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ECHO DES MONTAGNES - Page 139

  • SEXE, PROSTITUEE, ESCLAVAGE, MIGRANT, POETE, DIEU, AMOUR, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Regard sur la traite des êtres humains en France, pays jérusaliste-maçonnique.

      par PHILLE TESTARD-VAILLANT
     
    La traite des êtres humains est loin d’avoir disparu dans notre pays. La sociologue Milena Jakšić, qui vient de mener une enquête auprès de différents acteurs liés aux parcours des victimes, nous livre les conclusions de ses recherches. 
     

    Votre livre, La Traite des êtres humains en France, paru il y a quelques semaines, est le fruit d’une longue enquête sociologique sur ce phénomène encore mal connu. Qu’entend-on exactement par « traite des êtres humains » et quelle en est l’ampleur aujourd’hui ?

     
    Milena Jakšić1 : La traite des êtres humains est un phénomène polymorphe qui recouvre des réalités aussi différentes que l’exploitation sexuelle, le travail forcé, l’esclavage ou le prélèvement d’organes. Cette définition, fixée par le protocole de Palerme, adopté en 2000 par les Nations unies et ratifié par la France en 2002, met l’accent sur la déshumanisation qui résulte de la réduction de l’être humain à une marchandise vendue et achetée. Quantitativement parlant, 4 millions de victimes, à l’échelle mondiale, est l’estimation le plus souvent citée par les organisations internationales. Mais on ne sait rien des conditions de production de ce chiffre qui sert surtout à ériger un phénomène clandestin en problème public et à soulever l’indignation de l’opinion. De même, les associations parlent de plusieurs milliers de victimes en France. Mais là encore, on ne dispose pas de statistiques fiables.
     
    Votre enquête se focalise sur la manière dont les prostituées migrantes en situation irrégulière peuvent être reconnues comme des victimes de la traite, mais ne le sont pas toujours. Quel a été l’élément déclencheur de ce travail ?
    M. J. : Il remonte au début de mes recherches sur les victimes de la traite à finalité d'exploitation sexuelle, en 2005, quand j’ai découvert avec étonnement que presque aucune affaire de traite n’était portée devant les tribunaux français. C’est particulièrement étrange quand on sait que cette forme de criminalité est considérée comme l’une des pires atteintes aux droits de l’homme et que le délit de traite a été introduit dans le Code pénal en mars 2003. J’ai voulu élucider ce paradoxe. Plutôt que de décrire les trajectoires migratoires de prostituées victimes de la traite (qui sont-elles ? d’où viennent-elles ? qui sont leurs souteneurs ? etc.), j’ai centré mon enquête sur les différentes instances qui prennent en charge ces femmes, pour la plupart originaires des pays de l’Europe de l’Est ou du Nigeria, et qui reconnaissent ou non la réalité des violences subies.
     

    J’ai découvert avec étonnement que presque aucune affaire
    de traite n’était portée devant les tribunaux français.
     

    En vous lisant, on découvre que faire valoir sa condition de victime de la traite et bénéficier de certains droits, comme un titre de séjour ou la Sécurité sociale, est tout sauf simple quand on est une prostituée migrante sans papiers en France.

     
    M. J. : Effectivement. De très nombreuses contraintes émaillent le parcours d’une victime de la traite avant qu’elle n’obtienne une éventuelle régularisation. Pour commencer, elle doit porter plainte ou accepter de témoigner auprès de la Brigade de répression du proxénétisme (BRP) et/ou de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRTEH).

     

    Or cette dénonciation, quand une victime d’exploitation est interpellée pour une entrée irrégulière sur le territoire français par exemple, se déroule dans le cadre d’une garde à vue où tout refus de sa part de coopérer la conduit à un placement en centre de rétention et, en général, à l’expulsion. Par ailleurs, dénoncer son souteneur, c’est-à-dire quelqu’un qui vous menace de représailles, vous et votre famille restée au pays, si vous le mettez en cause, n’est jamais chose aisée. 

     

    Le parcours des victimes qui veulent être reconnues est jalonné d’autres épreuves, notamment quand elles ont affaire aux associations qui interviennent soit à l’initiative des prostituées elles-mêmes, soit à la demande des policiers ou des magistrats dans le cadre d’une affaire de proxénétisme…

     
    M. J. : Les associations de soutien et d'accompagnement des personnes prostituées sont contraintes d’effectuer un gros travail de tri entre les dossiers recevables et irrecevables. Distinguer les victimes avérées de la traite leur permet de défendre ces dernières avec des preuves solides et de conserver ainsi leur crédibilité auprès des pouvoirs publics.

     

     Mais certaines victimes vivent très mal les entretiens avec les travailleurs sociaux de ces associations. Elles les comparent à de véritables interrogatoires policiers. Cette réaction négative peut aller jusqu’au refus de raconter leur histoire, quitte à rester sans papiers.
     

    L’étape suivante se déroule à la préfecture de police. Quelle est sa particularité ?

     
    M. J. : La préfecture est l’institution qui délivre aux victimes de la traite une autorisation provisoire de séjour de six mois ou un titre de séjour d’un an. Ces documents authentifient leur qualité de victime et leur permettent, entre autres, de séjourner légalement en France et de bénéficier d’une couverture sociale. Mais, bien que la loi ne conditionne pas l’obtention d’un titre de séjour à l’arrêt de l’activité prostitutionnelle, les agents de la préfecture cherchent à s’assurer que les victimes de la traite ont quitté la prostitution et sont à la recherche d’un travail « décent ». Du coup, une victime qui, après avoir échappé à l’emprise de son souteneur, choisit librement de se prostituer (parfois parce qu’elle n’a pas d’autres choix), a peu de chances d’obtenir un titre de séjour.
     
    Lors du procès des souteneurs et de leurs complices, aboutissement de ce difficile parcours, les victimes de la traite bénéficient-elles d’un traitement de faveur ou d’une protection particulière ?
    M. J. : Non. Cela signifie qu’elles risquent de croiser leur ancien souteneur dans les couloirs ou les toilettes du tribunal pendant les pauses cigarettes ! Cela explique que la plupart d’entre elles préfèrent ne pas se présenter aux audiences. Pire : celles qui acceptent de venir témoigner à la barre sont toujours soupçonnées de mentir et sont stigmatisées comme « putains ».
     
    Toutes ces contraintes suffisent-elles à expliquer la difficile identification des victimes de la traite en France ?    

     
    M. J. : Cette bureaucratie pesante, de toute évidence, décourage beaucoup de victimes potentielles. La pléthore d’acteurs impliqués (policiers, permanents associatifs, fonctionnaires de la préfecture…), qui tous partagent le même soupçon a priori sur l’authenticité des récits livrés par les prostituées, complexifie la procédure. 

     

    Mon enquête montre surtout que la victime de la traite, décrite dans les rapports des organisations internationales et par les associations sous les traits d’une jeune femme naïve, innocente et vulnérable qui nécessite protection au nom de la défense des droits de l’homme, se métamorphose en « victime coupable » dès qu’elle endosse les habits de migrante sans papiers.

    Mon enquête montre que la victime de la traite se métamorphose en victime coupable dès qu’elle endosse les
    habits de migrante sans papiers.
     

    À cet égard, la loi pour la sécurité intérieure du 18 mars 2003 – récemment assouplie – avait été emblématique. Ce texte réintroduisait dans le Code pénal le délit de « racolage passif » au motif que poursuivre les prostituées pour ce délit permet non seulement de rétablir l’ordre public, mais aussi de démanteler les réseaux de proxénétisme par le biais de dépôt de plainte ou de témoignage, et de porter in fine assistance aux victimes de la traite. 

     

    Mais, du coup, ces dernières ont endossé une double étiquette : celle de victimes (en raison des sévices qu’elles endurent) et celle de délinquantes (lorsqu’elles commettent des infractions pour racolage ou pour entrée irrégulière sur le territoire français). Ces femmes sont donc perçues à la fois comme objet de souillure et source de danger. Elles peuvent être reconnues comme des victimes du point de vue du droit, lors d’un procès, mais elles restent des suspectes à réprimer du point de vue des priorités nationales (protection de l’ordre public, contrôle de l’immigration et de l’exercice de la prostitution).

    La loi de lutte contre le système prostitutionnel d’avril 2016 a supprimé le délit de racolage et pénalise les clients. Quelles réflexions vous inspire-t-elle ?

     
    M. J. : L’abrogation du délit de racolage ne change rien à mes conclusions puisque le dispositif d’identification des victimes de la traite reste adossé à leur dépôt de plainte. Quant à la pénalisation des clients, cette disposition a été saluée par les associations féministes qui prônent l’abolition de la prostitution, et dénoncée par celles qui défendent le principe de la liberté de disposer de son corps. Le Syndicat du travail sexuel (Strass), en particulier, estime que cette mesure va obliger les personnes prostituées à prendre davantage de risques pour rencontrer des clients et les fragiliser un peu plus. La diabolisation du client, à mon sens, n’a aucun rapport avec les réalités du terrain.

     

     Certaines des victimes de la traite que j’ai rencontrées ont réussi à échapper aux griffes de leur souteneur grâce à l’aide d’un client devenu un amant. Cette loi reflète ce que la sociologue américaine Élisabeth Bernstein appelle « le féminisme carcéral », c’est-à-dire un féminisme qui recense ses victoires en comptabilisant non pas tant le nombre de femmes secourues que le nombre de personnes arrêtées (proxénètes et clients confondus).

     

    • 1. Institut de sciences sociales du politique (Unité CNRS/Université Paris-Ouest Nanterre-La Défense/ENS Cachan).  
    • Mais, heureusement que le poète, messager de Dieu est là
    • et je cite Patrick Brousse de Laborde, oceanova@hotmail.com.
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    • APPEL A LA JOIE D'EXISTER

       

      Je n'ai pas mis mon désespoir

      Dans des mots ni autre chose

      Mes espérances n'ont aucun sens

      Je suis sans désespoir ni espérance

       

      Pour moi ce qui compte est mon âme

      Parce que je ne sais rien d'elle

      Plus je la découvre et plus j'aime

      Et plus j'aime les animaux, les arbres

       

      Mon âme est pareil à toutes les âmes

      Toutes des merveilles, toutes sublimes

      Jamais rebelles mais innocence

      D'une conscience immense, immense

       

      Dieu est une âme

      Une âme comme toutes les âmes

      L'univers est né de toutes les âmes réunies

      L'univers veut dire unis-rêves des âmes

       

      La beauté domine tout, tout, tout

      L'art est semence sans souffrance

      Appel à la joie d'exister, d'aimer

      Nous sommes ici seulement pour aimer

       

       

      ielo IV opao

       

      Frédéric Berger

     

  • SAVOIE, MOINES DE TIBHIRINE, COURCHEVEL, HERVE GAYMARD, ALAIN JUPPE, HÔTEL MERCURE, PIERRE PACHOD, WELMA PACHOD, ONU, PEDOPHILE, FRONTENEX, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

       GAYMARD DOIT DÉMISSIONNER

     

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous rend compte que la population de la Savoie veut qu'Hervé Gaymard démissionne de son poste de président du conseil départemental de la Savoie, de député et de tout le reste.

    Hervé d'sour.

     

           

              

     

    Pourquoi?

     

    Parce qu'Hervé GAYMARD a collé aux baskets d'Alain Juppé pendant 2 années et ne s'est plus préoccupé des affaires de la Savoie.

    Son seul souci c'est d'être premier ministre; de la Savoie il s'en fout.

    Les savoyards ne sont pour lui qu'un marche pied.Ils les écrase d'autant plus facilement et sans remord car c'est un collabo avec la France, pays annexante de la Savoie Souveraine.

     

    Gaymard au travers de la primaire Juppé s'est pris une "juppe" mémorable, habillée pour plusieurs siècle. Dans aucune des 70 communes de la Savoie le "Vévé" de la France n'a obtenu la majorité; désapprouvé dans toutes les 70 communes dans le département dont il est le président du conseil départemental et le député et le...etc.

     

     

     

     

     

    Démission, crie la foule savoisienne en liesse sur les marchés alimentaires et sur les marchés de NOËL.

     

    Son manque d'intérêt et de respect pour les Savoisiennes et les Savoisiens est  aussi prouvé par l'affaire d'une handicapée moteur en Savoie, à Saint -Jean de Belleville.

     

    Nous citons les propos d'Hervé Gaymard, tenu à l'époque lorsqu'il était secrétaire d'état à la santé et à la sécurité sociale:  "J'en ai rien à foutre de votre fille handicapée, vous n'avez qu'à vous démerder"!

     

    Voila l'état d'esprit qui présidait dans le cerveau de Vévé .

     

    Quelque temps après Vévé a protégé un pédophile notoire sur Frontenex en Savoie...et aussi la disparition de Madame Veuve Welma Pachod à Courchevel, propriétaire de 1400m²  de l'hôtel Mercure à Courchevel 1850.

     

     

    Cet hôtel a été vendu à un mystérieux acquéreur après le meurtre de plusieurs personnes, liées à cet hôtel de luxe, situé sur le plus beau terrain panoramique du domaine skiable de luxe de Courchevel, la belle.

     

    Que dire de la mort de Pierre Pachod, époux de Welma: il a été suicidé par les responsables du département de la Savoie de l'époque (S.A.S.) y compris et couvert par tous les responsables politiques et publiques depuis sa mort, se récupérant ainsi son hôtel, placé au pied de la plus belle piste de ski de la station.

     

    Cliquez sur le dossier pour le lire.

     

     

    De plus cerise sur le gâteau qui doit obliger Gaymard à démissionner, s'il a tant soit peu d'honneur: il a été le colistier d'Alain Juppé, l'assassin des 7 Moines de Tibhirine. Il a été au gouvernement sous les ordres de Juppé et a couvert cet assassinant des moines, étant en même temps président du conseil général de la Savoie et député de la Savoie.

     

     

     

     

     

     

     

                          

    Il n'a rien fait pour les Moines, lui qui se dit catholique pratiquant.

    Il s'est allié à Alain Juppé, un sataniste de la franc-maçonnerie bleue!

     

           

     

     

    GAYMARD D'SOUR

    Frédéric BERGER

     

  • FIDEL CASTRO, CUBA, J.F.KENNEDY, BAIE DES COCHONS, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


                                FIDEL A LUI-MÊME



    L’Écho des Montagnes rend un hommage à un serviteur de son pays, Fidel Castro, la Patrie ou la Mort.


    Hommage par une vidéo où se trouvent des images jamais publiées.


    Bon visionnage.


    Cliquez sur:https://youtu.be/IdsFzP2PKA0

    ou

     

  • BEN LADEN, NEW-YORK, TOURS JUMELLES, 11 SEPTEMBRE, GEORGES BUSH, USA, CIA, ILLUMINATI, FRANC-MACON, JERUSALISTE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                11 SEPTEMBRE

                                 ou

                             

                             LES INITIES 

     

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre que la piste des "initiés" n'a jamais été abordé contre les responsables terroristes qui ont massacré des centaines de personnes par les autorités américaines.

     

    Pourquoi?

     

    La piste Ben Laden était de l'enfumage médiatique.

     

    La vrai piste est celle des spéculateurs initiés qui ont gagné des milliards de dollar en détruisant les "tours jumelles" de New-York.

     

    Preuve par vidéo:

     

    Cliquez sur le lien suivant, ou recopier le dans votre moteur de recherche, merci:  https://youtu.be/0Ms7AtzN-Zo

    ou

  • ILE DE FRANCE, NOËL, JOSE CASTANO, TOLERANCE, RACAILLE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Qui parle d'intolérance ?...

    Cela se passe dans une grande surface en Ile de France

     

    Cette vidéo ayant été retirée des réseaux sociaux français, elle m’est parvenue par un contact résidant actuellement en Israël.

    Comme je l’écrivais dans mon dernier article : « Répondez, Monsieur Dupont ! », en citant le marquis de Sade : « La tolérance est la vertu du faible »… nous ne pouvons à la vue de ces images, que déplorer honteusement notre faiblesse, notre démission et notre lâcheté face à tant d’ignominie…

    Où est l’autorité de l’Etat ? Cette racaille anti chrétienne qui, forte de son impunité, affermit chaque jour un peu plus son emprise en dictant sa loi, s’autorise désormais tous les excès…

    « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski… C’est ainsi que la racaille -convaincue de toute absence de riposte- dicte désormais sa loi et s’érige en toute impunité en « seigneur des banlieues ». Et bientôt, à l’instar de Diderot, nous pourrons –penauds et honteux- nous écrier : « Il n’y a plus de patrie ; je ne vois d’un pôle à l’autre que des tyrans et des esclaves ».

                                                                                                  José CASTANO

     

     Entendez: