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  • SAVOIE, RIRE, CHERIF ABDEDAÏM, CUBA, FIDEL CASTRO, ECOLE, DEPUTE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                                   DÉFENSE DE RIRE

                                                 OU

                                   DÉFONCE DE RIRE ???

     

     

      L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, a peur que le rire en France soit taxé

     par les jérusalistes qui gouvernent le pays colonisateur de la Savoie.

    Donc puisque c'est gratuit encore, mais pas pour longtemps, car des zélus du Parti Sioniste vont déposer un amendement pour taxer le rire.

    Car rire rime avec terroriste, donc avec la loi sur le renseignement, les  zélus PS et UMP ont peur

    que les rieurs soient des terroristes qu'il faut taxer, emprisonner ou tuer.

     

    Bon commençons par la chronique du célèbre écrivain, poète, journaliste Chérif Abdédaïm et je cite:

     

       Je vous rappelle que LAMARTINE a écrit que c'est en Savoie que l'on pratique le meilleurs français, mais à lire Chérif Abdédaïm c'est aussi en Algérie.

     

     

    Tout se joue entre les « P » et les « C »

    30 juillet 2011, 19:25

     

    En passant: Tout se joue entre les « P » et les « C »

    Le Président de la Cour des Chats bottés s’adresse à ses congénères lors de la fête Provisoire : « Messieurs, tout se joue entre les « P » et les « C » et la meilleure preuve est qu’à l’entrée d’un service sanitaire que je n’ose pas Citer, le mot défense, dans « défense d’entrer», est écrit avec un « C », ce qui nous donne « défence » (et pourquoi pas « défonce » pour l’occasion). Donc, le moment est venu Pour Corriger notre orthographe. Le moment est venu également pour dresser un Pilon ; Pardon un Bilan et un Programme Conforme à Chaque Chat et chaque Cas. Après, vous avoir Cassés ; pardon, Casés dans des Cellules Postales, et réalisé l’exploit d’une (CPPCC) Carte Postale Pour Chaque Chat (et vous le constatez Par vous-même que ces deux lettres sont à la base de tous Propos Populistes) ; et après avoir opté pour la Présence, dans une ambiance Pop, d’un P.P.P.C.C.C pour Chaque C.C.C., notre Communauté Profonde a besoin d’un Pacte Pour Préserver notre Pedigree (PPPP). Nous Pâtissons des Coups de ces Chacals en Cramoisi empestant notre Piteux Cosmos. Pour Cela, nous avons Programmé Conjointement avec les Partisans du moindre Cruchon, la Compilation de vos Calculs macérés dans des Promesses (Le rêve compense parfois l’échec ?). Des Calculs qui ne bouchent ni les reins ni la vésicule biliaire mais Plutôt Ceux qui Couvrent votre Pratique des Comptes Courants. Et, afin d’ « essouffler » la dynamique de votre Prisme Cacophonique, nous avons décidé de régler les Problèmes et Contraintes des Pots Cassés. Donc, sur un Premier Plan, il faut un P.P.P. dans Chaque Carrefour, un Psy. Pour Chaque Cas, un CAP/C (Commis d’activité Pro –Commerciale) Pour Chaque Commerçant, un Paquet de Coton Pour Chaque Petit, un Prix Pour Chaque Connerie, une Piscine Pour Chaque Pingouin, etc. Quant aux autres Points du Programme, sur le Plan Culinaire, la soupe doit être Consommée dans une Casserole Commune. Un mélange de Caille femelle et de Pigeon, Poivre, Persil, Champignons et Carotte. Pour Ce qui est de la Pêche au Poisson, nous sommes Conscients que Chacun à ses Propres Coups de Poings. Sur le Plan Préventif, nous avons Proclamé, il y a belle lurette, la Chasse aux Puces, aux Punaises, aux Pies, aux Perroquets, aux Piverts, aux Phoques, aux Cafards, aux Cancers, aux Capricornes, aux Chats-huants, aux Chauve-souris, et sans oublier, bien sûr, les Papillons, les Cigales et les Crapauds. Messieurs la salives du Caméléon est Contagieuse à l’image du sang d’un séropositif. Pour ceux qui ont signé un Pacte avec le Cancre et ont Placé leur Confiance dans une Charrue avant les Cerfs, Ceux qui ont de la Poussière dans l’œil « droit », la Couverture des Chemins Creux entre les Ponts et les Puits nécessite une Panoplie de Parapluies. Et si l’on ne Possède pas toutes les Cartes de l’art Comiques, alors il faut assumer son Cauchemar.

    Chérif Abdedaïm

     

     LES VOYAGES DE GULLIVERS à CUBA 

     

    D ' abord au bord de la playa pour jouer au sable avec la garde des sots de plage:

       

     puis rencontre avec le commandator:

     

         En Savoie nous n'avons pas besoin de la maîtresse NAGEUSE BELLE CASEM e de sa loi

    française colonialiste, nous en Savoie, nous avons depuis des millénaires le SAVOIE-FAIRE:

                                         

    La Savoie est un pays hyper riche, nous n'avons pas besoin des banksters jérusalistes maçonniques:

                                                

    Frédéric Berger

     

  • RSA, RENE HOFFER, POLYNESIE FRANCAISE, TAHITI, DEFENSE DES CITOYENS, CLAUDE KARSENTI, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    DROIT AU RSA

     

    Par René Hoffer , président "de la Polynésie Française"

     

    PREMIER SOUTIEN ACTIF. Merci Monsieur Claude KARSENTI et Défense des citoyens pour cette constitution de partie civile.

    Merci aussi à H.G, C.J, L. C, F.B. pour leur réponse et intérêt ainsi que mes amis Facebook très actifs sur mes RSAneries...

     

    Ci-dessous également mes écritures quant à l'état du dossier : pièces manquantes et autres. (en bleu)

     

     

    ==

     

     

     

     

    1° DÉFENSE DES CITOYENS

    PARTI POLITIQUE

    Président Claude KARSENTI
    Association enregistrée sous le N°16109470 à la Préfecture d’Antony le 13/01/1998,
    Parution au JO du 07/02/1998 N° 2240 Domiciliée au 55 Route de Pont l’Evêque 27260 Cormeilles.

                                                                           

    A

     

    TRIBUNAL DE PREMIERE INSTANCE DE  PAPEETE

                                         M. le Président  du tribunal correctionnel

    Avenue Bruat

    BP 4633

    98700 PAPEETE

     

       CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE avant audience du 02.06.2015

     

    Affaire HOFFER René/Procureur de la République

    Audience du 02.06.2015 à 8H

     

    LRAR N° 1A 117 125 5135 3

    Article préliminaire 2, 418 et 427 du code de procédure pénale

     

    Le 15.06.2015

     

    Madame la Présidente,

     

    Je  soussigné:

     

    Monsieur Claude KARSENTI, né le 06.07.1947 à Casablanca demeurant 55 route de Pont l’Evêque 27260 CORMEILLES, Président de DÉFENSE DES CITOYENS, déclare au nom de notre Parti Politique nous constituer partie civile dans la présente affaire,

     

    pour les motifs ci-dessous:

     

    Attendu que, en jugeant que:

     

    "L'intervention d'une partie civile peut n'être motivée que par le soucis de corroborer l'action publique et d'obtenir que soit établie la culpabilité du prévenu. Dès lors la constitution de partie civile doit être accueillie à ces fins, quand bien même il serait allégué ou démontré que la réparation du dommage causé par l'infraction échapperait à la compétence de la juridiction répressive"

     

    Par arrêt du 08 juin 1971, référencé "bull. crim. N° 182" , confirmé par arrêt du 24 mai 1973, référencé "Bull crim. N° 238", la cour de cassation, chambre criminelle, a institué cette application des dispositions susvisées qui doit être respectée par toutes les juridictions du territoire de la République.

     

    En cela, nous vous remercions d'acter la présente constitution de partie civile intervenantes de notre Parti Politique  DÉFENSE DES CITOYENS dans l'affaire citée en référence.

     

    En effet, pour ces seules raisons  conformes à la position déterminée par la chambre criminelle de la cour de cassation qui  édicte que l'action civile d'une association n'est recevable qu'autant qu'elle a été personnellement lésée  par le crime  ou le délit imputé au prévenu (27 mai 1975 bull 133 et 22.11.1978 bull 325),

     

    Nous avons subi et subirons un préjudice direct personnel distinct du préjudice social si les faits retenus contre le ou les prévenus (présumés innocents) étaient avérés conformément à la position déterminée par la chambre criminelle de la cour de cassation en son arrêt répertorié bulletin n° 196 rendu en date du 23.06.1983.

     

    En effet, au regard des statuts de DÉFENSE DES CITOYENS-de son but-des actions entreprises notamment pour œuvrer dans le sens de la cohésion sociale,  les infractions poursuivies si elles étaient confirmées  contrarient autant que faire ce peut les efforts de notre Parti Politique qui œuvre pour une transparence politique, une véritable démocratie qui occulte toutes interventions étatiques sur la justice qui doit rester indépendante pour assurer un procès équitable ce qui en l’espèce, vous en conviendrez, ne serez pas le cas puisqu’il semblerait, à la lumière des quelques pièces en notre possession qu’il y aurait absence de sérénité dans ce procès voire un conflit d’intérêts du Parquet car les lois de la république sont une et indivisibles.

     

    Et pour cause  car les conséquences du jugement, qui serait rendu si justice était rendue sous influence , nous causeraient, un grave préjudice  direct personnel et certain distinct du préjudice social. à l'inverse, comme nous le subodorons puisque le prévenu est notre adhérent placé dans une situation avec d’autres pour le moins discriminante comme nous le démontrerons .

     

    Il est donc rapporté que nous  justifions, en droit et dans les faits, d’un préjudice  direct et personnel et certain distinct du préjudice social.

     

    Vu le droit positif, vu l’article 6 CEDH, Vu le code pénal et le code de procédure pénale,

    Vu LE DROIT AU PROCÈS ÉQUITABLE :Évolution récente de la jurisprudence de la chambre criminelle Dominique KARSENTY, Conseiller référendaire à la Cour de cassation,

    Vu l’affaire OUTREAU et pour ne pas que cette affaire soit un nouvel TCHERNOBYL JUDICIAIRE,

     

    Alors que, premièrement,

    Aux termes de ces articles du code de procédure pénale:

     

    Ø  D'une part, la loi habilite expressément toute personne qui prétend avoir été lésée par un délit à se constituer partie civile, tant avant l'audience qu'au cours de l'audience, cela, en cas de pluralité d'audiences, à n'importe laquelle des audiences que le tribunal correctionnel consacre au jugement de ce délit, et même après l'instruction à l'audience terminée, la seule condition déterminée par la loi pour ce faire étant que la constitution de partie civile se fasse avant les réquisitions du ministère public sur le fond, voire même postérieurement après ces réquisitions, lors de l'audience intervenant suite à un ajournement  du prononcé de la peine, la constitution de partie civile étant alors recevable si, au cours de l'audience à laquelle le prononcé de la peine se trouve ainsi différé, elle intervient avant les réquisitions du ministère public sur la peine;

     

    Ø  D'autre part, toute personne qui s'est constituée partie civile avant les réquisitions du ministère public sur le fond peut déposer des conclusions à toute audience;

     

    Ø  Et, enfin, la qualité de partie civile "intervenante" existe uniquement en matière de citation directe par la partie civile, justement pour opérer une distinction avec la partie civile "poursuivante" partie civile ainsi dénommée "poursuivante" parce que c'est elle qui est à l'origine des poursuites dirigées contre le prévenu en la citation directe qu'elle a fait délivrer contre lui: les autres parties civiles sont dénommées "intervenantes ou incidentes" parce qu'elles interviennent aux côtés de la partie civile "poursuivante".

    Cette distinction n'est nullement opérée lorsque c'est le ministère public qui fait directement citer le prévenu devant le tribunal correctionnel, ni lorsque le prévenu s'y trouve renvoyé par le juge d'instruction ou la chambre de l'instruction: en pareille occurrence, il n'existe nulle partie civile "poursuivante" ou "intervenante" mais uniquement des parties civiles dont l'action est jointe à celle du ministère public;

     

    Deuxièmement, le fait que notre association  s'est constituée partie civile dans les règles précitées, le refus d'enregistrer nos constitutions de parties civiles, ne peut-être que considérer comme une altération de la vérité, qui, au regard de ce refus ne pourra être aussi considéré que comme étant frauduleuse et ayant été opérée dans le dessein de nous porter préjudice, et à l'ordre public, et à notre association tellement ces refus et interdiction vôtres sont manifestement contraires aux dispositions impératives des articles 418, 419, 420-1, 421 et 459 du code de procédure pénale.

     

    Enfin, n’est il pas plus scandaleux de constater que le ministère de la justice  organise le

    TRAVAIL AU NOIR DE + DE 2000 DELEGUES DU PROCUREUR QUI NE PAIENT PAS DE CHARGES SOCIALES ET BIEN D'AUTRES...

    LE TROU DE LA SECURITE SOCIALE CREUSE PAR CES CRAPULERIES QUE LE PEUPLE DOIT COMBLER....

     

    La justice doit être le pivot de la démocratie  et c'est bien pourquoi la loi pénale est d'interprétation stricte.

     

    En cela, nous vous remercions:

    1.      d'acter la présente constitution de partie civile dans l'affaire citée en référence.

     

    2.      d'ordonner la communication du dossier pénal, conformément aux dispositions supra nationales (arrêt FOUCHER et FRANGY), avant audience du 01.07.2010,

     

    Fait à Cormeilles le 15.05.2015, pour valoir ce que de droit.

    Pour la partie civile

    Claude KARSENTI

     
     

     

    Avec Honneur
     
    Le président de "la Polynésie française", des françaises et des français
    René, Georges, HOFFER
    rollstahiti@gmail.com
    https://www.createspace.com/5201431 (L'oie organique 2004-192...)
    https://www.createspace.com/5333227 (Les proscrits du RSA Les colonisés français...)
     
     
     
    ==
     

    Le président de « la Polynésie française»       Royaume de TAHITI, le 14 mai 2015.

    René, Georges, HOFFER

    BP 13722 - 98717 – PUNAAUIA

    rollstahiti@gmail.com

    Tél 87 77 71 70

    Monsieur le fonctionnaire français expatrié, fonctionnaire de l’Etat français affecté en « la Polynésie française », procureur de cette république et de l’en son sein « pays d’outre-mer » José THOREL

    Palais de « justice » - Papeete

     

    Affaire n° 12010216, audience du 2 juin 2015 à 08h00, chambre correctionnelle

     

    Dénonciation de détournement(s) de pièces, outrage à la procédure pénale.

    1)      Le 3 août 2012 je demandai à pouvoir accéder au dossier et d’avoir communication des pièces, et portai plainte reconventionnelle pour violation du secret de l’enquête/de l’instruction, avec demande d’audition de témoins et/ou complices.

     

    Le 24 juin 2013 je produisais les nouvelles menaces de réduction de RSA du 20 juin 2013.

     

    Le 17 juillet 2013 je me référai à mon intervention du 3 août 2012 ainsi qu’au complément du 24 juin 2013 et produisai une nouvelle pièce au dossier : la réduction effective de 100 € du RSA.

     

    Le 20 mars 2014 je m’enquerrai encore du dossier, me prévalant de l’article 72-2 du CPP.

     

    Ces 4 pièces sont occultées ; ne figurent pas au dossier. Il est impératif d’y remédier.

     

    2)      Le procès verbal n° 2012/003338/PJ/08, page 2 indique que j’ai remis des documents afférents à la CAF (vingt feuillets) et au conseil général (soixante feuillets).

     

    Celui, PJ/12, page 2 que j’ai remis des « récépissé de demande de RSA… courrier du 25 mai 2012… contrat d’engagement… et autre extrait de registre ».

     

    Ces pièces ne m’ont pas été communiquées à ce jour, malgré ma demande écrite et orale et je n’ai pas non plus pu les consulter à ce jour.

     

    En outre, les 60 + 20 feuillets n’ont pas été récapitulées pièce par pièce contrairement par exemple à l’ « Etat récapitulatif des procès vervaux de la procédure n°2012/3338/PJ »

     

    3)      La pièce « Suites judiciaires » (inscription dans le STIC) ne comporte ni cachet de la juridiction ni signature d’une quelconque autorité.  Ni de case cochée, etc…

     

    A peine de faux puisque comportant le tampon de la police nationale de la république française de Polynésie française, il convient de remplir cette fiche afin que je puisse m’en défendre utilement.

     

    4)      Aucun des « P.V. :    /    / » de /1 à /5 » des Jean-Pierre PRUVOST, capitaine de police en fonction à Strasbourg ne comportent de numéro(s) donc inidentifiables.

     

    Leur identification sera donc rectifiée avant l’audience et dûment portée sur ces 5  procès verbaux.

    5)      Quant au bulletin n° 1 de mon casier judiciaire, s’agissant de l’inscription n° 1, il convient de l’écarter, la sortir du casier au motif que la décision d’appel ne m’a jamais été notifiée puisque je me serai pourvu en cassation, mais encore que le délai de trois ans depuis le 14 décembre 2004 est échu depuis le décembre 2007 d’une part et d’autre part que je n’ai pas pu être condamné au moindre centime d’euro vu que l’euro n’a pas cours légal ni pouvoir libératoire au « pays des XPF » de la république française, ces euros affectant également les inscriptions n° 2, 5, 6 et 7, a fortiori celle n° 7 où est de surcroît exprimée une amende fiscale en $. US ? Et l’inscription n° 3 pêche par manque de droit, la date de révocation de plein droit du sursis manque.

     

    Ces quelques éléments supra me rappellent  ces propos que je retranscris sous réserve de véracité :

    "Dans un reportage télévisé qui lui est consacré, l'ancien procureur de la République d'Ajaccio, José Thorel, se fait filmer alors qu'il explique à un officier de police judiciaire les règles de la garde à vue (...). il (...) dit à un journaliste que si un avocat découvrait une garde à vue illégale, celui-ci soulèverait la nullité et, sainte horreur, le parquet "l'aurait dans le cul" (sic). Curieuse appropriation charnelle des règles qui garantissent aux citoyens le respect de leur liberté individuelle..." (In "Bête Noir", Eric Dupond-Moretti, chez Michel LAFON, page 125) et "(...) je me méfie de la police. J'ai trop vu, depuis que je suis avocat, de refus d'obtempérer  à la présomption d'innocence, de rebellion contre les droits de la défense, d'outrages à la procédure pénale, pour ne pas considérer  a priori qu'une enquête  de police (ou de gendarmerie) est inéquitable..." (page 127) " La justice et la police se tiennent la main. La première, trop souvent se met en quatre pour ne pas froisser la seconde..." (page 136) "On dit que je me montre parfois hargneux face à certains témoins quand ils sont policiers ou gendarmes: je n'oublie pas dans quel  traquenard j'aurais pu tomber moi-même." (page 156)

     

    Je développerai bien sûr au fond bien d’autres éléments de ce dossier qui n’est pas sans me rappeler le coup monté douanier/militaires/procureur/juges notamment, où pas moins de 7 accusations retenues en première instance – qui se sont soldées par trois en appel afin de pouvoir justifier mes mois d’incarcération ! – ont abouties à mon incarcération alors même que j’avais interjeté appel ! Etc.

     

    Enfin, les failles béantes du parquet de première instance puis celles du parquet général et ses exécutants, ont été exposées publiquement dans le procès Noa TETUANUI, dit procès HADDAD-FLOSSE où toute la procédure a été vouée aux gémonies le 24 juin 2014 et qui avait aboutie le 15 janvier 2013 à des condamnations à des années de prisons pour plusieurs condamnés et à des millions de francs des colonies françaises du Pacifique suite à tes réquisitions, me laissant deviner qu’au vu de ce qui précède, mon dossier suivra à nouveau cette voie de rentreur dans le chou, bien loin d’une quelconque sérénité ou équitabilité que je suis en droit de réclamer.

     

    Je demanderai tout autant le dépaysement, partiel le cas échéant, car le DROIT au RSA n’étant pas accordé aux français localement, un tribunal indigène ne saurait statuer sur cet auto-saisissement. En effet, l’information judiciaire n’a pas été ordonnée par Paris. Par exemple pour les viols supputés en Centrafrique, le procureur de Bangui Ghislain GRESENGUET a pu se mettre en colère, mais c’est celui de Paris qui seul a pu ordonner l’ouverture d’une information judiciaire.

     

    NB : Pour parfaite information, je transmets également copie de la CPC de Défense des citoyens.

     

    Avec Honneur

     

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    René Hoffer Attention à ce qu'ils ne viennent pas aussi verser le RSA pour les français crève-la-faim autonomes du "pays des droits de l'Homme" hohohohohoho
     
  • GAZA, NAKBA, PALESTINE, ZIAD MEDOUKH, PAIX, LIBERTE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Les 67 ans de la Nakba

    C’est ici notre Palestine !

     

    Ziad Medoukh

     

    15 mai 1948-15 mai 2015, soixante-sept ans déjà, soixante-sept ans depuis le début du drame des Palestiniens, soixante-sept ans de souffrance, de malheurs et de massacres pour un peuple digne, soixante-sept ans depuis le début de cette injustice imposée à un peuple sur sa terre, soixante-sept ans de  déportation d’un peuple pour le remplacer par un autre peuple.

    Mais, soixante-sept ans de résistance, de patience, de détermination, de courage, et de persévérance pour un peuple toujours debout, un peuple toujours attaché à sa terre et à sa Palestine en dépit de toutes les mesures de cette occupation illégale, une occupation qui dure , qui dure !

    Les Palestiniens commémorent les soixante-sept ans de la catastrophe  dans un contexte particulier marqué notamment par la poursuite de l’occupation et de la colonisation, l’échec du processus de paix,  la domination de l’extrême droite dans la société israélienne, la division interne et l’absence de perspectives pour l’avenir.

    Soixante-sept ans, et les forces de l’occupation violent les droits les plus fondamentaux d'un peuple,  soixante-sept ans de politique d’apartheid, de discrimination, et du terrorisme d’Etat d’Israël.

    En 67 ans, Israël a appliqué toutes les mesures inhumaines illégales à l’encontre des Palestiniens, il en a emprisonné plus d’un million, il en a massacré et assassiné des milliers, il a occupé tous leurs territoires.

    L’Etat d’Israël a créé le problème des réfugiés palestiniens qui vivent dans des conditions humanitaires épouvantables dans les pays voisins, et qui souffrent en permanence.

    L’Etat d’Israël est le seul Etat qui, encouragé par les grandes puissances internationales, n’a jamais appliqué aucune résolution des Nations-Unies, pas plus que les accords de paix signés.

     En 67 ans, Israël a toujours été un état illégal, un état hors la loi, un état d’apartheid, un état colonial, un état qui considère les citoyens arabes des  territoires de 1948 comme des citoyens de seconde zone, un état qui a construit le mur de la honte en Cisjordanie, un état qui impose un blocus inhumain à la population civile de Gaza, un état qui érige tous les jours de nouvelles colonies dans les Territoires, un état qui vole tous les jours les ressources naturelles appartenant aux Palestiniens.

    Un état qui n’a toujours pas  de frontières, un état qui refuse toutes les initiatives de paix régionales et internationales.

    On peut citer maints exemples de l’histoire noire de cette occupation contre les Palestiniens : agressions quotidiennes, massacres,  déportations, crimes contre l’humanité, crimes de guerre, la liste est longue, très longue, trop longue.

    Le dernier crime israélien massif contre les Palestiniens, est la dernière offensive militaire contre la population civile de la bande de Gaza en été 2014.

    67 ans de résistance remarquable de toute une population qui poursuit son combat pour retrouver la liberté et vivre digne sur sa terre.

    Soixante-sept ans après, les Palestiniens s’interrogent : 67 ans de violation de nos droits ne suffisent-ils pas ? Le temps n’est-il pas venu de réagir et d'imposer à Israël l'application du droit international ? Le temps n’est-il pas venu d’instaurer la justice en Palestine ? Les Palestiniens n’ont-ils pas le droit de vivre, après tant d’années de souffrance, dans un état libre et indépendant ?

    67 ans après cette catastrophe, nous, Palestiniens, et quelles que soient les mesures d’apartheid et de terrorisme d’état pratiquées, poursuivons le combat et les sacrifices pour notre liberté. Nous sommes plus que jamais déterminés et avons un message à délivrer au monde entier, un message clair et précis. Nous sommes toujours attachés aux principes suivants :

    - Non, nous n’oublierons jamais l’histoire noire de cette occupation illégale et ses différents crimes contre notre population civile.

    -Non, nous ne partirons pas d’ici, nous resterons attachés à notre terre.  Nous ne partirons pas. Ici, notre terre, ici notre vie, et ici, notre Palestine !

    -Oui, le droit au retour est sacré, et tous les réfugiés palestiniens doivent pouvoir  retrouver leurs villes et leurs villages d’origine.

    -Oui, nous poursuivrons notre résistance sous toutes ses formes afin de vivre en liberté sur notre terre, cette terre appelée Palestine,  et qui s’appellera toujours Palestine.

    - Oui, nous avons le droit de créer notre Etat libre et indépendant, avec Jérusalem comme capitale.

    -Oui, nous sommes prêts à vivre en paix,  une paix durable, mais une paix qui passera avant tout par la justice, par l’application du droit international, par la fin de l’occupation illégale, et par la réalisation de toutes les revendications légitimes du peuple palestinien.

    La lutte continue ! Et le combat se poursuit ! Pour une Palestine libre et pour une Palestine indépendante ! Nous sommes tous convaincus que notre liberté s’approche, s’approche, s’approche………………………………

     

     

     

     

     

     

     

     
  • QATAR, KADHAFI, FRANCOIS GHOLLANDE, LAURENT FABIUS, SIONISME, JUIF, PLANUT, DE VILLEPIN, DELANOË, JACK LANG, CHARLIE HEBDO, FRANCE, RAFALE, DOHA, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                  LES CHIATINES FRANÇAIS

     

     

    Je connaissais la vénalité de l’élite politico-médiatique et pseudo-intellectuelle française, mais je dois dire à ce prix à 10 000 €, ils sont vraiment bon marché, je ne sais pas si Soumou el Maâli l’ambassadeur Qatari fait des promotions et des soldes toute l’année. Vraiment c’est pas cher, pour un petit million d’euros, on peut s’offrir une petite centaine de serviteurs zélés, c’est donné, avec ça on a une armada de chiatines (cireurs).

     

    Les dés-putes français sont pas cher pour une passe en rafale....

    Ils s'attaquent aux prostituées alors que ils sont maquereaux et prostitués!!!!

     

    Je ne résiste point à vous soumettre ce magnifique article à 10 000euros la passe.

     

    Un livre confidentiel, distribué par l'ambassade du Qatar à ses amis, recense les politiques français qui ont eu le privilège de recevoir un prix de 10000 euros des mains de l'ambassadeur. De Villepin à Delanoë, de Lang et Vedrine à Plantu.  

     

    Ainsi donc, François Hollande accompagné de son chambellan Fabius, a signé au Qatar la vente de vingt-quatre avions « Rafale ». Après avoir discrètement bu sa honte, sourire commercial aux lèvres, le Président normal s’en va honorer une dictature, la relevant par son geste au rang des Etats fréquentables. 

    Pas grave que la clique de l’émir de Doha, via la « zakat », la charité islamique, finance un terrorisme que Hollande et Vals affirment combattre. Pas plus grave que le Qatar sponsorise l’islam radical,  versus wahhabite, dans nos banlieues. Doha vaut bien une messe. Basse où l’on susurre des mots d’amour à l’oreille de Tamim : « Tu as de beaux yeux en or, tu sais ».  Pauvre François qui « déteste les affaires et l’argent ». Qui pense à cette souffrance qu’il offre au ciel pour la rédemption du chômage en France. A quelques mètres de ces mains qui, d’un stylo plume or, vont sceller le contrat « Rafale », derrière un haut mur, Mohamed Al Ajami est là. Il a tout son temps et peut attendre : quinze années de prison pour avoir écrit un poème qui a déplu à l’émir, ça apprend la patience.

     

    Pas grave. Hollande, expert en contrepèteries et  petites blagues n’entend rien à la poésie. Et le français Jean-Pierre Marongiu, « retenu » à Doha depuis deux ans ? Lui aussi va entendre les flonflons du bal. Mais il est acquis que « son cas ne sera pas évoqué ». Quand il s’agit de Droits de l’Homme, s’il le faut, Hollande sait se montrer aussi flexible qu’un tuyau de douche. Ou à géométrie variable, comme un chasseur bombardier.

     

    Une dictature masquée

     

    Ce qui est étrange, dans son rôle de VRP, c’est la versatilité de notre Président.  Un jour il refuse de livrer à Poutine un Mistral, bateau commandé et partiellement payé, le lendemain il se déguise en mamamouchi pour l’avenir des avions de Dassault… Vous allez objecter que la France des  Droits de l’Homme ne peut commercer avec le « néo-tsar » Vladimir... Pourquoi pas. Alors parlons chiffres, pas en euros ou dollars, mais en indice de liberté. Selon le classement mondial des démocraties dans le monde, la Russie termine la course en 117e position, alors que le Qatar se classe 138e entre le Kazakhstan et la Biélorussie. Qui sont de solides références.

     

    Pour faire court, rappelons que le Qatar n’a pas de comptabilité publique, la caisse de l’État est celle de la famille régnante. Il n’est pas doté d’une constitution puisque Dominique de Villepin, chargé de la besogne avec, espérons-le une avance sur salaire,  n’a toujours pas eu le temps de la rédiger. Les lois sont de circonstance, et les jugements aléatoires, prononcés par des magistrats qui sont des mercenaires étrangers obéissant au palais. La presse n’existe pas et la liberté donc pas d’avantage. Pour tout dire : Hollande met les pieds dans un monde assez peu « Charlie ». Pour mémoire, citons les centaines de milliers d’ouvriers étrangers, et exploités dans conditions dignes de l’esclavage, pour l’édification du paradis qatari. 

     

    Pourquoi une telle mystification est aujourd’hui possible. Celle de nous faire croire que la Qatar est le phare du « modernisme arabe », tellement nimbé de l’esprit des « Lumières » que, dans un bras de fer contre l’émir, Diderot pourrait aller se coucher.  J’ai sous la main une Bible secrète qui explique comment, de connivence avec Doha, nos édiles français ont fabriqué le masque qui cache la vraie nature de cette dictature, telle un aimable « Larva » du carnaval de Venise. L’ouvrage, la fameuse « Bible » a été  éditée chez Michel Lafon. Elle s’intitule sobrement : « Qatar-France, une décennie de diplomatie culturelle 2003-2013 » mais ne le cherchez pas en librairie, l’usage en est réservé aux amis.

     

    Les lauréats de l'ambassadeur

     

    Pour attraper des mouches, même volontaires pour leur capture, le Qatar utilise trois sortes de miel. Les appâts sont  différents Prix remis à des personnalités éminentes, ou à des groupes méritants. On compte ainsi, remis à Paris par l’ambassadeur Al Kuwari, le Prix de poésie Max Jacob… Mais il va rester marginal dans ce micro pays où le destin des rimeurs est la prison.  Peu de rêveurs seront récompensés par les lauriers de ce pauvre Max Jacob qui ne méritait pas cette infamie posthume.

     

     Comme une seconde mort.

     

    Non les prix lourds, lâchés en chaine et lestés d’un chèque de dix mille euros, s’intitulent « Doha capitale culturelle arabe » ou encore « Solidarité ». Cette dernière récompense étant également soutenue par EADS. Après la préface écrite en langue de chêne par un nègre méritant, mais signée de l’ambassadeur, viennent assez vite, comme la tique sur le chien, deux autres textes introductifs de deux politiques qui ont, jusqu’à l’eau, mouillé le maillot pour Doha. J’ai cité Jack Lang, et Renaud Donnedieu de Vabres.

     

     Gauche droite ou droite gauche, c’est comme on veut. Ces deux-là sont comme un bol, ils n’ont pas de sens.  Lang tire la première salve, y va de son extase. Le Qatar ? « Un pays de raffinement, d’ouverture et de créativité »… Ici le raffinement n’est jamais loin du raffinage. Donnedieu de Vabres, marquant Jack à la culotte, nous plante « La culture est un respect, une liberté et un devoir »… Parler de liberté dans l’ambassade du Qatar c’est causer corde dans la maison d’un pendu. RDDV, en forme, insiste « Il faut bâtir un arc-en-ciel où se conjuguent les talents, les origines, les perspectives, les contraires et les différences, au lieu de laisser s’antagoniser (sic) les peurs, les rancœurs et les haines, qui sont les réponses de plus en plus ordinaires et banales à la crise ; le terreau nauséeux dans lequel prospère intégrisme fanatisme et racisme » RDDV ose !

     

     Il parle « d’intégrisme » dans la chancellerie qui représente Qaradawi, l’imam qatari qui fouette les femmes –mais avec discernement-  et regrette qu’ « Hitler avec les juifs n’ait pas fini le travail »… Bravo Renaud votre bassesse mérite un Prix, vous l’aurez. Une fois encore dans ce « livre », plaignons les « nègres », les malheureux qui ont été contraints, esclaves du mensonge, d’écrire ces flagorneries à la brosse à reluire.

     

    En 2010 les  petits malins qui ont flairé que le Qatar peut être un loto où tous les numéros sont gagnants, ne sont pas encore nombreux. Les stars ne sont pas encore au balcon et l’ambassadeur Al Kawari doit se contenter de distribuer ses Prix à des joueurs de troisième division. Ainsi les premiers lauréats de « Doha capitale culturelle arabe » sont-ils de sublimes inconnus.

     J’ai cité le professeur Mohamed Arkoun, professeur émérite de pensée islamique et Jean-Philippe Bras directeur de l’Institut de l’Islam. Ce Bras est bien petit. Mais nous ne sommes qu’à l’échauffement. Tahar Ben Jelloun, l’éternel arabe de service et Edmonde Charles-Roux, qui fait si chic sur le canapé du salon, arrivent très vite. Comme Paul Mongin, un « nouveau philosophe » sans chemise décolletée.

     

    Avec les mois les « hirondelles », surnom jadis donné aux amateurs de cocktails mondains, se refilent l’adresse de l’ambassade qui donne sur l’Arc de triomphe. Pas de champagne mais les petits fours sont grands L’affiche devient de plus en plus people et politique et l’on se demande comment, sans doute pris par l’ivresse du désespoir, le merveilleux Emmanuel Todd se fait épingler par le chalut de la rue de Tilsitt. Pour avoir « levé plusieurs méprises sur les trajectoires respectives de l’Occident et de l’Orient musulman »…

     

    Autres récipiendaires en pleine déprime, tombé là car il pensait y retrouver Marx ou Jésus, Régis Debray. Quand on le voit sur la photo, quand le mal est fait et le Prix remis, on sait qu’il marche sur des oursins et souhaiterait être ailleurs. Les notes de couvreurs ou de plombiers, souvent salées, peuvent donc vous conduire à accepter le Prix Doha. Nihil obstat : Régis va en paix. Et Jean Daniel, alors ! Notre Camus ressuscité, va lui aussi faire le chemin de Doha… Sans doute au titre des grandes consciences nécessiteuses. Le Nouvel Observateur est un monastère et il faut bien s’évader pour rire un peu.

     

    Quand vient le tour « d’un des plus grands architectes du monde », Roger Taillibert, nous rentrons dans la quatrième dimension, celle du copinage et du renvoi d’ascenseur. Ce qui est logique pour un homme du bâtiment. Taillibert construit des stades à Doha et, puisqu’il n’est pas ingrat, il fait la pub du Qatar à Paris.

     Comme ce personnage est, bien sûr, membre de l’Académie des Beaux-Arts, il fait un lobbying suffisant pour que Cheikha Moza, femme préférée de l’émir et mère de Tamim, le prince aujourd’hui aux commandes, soit admise au sous la coupole. Et, le 24 juin 2009, sous les yeux pétillants du président Sarkozy la splendide première épouse (il en existe trois autres  restées à la maison) fait un long discours. Ni la cheikha ni le pauvre Sarko ne comprennent ni ne connaissent le sujet. Il s’agit d’un hommage à Giörgy Ligeti, l’immense musicien qui a occupé le fauteuil de la reine avant elle. Pour un habitué de la gratte de Carla, c’est la barbe. Mais la barbe n’est-elle pas le symbole du Qatar ?

     

    Ca y est, les politiques se bousculent et ont trouvé la route de l’ambassade comme le dromadaire celle du puits. Si les plus malins échappent à l’embuscade, celle de recevoir un prix que l’on sait  infâmant, ils sont quand même là pour applaudir. Il faut connaitre la règle, et savoir que, dès la récompense attribuée, la photo de l’impétrant est clouée au mur d’un couloir de la chancellerie. Elle vient tenir compagnie aux autres fédérés de Doha qui sont déjà là, comme dans un mausolée à la soviétique. Recevoir 10 000 euros ne se fait pas impunément, ça laisse des traces. Dans notre livre d’or publié par Lafon et sur les murs.

     

    Dans le lot des politiques les plus malins, ou les moins c’est comme on veut, nous trouvons, en tête, le plus excellentissime ami du Qatar : Dominique de Villepin. Lui c’est la famille ; d’ailleurs il a hébergé une fille de l’émir quand celle-ci faisait des études dans le si dangereux Paris. Dominique a son rond de serviette en or massif, gravé à son chiffre, dans la salle à manger de l’émir, quel qu’il soit. Je l’ai dit, Villepin, bradeur d’autoroutes en France, est chargé d’écrire au Qatar une constitution aux petits oignons. Regrettons que, pour ce faire, le temps lui manque plus que l’argent...

     

    Dans les filets nous trouvons aussi un vieux poisson, Michel Rocard qui a des frais d’orthophoniste, et aussi le sublime Hubert Védrine. 

     Ah ! Hubert. Arrivé à l’Élysée par Mitterrand, qui était un ami de son papa à Vichy, voilà notre humaniste aujourd’hui chez LVMH dont le V est celui de Vuitton, un homme qui aimait le Maréchal.

     Donc Hubert a un tropisme qatari, sans doute est-il pécheur de perles ?

    Comme le lecteur est étourdi et pressé, on demande maintenant aux journalistes d’écrire des papiers courts. En plus ça peut éviter des bêtises. 

    Je vais donc procéder par rafle. Prié de se rendre sur le podium de Doha, nous allons trouver Monique Papon, sénatrice et adjointe au maire de Nantes Jean-Marc Ayrault. Un homme pourtant avisé qui a un jour déclaré : « moi, avant d’aller au Qatar, je me méfierai »… Eh bien sa coadjutrice n’a pas cette délicatesse.

     Disons que le coût de la jolie mosquée construite près du siège des biscuits Lu vaut bien une courbette. Pour l’occasion, Gérard Larcher, le vétérinaire de Rambouillet, mais aussi président du Sénat, vient faire sa visite. Passons vite aussi sur le cas de Maurice Leroy, un homme de conviction passé de l’extrême gauche à l’extrême centre, ce qui est plus proche de l’assiette au beurre. Leroy, que nous pourrions appeler Le Emir est un fou de Doha.

     Comme Johnny l’est du Tennessee.

     

     C’est mieux que de collectionner les étiquettes de camembert. Frédéric Mitterrand, Bertrand Delanoë, passent sous les fourches de l’ambassadeur. Pour convaincre Delanoë que le massacre de l’hôtel Lambert, chef d’œuvre architectural de l’île Saint Louis acheté par le Qatar, est vraiment indispensable, un voyage à Doha sera nécessaire. Bébert en reviendra convaincu.  Doha c’est comme Lourdes, ça fait des miracles.

     

    Doha, souk de Rafale

     

    Dans l’intervalle, le Qatar étant devenu un must, l’employé diplomate de l’émir distribue des récompenses plus discrètes mais bien utiles. Des rafales de prix attribués à des associations de banlieues qui ont toutes la qualité de ne pas être hostiles à l’islam radical.

     

    Pour finir sur une note d’humour. Nous allons évoquer le plus grand caricaturiste de tous les temps : Jean Plantu.

     Un journaliste qui, quoi qu’il arrive, trouve que Le Monde va bien. Oui, le coriace, l’inexpugnable Plantu montrant déjà son esprit Charlie va empocher le Prix Doha. Musique !

    Après de tels efforts, que son excellence l’ambassadeur soit loué (il sévit maintenant à Washington), comment voulez-vous qu’au nom de la modernité du Qatar, et de celle de sa chaîne de télé Al Jazira (tenue par des intégristes religieux), nos députés et sénateurs refusent de voter une exemption de l’impôt sur les plus-values immobilières touchées par le Qatar en France ? La seule, pauvre malheureuse, qui n’a rien compris à ce bonneteau politique, c’est la députée socialiste du Finistère Chantal Guittet. Il faudrait songer un jour à lui dresser une statue. Alors que ses collègues rentrent de leurs séjours à Doha avec une mine harassée, minés par le travail des « colloques », elle, en est revenue épatée : « A Doha, je n’ai rien compris. Je suis venue pour un Forum mais nous n’avons fait que manger et visiter les souks ». 

    Voilà, tu l’as dit Chantal, le Qatar c’est le souk.

     

    CONCLU-SION

     

    Le capitaine du pédé-à-l'eau souk ferme pour imposer la dictature d'Usraël en France et en Europe.

    Prostitué, presse-tituée pour 10 000 balles....

     

    Frédéric BERGER    

     

     

    Bonne journée donc à François Hollande et son appareil magique, celui qui sert à mesurer les Droits de l’Homme. Bonne journée à Laurent Fabius dont le meilleur ami, l’avocat Jean-Michel Darrois, avait un grand projet de fonds d’investissement, en commun avec Doha, Nicolas Sarkozy et Stéphane Courbit.

     Entre deux thés à la menthe, il n’y a pas de mal à faire des projets. Dommage que Nicolas, le frère de tous les émirs, n’ait pas été invité à la signature-partie. Doha, il connait c’est son sponsor. En sa présence on aurait pu évoquer le bon vieux temps. Comment Sarko et l’émir d’alors, le papa de Tamim, ont attaqué la Libye comme dans un hold-up. Pour en faire ce que ce pays est aujourd’hui, un chaos. 

     

    A propos, que sont devenus les milliards que le naïf Kadhafi avait entreposés dans une banque de Doha ? Le prix d’un  paquet de Rafales ?