Inceste et brutalité chez les juifs orthodoxes
On sait que si les médiats juifs dénoncent régulièrement la pédophilie chez les prêtres, c’est pour mieux faire oublier que ces agissements sont surtout pratiqués depuis des lustres dans la communauté juive. Cela s’appelle une “inversion accusatoire”. Dans notre Psychanalyse du judaïsme (qui court sur trois livres), nous avons aussi montré à quel point les intellectuels juifs étaient quasiment tous obsédés par la question de l’inceste ; ce qui permet de comprendre aisément pourquoi la psychanalyse est née dans la cervelle d’un fils du “peuple élu” : il suffisait de les lire avec un miroir.
On voit maintenant que le site juif dreuz.info (un site qui a essentiellement pour but de dresser les chrétiens contre l’Iran), dénonce la pédophilie chez les imams iraniens.
Pour remettre les pendules à l’heure, il faut donc encore une fois pointer du doigt les mœurs étranges des juifs, et notamment des juifs orthodoxes, qui légitiment la question : “Moïse est-il le fruit d’un inceste ?” (Cf. fin de Psychanalyse du judaïsme).
Voici un extrait d’un article d’un journal québécois qui lève le voile sur une affaire embarrassante dans une communauté orthodoxe du Québec.
De nouvelles allégations sur les enfants de Lev Tahor ont fait surface, vendredi 14 février 2014 après-midi, avec la levée des scellés sur divers mandats légaux lancés contre la secte juive ultra-orthodoxe. Ces documents ont permis à la Sûreté du Québec de fouiller des domiciles de Sainte-Agathe-des-Monts, dans les Laurentides, et de Chatham-Kent, en Ontario, le 29 janvier. Deux mois plus tôt, le groupe avait déménagé d’une province à l’autre pour échapper à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) québécoise. La Sûreté du Québec soupçonne des crimes dont elle refuse de révéler la nature
. Même s’ils sont très censurés, les documents révèlent que la Sûreté du Québec enquête sur le groupe depuis près de deux ans déjà, soit depuis avril 2012. À l’époque, elle reçoit une dénonciation au sujet de situations datant de « plusieurs années ». Des filles âgées de 14 ou 15 ans sont mariées à des hommes beaucoup plus vieux, qui leur font aussitôt des enfants, dit le document. Leurs cadettes âgées de 13 ou 14 ans sont enfermées dans des sous-sols, parce qu’elles sont désobéissantes. Les adeptes sont médicamentés de force pour être mieux manipulés. Et les familles doivent remettre à la communauté l’aide sociale reçue du gouvernement. Deux semaines plus tard, le corps de police apprend que la Direction de la protection de la jeunesse des Laurentides suit une ado âgée de 14 ans qui ne veut pas retourner dans la communauté, « car elle est promise à un homme et a très peur », précisent les nouveaux documents judiciaires.
Quelques jours plus tard, le Tribunal de la jeunesse la retire de sa communauté, parce qu’elle dit être battue à coups de ceinture par son père et à coups de cintre par la femme de Mayer Rosner, bras droit du leader. Impossible de savoir ce qui s’est passé au printemps et à l’été 2012, puisque ces détails ont été censurés par la Sûreté du Québec et la Direction de la protection de la jeunesse. On apprend quand même qu’en octobre 2012, un courriel affirme que des enfants de la communauté sont « sous-alimentés » et ont « une santé mentale dérangée ».
[De futures militantes féministes, HR) Le mois suivant, en novembre, la Direction de la protection de la jeunesse fait valider par l’hôpital de Sainte-Agathe une « liste de noms de jeunes filles (mineures) ayant eu des enfants avec des hommes majeurs », disent les mandats. En décembre, une fille âgée de 17 ans est transférée en ambulance à l’Hôpital de Montréal pour enfants. « Elle aurait dit au personnel infirmier avoir été battue par son frère, abusée sexuellement par son père et être mariée depuis l’âge de 15 ans à un homme de 30 ans », affirment encore les documents judiciaires.