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ECHO DES MONTAGNES - Page 168

  • SAVOIE, ALGERIE, DE GAULLE, COMMANDANT NIAUX, COLONEL BASTIEN-THIRY, OAS, ALGERIE FRANCAISE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


                   VOUS AVEZ DIT ATTENTAT DU "PETIT CLAMART" ?


    L’Écho des Montagnes, das le légitime but de vous informer, va vous parler vraiment de l'attentat  dit "du Petit Clamart".

    Attentat commandité, comme celui des "Jardins des Tuileries", n'est-ce-pas?
    Dans la vidéo que vous allez voir (sauvegardez là) il y a des fautes de propagandes intentionnelles.
    Rectifions donc: Adolf Hitler ne s'est pas suicidé
    et
     De Gaulle a été un politique comme à son habitude, dès 1956 dans l'affaire du dossier algérien.
    Car il s'est servi de l'Algérie pour conquérir le pouvoir en France et se présenter comme l'homme du dernier recours.
    L'Algérie pour le colonel de Gaulle n'a qu'un marche-pied, tant mieux pour l’Algérie qui en a profité !


    Dans l'attentat du "petit petit clamart", il y a une victime innocente, le commandant NIAUX.
    Ce commandant a été incarcéré au secret pendant des années et a "mouru" en prison.
    Sa veuve cherche des explications auprès des sinistres français, pas de réponse.
    Ni de l’Élysée, ni de Matignon!

    Silence NIAUX, on tourne une page de la tragédie gaullième pour le pouvoir, rien que le pouvoir, afin que rien ne change (devise de l'Opus Deï, secte jérusaliste, Mômone était jérusaliste!).

    Pourquoi, lorsque votre rédacteur en chef va à un rendez-vous avec la Veuve Niaux, est-il poursuivi par les barbouzes?
    Votre rédacteur en chef, ancien para-commando les a semé dans Paris, comme des bleus (3ème grade franc-maçonnique) dans le métro parigot. Car ces barbouzes à la sauce française ne valent pas ceux du Mossad, de la Gespato  ni du EX-KGB ou du M6! hihihihihi.

    Patrie historique de la propagande colonisatrice française:


      L’attentat du Petit-Clamart, désigné par ses auteurs sous le nom d’opération Charlotte Corday, est le nom d'une action d'un groupe (OAS-Métropole / OAS-CNR) dirigé par le lieutenant-colonel Bastien-Thiry, visant à assassiner le président de la République Charles de Gaulle, le 22 août 1962 à Clamart alors dans le département de la Seine.

    Cet  attentat a été revendiqué par le FLN aussi, ainsi que le barrage du "Malpasset" à Fréjus... dans le VAR. Qu'en dit le maire FN de Fréjus?

    Voici la vidéo à sauvegarder: j'ai l'original en cas de censure!

        Cliquez sur:   http://dai.ly/x33adof

    Ou sur:

           

     


    Ces jours qui ont changé le monde 19 sur 31... by SAVOIEINDEPENDANTE Frédéric BERGER

  • SAVOIE, CATHOLIQUE, PROTESTANT, ROME, MARION MARECHAL LE PEN, JEAN MARIE LE PEN, FRONT NATIONAL, VATICAN, HOLOCAUST, AMOROC, ROSE-CROIX, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    TRIBUNE. L’Église joue-t-elle avec le feu  satanique?

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous informe du rôle satanique de l’Église catholique intégriste de Rome.

    En effet cette église est une secte maçonnique-satanique qui a réussi.

    Merci à Marion Le PEN d'avoir fait soulever la soutane de ce débat.

    En effet Marion Maréchal le PEN est jérusaliste, comme sa mère, comme sa grand-mère.

    Le talmudisme se transmet de mère à mère.

    Alors, Marion Maréchal-Le Pen est, en effet, invitée à intervenir lors d’une table-ronde à l’université d’été de la Sainte Baume, dans un département où le Front national emporte 40% des suffrages et où il dirige une ville importante, Fréjus.

    Marion Le PEN est grand-père-ricide!

    Preuve

    cliquez sur:

    Manhattan, Avro - The Vatican's Holocaust - The Sensational Account Of The Most Horrifying Religious Massacre Of The 20Th Century (1986).pdf

    Frédéric Berger

    à suivre avec le dossier des prophéties de ROSE-CROIX-AMOROC

  • ZIAD MEDOUKH, MAHMOUD DARWICH, PALESTINE, GAZA, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Poèmes d’espoir dans la douleur !
    Ziad Medoukh
     
    -          Ce poème est un hommage à notre grand poète Mahmoud Darwich, paix à son âme.
     
     
    Ma plume est lutte contre leur barbarie !
    Mes vers sont combat
    Contre leur déchaînement et leur brutalité !
    Métaphore face à l’adversité que ma patience !
    Ma persévérance pour la liberté , cascade de rimes
    Et ma sensibilité, militantisme pour une cause juste !
    Ma résistance ?
    Un poème contre leur terrible sauvagerie !
     
     
     
    Un poème qui porte l’espoir d’un peuple
    Et ne passe pas par le chemin de la haine,
    Un beau poème pour tant  de malheurs, d’horreur, et de larmes
    Causés par des oppresseurs qui créent sciemment de la violence
    Et provoquent la colère des innocents,
    Les poussent au désespoir.
     
     
     
     
    Quand la révolte se mêle au désespoir,
    Ma voix de poète relance l’histoire
    Et remplace les silences des guerres
    Ma langue percute et touche,
    Elle explique  tous les maux qui accablent la Palestine,
    Elle décrit l’effusion de sang en cours,
    Elle dit toute l’horreur de cette faillite de l’humanité
    Ma poésie est déjà la graine d’une vie digne et libre.
     
     
     
    Avec une grandeur  d’âme et un engagement sans faille
    Avec un courage inlassable et une  patience au sein de la mêlée
    Je sème l’espoir sur la  branche d’olivier de  notre terre éternelle
    Terre d’asile ,
    Terre d’exil,
    Terre qui nous appartient de façon indéfectible,
    Lieu de l’inlassable recommencement
    J’engage les jeunes à marcher,
    Quitte à trébucher sur la pierre
    Afin de se relever.
     
     
    Je suis le poète du cœur et de l’esprit, intrépide et courageux ,
    Celui qui a donné à la poésie une place d’honneur
    Au cœur du patrimoine culturel de la Palestine
    Ma poésie est un chemin d’évasion pour résister
    Je suis une lampe dans ces ténèbres
    Je suis le témoin d’amour face au tyran
    Qui tue sans regret ni pitié,
    Qui essaye d’arracher  les fleurs de la paix
    Mais qui n’empêchera jamais l’arrivée de notre printemps .
     
     
     
    Moi, l’infatigable convaincu,
    Moi, le simple combattant de la liberté,
    Moi qui raconte une tragédie perdurant ,
    Moi qui souffre d’une maladie incurable d’espoir,
    Moi qui ai une foi inébranlable  en notre cause de justice,
    Avec ma résilience palestinienne, mon humilité
    Et ma sensibilité passionnée qui éveille les consciences,
    Je lutte contre l’aveuglement et la surdité,
    Et contre l’hypocrite  manipulation médiatique
    Qui visent à blanchir l’occupant de ses crimes quotidiens.


     
     
    Mes mots sont plus forts que les armes !
    Ils sont une arme véritable,
    Même s’ils semblent dérisoires face aux bombes
    Mais ma plume pèse plus lourd que leurs machines de guerre
    Moi qui ai transformé les cadavres en héros d’histoire
    Moi qui ai transformé les mots en forêt magique,
    Des mots d’amour entrelacés,
    Contre leur programme de destruction progressive de nos espoirs !
    Moi, la prodigieuse leçon de vie,
    Moi, le peuple qui s’entête à ne pas disparaître,
    Libre, je resterai
    Et libre,
    Demain,
    Sera la Palestine !
     
    Mes poèmes la relient au  monde ,
    Moi qui écris l’histoire avec mon sang,
    Moi qui essaye d’émouvoir mon peuple avec ma poésie,
    De le préparer à une aurore cristalline et à de joyeuses étincelles
    Moi qui tente au fil des mots,
    De toucher les cœurs des solidaires
    Colère, chagrin et indignation submergent ces braves
    Qui pleurent corps et âme avec leur soutien immuable
    Devant mes mots qui résonnent dans leurs tripes
    Mes écrits n’ont laissé personne indifférent
    Ils sont ce lien immense, voile de lucioles.
     
     
     
    Ma joie est toujours mêlée de tristesse,
    Tragique réelle et imminente.
    Avec ma poésie je continue à tracer mon chemin
    Mon combat est pour un monde meilleur,
    Sans murs, ni miradors, ni check-points.
    Amoureux de ma terre et des humains qui y vivent ,
    Je compose pour que la Palestine progresse
    Inexorablement
    Vers une victoire .
    J’écris pour que le colombe de la paix se pose un jour
    Et pour une humanité plus humaine !
     
     
     
    Avec mes mots, la justice n’est pas loin !
    Et mon rêve est d’écrire le poème de la victoire !
    Moi, belle espérance qui met l’occupant à genoux,
    Moi, beauté du cœur et fraternité contre les forces obscures,
    Moi, force infinie de vie,
    Moi, poète  de l’espoir dans la douleur,
    Moi, cri de souffrance, de révolte et de dignité,
    Un cri libre et intense qui s’élève au-dessus des murs
    Moi, la plume palestinienne de la paix !
     
     
     Photographies de ZIAD, cliquez dessus superbe de vérité:
     



     


     
     
    vidéo de l’Écho des MONTAGNES 
    Cliquez sur le lien, merci: 
    http://dai.ly/x6fj0a
     
    ou
     
     
     
     
     


    Marcel Khalife rend hommage a Darwish by LaPierreEtLaPlume Frédéric BERGER

  • JEAN MARIE LE PEN, FN, MENHIR, JOSE CASTANO, PIED NOIR, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    L’IRRÉDUCTIBLE MENHIR
     
    « Quand vient l’heure de l’adversité, tous deviennent courageux contre celui qui tombe » (Lord Byron, « Sardanapale »)
     
    Je vais vous faire un aveu : Je suis un inguérissable nostalgique… Et cette nostalgie me vient tout simplement d’un présent qui n’est pas à la hauteur des promesses du passé. « Le passé est un fleuve qu'on ne remonte jamais » disait Henry Bataille. C’est la raison pour laquelle –je le confesse honteusement- j’éprouve une certaine tendresse pour Jean-Marie Le Pen.
     
    Je sais… je sais… Par les temps qui courent, ce n’est pas bien, ce n’est pas moral me direz-vous mais que voulez-vous ; je suis ainsi fait ! Je n’appartiens pas à la caste des oublieux, ni à celle des ambitieux, ni à celle des carriéristes sans foi ni loi…
    Jean-Marie Le Pen n’est ni fréquentable, ni honorable vitupère-t-on à l’envi… Et alors ? Dans ce monde grouillant de politiciens véreux qui composent le damier des prétendants au trône, qui l’est vraiment ?...
     
    Il adore être entouré, congratulé, aimé… Il apprécie particulièrement les chansons paillardes, le rire, la beauté sous toute ses formes, la vie quoi !… C’est grave docteur ?...
    Il aimerait l’argent, les femmes et le pouvoir… Eh bien ? Qui n’a pas rêvé de se prélasser avec délice -ne serait-ce qu’un instant- dans cet univers pernicieux que les « puissants » de ce monde fréquentent dans une indicible extase ?...
    Il serait également antisémite, islamophobe, xénophobe, homophobe, raciste et j’en passe… Bon, bon, d’accord… Connaissez-vous quelqu’un qui ne l’est pas ? La « bienpensance » ? Les « moralistes à la conscience pure » ? La « gauche caviar » ? Foutaise !... Vous croyez, vous, en ces bonimenteurs ?...
     
    Et quoi d’autre encore ? Ah oui, j’oubliais le principal… Il savoure particulièrement le fait de passer dans la « lumière » de l'actualité comme les acteurs le sont dans la lumière des feux de la rampe. C’est queJean-Marie Le Pen est un acteur né ! Sa vocation réelle, ce sont les planches. Il aurait probablement excellé au théâtre dans un rôle de comique troupier :« Ah ! Brigands, vous ne jetterez pas à l'eau comme une huître un ancien troupier de Napoléon ! » se serait-il alors exclamé avec délice dans « La femme de trente ans », parallèle saisissant de cette pièce d’Honoré de Balzac avec la conjoncture présente… Mais le destin en a décidé autrement. En en faisant un chef de parti politique, il nous a privés d’un fabuleux acteur, d’un tragédien hors pair…
     
    Alors, à défaut de spectacle, Jean-Marie Le Pen fait de la politique en artiste. Depuis 60 ans, cet orateur né, ce tribun charismatique et visionnaire que tous les chefs de parti envient en grand secret, remplit les salles, harangue les foules, dénonce, condamne, provoque… tout en s’attardant avec bonheur sur les subjonctifs. 60 ans d’incantations, de controverses et de saillies légendaires…
    Qu’importe les réactions de la « nomenklatura » et des médias ! Lui, ce qu’il veut, c’est qu’on parle de lui. En bien ou en mal, peu importe ! L’essentiel, c’est qu’on parle de lui. Et plus on parle de lui, plus il est heureux. Son propre, c’est de provoquer à chacune de ses interventions, une extase organique, d’emmerder les cons(ciences) trop coincées et de tourner en dérision les sujets les plus graves. Sa constante, comme la célèbre devise de Pierre Dac, c’est d’être « pour tout ce qui est contre, et contre tout ce qui est pour ». Le pouvoir ? Ce n’est pas qu’il n’ait jamais voulu l’obtenir, ce n’est pas qu’il ait voulu fuir ses responsabilités comme le prétendent les docteurs ès sciences politiques et leurs satellites devins, c’est que, tout simplement, compte tenu de l’état avancé de délabrement de la France, il ne s’est jamais fait la moindre illusion sur la capacité de quiconque –lui compris- à empêcher son inéluctable naufrage.
    Qu’ils l’adulent ou le rejettent, pour la plupart des Français, Jean-Marie Le Pen, l’irréductible menhir, le champion de la provoc et de l’audimat, demeure à ce jourle dernier Gaulois de la politique française. Au crépuscule de sa vie, il sait n’attendre aucune indulgence de la part de ses détracteurs et, à l’instar d’Alfred de Musset, le « poète souffrant », laisse exhaler sa douleur : « Le monde n’a de pitié que pour les maux dont on meurt »… Alors, s’il doit mourir qu’il meure en sublime comédien qu’il est ! Son plus grand rôle lui tend les bras, celui qui le magnifierait aux yeux de la postérité : Sardanapale (1), ce roi légendaire de Ninive en Assyrie qui, voyant le pouvoir lui échapper à la suite d’une conspiration, choisit lorsqu’il se rendit compte que sa défaite était inéluctable, de se jeter en compagnie de sa favorite, Myrrha, dans les flammes d’un gigantesque bûcher.
     
    Mais, face à cette impuissance à contrarier ses passions et son destin, nul besoin de sang ni de mort violente. Et Racine de l’expliquer dans la préface de Bérénice : « Il suffit que l’action en soit grande, que les acteurs soient héroïques, que les passions y soient excitées, pour provoquer cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie ».
     
    Reclus dans son désespoir et sa tristesse, cerné par la trahison, acculé à une confrontation familiale destructrice qui le consume inexorablement, c’est dans un poème d’Alfred de Musset, « Tristesse », que cet homme, éternellement accusé des pires crimes médiatico-politiques, dans le couloir de la mort du politiquement correct depuis 60 ans, exprimera le 21 octobre 2014 dans le film de Serge Moati : « Adieu Le Pen », ses sentiments intimes et mélancoliques et confirmera sa nature à jamais tourmentée :
     
    « Dieu parle, il faut qu’on lui réponde.
       Le seul bien qui me reste au monde
       Est d’avoir quelquefois pleuré. »
     
                                                                                      José CASTANO
                                                           Courriel : joseph.castano0508@orange.fr
     
    (1)  - Sardanapale, drame de Lord Byron publié en 1821 en Angleterre
     
    « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux,
    Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots »
    (Alfred de Musset (1810-1857) dans sa « Nuit de mai »)
     
    « L’ennemi n’est pas celui qui te fait face, l’épée à la main. C’est celui qui est à côté de toi, le poignard dans le dos » (Paulo Coelho - Écrivain brésilien)

    « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »
     
    Intervention de José Castano - Colloque du Cercle Algérianiste du Gers : « Mettre sa vie au bout de ses idées ». Une évocation émouvante de l'Histoire du 1er Régiment Etranger de Parachutistes, corps d'élite de l'Armée française.
    Cliquez sur :Voir le message »
     
    Pour se procurer le DVD de ce colloque et de cette conférence, s’adresser au Cercle algérianiste du GERS.
    Renseignements : Georges BELMONTE -  Tel. 06.84.51.39.42 –
    Courriel : belmonte-georges@wanadoo.fr

    PHOTOGRAPHIE  RAJOUTÉE  PAR L’ÉCHO  DES MONTAGNES

    Le lieutenant JEAN MARIE LE PEN DU 1ER REP ET LE MÉDECIN JEAN  MAURICE DEMARQUET


  • CERVIN , SUISSE, VALAIS, VAL D'AOSTE, SAVOIE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


                  Fête spectaculaire sur le Cervin

    A l'occasion des 150 ans de la première ascension du Matterhorn (Mont Cervin)



    Le Cervin (Grand'Bèca en arpitan, Cervino en italien, Matterhorn en allemand) est un sommet alpin de 4 478 mètres d'altitude, situé sur la frontière italo-suisse, entre le canton du Valais et la Vallée d'Aoste, anciennement la SAVOIE SOUVERAINE et à nouveau prochainement!

    Le Cervin est la montagne la plus connue de Suisse, notamment pour l'aspect pyramidal qu'elle offre depuis le village de Zermatt, dans la partie alémanique du canton du Valais.
    L'ascension de la face nord, le 14 juillet 1865, par l'arête du Hörnli, fut considérée comme le dernier des grands exploits de l'alpinisme dans les Alpes, avec celle de l'Eiger et celle des Grandes Jorasses qui forment ensemble les trois grandes faces nord des Alpes. Mais cette ascension se solda, au début de la descente, par la mort de 4 des 7 membres de la cordée victorieuse.
    Première 14 juillet 1865 par Edward Whymper, Charles Hudson, Francis Douglas et Douglas Hadow, avec Peter Taugwalder père, Peter Taugwalder fils, Michel Croz .

    Reportage photographique, merci Alice.
    Cliquez sur les photographies pour admirer, ski vous plait: 













    Frédéric BERGER, président de Savoie Indépendante