LE VOILE
Il serait bon de rappeler ceci aux porteuses de Burqa actuelles , peut-être qu'elles se vêtiraient autrement .
La Burqa vient du Culte d'Astarté dans la Mésopotamie antique . Pour honorer la déesse de l'Amour Physique, toutes les
femmes sans exception devaient se prostituer une fois l'an dans les bois sacrés qui entouraient les temples de la déesse.
Astarté est une divinité sidérale constamment associé à Baal. Penê-Baal (face de Baal), Selem-Baal (Salambô, « image de Baal ») sont des épithètes qui lui sont souvent données, et ces épithètes deviennent à leur tour de véritables noms propres.
Élément féminin du couple suprême qu'elle forme avec Baal, celle-ci assume des fonctions variées : protectrice du souverain et de sa dynastie, elle protège également les marins, mais son culte est, comme pour la plupart des divinités féminines primordiales de l'antiquité (et de la proto-histoire), lié à la fertilité et à la fécondité.
Étant à la fois Vénus et la Lune, elle est considérée tour à tour comme une déesse vierge et une déesse mère. De là, dans son culte, des cérémonies et des actes symboliques qui se transformaient aisément en scènes de débauche, aboutissant à des excès sanguinaires et cruels. Comme Baal, Astarté est souvent honorée, du moins jusqu'au début du premier millénaire avant notre ère, par des sacrifices humains, surtout par des holocaustes « sacrifices » d'enfants. On retrouve dans le culte d'Aphrodite les principaux traits de celui d'Astarté. Il est même probable que le nom d'Aphrodite (« Astoret », « Aphtoret », « Aphrodite ») et celui d'Amphitrite (Amphtoret) ne sont que des altérations du nom d'Astarté.
Palé-Paphos (l'ancienne Paphos) est bâtie selon la légende vers le Xe siècle avant notre ère par le phénicien Cinyras, le père de Myrrha, ou par les Syriens, selon d'autres. Les fondateurs y élevèrent, en l'honneur d'Astarté/Aphrodite, un temple connu dans tout l'Orient à l'époque d'Homère, la déesse Astarté y était adorée primitivement, sous la forme d'une pierre noire.
Pour ne pas être reconnues, les femmes de la haute société prirent l'habitude de se voiler totalement.
Et n'oubliez pas ceci :
Mustapha Kemal, alias Ataturk, 1er président de la Turquie, de 1923 à 1938, avait trouvé la bonne astuce pour clouer le bec aux intégristes de l'époque.
Il avait mis un terme au port de la burqa, en faisant une loi toute simple , avec effet immédiat, toutes les femmes turques ont le droit de se vêtir comme elles le désirent.
Toutefois , toutes les prostituées doivent porter la burqa.
Dès le lendemain, on ne voyait plus de burqa en Turquie.
Et c'est toujours en vigueur.
Frédéric BERGER