosophie

     

     Madame Hélène Carrère d’Encausse a pris fermement position contre la mise en œuvre pour le moins tardive d’une réforme de l’orthographe dont elle a démenti qu’elle ait été approuvée par l’Académie française, dont elle est secrétaire perpétuelle. Le ministre de l’Éducation nationale n’avait alors pas réagi. Normal, dira-t-on : elle avait affirmé qu’elle n’y était pour rien, que cette décision était celle des éditeurs de manuels scolaires.

    Mais l’historienne ne s’est pas arrêtée là. Elle a également mis en cause le niveau déplorable des élèves français et la catastrophe, pour l’école, qu’est la réforme du collège portée par le ministricule. 

    Ce faisant, elle ne fait que rappeler la position de l’Académie, dont nous avions signalé le caractère exceptionnel.

    C’en était trop pour la Belkacem. Que des professeurs quasi unanimes dénoncent la réforme, peu importe : ce ne sont que des profs. Que des intellectuels soulignent ses dangers, soit : ce ne sont que de « pseudo-intellectuels ». Qu’une grande partie des parents s’en inquiètent, bof : depuis quand les parents ont-ils leur mot à dire dans l’éducation de leurs enfants ? Mais qu’une institution prestigieuse, fondée par Richelieu (peu porté sur les valeurs républicaines), s’en prenne à SA réforme : ça suffit !

    Qu’on le sache bien, c’est elle le ministre, elle a raison quoi qu’il arrive. D’ailleurs François le lui a dit. Et si ça continue, elle va se rouler par terre en hurlant. Car se permettre d’écrire, comme elle vient de le faire, à la secrétaire perpétuelle de l’Académie française pour « s’étonner » de son rejet de la réforme de l’orthographe, c’est être comme une petit fille insolente qui trépigne parce qu’on lui refuse son dernier caprice. Quand on a aussi peu de titre à être ministre de l’Éducation, on s’incline devant une institution séculaire qui compte parmi ses membres plus de gloires intellectuelles que n’en comptera jamais le Parti socialiste.

    Mais ce qui manque à madame Vallaud-Belkacem, outre l’humilité, c’est la profondeur française qui lui ferait sentir combien sa démarche est incongrue face à l’institution qui représente par excellence la culture française. Il ne s’agit pas de lui reprocher de ne pas être « de souche ».

     

     Alain Finkielkraut, le plus récent immortel à être entré sous la Coupole, n’est pas de souche non plus. Ses parents et lui-même sont nés polonais. Mais ils ont accueilli la culture française, il l’a aimée et se l’est appropriée, sans renier la sienne. Cette profondeur française que son hérédité n’avait pu lui donner, il l’a acquise par l’école. Ce n’est pas un hasard si lui aussi s’oppose à la destruction systématique de l’école. 

     

    Madame le ministre ne s’est pas imprégnée de cette culture. Sans doute la faute à sa formation à l’IEP (Institut d’études politiques) de Paris. On y cultive la superficialité et le déracinement. Sans doute, aussi, la faute au discours victimaire de la gauche française qui cultive la haine de soi. On voit le résultat.

     

        ÉTAT DES LIEUX A CE JOUR

     

       ORTOGRAPH
     
    "CHAIR MADAME VALLO BELLEQUASSEME
     
    Najat, vous perméter que je vous appel Najat, in ? Je suis trait comptant.
    Je suis d’accort à sans pour sans avec la raiforme de ’lortograf.
    Enfaim kelk1 qui nous a comprix. Je nan pouvez plus du prof de fransé
    qui nous parle toujour de Cornaye, hauteur qui est deja maure.
    Moi qui narive pas a terminet le dernier Musso !
    ll paré que vous avez soustenu la téaurie du janre. Cé quoi sa ?
    Abiyer les garsons en fille ? Vous dépasser les baurnes.
    Mai vous avez rézon. Les maux sont trot conpliké. Tous ses axan nainportou,
    c’été une turi. Depuis la maternaile, les dictez son mont cochemarre.
    Heureuseumand que les naute ont tété suprimais.
    Avent, j’avez des bultains grave. Vous avé changer toussa.
    An plusse, sur Kanal vous aitié vrémant jantye avaique un barebu.
    Par pitiez, ne féte pas come votre colaig KristiannTobiraz, ne kiter pas le gouvairnemans.
    J’éme bocou votre sous-rire. Dézormai, il est clair mes journez.
    J’avous, il y a des foies ou je saiche les colles. Ne le raipété pas a ma maire.
    Elle manpecheraie de regardez Ze Voillece. Sept un secré antre nous.
    Vous aite la mayeure ministre. Mairsi de nous
    zanlevez cé trés d’union qui son tinutil.
    Jé une favoeur a vous deuxmandez.
    Mintenand je voudré fer un staje dans vos buros rue de Grrrnell. Vous savet, grasse avou, je vé bientaut avoir mon back les doa dans le né. C’est mairvéyeu.
    Sa cera un trait bo kado pour mes 23 zan.
     
    Je vous quiffe."
     
    Source: Figaro-Magazine - 12 février 2016 - page 77  
     
    Frédéric BERGER