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  • SAVOIE, SENS COMMUN, CATHOLIQUE, MARINE LE PEN, EURO, FRÈRES MUSULMANS, FRANÇOIS FILLON, L.R., FRONT NATIONAL, MARION LE PEN , BRUNO GOLLNISCH, ROBERT LANGLOIS,ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER





    Communiqué de l’État de Savoie, concernant les élections étrangères françaises.
    En Savoie, on est mort de rire suite à la magouille des élec-sions maçonniques françaises, pays d'occupa-sion de la Savoie.

    Preuve en est: SENS INTERDIT, SENS COMMUN,SENT LA MERDE.

    Preuve:


    SENS COMMUN : IDIOTS-UTILES DES « FRÈRES MUSULMANS »
    (Robert Langlois)

     

    En politique, c’est comme dans les systèmes d’équation : il vient un moment où tout se simplifie. Nous y sommes. L’équation du vote de SENS COMMUN pour Fillon est résolue. Elle s’est simplifiée toute seule.

    Résultat

    Fillon, le candidat supporté (hissé au cric à la primaire de la droite) par SENS COMMUN a donné la même consigne de vote que l’« Union Nationale des Musulmans de France » (ex-UOIF). Les deux ont appelé à voter Macron pour faire barrage à Marine Le Pen…
    Voilà, c’est tout simple. Telle est la réduction ultime à laquelle a conduit l’engagement de certains apprentis sorciers dans cette campagne.
    Bravo, bravo et encore bravo. Amis catholiques, vous pourrez donc remercier les irresponsables qui vous ont fourrés, et nous tous avec, dans cette nasse.
    Car si vous écoutez le champion que vous a choisi SENS COMMUN, vous allez appliquer la consigne qui complet le mieux à Tarik Ramadan et aux Frères Musulmans, celle qui va détruire les dernières défenses qui nous restent et leur ouvrir le pays.
    Car Tarik Ramadan, les Frères Musulmans et l’UOIF savent exactement comment conquérir la France. Eux, ce sont des politiques de très haut niveau. Eux, avancent sans effort dans l’espace politique que leur livrent depuis des décennies les sociaux libéraux coalisés et, en cette occasion historique exceptionnelle, les idiots utiles de SENS COMMUN. Eux, savent que Macron est leur meilleur candidat, celui qui va faire le vide devant eux.
    Avec le concours de Fillon, Macron a de très grandes chances d’être élu. Alors voici en vrac ce qui nous attendra.

    Immigration

    Macron l’a promis : accélération immédiate, création d’une « autoroute entre Alger et Paris ». On va devoir se pousser, faire de la place. Il va falloir faire beaucoup de place pour faire rentrer tout le monde. Car Macron veut du monde, beaucoup de monde, beaucoup de nouveaux consommateurs pour relancer la croissance que lui réclament les marchés.

    Culture, identité

    La messe est dite. Pour Macron il n’y a pas de culture française, pas d’art français, pas de français de souche, pas de France du tout. Rien. Avec lui, notre bien le plus précieux, notre patrie que nous ont léguée nos ancêtres finira de disparaître. Toutes les traces seront effacées : à l’école, dans les médias, dans les dictionnaires, dans les livres d’histoire, dans les musées, sur les monuments. Partout. Une nouvelle narrative sera définitivement imposée : ce seront les autres qui auront fait la France, mais surtout pas les français. C’est ce que l’on apprendra à nos enfants.

    Frontières 

    Plus de frontières nationales, le pays sera encore plus ouvert qu’il ne l’est.

    Souveraineté nationale

    Fini. Plus rien. Tout sera délocalisé.

    Sécurité

    Poursuite de la politique de laxisme absolu menée depuis des décennies par l’UMPS et validée par le Grand Turc. Plus aucun européen ne pourra se promener dans la rue ni nulle part sans risquer de se faire égorger, écraser, violer. Open bar à la délinquance et au pillage privé. On ne sera plus protégés nulle part. En revanche, tolérance zéro si vous êtes Blanc, hétérosexuel et si vous payez des impôts. Zonzon au moindre dérapage !

    Lois sociétales

    Macron va s’en occuper : GPA, gender, fin de vie, transgénisme, transhumanisme, tout va aller très. Très vite. Tout pour les minorités sexuelles, ethniques, religieuses. Tout contre la tradition, le droit naturel, la famille. La prime sera donnée à tout ce qui n’est pas la France. Seul l’islam sera protégé. Il sera interdit d’émettre la moindre critique à son encontre sous peine de très sévère répression.

    École

    Vous avez aimé Najat Vallaud-Belkacem ? Vous allez adorer celui ou celle que Macron choisira pour la remplacer.

    Liberté d’opinion, liberté d’expression

    Pénalisation des délits d’opinion, plus aucune liberté d’expression en dehors de la doxa imposée, sauf pour les musulmans qui, eux, auront toute liberté de tout dire et tout faire sans aucune entrave.

    Économies, patrimoine

    Macron va s’en occuper aussi. Il va ruiner la classe moyenne pour financer la consommation des immigrés qu’il compte faire rentrer massivement dans le pays pour relancer la croissance et grossir les profits des sociétés transnationales. Tout est prêt. Ça va aller très vite. On n’aura même plus le temps de réagir ou de mettre quoi que ce soit à l’abri. Pour les distraits qui n’ont pas pris leurs précautions, c’est cuit. Les autres, les instruits, les initiés, ceux qui savent, ont déjà tout tiré au sec. Eux, ne risquent plus rien. Seule la classe moyenne se retrouve les doigts coincés dans la tapette. La matière taxable est captive. Trop tard pour en sortir.

    Patrimoine industriel de la France et biens nationaux

    Tout ce qu’il nous reste va être mis à l’encan. Tout va être bradé. Les marchés vont se ruer. Tout va être liquidé à vil prix pour satisfaire les commanditaires de Macron, qui l’ont fabriqué et propulsé là pour qu’il leur renvoie leur retour sur investissement.

    Droit du travail acquis sociaux

    Dérégulation finale. Alignement sur les pays les moins-disant au plan social. 50 milliards de CICE n’ont pas suffi. Il leur faut plus. Encore plus. Tout va y passer. Des millions de chômeurs et de nouveaux pauvres. Pas une famille de la classe moyenne de souche n’y échappera. Dans toutes ces familles, il y aura des drames et des chutes brutales au plus bas de l’échelle sociale.

    Retraites

    Ça va faire très mal. Nombre de retraités vont rejoindre la très grande pauvreté. Ceux à qui il reste du patrimoine seront maintenus le nez au ras-de-l’eau et devront tout liquider pour survivre.

    Protection sociale

    Vous devrez liquider votre patrimoine pour financer vos dépenses de santé, complémenter votre retraite ou financer les dépenses liées à votre fin de vie ou à l’éducation de vos enfants.
    Voilà chers amis, voilà exactement ce qui nous attend.
     
    La responsabilité historique des apprentis sorciers de SENS COMMUN est colossale. Non seulement ils sont commis un faute morale impardonnable en soutenant envers et contre tout un escroc avéré pour défendre des valeurs morales ; mais ils ont commis une erreur politique fondamentale en donnant la préférence au programme ultra-libéral de cet escroc. Un programme dont ils ont pensé qu’ils préserveraient mieux leurs intérêts de classe que celui de la seule candidate patriote qui prônait la sortie de l’euro.
     
    Médiocre petit calcul. Pour sauver leurs petits avoirs bourgeois, les cancres criminels de SENS COMMUN ont sacrifié une chance historique, sans doute la dernière, de trouver une solution par la voie électorale à des problèmes autrement plus importants qui sont ceux de la souveraineté et de l’identité de la France. Après Macron il n’en restera rien. Plus rien du tout. Pas davantage du patrimoine des électeurs de SENS COMMUN d’ailleurs.
     
    L’avenir se profile de façon simpliste. Macron sera élu et il aura une majorité pour gouverner (là, c’est quand même moins sûr – vive la IVème !).
     
    En appelant à voter Macron, Fillon a tiré une balle dans le pied de tous les candidats LR aux Législatives. On voit mal en effet pourquoi après avoir voté Macron les électeurs n’accompagneraient pas sa victoire en lui donnant une majorité. Franchement qui voterait LR aux Législatives après avoir voté Macron à la Présidentielle ? Qui voudrait être dans le camp des battus ?
     
    Macron et ses commanditaires savent que le temps leur est compté avant le collapsus final du système et son effondrement dans le chaos. Par conséquent, ils accéléreront la réalisation de leur programme à marche forcée pour lever les derniers plis tant qu’ils en auront encore le temps.
    Une fois él
    u, tout va donc aller très vite.
    Alors les apprentis-sorciers de SENS COMMUN verront le ciel leur tomber sur la tête. Non seulement tout ce qu’ils abhorrent au plan sociétal se parachèvera, mais leur patrimoine servira de combustible à la politique migratoire voulue par la ploutocratie mondialiste.
    La tiédeur hypocrite de SENS COMMUN : ça n’est pas du bleu pâle, du blanc et du rose qu’il nous faut. C’est du BLEU DE FRANCE, du BLANC et du ROUGE SANG !
    Enfin l’euro s’effondrera car il ne sert plus à rien à l’Allemagne et que les erreurs de conceptions qu’il porte finiront par en précipiter la chute.
     
    Alors, amis catholiques, de grâce atterrissez et sortez de ce faux pas.
    Rejoignez le camp des Patriotes souverainistes, comptez-vous avec nous. Plus le score de Marine Le Pen sera élevé, plus nous aurons de courage et de forces pour affronter les terribles échéances historiques qui nous attendent et qui ne se joueront pas dans les urnes.
     
     
     
    Tout le monde l’aura compris, je suis un catholique totalement dépité. Non seulement j’ai vu l’Église fossoyer la religion, mais je vois maintenant les apprentis sorciers de SENS COMMUN fourvoyer les fidèles aux côtés des « Frères Musulmans ».
    Mais est-ce vraiment une erreur de leur part ou bien une manœuvre diabolique ?

    Dernière minute

    On apprend que SENS COMMUN aurait appelé à ne pas voter Macron sans pour autant appeler à voter pour Marine Le Pen.
    Demi-mesure, minable pas-de-clerc qui confirme bien le manque de hauteur de vue et l’hypocrisie sournoise de leurs équipes dirigeantes. Après avoir appelé à voter pour un escroc dont les chances étaient nulles, les voilà qui se dégagent piteusement en empruntant la petite porte de derrière.
     
    Triste équipe dirigeante qui après avoir baissé la tête pour faire de petits calculs au ras du sol, n’a pas vu arriver le TGV qui va leur renter dans le fondement.
     
    Pauvres catholiques dont le poids politique pourrait être énorme mais qui se retrouvent stérilisés par des dirigeants politiques irresponsables et irrésolus.
     
    Amis catholiques, dégagez-vous de SENS COMMUN, replacez les valeurs dans le bon ordre, ne faites pas la courte échelle aux musulmans fanatiques. Retrouvez la place qui est la vôtre dans le camp des patriotes.
     
    Robert Langlois

    Cet article ne vise nullement les électrices et électeurs dont nous estimons qu’ils ont été abusés, mais uniquement les dirigeants de SENS COMMUN qui les ont hypocritement fourvoyés.

     

  • ASCADIE, REGÉNÉRATION, CELLULE, VIELISSEMENT, VIE, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER

    Cet animal est un expert de la régénération

     Cliquez sur la photographie, merci

     

    L’ascidie, ce curieux petit invertébré marin en forme d’outre, a la faculté de renouveler ses tissus très rapidement après de graves lésions. L’étude de ce mécanisme biologique, encore rare, pourrait se révéler précieuse pour la médecine régénérative. 
     
    Si les ascidies étaient un personnage de bande dessinée, elles seraient à coup sûr Wolverine, le X-men au pouvoir auto-guérisseur qui se remet en accéléré de toutes les blessures. Comme le héros de Marvel, ces petits organismes marins apparus il y a 500 millions d’années environ possèdent – du moins dans leur forme dite « coloniale » – de fascinants pouvoirs de régénération.
     À tel point que leur corps, presque entièrement  détruit par un de leur rare prédateur ou par le manque de nourriture, peut se reconstruire complètement en quelques jours quand le danger ou la pénurie sont passés. Dès lors, ces invertébrés, aux formes souples et onduleuses qui enchantent par leurs couleurs et leurs symétries, ne se contentent pas seulement d’orner le fond des mers et d’y faire « tapisserie » : ils intéressent au plus haut point les biologistes qui rêvent de s’inspirer de leurs étonnantes propriétés.

    C’est un modèle fascinant : les ascidies coloniales disposent de plusieurs voies pour construire un même corps.
     
    « Les recherches sur les ascidies pourraient avoir des répercussions importantes pour la médecine régénérative, souligne Stefano Tiozzo, responsable d’une des sept équipes du Laboratoire de biologie du développement de Villefranche-sur-mer. 

     Depuis sa thèse, ce jeune chercheur se passionne pour ces singulières « marguerites de mer ». Même s’il préfère rester modeste sur la portée à court terme de ses recherches, la biologie régénérative des ascidies pourrait bien devenir un modèle pour cette branche de la médecine qui vise à soigner nos tissus malades ou endommagés en régénérant nos propres cellules. Cette nouvelle thérapie nous éviterait le recours parfois délicat à la greffe de tissus ou d’organes étrangers. C’est d’ailleurs dans le cadre des mécanismes de reconnaissance du « soi » et du « non-soi », qui jouent un rôle clé dans le rejet de greffes chez les êtres humains, que des chercheurs en immunologie s’étaient déjà intéressés aux ascidies à la fin des années 1990.

      
    Certes, les ascidies ne sont pas les seuls animaux dotés de tels pouvoirs de régénération : l’axolotl et sa cousine la salamandre ont eu davantage les honneurs de la presse ces dernières années. Mais, par leur plus grande facilité d’étude en laboratoire ainsi que leur large diversité – environ 3 000 espèces recensées à ce jour –, elles sont des candidates toutes désignées pour explorer en détail ces mécanismes.
     « Surtout, c’est un modèle fascinant car à la différence de beaucoup d’autres animaux, et notamment des vertébrés, les ascidies coloniales disposent de plusieurs voies pour construire un même corps », s’enthousiasme le chercheur. 

    Autant de voies de régénération que son équipe aimerait justement percer à jour en se penchant plus particulièrement sur un groupe d’espèces proche du botrylle étoilé (Botryllus schlosseri), une espèce d’ascidie très répandue sur le littoral méditerranéen.
     

    La régénération ou la fabrique du même

    Pour isoler la clé du pouvoir de régénération, les chercheurs ont décidé de comparer les ascidies selon leurs différents modes de vie. « Elles peuvent en effet être soit solitaires, soit sociales ou coloniales » explique le chercheur.

     Fait remarquable, quand il choisit la forme « communautaire », chaque animal donne du sien : « Dans une forme coloniale, les individus se solidarisent en une seule et même tunique parcourue par un réseau de vaisseaux sanguins qui connecte tous les membres de la colonie. Puis la colonie s’étend de proche en proche par propagation végétative : dès lors, chaque nouvel individu est en réalité un clone de l’organisme fondateur », explique Stefano Tiozzo.

    Or ce mode de reproduction asexuée – qui ne fait intervenir qu’un seul individu – est en général « lié à un pouvoir de régénération très haut », précise Stefano Tiozzo. « Chez les métazoaires, cette faculté de se régénérer est présente dans différentes espèces, mais pas toujours avec la même puissance », poursuit-il.

     Chez les ascidies coloniales, et en particulier le botrylle étoilé, la puissance de régénération couplée à la diversité de ses manifestations est donc une piste précieuse.
     

    À la recherche des clés de la régénération

    Il s’agit donc d’observer les différents cas de figure : « Les ascidies solitaires ne se reproduisent que de manière sexuée et montrent alors des capacités à se régénérer moins élevées que les espèces coloniales », indique notamment Stefano Tiozzo. Reste à analyser ces différences le plus finement possible avec les nouveaux outils d’imagerie cellulaire et de la biologie moléculaire tels le séquençage haut débit et la transgénèse. « Développer ces outils nous demande beaucoup de travail car nous partons de presque rien : ces organismes restent très peu étudiés », constate le chercheur qui a recensé à ce jour moins d’une dizaine d’équipes dans le monde impliquées dans la biologie régénérative des ascidies coloniales.

    Ces efforts se concentrent aujourd’hui sur l’acquisition de connaissances fondamentales sur le botrylle étoilé et ses espèces voisines. Avec, en premier lieu, le « manuel » de base de toute biologie moléculaire, à savoir le génome.

     Le laboratoire prévoit ainsi de séquencer, en plus du génome du botrylle étoilé déjà disponible, les génomes de deux espèces coloniales et d’une espèce solitaire. En tirant parti de la proximité génétique de ces espèces dont le pouvoir de régénération diffère, l’équipe espère ainsi jouer sur ces petites différences entre leurs « catalogues de gènes » afin de révéler les bases génétiques de la régénération. « Il n’y a toutefois pas de "gènes de la régénération" à proprement parler, nuance le chercheur, mais plutôt une orchestration moléculaire complexe à laquelle participent différents pupitres : les gènes en sont un, au même titre que les régions régulatrices, les modifications épigénétiques ou encore l’environnement. » 

     Une orchestration cellulaire subtile que l’équipe étudie également grâce à des études mesurant et comparant les niveaux d’expression des gènes entre différentes conditions. Cette approche a déjà fait ses preuves dans le laboratoire puisqu’elle a récemment permis à l’équipe d’isoler des réseaux de gènes qui se comportent différemment chez le botrylle étoilé en fonction du mode de reproduction.
     

    Il n’y a pas une clé de voûte magique de la régénération qui serait conservée chez toutes les espèces.
     
    En parallèle, ces nouveaux outils expérimentaux appliqués au botrylle étoilé et à ses comparses pourraient conduire à une meilleure compréhension des mécanismes de production des cellules souches, ces cellules « mères » capables de redonner vie à toute forme de cellules et à partir desquelles un organe voire un organisme complet peut être reconstitué. Ce sont ces mêmes cellules souches qui, chez les ascidies, interviennent dans la reproduction asexuée et dans la régénération.

     Pour le moment, Stefano Tiozzo et son équipe essaient avant tout de comprendre l’origine de ces cellules souches chez le botrylle étoilé : préexistent-elles déjà un peu partout dans l’organisme, ou proviennent-elles de cellules spécialisées en mesure de se reprogrammer ?
    Autant de réponses à venir qui pourraient aussi éclairer les mécanismes évolutifs qui ont privé une grande partie des animaux, dont les êtres humains, de ces incroyables capacités. À la différence du héros de fiction Wolverine, dont les pouvoirs extravagants résultent d’une simple mutation génétique, il en faudrait davantage pour que ces capacités enviables nous soient transférées telles quelles : « Il n’y a pas une clé de voute magique de la régénération qui serait conservée chez toutes les espèces et qu’il suffirait de réactiver », tient à préciser Stefano Tiozzo. 

    Que celles et ceux qui se rêvaient déjà en futur X-men ne se désolent pas pour autant : en plus de leur apport attendu en médecine régénérative, ces recherches  pourraient éclairer certains processus à l’œuvre dans les maladies dégénératives et le vieillissement. Et tout cela grâce à ces petits animaux marins, qui s’étaient jusque-là tenus bien loin des projecteurs. À l’exception toutefois du regard voyageur de l’écrivain John Steinbeck qui, Dans la mer de Cortez, leur dédiait cette maxime énigmatique : « Je suis plus que la somme de mes cellules, et pour ce que je sais, elles sont davantage que la division de moi-même. »

    Frédéric BERGER

  • BRIGITTE BONELLO, POLICE NATIONALE, H.L.M., T.A. DE LYON, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER


                     BRIGITTE BONELLO COMBAT 

                         L'INJUSTICE DE LA JUSTICE
                                     FRANÇAISE

    Grève de la faim: J+3 

    Bonsoir à tous,
    Aujourd’hui jeudi 20 avril 2017 - J3 de la grève de la faim devant le TGI de LYON
    Dès 13H00 rassemblement auprès de Jean-Pierre qui comme un pacha était sur son transat à se faire des sandwiches charcuterie / fromage.
    Il a proposé de faire le Café mais nous avions donc l’ami Youcef qui venait de Grenoble.
    Youcef soutien fidèle de René FORNEY.
    Nous sommes allés chez Nelly pour y prendre une boisson chaude car il ne fait guère chaud sur LYON
    Mais ce n’est pas un peu de froid qui va nous arrêter.
    Quand on est lancé, on est lancé.
    Youcef a fait 1H30 de train aller pour venir voir si je ne manquais de rien.
    Un grand merci à lui.
    Impeccable, formé à la communication, il a  pris les choses en main et a placé la pancarte MON TRAVAIL … sur une moto garée là.
    Il a porté sur lui la pancarte Grève de la faim.
    Nous avons mis sur le mur du TGI avec du scotch la pancarte CRIME : MALADIE ET HANDICAP
    Elle a été très porteuse cette affiche et nous a ramené un grand nombre de personnes.
    Je ne compte plus les soutiens de très nombreux fonctionnaires, dégoûtés de ces sacrifices sur l’autel de leurs finances, causant des ravages monstrueux (suicide perte de logement précarité etc …)
    Personne n’est à l’abri les amis de la maladie du handicap, de malfaisance de petits chefaillons à qui votre tête ne revient pas.
    Ainsi Pierre est passé me dire bonjour aujourd’hui comme hier.
    N’ayant qu’une parole j’avais promis à Andréani de lui tirer sur papier les photos prises et je les avais dans mon sac.
    Ce dernier est venu nous tenir compagnie et discuter.
    Jean-Pierre a fait des va et vient TGI et Tribunal Administratif m’apportant du café ou des boissons.
    A un moment il m’a même ramené alors que Youcef reprenait le train pour Grenoble, Giuseppe.
    Ce dernier qui croit encore au Père Noël soviétique revenait de poser des mémoires au TA.
    Notre ami Toni - dangereux terroriste puisqu’être pensant et humaniste - est venu discuter avec moi sur le matelas de la misère.
    Dieu merci il fait froid mais très beau et au soleil plus la chaleur du cœur aidant- nous étions BIEN.
    J’ai déjà perdu 2 kilos.
    Rassurez-vous j’ai beaucoup de graisse hivernale à éliminer.
    Thérèse nous est alors apparue. Toujours vaquant à ses aides diverses auprès de nombreuses personnes mais toujours bien présente notre Thérèse.
    Nous avons eu un homosexuel qui est venu discuter avec nous - cet homme en très grande souffrance - savait que l’on extermine en notre beau pays des droits de l’homme les personnes non rentables et les personnes malades et handicapées. Il a échangé un moment avec nous.
    Nous avons pu discuter avec la personne possédant la moto soutien pancarte. Il s’appelait Paul.
    Un jeune homme qui voulait se lancer dans l’immobilier et à qui j’ai souhaité de ne pas perdre son âme dans ce milieu de requins.
     
    J’ai pu lui raconter mon histoire - celle de René FORNEY
    Il était plutôt effaré que l’on puisse être incarcéré ou interné parce que l’on dérangeait ces requins.
    Nous avons eu un échange très riche.
    J’en ai profité pour l’inciter à se rebeller un peu - je l ui ai raconté comment lors des guerres du Vietnam des personnes se levaient pour dire NON. Comment des personnes faisaient des sit in
    Je lui ai parlé de Fred et des viols d’enfants.
    Ces temps de rue sont des merveilleux moments où des personnes parfois pressées - s’arrêtent - discutent et comprennent la dure réalité de leurs frères humains.
    Aujourd’hui n’a pas dérogé à la règle.
    Les personnes avec qui j’ai pu parler porteront en eux des graines qu’ils devront semer.
    Chaque histoire est différente mais chaque histoire ramène toujours à la même chose : des privilégiés qui abusent des petites personnes du PEUPLE - des privilégiés qui se croient au-dessus du PEUPLE - des privilégiés qui auront un jour des comptes à nous rendre.
    Nous avons terminé cette journée aux Halles de BOCUSE - haut lieu de ripailles de la Franc- maçonnerie - où JP grand seigneur m’a offert une boisson chaude en remerciement de son linge lavé.
    J’en ai profité puisque JP a désormais un portable IPHONE pour lui apprendre à envoyer des sms.
    Toute l’après-midi, il s’était amusé à faire des vidéos et des photos, mais n’arrivait pas à envoyer des sms.
    Demain j’y retourne.
    Puis comme un salarié, un travailleur, je profiterai de mon samedi et de mon dimanche pour dormir et me reposer.
    NB :
    Un passant révulsé par mon histoire, prénommé Gilles, a pris une photo et a dit qu'il m'enverrait un ami journaliste. Je n'y crois guère mais bon enfant je l'ai laissé prendre sa photo.
     

     
    BB
     
     

  • ZIAD MEDOUKH, GAZA, UNIVERSITÉ AL-AQSA DE GAZA, PALESTINE, SAVOIE, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER

    Le département de français réussit à intégrer dix diplômés de français dans les écoles et les associations de Gaza-vidéo-

    Le département de français de l’université Al-Aqsa de Gaza en Palestine poursuit ses efforts et son travail sérieux au service de ses étudiants et de ses diplômés.

    A partir de mois de mars 2017, le département de français a réussi à trouver dix postes de travail dans le domaine de français pour ses diplômés dans les écoles, les jardins d’enfants et dans différentes associations et structures de la bande de Gaza.

    Dans le cadre de son ouverture sur les différentes associations et structures dans la bande de Gaza, et afin de participer à la promotion de la langue française dans cette région sous blocus, le département de français a intégré dix diplômés dans le marché du travail.


    Ziad Medoukh, directeur du département de français a confirmé que son département a profité de ses bonnes relations avec les écoles et les associations de Gaza pour intégrer les diplômés.

    Il a ajouté que les diplômés travaillent dans le domaine de l’enseignement du français dans des écoles privées et des jardins d’enfants, l’animation en français dans des structures enfantines, la traduction, l’organisation de cours de français dans des centres et associations, et la coordination entre les associations de Gaza et quelques associations dans le monde francophone.


    Les diplômés de français impliqués ont été très contents de trouver un travail et de continuer à pratiquer la langue française, ils ont remercié le département pour cette initiative.

    Le département de français poursuivra son travail sérieux pour aider et soutenir ses étudiants et ses diplômés.

    La vidéo suivante montre le déroulement de ce projet  pour les diplômés de français:

    Cliquez sur la vidéo, merci.

    https://www.youtube.com/watch?v=h7S3viZb2Vs&spfreload=10

     

  • SAVOIE, FRANCE, ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE, TARTUFFE, POMPIDOU, DE GAULLE, ROTHSCHILD, VICHY, DREYFUS, ERDOGAN,,DONALD TRUMP, JÉSUITE, AIDA, VERDI, EN MARCHE, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER







     Du tartuffisme sacerdotal au tartuffisme judiciaire



    Communiqué de l'État de Savoie Indépendante, concernant l'élec-sion présidentielle française d'occupa-sion de la Savoie.

    Là cela dépasse et trépasse le délire: "Ils sont fous ces Gaulois".
    Ils n'ont aucune honte, l'élec-sion présiden-ciel n'est pas terminée qu'ils attaquent déjà le 2ème tour des élec-sions législatives de juin 2017.
    Du pire délire pour garder leur place qui engraisse les zélus de tous bords, ba-bord et tri-bord y compris.

    Pour bien voter, lisez ski vous plaît, l'article suivant:


     
    Par Manuel De Diéguez, Le 31 mars 2017
    De tous temps, en tous lieux et sous tous les régimes, l’appareil judiciaire s’est mis au service de l’État du moment. Monarchique sous la monarchie, louis-philippard sous la Restauration, anti-dreyfusard du temps de l’affaire Dreyfus, ennemi de la Commune à l’heure des « Communards », unanime dans son sermon d’obéissance à Vichy.

    La spécificité du tartuffisme judiciaire d’aujourd’hui tient au fait qu’il intervient directement dans la volonté de porter à l’Elysée un jeune homme de trente-huit ans, introduit par Jacques Attali dans le groupe Rothschild, où il a exercé la fonction centrale de banquier d’investissement, autrement dit, de banquier d’affaires.

    La fortune totale du groupe Rothschild est estimée à quelque cent cinquante millions de milliards de dollars. J’ai bien dit cent cinquante millions de milliards de dollars, c’est-à-dire quinze suivi de seize zéros. C’est rappeler que ce groupe est le vrai maître du marché français, européen et même mondial. A ce titre, il est devenu l’actionnaire majoritaire de quatre-vingt dix pour cent des banques centrales de toutes les nations du globe terrestre.

    Si l’on se souvient que Georges Pompidou, ex-banquier d’affaires lui aussi du même groupe Rothschild, avait imposé à la France l’interdiction d’emprunter à sa banque centrale et l’avait contrainte à se donner le « marché » pour créancier exclusif, on comprend que le paiement des seuls intérêts de la dette de la France auprès des banques privées soit rapidement devenu le tribut ou le bât du déficit budgétaire annuel de la nation.

    Depuis le 3 janvier 1973, date de la loi « Pompidou- Rothschild » la France a payé plus de mille cinq cents milliards d’euros d’intérêts aux banques privées. Le service de la dette est devenu le budget le plus considérable du pays: il dépasse celui de l’éducation nationale et de tous les autres ministères réunis. Il représente plus de quarante cinq milliards d’euros par an pour le seul paiement des intérêts.

    Michel Rocard déclarait en décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette se situerait à un niveau « bénin« , de « 16 ou 17 % du PIB« . Actuellement, la dette de la France frôle les cent pour cent de la production totale de l’année.

    Quelle était, en 1973, l’argumentation, sinon conjointe, du moins parallèle, du groupe Rothschild et de l’Élysée?

    Il serait absurde de soupçonner Georges Pompidou d’avoir fait passer les seuls intérêts des banques avant ceux de la France. Georges Pompidou était un vrai gaulliste et un érudit. Passionné de grec, quel aurait été son destin s’il était entré à l’école normale supérieure dont les portes lui étaient grandes ouvertes? Mais il n’a pas renoncé à sa vocation littéraire: au cours de son mandat il a publié une anthologie de la poésie française d’une sûreté de goût exceptionnelle.

    Mais, à l’instar des banquiers du groupe Rothschild, il savait que tous les États sont tentés de dépenser davantage qu’ils ne gagnent.

    Depuis que l’art de frapper monnaie s’est confondu avec celui de fabriquer de la monnaie fiduciaire, la prodigalité des États n’a plus connu de bornes. Du coup, leur tentation est devenue irrésistible de vaporiser leurs dettes par l’inflation afin de rembourser leurs créanciers en monnaie de singe. Sous l’occupation, le franc français était demeuré relativement stable. Mais, sitôt la guerre terminée, on a vu notre monnaie se dévaluer sur le modèle des assignats de la Révolution et ruiner les épargnants.

    En 1958, à l’heure du retour au pouvoir du Général de Gaulle, la monnaie française avait perdu quatre-vingt dix-neuf pour cent de sa valeur face au franc suisse. En rétablissant la parité entre le franc français et le franc suisse et en créant ce qu’on appelait le franc fort, le Général de Gaulle était si peu parvenu à rétablir durablement la parité entre les deux monnaies sur le marché des changes, qu’il avait suffi de quelques années pour retrouver la tradition de la chute du franc gaulois dans l’abîme. Du temps où le Premier Ministre de M. Giscard d’Estaing s’appelait Raymond Barre, l’inflation française s’élevait à quatorze pour cent par an.

    Aussi Georges Pompidou croyait-il sincèrement qu’à contraindre l’État à emprunter sur le marché, il porterait un coup décisif aux États dépensiers. Il se souvenait surtout de ce qu’entre 1945 et 1958, plusieurs centaines de milliers de petits épargnants français avaient été ruinés par la fonte de la monnaie nationale et pour avoir souscrit des emprunts d’État qu’on leur disait gagés par l’or de la banque de France. Et c’était cette blessure profonde qu’il fallait tenter, disait-il, de cicatriser.

    Or aujourd’hui, la banque centrale européenne se trouve dirigée par M. Draghi, ancien banquier d’investissement de la banque américaine Goldman Sachs.

    Que signifie l’envoi récent et en avant-garde d’un José Barroso, ancien Président de la Commission européenne de Bruxelles, à titre de caution du caractère soi-disant européen de la banque, alors que Barroso n’a jamais été qu’un agent déguisé du Pentagone et un fidèle exécutant des volontés de l’empire militaire mondial qu’on appelle les Etats-Unis?

    M. Draghi jette sur le marché dix-sept milliards d’euros papier par semaine, sous le prétexte d’une politique d’investissement, dont personne n’a vu la couleur.
    En réalité, grâce au fruit de la planche à billets électronique, le but de l’opération était, à l’image de ce que font la Banque d’Angleterre et la Réserve fédérale américaine, de racheter des titres obligataires, c’est-à-dire des bons du Trésor et divers titres d’entreprises irrécupérables appelés « titres pourris« .

    M. Draghi espérait par cette opération à destination des banques privées, « débloquer les circuits du crédit« , c’est-à-dire les inciter à se montrer plus dynamiques dans la distribution de crédits aux entreprises.
    Mais l’objectif des banques privées est autre. Trop heureuses de se débarrasser de leurs titres toxiques, elles se montrent encore plus frileuses dans l’attribution de crédits, si bien que le marasme économique perdure. Les banques, une fois de plus, sont les seules bénéficiaires de la politique dite de quantitave easing (QE), ce que la langue de Molière traduit par « laxisme monétaire« . Les banques ne sont intéressées que par leurs propres bénéfices.

    La Suisse, à laquelle on ne fera pas prendre des vessies pour des lanternes, a aussitôt compris que l’histoire de la République de Weimar allait reprendre son cours, a décidé sur l’heure de renoncer au taux de change fixe qu’elle avait accepté d’établir avec l’euro. Sa monnaie s’est immédiatement trouvé revalorisée de plus de vingt pour cent.
    On voit quel péril la banque centrale européenne actuelle fait courir à l’euro en renforçant momentanément par contre coup le pouvoir du dollar sur le plan international: aussi l’Allemagne est-elle allée jusqu’à menacer M. Draghi de lui intenter un procès.

    Naturellement, cette menace s’est tout de suite ensablée, parce que Mme Merkel ne saurait à la fois se présenter en apôtre de l’américanisation de l’Europe et en défenderesse de la solidité de l’euro comme monnaie de réserve.

    L’euro dévalué rejoint la catastrophe financière prévisible contre laquelle la loi Pompidou- Rothschild de 1973 était censée lutter. Car à l’heure où l’euro sera devenu une monnaie aussi fictive que le deutschemark sous la République de Weimar, à l’heure où l’euro papier rivalisera, si je puis dire, avec un dollar papier, tout le monde comprendra que l’euro se trouvera réduit au rang des assignats. L’euro aura seulement permis à tous les grands et petits commerçants de France et de Navarre de confondre dans les esprits un euro avec un franc, ce qui a conduit, par exemple à augmenter le prix des pommes de terre de mille trois cents pour cent.


    Le mythe d’un euro fort était censé créer une identité européenne. Grâce à l’euro surgirait par miracle une identité commune, donc un patriotisme européen. Or, déjà l’extrême gauche allemande descend dans la rue afin de défendre l’alliance future du parti avec les identités nationales renaissantes partout en Europe.

    A l’origine, la double nationalité franco-suisse se trouvait pratiquement seule en lice, tellement elle demeurait inoffensive pour tout le monde. Mais même les petits pays d’Amérique centrale refusaient farouchement toute bi-nationalité de leurs ressortissants. On comprend qu’à l’heure où des millions d’Algériens et de Marocains en France et des millions de Turcs en Allemagne considèrent seulement la France ou l’Allemagne comme un ajout secondaire à leur nationalité originelle, comme l’a rappelé récemment l’actuelle Ministre de l’éducation nationale, Mme Vallaud Belkacem, l’unité psychologique des nations se trouve pratiquement anéantie.

    Ainsi, Mme Vallaud Belkacem a déclaré qu’elle se sentait marocaine, mais qu’elle était en France pour faire carrière.

    Du reste, M. Erdogan a déjà appelé les Turcs d’Europe à porter à cinq enfants au minimum la fécondité des femmes turques sur le continent européen afin de modifier la définition même des identités nationales


    Le Président Donald Trump avait rappelé avant son élection, que l’Europe ne sera jamais une nation, mais seulement une société anonyme présidée par un conseil d’administration, donc livrée à l’anonymat et à l’irresponsabilité d’une bureaucratie dépourvue de toute autonomie politique réelle.


    C’est dans ce contexte que la gigantesque hallucination collective et la bénédiction judiciaire de la candidature à l’élection présidentielle d’un Emmanuel Macron, ancien élève des Jésuites, armé d’un slogan digne d’un gentil scoutisme –

    « En marche » – prennent tout leur sens. Car aussi longtemps que le principe de la présence militaire éternelle des États-Unis en Europe ira de soi, tout ce théâtre de pseudo « marcheurs » nous rappellera l’opéra Aida de Verdi, dans lequel une troupe piétinante chante en chœur et à tue-tête: « Marchons, marchons« .

    Entendez:

    Cliquez sur, merci:  https://youtu.be/81I1U8HC9QY 

    ou
     

     CONCLU-SION

     

    Les crabes marchent toujours en arrière. 

    Cliquez sur la photographie, MERCI.

     

     

     

    Frédéric BERGER von Götz von Berlichingen