MON CRI DU CŒUR: MERDE
L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, lance son cri du coeur,
en cette semaine sainte des Pâques.
En premier les paroles et en deuxième la vidéo chic et choc:
Paroles :
A Valls et ses « quand même »
Qu'il dit d'un air crispé
Qui poursuit Dieudonné
Comme un vrai meurtrier
A lui ce bien coiffé
Qui mène pour Israël
Des guerres sans les aimer
Et se nomme BHL
Refrain : Je dis merde, je dis merde, je dis merde, je dis merde, je dis merde, je dis merde...
A ceux de la télé
A ceux qui la regardent
Qui traitent de fachos
De simples quenellliers
L'Haziza et le CRIF
La Fourest, la LICRA
Finkielkraut, la Lévy
A ceux qui ne la ferment pas
Refrain
A tous les sans paroles
A ces menteurs publics
A tous les Cahuzac
Qui ne pensent qu'à leur fric
A cette Belkacem
Qui dit en théorie
Qu'au Gender elle dit non
Mais en fait qui dit oui !
Refrain
A Bayer, Monsanto
Goldman Sachs, JP Morgan
Rotschild et Bilderberg
Syngenta, DuPont, Lehman
A toi qui détruis tout
Sans te poser de questions
A toi qui ne comprends rien
Et qui consommes comme un con
Refrain
Vidéo:
En 3ème lieu, un texte:
Seuls les + DE 50 ANS pourront comprendre !
Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
Un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à son époque on retournait les bouteilles de verre consignées aumagasin ; que le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; que les bouteilles étaient ensuite recyclées puisqu'on ne connaissait de mouvement écologique.
— "De mon temps, on montait l'escalier à pieds puisqu'on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs ; qu'on ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues ; qu'on marchait jusqu'à l'épicerie du coin - mais, c'est vrai, on ne connaissait pas de mouvement écologiste".
— "On ne connaissait pas les couches jetables, on lavait les couches des bébés" ;
— "On avait un réveil qu'on remontait le soir."
— "Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas" ;
— "On ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit."
— "On n'avait pas de tondeuses à essence auto propulsées ou auto portées : on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon."
— "On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité - mais, c'est vrai, on ne connaissait pas de mouvement écologiste."
— "On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter."
— "On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo."
— "On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations - mais, c'est vrai, on ne connaissait pas de mouvement écologiste."
— "On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui :
ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER
— "Tout ce qu'on regrette, c'est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d'engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s'imagine avoir toutinventé, à commencer par le travail ; qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d'orthographe ; qui n'ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées ; qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel puisqu'ils pensent que c'est un grand couturier ; qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand onleurpropose Vienne ou Athènes, etc., mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur ignorance crasse !
MERDE à la fin !