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  • SAVOIE, MANUEL VALLS, ISRAËL, RACISME, ANTIMUSULMANISME, CHRETIEN, MATIGNON, TALMUD, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, LICRA

     

       MANUEL VALLS DOIT DÉMISSIONNER POUR RACISME

     

    L’Écho des Montagnes dans le légitime but de vous informer accuse Manuel Valls, premier sinistre de la France d'incitation à la haine raciale.

    En effet:

     

      AGRIF exige la démission de Manuel Valls

     

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    Suite à des propos rapportés dans Libération du 22/01/2015 : « Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens », l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne demande la démission de Manuel Valls :

     

    Avec justesse et justice, l’avocat Arno Klarsfeld vient de rappeler que « les juifs de France se souviendront toujours que si les 3/4 d’entre eux ont survécu c’est grâce à la population française et à l’Église ».

    Manuel Valls, lui, qui s’était déjà signalé par son appétit pour la répression des manifestants pacifiques majoritairement chrétiens contre la dénaturation du mariage, vient de déclarer :

    « Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens » (Libération 22/01/2015).

    Cela est aussi offensant pour les chrétiens que stupide à l’égard de nos compatriotes juifs qui se passeraient bien de tels propos immédiatement exploités par les adeptes antisémites de la thèse du conspirationnisme juif.

    En fait, Manuel Valls, après son irresponsable assertion lourde de justification de violences et de guerre civile, sur l’apartheid que subiraient certaines populations, a ainsi laissé plus que filtrer son aversion haineuse pour le christianisme. Ce qu’il voudrait, en fanatique jacobin, c’est l’éradication totale de ce qui demeure de chrétien dans notre société.

    Cet orgueilleux inculte qui se réfère à un Voltaire qu’il n’a pas lu oublie que ce dernier à été certes très hostile à l’Église catholique mais encore plus aux juifs. M. Valls n’a évidemment pas lu l’ouvrage qui fait désormais autorité du professeur Arthur Hertzberg intitulé : « Les origines de l’antisémitisme moderne ».

     

    Arthur Hertzberg, professeur à l’université de New York est président du Congrès juif américain et vice-président du Congrès juif mondial. Il est considéré comme l’un des plus grands penseurs modernes du judaïsme.

     

    Rompant avec les idées reçues et le bourrage de crâne laïciste, il démontre irréfutablement que l’antisémitisme moderne raciste et exterminationniste est l’enfant des « Lumières », des Voltaire, d’Holbach, Diderot et d’un Marat et non du christianisme.

    S’il n’y avait pas eu en zone occupée d’héroïques chrétiens de conviction, telle notre amie Rolande Birgy, « juste parmi les nations » et militante infatigable plus tard du respect de la vie, la réalité n’eut pas été celle qu’a évoqué avec raison Arno Klarsfeld.

    Manuel Valls dit et fait n’importe quoi sur trop de sujets. C’est son émigration à lui vers d’autres endroits que Matignon que l’on peut souhaiter. Document fourni par l’Écho des Montagnes à lire, merci:

    --racisme anti-savoisien:

       cliquez sur:  racisme anti savoisien.pdf

    --et surtout le portrait de Manuel Valls:

             Ratier.Emmanuel-Le.vrai.visage.de.Manuel.Valls.By.Hadopix.pdf

     

    En conclu-sion:

     Le premier sinistre a du se convertir au judaïsme, c'est son droit le plus pur pour se marier à une jérusalsite.

    Donc pour comprendre le personnage cliquez sur:  Talmud extrait rasciste.doc

    JE SUIS Frédéric BERGER

     

  • AUSCHWITZ, CREMATOIRE, HEINRICH HIMMLER, JESUITE, BARACK OBAMA, VLADIMIR POUTINE, JUIF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                                    EN DEHORS DE LA SUISSE

     

     L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer vous a toujours déclaré que c'est un journal affirmatif.

     

    En voici la preuve, sauvegardez comme vous pouvez cette preuve, que Poutine nous laisse diffuser.

     

    Merci à Barack OBAMA pour sa déclaration qui libère les esprits.

    Pour comprendre regardez cette caricature:

     

                  

     

     

    Vidéo censurée par Youtube (pourquoi?) mais visible sur rutube (Russie)


      http://rutube.ru/video/5cb6ab99e8a82bb667d89548197bda1f/?ref=logo

    Dès que vous suivez quelqu’un, vous cessez de suivre la   vérité." Krishnamurti


      « L'homme n'est pas né sur terre pour corriger la nature, mais pour en
      être le fidèle gardien. ( Paroles indiennes )


    "Regarde toujours dans la direction du soleil et les ombres seront
      derrière toi." **Proverbe Maori*

     

    CONCLU-SION/

     

     En langue allemande "aus" signifie "hors de"

     En dialecte allemand schwitz" signifie "SUISSE".

      Voila  AUS-SCHWITZ.

     

       à suivre, sans masque à gaz

     

    Frédéric BERGER

  • ZIAD MEDOUKH, GAZA, PALESTINE, ISRAËL, SIONISMLE, ANTIMUSULMANISME, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    La patience face à l’impuissance !

    Ziad Medoukh

     

     

    Presque six mois après la fin de la nouvelle agression israélienne contre la bande de Gaza en juillet-août 2014, la situation reste très grave à tous les niveaux, surtout sur le  plan humanitaire et économique, pour plus de 1,8 millions de Palestiniens de Gaza toujours isolés et enfermés, malgré, partout dans le monde, la mobilisation internationale contre les crimes israéliens  et malgré les promesses internationales de reconstruction rapide.

    On peut dire que la situation actuelle dans la bande de Gaza est stagnante, rien ne bouge, rien ne change, sur tous les niveaux. Les choses n’avancent pas: ni au niveau de la reconstruction, ni au niveau de la réconciliation, ni au niveau politique, mais le sentiment qui domine c’est  l’absence de perspectives pour l’avenir.

    Les habitants de Gaza essayent de montrer leur capacité à dépasser cette période difficile à travers une vie plus ou moins normale, mais sur leurs visages on lit la tristesse, voire l'inquiétude d'une population impuissante qui vit toujours sous blocus et qui est toujours enfermée dans une prison à ciel ouvert.

     

    Cette situation touche toute la population gazaouite souffrante, qui se voit abandonnée  à son sort par une communauté internationale silencieuse.

    Actuellement, plus 20.000 personnes qui ont perdu leur logement suite à l’agression israélienne de l’été dernier, et qui vivent dans des centres d’accueils ne parviennent  pas à réparer les pièces de leurs maisons détruites, car les matériaux de construction n’entrent pas suffisamment, par ordre militaire israélien.

    Au début de février 2015, le bureau des Nations-Unies pour les réfugiés palestiniens-UNRWA- a décidé de suspendre ses aides financières et alimentaires aux sans abris et aux milliers de personnes qui ont perdu leurs maisons et leurs biens, ce qui aggrave la situation, notamment pour les quelques 70.000 personnes qui ont loué des appartements auparavant payés par l’organisation internationale.

    Ces sans abris, soit ils ont dressé des tentes à côté de leurs maisons détruites pour y vivre, même dans des conditions inacceptables, surtout avec l’hiver, soit sont retournés vivre dans les centres d’accueil dans des conditions plus graves.

    En outre, les pays et les organisations internationales ne versent pas l’argent pour les projets de reconstruction, seulement 10% de cet argent promis lors de la conférence internationale sur la reconstruction de la bande de Gaza au Caire, en octobre dernier, est arrivé.

    On peut dire, que six mois après, aucun projet de reconstruction personnel ou public  n’a commencé.

    Le gouvernement israélien refuse pour le deuxième mois consécutif de transmettre les recettes des impôts  à l’autorité palestinienne, cette dernière se trouve incapable de payer les salaires de ses fonctionnaires, parmi eux, 130.000 de Gaza, ce que rend l’économie dans la bande de Gaza chaotique.

    En plus, dans la bande de Gaza, pénurie d’électricité et de carburants, pénurie d’eau et de gaz. Il manque beaucoup de médicaments et de produits alimentaires à cause du blocus.

    Six mois, après, rien ne semble différent pour les Palestiniens de Gaza, toujours à la recherche d'une solution politique et pas seulement humanitaire, suite à leur résistance remarquable contre les armes de l'aviation, de la marine et la force terrestre israéliennes. Le blocus dure depuis plus de huit ans, les passages et les frontières avec l'extérieur sont souvent fermés par ordre militaire israélien et les produits alimentaires et autres qui entrent à Gaza sont rares. Les autorités israéliennes ouvrent le seul passage commercial  qui relie la bande de Gaza à l’extérieur deux ou trois fois par semaine pour permettre l'entrée de 200 camions et  quelques convois humanitaires. Parmi ces camions,  5 à 6  seulement  contiennent des matériaux de construction, souvent destinés aux projets internationaux. Ce passage se ferme sous n’importe quel prétexte, par décision israélienne, sans prendre en considération les besoins énormes de la population civile.

    L’armée israélienne viole presque tous les jours l’accord du cessez le feu, et ne respecte pas la trêve. Souvent, les chars israéliens mènent des incursions dans la bande de Gaza, les soldats  contrôlent toujours les zones tampons sur les zones frontalières et tirent sur les paysans. La marine israélienne empêche l’extension de la zone de pêche et tire aussi sur les pêcheurs palestiniens et leurs bateaux.

    Au niveau de la réconciliation, la division est toujours là, et la tension  se poursuit entre les différents partis et mouvements palestiniens qui  pourraient amorcer le début de la reconstruction de la bande de Gaza.  Malgré la création du gouvernement d'union nationale dans les territoires, et malgré la solidarité interne et les signes d'union lors de la dernière offensive israélienne,  les points de divergence prédominent actuellement entre ces partis, empêchent  la réconciliation palestinienne de progresser et retardent les projets de reconstruction.

    Sur le plan politique, aucune résolution dans l’immédiat, à part la mobilisation et la solidarité populaire avec les habitants de Gaza, les gouvernements et les organisations internationales semble fermer les yeux sur ce qui se passe dans cette région sous blocus.

    Les habitants de Gaza sont toujours dans l’attente d’une solution, d’un changement .Avec leur patience exemplaire, leur volonté remarquable,  et leur persistance quotidienne, ils attendent la levée du blocus, l’ouverture des passages et des frontières qui les relient à l'extérieur, la fin de leur souffrance, et le jugement des criminels israéliens.

    C’est vrai que  les Palestiniens de Gaza  sont toujours confiants et déterminés, ils continuent de résister et d’exister, même à côté des ruines de leurs maisons détruites, avec leur seule arme, le courage. Ils espèrent  un changement radical, une solution politique qui leur permettrait enfin de vivre libres sur leur terre.

    La question qui se pose à la fin : jusqu’à quand les Palestiniens de Gaza vont-ils encore patienter ?

     

    Reportage photographique de ZIAD: 

    cliquez sur les photographies, merci.

     

     

     

     

     

     

     

  • UJFP, LICRA, CRIF, JUIF, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, ANTIMUSULMANISME

     

                                DIVER-SION ???

     

    POUR INFO: le communiqué de l'UJFP à l'heure où la LICRA deviendrait le partenaire privilégié pour un nouvel enseignement civique et moral, prêtre officiel de la nouvelle laïcité qui définit l'antisionisme comme forme moderne de l'antisémitisme. Il y a vraiment de quoi s'inquiéter pour la liberté d'expression pour la solidarité au peuple palestinien.


    LA LICRA, PRÊTRE OFFICIEL DE LA NOUVELLE LAÏCITÉ ?

    Nous apprenons que la LICRA (Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme) vient d’obtenir la signature du renouvellement de son partenariat avec le Ministère de l’Education Nationale pour trois ans, tant pour son intervention dans les établissements que pour la formation des formateurs.

    Cette annonce intervient au moment où le Ministère prévoit de donner une certaine importance (malgré les limites de crédits) à la promotion d’un nouvel enseignement civique et moral, dont la LICRA serait donc un partenaire privilégié.

    Dans le même mouvement, le livre que la LICRA a édité en septembre 2014, 100 mots pour se comprendre contre le racisme et l’antisémitisme (sous la direction de Antoine Spire et Mano Siri, éditions Le Bord de L’eau), est publié sur le site « Eduscol » du ministère comme outil pédagogique privilégié.

    L’Union Juive Française pour la Paix considère que cette convention et cette promotion de l’ouvrage cité sont un très mauvais coup porté à la laïcité, au « vivre ensemble » et à la lutte contre le racisme dans notre pays.

    Sans préjudice d’une analyse ultérieure plus approfondie, nous citerons simplement quelques passages de l’ouvrage, qui certes n’en constituent pas l’essentiel, mais portent sur des sujets dont nous savons qu’ils sont justement au cœur des polémiques et des difficultés rencontrées par les personnels de l’éducation aujourd’hui, tout particulièrement depuis les crimes racistes qui ont endeuillé notre pays en janvier. Sur plusieurs points, nous sommes obligés de parler de l’œuvre de pompiers pyromanes, et nous en voulons pour preuve le choix de certains rédacteurs, tel Robert Redeker, l’auteur de la formule « islamisation des esprits ».

    Dans leur introduction les auteurs savent à juste titre dire, après avoir montré comment « de nouveau on assassine des juifs uniquement parce qu’ils sont nés juifs », que « les musulmans de ce pays ne sont pas mieux traités ». Mais le reste de l’ouvrage montrera un traitement fort déséquilibré des notions et des faits.

    La présentation d’Israël (seul Etat faisant l’objet d’une entrée) comme « seule authentique démocratie du Moyen Orient » ne peut être perçue que comme une provocation pour tous ceux qui sont horrifiés par les massacres répétés opérés par cet Etat au mépris du droit international depuis sa création, et encore aujourd’hui en Cisjordanie et bien sûr à Gaza. Israël est un Etat juif et démocratique au sens où il est démocratique pour les Juifs et oppose sa judéité à tous les autres, pour justifier les discriminations tant en matière de logement et de travail que de justice et de circulation, sans oublier la non-reconnaissance de nombreux villages palestiniens, dont ceux des Bédouins du Néguev.

    Or Israël est présenté comme ayant « toujours eu deux langues officielles – hébreu et arabe - (...) ». Cela n’est plus vrai depuis des années, et tous ceux qui sont allés sur place savent à quel point tout est fait pour que l’arabe soit éliminé du paysage. Ni la Nakba, ni l’occupation et la colonisation des territoires palestiniens conquis en 1967 ne sont évoquées.

    De ce fait ne faudrait-il pas rappeler que les 50% de non-juifs vivant entre Mer Méditerranée et Jourdain sont privés de tout ou partie de leurs droits politiques et économiques.

    Cette présentation d’Israël se contente de reprendre le roman national proposé par le sionisme d’un « retour sur la terre ancestrale », et bien sûr ne questionne pas le sionisme comme idéologie de la séparation. La nécessité d’un Etat nation sur une base ethnique n’est peut-être pas le meilleur exemple pour promouvoir le « vivre ensemble », elle est même en contradiction avec la conception républicaine de la citoyenneté. Une telle présentation va de pair avec celle de l’antisionisme comme forme moderne de l’antisémitisme, en s’abritant derrière une citation de Léon Poliakov : « Cette agitation qui dure depuis trois millénaires, qui fut par exemple « anti mosaïque » dans l’Antiquité, « antijudaïque » chez les chrétiens et devint « antisioniste » au vingtième siècle, connaîtra probablement au vingt et unième siècle de nouveaux prolongements (...) ».

    Mano Siri et Antoine Spire enfoncent le clou « En effet,Israël est le seul Etat du monde dont certaines forces politiques contestent encore la légitimité, confondant la critique d’une politique avec la négation de l’Etat. Avec la deuxième Intifada en septembre 2000, et malgré la signature d’accords de paix entre Israël et plusieurs de ses voisins arabes (Egypte et Jordanie), l’antisionisme recouvre à présent la délégitimation de l’Etat d’Israël et l’hostilité aux Juifs ».

    Ici, Mano Siri et Antoine Spire confondent la critique des conditions de la création de l’Etat d’Israël et des structures d’apartheid qu’il s’est données, ses pratiques d’épuration ethnique et son expansion par la construction du Mur ou la colonisation, et l’hostilité aux Juifs. Ce sont eux qui, en participant à cette confusion, comme d’ailleurs les autres soutiens inconditionnels de l’Etat d’Israël comme le CRIF, contribuent à l’antisémitisme.

    C’est cette même définition de l’antisionisme comme la forme moderne de l’antisémitisme qui a conduit des militants alsaciens sur le banc des accusés pour avoir appelé au boycott des produits israéliens tant que ce pays ne respectera pas le droit international, procès dans lequel la LICRA s’était portée partie civile.

    Ainsi, sur des questions clés, le livre apparait non comme un outil pédagogique ouvrant à débat, mais l’affirmation d’une idéologie assénée comme une vérité incontestable.

    Choisir la LICRA comme partenaire privilégié et son livre comme référence est un acte délibéré d’importation du conflit Israël Palestine dans l’école sous prétexte d’antiracisme. L’UJFP demande solennellement que cette décision soit reconsidérée.

     

    Le bureau national de l’UJFP, le 4 février 2015

     

    Union Juive Française pour la Paix (UJFP)  -  21 ter rue Voltaire, 75011 PARIS

    Téléphone : 07 81 89 95 25 • E-mail : contact@ujfp.org : • Site web : www.ujfp.org

    Page facebook : www.facebook.com/UJFP.Officiel• Compte twitter: @contactujfp

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             NOTE DE LA RÉDACTION de l’Écho des Montagnes:

     

                       A quand le délit pénal d'antimusulmanisme, comme le soi-disant antisémitisme???

     

    Frédéric BERGER



  • ZIAD MEDOUKH, UNIVERSITE AL-AQSA, GAZA, PALESTINE, ECHO DES MONTAGNES,, FREDERIC BERGER

    L’université Al-Aqsa honore Ziad Medoukh

     

    Le jeudi 29 janvier 2015, dans les locaux de l’université Al-Aqsa de Gaza, une cérémonie a été organisée  pour rendre hommage aux professeurs qui, en 2014, ont fait aboutir des projets. Monsieur Ziad Medoukh, directeur du département de français et coordinateur du Centre de la paix dans cette université, a été honoré  en reconnaissance de ses réalisations personnelles et professionnelles.

    Cette cérémonie s’est déroulée en présence du président de l’université Al-Aqsa et de ses adjoints, des doyens des différentes facultés, des professeurs, du personnel, des étudiants, ainsi que d’invités venus de l’extérieur. Elle vient récompenser les mérites de ces professeurs qui ont reçu des distinctions nationales et internationales.

     

    En commençant, Dr.Salam Al-Agha, président de l’université Al-Aqsa, a prononcé une allocution dans laquelle il a félicité Ziad Medoukh de ses différentes réalisations notamment ses prix poétiques et ses publications littéraires et scientifiques. Il a déclaré que son université était très fière de compter dans ses rangs un responsable aussi actif et aussi infatigable qui, depuis sa nomination, a considérablement développé le département de français. Celui-ci, grâce à lui, est passé d’un simple petit bureau à un grand département de qualité équipé des meilleurs moyens audiovisuels et de centres tous financés par des associations françaises et francophones. Dr.Salam Al-Agha n’a pas omis de rappeler les relations étroites de ce département avec le Consulat de France à Jérusalem, et avec les universités et les associations francophones.

    Dans sa réponse, Ziad Medoukh, s’est dit très touché du geste et de l’initiative de la direction de son université. Il a remercié tous les responsables de bonne volonté qui ont décidé d’organiser cette fête en son honneur et en l’honneur de ses collègues. Il a ajouté que, depuis sa nomination à ce poste, soit depuis 7 ans, il ne cesse de travailler afin de développer le département de français et de faciliter aux jeunes étudiants de Gaza l’apprentissage de cette belle langue. Il a également remercié ses collègues et ses étudiants qui ont fait preuve de patience et lui ont  rendu la tâche plus aisée.

    Il a insisté sur le fait que ses prix obtenus et ses distinctions ont été réalisés grâce aux encouragements et aux facilités de son université, de ses collègues et de tous les amis dans le monde francophone.

    Il a saisi l’occasion qui lui était offerte pour remercier les universités, les associations, les personnes, et les amis francophones, de leur soutien et de leurs encouragements, au travers de projets et de visites qui ont contribué à développer le département de français et ses différents centres.

    A la fin de cette cérémonie, la direction de l’université et quelques responsables présents ont offert à Ziad Medoukh, une médaille portant la devise de l’université.

    Monsieur Medoukh, très ému par cette célébration honorifique, était entouré de ses collègues, d’étudiants et d’amis qui lui ont manifesté leur fierté de cette distinction, et lui ont exprimé leurs chaleureuses félicitations.

    Pour lui, l’année 2014 a été une année très fructueuse, riche de succès et des réalisations importantes, tant au niveau personnel qu’au niveau professionnel, soit :

    - L’obtention du premier prix de poésie en avril 2014, lors du concours Europoésie.

    - Sa nomination comme Ambassadeur de la paix en juin 2014

    - La sortie en France, en novembre 2014, de son livre  intitulé : « Chroniques d’un été meurtrier à Gaza, récit d’un génocide répété » aux Editions "Kairos-Nancy .

    - Le développement des projets pour les jeunes et les enfants de Gaza en relation avec le monde francophone.
           

     

     

     

     

        Cliquez sur les photographies, elles sont superbes, bravo à ZIAD.                                                                       Frédéric BERGER