Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • THOMAS GORDON, MOSSAD, TALMUD, ISRAËL, CRIF, MELENCHON, VALLS, HOLLANDE, PALESTINE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                      LES SERVICES SECRETS ISRAÉLIENS

     

    L’Écho des Montagnes dans le légitime but de vous informer, vous livre les services secrets israéliens, responsables de millions de mort. et hors de toutes les lois humaines.

     

    Avec en prime une entretien avec THOMAS GORDON, l'auteur de l'"histoire secrète du Mossad de 1951 à nos

    jours".

     

    Cliquez sur le lien du livre de Denécé Eric et de David ELKAÏM:

    Denécé Eric - Elkaïm David - Les services secrets israéliens.pdf

     

    Savourez la vidéo très rare de Gordon:

    cliquez sur:  https://youtu.be/BdTYzANGU2M

  • SEXE,FEMME, EGALITE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


          LA FEMME ÉGALE DE L'HOMME?

    Séquence humour!

    Cliquez sur la vidéo suivante:
     

    Женские неудачи за 2016 год от Максим Иванов на Rutube.

    Frédéric BERGER

  • BDS, PALESTINE, ISRAËL, BOYCOTT, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    200 juristes européens signent pour le droit de boycotter Israël

     

    DÉCLARATION DE JURISTES CONTRE LES MESURES ADOPTÉES PAR CERTAINS GOUVERNEMENTS VISANT À PROSCRIRE LE MOUVEMENT BDS

     

    "Boycott, Désengagement et Sanctions (BDS) est un mouvement global et pacifique mené par la société civile palestinienne. Il vise à forcer Israël à exécuter ses obligations en matière de droit international humanitaire et de normes internationales relatives aux droits de l’homme, telles qu’exigées par de multiples résolutions de l’ONU. Plus particulièrement, les objectifs poursuivis sont la fin de l’occupation des territoires palestiniens et syriens, la cessation de la discrimination systématique contre les palestiniens dans les Territoires palestiniens occupés et en Israël même ainsi que le retour des réfugiés palestiniens.

     

    Le mouvement BDS s’est établi sur le modèle du Mouvement Anti-Apartheid, qui mobilisait la société civile contre l’apartheid en Afrique du Sud. Ce premier a évolué en un mouvement puissant et efficace dans la promotion des mesures visant à faire pression sur Israël pour qu’il se conforme au droit international, ainsi que dans la persuasion d’Etats tiers et d’entreprises commerciales pour que ces derniers s’abstiennent d’apporter leur soutien aux violations du droit international commises par Israël.

     

    La mobilisation de la société civile pour le respect des droits de l’homme - telle qu’elle a eu lieu durant la campagne contre l’apartheid en Afrique du Sud ou encore lors du mouvement afro-américain des droits civiques aux Etats-Unis - n’a jamais été entravée par l’action de gouvernements étrangers. Cependant, l’efficacité de BDS a entraîné non seulement Israël, mais aussi divers Etats tiers, à adopter des mesures aux fins de suppression de ce mouvement.

    La France, la Grande-Bretagne, le Canada et certaines assemblées législatives aux États-Unis ont adopté des lois et pris des mesures exécutives pour supprimer, proscrire, et parfois pénaliser les actions du mouvement. Ce type de mesures vise à sanctionner les individus, les entreprises ainsi que les institutions privées et publiques, qui prennent des décisions commerciales, d’investissement ou d’approvisionnement respectueuses tant de la morale que du droit.

    D’autres Etats (notamment la Suède, les Pays-Bas et l’Irlande), bien que désapprouvant un boycott d’Israël, ont considéré que la mobilisation du mouvement BDS constituait un exercice légitime de la liberté d’expression, droit fondamental consacré en droit interne et dans les conventions internationales des droits de l’homme. Des organisations réputées de défense des droits de l’homme, notamment la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) et Human Rights Watch, ont également estimé que les individus, les associations, les institutions publiques et privées ainsi que les gouvernements et les entreprises régionales étaient fondés à promouvoir et à mettre en œuvre le mouvement BDS, exerçant ainsi leur droit fondamental à la liberté d’expression.

     

    Les Etats et organisations qui considèrent que BDS exerce légitimement sa liberté d’expression ont raison. La question n’est pas de savoir si l’on approuve l’objectif ou les méthodes de BDS. Il s’agit de savoir si afin de protéger Israël, une exception à la liberté d’expression, pierre angulaire des droits de l’homme, doit être permise. Les Etats prohibant le mouvement BDS compromettent ce droit fondamental. En exonérant un Etat en particulier de la promotion de mesures pacifiques, qui visent à obtenir sa conformité avec le droit international, ils menacent la crédibilité des droits de l’homme."

    • Signataires

    GRANDE BRETAGNE :

    Prof. Guy Goodwin-Gill, Emeritus Fellow, All Souls College, University of Oxford

    Prof. Sir Geoffrey Bindman QC, barrister ; University College London and London South Bank University

    Prof. Conor Gearty, London School of Economics

    Prof. Iain Scobbie, University of Manchester

    Prof. William Schabas, Middlesex University, London

    Prof. Bill Bowring, Birkbeck University of London

    Prof. Rachel Murray, University of Bristol

    Prof. Robert Wintemute, King’s College London

    Prof. Kevin Jon Heller, SOAS University of London

    Prof. Penny Green, Queen Mary University of London

    Prof. Sol Picciotto, Lancaster University

    Prof. Oren Ben-Dor, University of Southampton

    Prof. Wade Mansell, University of Kent

    Michael Mansfield QC, barrister, London

    Kirsty Brimelow QC, barrister, London

    Paul Ridge, barrister, London

    David Renton, barrister, London

    Daniel Machover, lawyer, London

    Dr. Ntina Tzouvala, University of Durham

    Dr. Gleider I. Hernández, University of Durham

    Dr. Ralph Wilde, University College London

    Dr Vanja Hamzić, SOAS University of London

    Dr. Christine Schwoebel-Patel, University of Liverpool

    Dr. Mazen Masri, City, University London

    Dr. Michael Kearney, University of Sussex

    Dr. Brenna Bhandar, SOAS University of London

    Dr. Isra Black, University of York

    Dr. Nadine El-Enany, Birkbeck University of London

    Dr. Gina Heathcote, SOAS University of London

    Dr. Edel Hughes, University of East London

    Dr. Ioannis Kalpouzos, City, University of London

    Dr. Sarah Keenan, Birkbeck University of London

    Dr. Vidya Kumar, University of Leicester

    Dr. Thomas MacManus, Queen Mary University of London

    Dr. Paul O’Connell, SOAS University of London

    Dr. Graham Smith, University of Manchester

    Dr. Nimer Sultany, SOAS University of London

    Dr. Michelle Burgis-Kasthala, University of Edinburgh, Scotland

    Dr. Charlotte Peevers, University of Glasgow

    Dr. Mohsen Al-Attar, Queen’s University Belfast

     

    IRLANDE

     

    Dr. John Reynolds, National University of Ireland, Maynooth

    PAYS-BAS

    Prof. John Dugard, University of Leiden

    Prof. Paul de Waart, Emeritus VU University Amsterdam

    Prof. Liesbeth Zegveld, University of Amsterdam ; lawyer

    Prof. Karin Arts, ISS of Erasmus University Rotterdam

    Dr. Jeff Handmaker, ISS of Erasmus University Rotterdam

    Dr. Joseph Powderly, Assistant-Professor, University of Leiden

    Dr. Marloes van Noorloos, Tilburg University

    Dr. Michiel Bot, Tilburg University

     

    BELGIQUE

     

    Prof. Eric David, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Jean Salmon, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Olivier Corten, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Francois Dubuisson, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Pierre Klein, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Jaques Englebert, Université Libre de Bruxelles

    Prof. Anne Lagerwall, Université Libre de Bruxelles

    Prof. François Ost, Université Saint-Louis, Bruxelles

    Prof. dr. emeritus Dirk Voorhoof, Ghent University ; European Centre for Press and Media Freedom

    Prof. Dr. Eva Brems, Human Rights Center, Ghent University

    Alexis Deswaef, avocat au barreau de Bruxelles ; président de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)

    Véronique van der Plancke, advocate au barreau de Bruxelles ; Université de Louvain

     

    LUXEMBOURG

     

    Dr. Parvathi Menon, Max Planck Institute Luxembourg for Procedural Law

     

    FRANCE

     

    Prof. Jean Matringe, Université de Paris I Panthéon Sorbonne

    Prof. Xavier Dupré de Boulois, Université de Paris I Panthéon Sorbonne

    Prof. Catherine Kessedjian, Université de Paris II Panthéon Assas

    Prof. Thomas Perroud, Université de Paris II Panthéon Assas

    Prof. Gilles Guglielmi, Université de Paris II Panthéon Assas

    Prof. Stéphanie Dijoux, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. Franck Latty, Université Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. émérite Géraud de la Pradelle, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. émérite Alain Pellet, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Prof. émérite Monique Chemillier-Gendreau, Université Paris Diderot

    Prof. émérite Robert Charvin, Université de Nice Sophia Antipolis

    Prof. émérite, Paul Allies, Université de Montpellier I

    Prof. émérite, Gérard Blanc, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Delphine Costa, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Marie-Pierre Lanfranchi, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Elise Carpentier, Université d’Aix-Marseille

    Prof. Josiane Auvret-Finck, Université de Nice Sophia Antipolis

    Prof. Philippe Lagrange, Université de Poitiers

    Prof. Arnaud de Nanteuil, Université du Maine

    Prof. Alina Miron, Université d’Angers

    Prof. Diane Roman, Université François Rabelais Tours

    Prof. Marie-Laure Basilien-Gainche, Université Jean Moulin Lyon III

    Prof. émérite Armel Kerrest, Université de Bretagne Occidentale

    Prof. Xavier Souvignet, Université de Grenoble Alpes

    Prof. Thierry Garcia, Université Grenoble Alpes

    Prof. Romain Tinière, Université Grenoble Alpes

    Prof. Aurélien Antoine, Université Jean Monnet - Saint-Etienne

    Prof. Jacques Larrieu, Université de Toulouse I Capitole

    Prof. Sébastien Platon, Université de Bordeaux

    Prof. François Quastana, Université de Lille II

    Prof. Emmanuelle Tourme Jouannet, Institut d’études politiques de Paris

    Prof. Vincent Dubois, Institut d’études politiques de Strasbourg

    Prof. Laurent Sermet, Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence

    Prof. Pascal Jan, Institut d’études politiques de Bordeaux

    Prof. Dominique Darbon, Institut d’études politiques de Bordeaux

    Prof. Cécile Rapoport, Université de Rennes 1

    Prof. Mouloud Boumghar, Université de Picardie Jules Verne

    Prof. Carlos Miguel Herrera, Université de Cergy-Pontoise

    Marine Eudes, Maître de conférences, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Christophe Voilliot, Maître de conférences, Université de Paris Ouest Nanterre La Défense

    Marc Touillier, Maître de conférences, Université Paris Ouest Nanterre La Défense

    Ismael Omarjee, Maître de conferences, Université de Paris-Ouest Nanterre La Défense

    Nicolas Gabayet, Maître de conférences, Université Paris Est Créteil

    Lucie Sponchiado, Maître de conférences, Université Paris Est-Créteil

    Véronique Mikalef-Toudic, Maître de conférences, Université de Caen Normandie

    Magalie Flores-Lonjou, Maître de conférences, Université de La Rochelle

    François-Xavier Morisset, Maître de conférences à l’Université de La Rochelle

    Malik Boumediene, Maître de conférences, Université de Toulouse II Le Mirail

    Lucien Maurin, Maître de conférences, Université d’Aix-Marseille

    Bastien Brignon, Maître de conférences, Université d’Aix-Marseille

    Pascal Richard, Maître de conférences, Université du Sud Toulon Var

    Anouche Beaudouin, Maître de conférences, Université de Nice Sophia Antipolis

    Philippe Enclos, Maître de conférences, Université de Lille II

    Alexandre Barège, Maître de conférences, Université de Lille II

    Rhita Bousta, Maître de conférences, Université de Lille II

    Patrice Le Maigat, Maître de conférences, Université de Rennes I

    Romain Loir, Maître de conférences, Université de La Réunion

    Aurélien Siri, Maître de conférences, Centre universitaire de Mayotte

    Jean-Christophe Lapouble, Maître de conférences, Institut d’études politiques de Bordeaux

    Alexandre Zabalza, Maître de conferences, Université de Bordeaux

    Philippe Icard, Maître de conférences, Université de Bourgogne

    Christine Bertrand, Maître de conferences, Université d’Auvergne

    Caroline Lantero, Maître de conferences, Université d’Auvergne

    Anne-Sophie Denolle, Maître de conferences, Université de Nimes

    Rodolphe Bigot, maître de conférences, Université de Picardie Jules Verne

    François Henot, Maître de conferences, Université de Picardie Jules Verne

     

    AUTRICHE

     

    Prof. Franz Leidenmühler, University of Linz

     

    ALLEMAGNE

     

    Prof. Norman Paech, Emeritus, University of Hamburg

     

    SUISSE

     

    Prof. Robert Kolb, Université de Genève

    Prof. Marco Sassòli, Université de Genève

    Prof. Stefan Trechsel, Emeritus, University of Zurich ; Bern

    Prof. Regula Kägi-Diener, University of St. Gallen ; lawyer

    Prof. em. Dr. Wolf Linder, political scientist and jurist, Bern

    Dr. h .c. Marco Mona, lawyer, Zurich

    Dr. Tom Moerenhout, Graduate Institute of International Development Studies, Genève

    Markus Bischoff, lawyer, member of Council-Kanton of Zurich

    Jürg Meyer, jurist ; member of Council-Kanton Basel City

    Robert Cramer, avocat, Conseiller aux Etats, Genève

    Nils de Dardel, avocat, ancien conseiller national, Genève

    Marcel Bosonnet, lawyer, Zurich

    Romolo Molo, avocat, Genève

    Jean-Michel Dolivo, avocat, Lausanne

    Hüsnü Yilmaz, avocat ; co-president des Juristes Progressistes Vaudois

    Beat Leuthardt, jurist, Basel

    Olivier Peter, avocat, Genève

    Leila Batou, avocat, Genève

    Miriam Gantner, jurist, Basel

     

    ITALIE

     

    Livio Pepino, già magistrato, consigliere della Corte di Cassazione e membro del Consiglio Superiore della Magistratura, Torino

    Prof. Gustavo Gozzi, Università di Bologna

    Fabio Marcelli, Istituto Studi Giuridici Internazionali - Consiglio Nazionale delle Ricerche

    Prof. Marco Balboni, Università di Bologna

    Prof. Silvia Buzzelli, Università di Milano-Bicocca

    Prof. Chantal Meloni, Università degli Studi di Milano

    Prof. Luca Masera, Università degli Studi di Brescia

    Prof. Marco Pertile, Università di Trento

    Prof. Carlo Sotis, Università della Tuscia

    Dr. Francesca De Vittor, Università Cattolica del Sacro Cuore, Milano

    Gilberto Pagani, avvocato, Milano

    Fausto Gianelli, avvocato, Modena

    Dario Rossi, avvocato, Genova

     

    PORTUGAL

     

    Dr. Tor Krever, London School of Economics ; Centre for Social Studies, University of Coimbra

    ESPAGNE

    Prof. David Bondia García, University of Barcelona ; president, Human Rights Institute of Catalonia

    Justice José Antonio Martín Pallín, former judge, Supreme Court

    Justice Juan Pedro Illanez Suárez, Palma de Mallorca

    Prof. Nicolás Navarro Batista, Gran Canaria

    Prof. Itziar Ruiz-Gimenez Arrieta, Madrid

    Prof. Rosario Gonzalez Arias, lawyer, Oviedo ; Autonomous University of Querétaro, Mexico

    Antonio Segura Hernández, lawyer, Madrid

    Carmelo Faleh-Pérez, Spanish Association for International Law and Human Rights 

    (AEDIDH)

     

    ESPAGNE

     

    Jacinto José Gil Ugena, lawyer, Madrid
    Francisco García Cediel, lawyer, Madrid
    César Pinto Cañón, lawyer, Madrid

    Enrique Santiago Romero, lawyer, Madrid

    Nadia Chliha ben Mohito, lawyer, Madrid
    Diego Catriel Herchhoren, lawyer, Madrid
    Tarek Khalaf Alonso, lawyer, Madrid
    Redouan Zidi Tassakourt, lawyer, Madrid
    Hana Cheikh Ali, lawyer, Madrid
    Amira Cheikh Ali, lawyer, Madrid

    María Soledad García Bau, lawyer, Madrid

    José Ricardo Gayol García, lawyer, Madrid

    Andrés García, lawyer

    Montserrat Vinyest i Pagès, lawyer, Girona

    Benet Salellas i Vilar, lawyer, Girona

    Ana Maria Fernandez Llamazares, lawyer, Barcelona

    Ana Osa Farré, lawyer, Barcelona

    Concepción Trabado Álvarez, lawyer, Fabero (León)

    Juan M. Prieto Santos, lawyer, Gijón-Xixón

    María Xulia Fernández Suárez, lawyer, Gijón-Xixón

    Joan Tamayo, lawyer, Terrassa

    Pilar Mateo Lisa, lawyer, Terrassa

     

    NORVEGE

     

    Prof. Peter Ørebech, Arctic University of Norway, Tromsø

    Justice Ketil Lund, Supreme Court (1990 – 2009) ; chair, International Commission of Jurists-

     

     Norway

     

    Harald Stabell, barrister, Oslo

    Kjell Brygfjeld, lawyer, Stavanger

    Geir Høin, lawyer, Oslo

    Bent Endresen, lawyer, Stavanger

    Pål Hadler, lawyer, Stavanger

     

    SUEDE

     

    Prof. Pål Wrange, Stockholm University ; Stockholm Center for International Law and Justice

    Dr. Markus Gunneflo, Lund University

     

    FINLANDE

     

    Prof. Emeritus Lauri Hannikainen, University of Helsinki

    Prof. Jarna Petman, University of Helsinki ; Erik Castrén Institute of International Law and Human Rights

    Source : https://bdsmovement.net/news/groundbreaking-statement-200-european-legal-scholars-upholds-right-bds-palestinian-rights

    CAPJPO-EuroPalestine

     

  • SEXE, PROSTITUEE, ESCLAVAGE, MIGRANT, POETE, DIEU, AMOUR, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Regard sur la traite des êtres humains en France, pays jérusaliste-maçonnique.

      par PHILLE TESTARD-VAILLANT
     
    La traite des êtres humains est loin d’avoir disparu dans notre pays. La sociologue Milena Jakšić, qui vient de mener une enquête auprès de différents acteurs liés aux parcours des victimes, nous livre les conclusions de ses recherches. 
     

    Votre livre, La Traite des êtres humains en France, paru il y a quelques semaines, est le fruit d’une longue enquête sociologique sur ce phénomène encore mal connu. Qu’entend-on exactement par « traite des êtres humains » et quelle en est l’ampleur aujourd’hui ?

     
    Milena Jakšić1 : La traite des êtres humains est un phénomène polymorphe qui recouvre des réalités aussi différentes que l’exploitation sexuelle, le travail forcé, l’esclavage ou le prélèvement d’organes. Cette définition, fixée par le protocole de Palerme, adopté en 2000 par les Nations unies et ratifié par la France en 2002, met l’accent sur la déshumanisation qui résulte de la réduction de l’être humain à une marchandise vendue et achetée. Quantitativement parlant, 4 millions de victimes, à l’échelle mondiale, est l’estimation le plus souvent citée par les organisations internationales. Mais on ne sait rien des conditions de production de ce chiffre qui sert surtout à ériger un phénomène clandestin en problème public et à soulever l’indignation de l’opinion. De même, les associations parlent de plusieurs milliers de victimes en France. Mais là encore, on ne dispose pas de statistiques fiables.
     
    Votre enquête se focalise sur la manière dont les prostituées migrantes en situation irrégulière peuvent être reconnues comme des victimes de la traite, mais ne le sont pas toujours. Quel a été l’élément déclencheur de ce travail ?
    M. J. : Il remonte au début de mes recherches sur les victimes de la traite à finalité d'exploitation sexuelle, en 2005, quand j’ai découvert avec étonnement que presque aucune affaire de traite n’était portée devant les tribunaux français. C’est particulièrement étrange quand on sait que cette forme de criminalité est considérée comme l’une des pires atteintes aux droits de l’homme et que le délit de traite a été introduit dans le Code pénal en mars 2003. J’ai voulu élucider ce paradoxe. Plutôt que de décrire les trajectoires migratoires de prostituées victimes de la traite (qui sont-elles ? d’où viennent-elles ? qui sont leurs souteneurs ? etc.), j’ai centré mon enquête sur les différentes instances qui prennent en charge ces femmes, pour la plupart originaires des pays de l’Europe de l’Est ou du Nigeria, et qui reconnaissent ou non la réalité des violences subies.
     

    J’ai découvert avec étonnement que presque aucune affaire
    de traite n’était portée devant les tribunaux français.
     

    En vous lisant, on découvre que faire valoir sa condition de victime de la traite et bénéficier de certains droits, comme un titre de séjour ou la Sécurité sociale, est tout sauf simple quand on est une prostituée migrante sans papiers en France.

     
    M. J. : Effectivement. De très nombreuses contraintes émaillent le parcours d’une victime de la traite avant qu’elle n’obtienne une éventuelle régularisation. Pour commencer, elle doit porter plainte ou accepter de témoigner auprès de la Brigade de répression du proxénétisme (BRP) et/ou de l’Office central pour la répression de la traite des êtres humains (OCRTEH).

     

    Or cette dénonciation, quand une victime d’exploitation est interpellée pour une entrée irrégulière sur le territoire français par exemple, se déroule dans le cadre d’une garde à vue où tout refus de sa part de coopérer la conduit à un placement en centre de rétention et, en général, à l’expulsion. Par ailleurs, dénoncer son souteneur, c’est-à-dire quelqu’un qui vous menace de représailles, vous et votre famille restée au pays, si vous le mettez en cause, n’est jamais chose aisée. 

     

    Le parcours des victimes qui veulent être reconnues est jalonné d’autres épreuves, notamment quand elles ont affaire aux associations qui interviennent soit à l’initiative des prostituées elles-mêmes, soit à la demande des policiers ou des magistrats dans le cadre d’une affaire de proxénétisme…

     
    M. J. : Les associations de soutien et d'accompagnement des personnes prostituées sont contraintes d’effectuer un gros travail de tri entre les dossiers recevables et irrecevables. Distinguer les victimes avérées de la traite leur permet de défendre ces dernières avec des preuves solides et de conserver ainsi leur crédibilité auprès des pouvoirs publics.

     

     Mais certaines victimes vivent très mal les entretiens avec les travailleurs sociaux de ces associations. Elles les comparent à de véritables interrogatoires policiers. Cette réaction négative peut aller jusqu’au refus de raconter leur histoire, quitte à rester sans papiers.
     

    L’étape suivante se déroule à la préfecture de police. Quelle est sa particularité ?

     
    M. J. : La préfecture est l’institution qui délivre aux victimes de la traite une autorisation provisoire de séjour de six mois ou un titre de séjour d’un an. Ces documents authentifient leur qualité de victime et leur permettent, entre autres, de séjourner légalement en France et de bénéficier d’une couverture sociale. Mais, bien que la loi ne conditionne pas l’obtention d’un titre de séjour à l’arrêt de l’activité prostitutionnelle, les agents de la préfecture cherchent à s’assurer que les victimes de la traite ont quitté la prostitution et sont à la recherche d’un travail « décent ». Du coup, une victime qui, après avoir échappé à l’emprise de son souteneur, choisit librement de se prostituer (parfois parce qu’elle n’a pas d’autres choix), a peu de chances d’obtenir un titre de séjour.
     
    Lors du procès des souteneurs et de leurs complices, aboutissement de ce difficile parcours, les victimes de la traite bénéficient-elles d’un traitement de faveur ou d’une protection particulière ?
    M. J. : Non. Cela signifie qu’elles risquent de croiser leur ancien souteneur dans les couloirs ou les toilettes du tribunal pendant les pauses cigarettes ! Cela explique que la plupart d’entre elles préfèrent ne pas se présenter aux audiences. Pire : celles qui acceptent de venir témoigner à la barre sont toujours soupçonnées de mentir et sont stigmatisées comme « putains ».
     
    Toutes ces contraintes suffisent-elles à expliquer la difficile identification des victimes de la traite en France ?    

     
    M. J. : Cette bureaucratie pesante, de toute évidence, décourage beaucoup de victimes potentielles. La pléthore d’acteurs impliqués (policiers, permanents associatifs, fonctionnaires de la préfecture…), qui tous partagent le même soupçon a priori sur l’authenticité des récits livrés par les prostituées, complexifie la procédure. 

     

    Mon enquête montre surtout que la victime de la traite, décrite dans les rapports des organisations internationales et par les associations sous les traits d’une jeune femme naïve, innocente et vulnérable qui nécessite protection au nom de la défense des droits de l’homme, se métamorphose en « victime coupable » dès qu’elle endosse les habits de migrante sans papiers.

    Mon enquête montre que la victime de la traite se métamorphose en victime coupable dès qu’elle endosse les
    habits de migrante sans papiers.
     

    À cet égard, la loi pour la sécurité intérieure du 18 mars 2003 – récemment assouplie – avait été emblématique. Ce texte réintroduisait dans le Code pénal le délit de « racolage passif » au motif que poursuivre les prostituées pour ce délit permet non seulement de rétablir l’ordre public, mais aussi de démanteler les réseaux de proxénétisme par le biais de dépôt de plainte ou de témoignage, et de porter in fine assistance aux victimes de la traite. 

     

    Mais, du coup, ces dernières ont endossé une double étiquette : celle de victimes (en raison des sévices qu’elles endurent) et celle de délinquantes (lorsqu’elles commettent des infractions pour racolage ou pour entrée irrégulière sur le territoire français). Ces femmes sont donc perçues à la fois comme objet de souillure et source de danger. Elles peuvent être reconnues comme des victimes du point de vue du droit, lors d’un procès, mais elles restent des suspectes à réprimer du point de vue des priorités nationales (protection de l’ordre public, contrôle de l’immigration et de l’exercice de la prostitution).

    La loi de lutte contre le système prostitutionnel d’avril 2016 a supprimé le délit de racolage et pénalise les clients. Quelles réflexions vous inspire-t-elle ?

     
    M. J. : L’abrogation du délit de racolage ne change rien à mes conclusions puisque le dispositif d’identification des victimes de la traite reste adossé à leur dépôt de plainte. Quant à la pénalisation des clients, cette disposition a été saluée par les associations féministes qui prônent l’abolition de la prostitution, et dénoncée par celles qui défendent le principe de la liberté de disposer de son corps. Le Syndicat du travail sexuel (Strass), en particulier, estime que cette mesure va obliger les personnes prostituées à prendre davantage de risques pour rencontrer des clients et les fragiliser un peu plus. La diabolisation du client, à mon sens, n’a aucun rapport avec les réalités du terrain.

     

     Certaines des victimes de la traite que j’ai rencontrées ont réussi à échapper aux griffes de leur souteneur grâce à l’aide d’un client devenu un amant. Cette loi reflète ce que la sociologue américaine Élisabeth Bernstein appelle « le féminisme carcéral », c’est-à-dire un féminisme qui recense ses victoires en comptabilisant non pas tant le nombre de femmes secourues que le nombre de personnes arrêtées (proxénètes et clients confondus).

     

    • 1. Institut de sciences sociales du politique (Unité CNRS/Université Paris-Ouest Nanterre-La Défense/ENS Cachan).  
    • Mais, heureusement que le poète, messager de Dieu est là
    • et je cite Patrick Brousse de Laborde, oceanova@hotmail.com.
    •  

    • APPEL A LA JOIE D'EXISTER

       

      Je n'ai pas mis mon désespoir

      Dans des mots ni autre chose

      Mes espérances n'ont aucun sens

      Je suis sans désespoir ni espérance

       

      Pour moi ce qui compte est mon âme

      Parce que je ne sais rien d'elle

      Plus je la découvre et plus j'aime

      Et plus j'aime les animaux, les arbres

       

      Mon âme est pareil à toutes les âmes

      Toutes des merveilles, toutes sublimes

      Jamais rebelles mais innocence

      D'une conscience immense, immense

       

      Dieu est une âme

      Une âme comme toutes les âmes

      L'univers est né de toutes les âmes réunies

      L'univers veut dire unis-rêves des âmes

       

      La beauté domine tout, tout, tout

      L'art est semence sans souffrance

      Appel à la joie d'exister, d'aimer

      Nous sommes ici seulement pour aimer

       

       

      ielo IV opao

       

      Frédéric Berger

     

  • SAVOIE, MOINES DE TIBHIRINE, COURCHEVEL, HERVE GAYMARD, ALAIN JUPPE, HÔTEL MERCURE, PIERRE PACHOD, WELMA PACHOD, ONU, PEDOPHILE, FRONTENEX, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

       GAYMARD DOIT DÉMISSIONNER

     

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous rend compte que la population de la Savoie veut qu'Hervé Gaymard démissionne de son poste de président du conseil départemental de la Savoie, de député et de tout le reste.

    Hervé d'sour.

     

           

              

     

    Pourquoi?

     

    Parce qu'Hervé GAYMARD a collé aux baskets d'Alain Juppé pendant 2 années et ne s'est plus préoccupé des affaires de la Savoie.

    Son seul souci c'est d'être premier ministre; de la Savoie il s'en fout.

    Les savoyards ne sont pour lui qu'un marche pied.Ils les écrase d'autant plus facilement et sans remord car c'est un collabo avec la France, pays annexante de la Savoie Souveraine.

     

    Gaymard au travers de la primaire Juppé s'est pris une "juppe" mémorable, habillée pour plusieurs siècle. Dans aucune des 70 communes de la Savoie le "Vévé" de la France n'a obtenu la majorité; désapprouvé dans toutes les 70 communes dans le département dont il est le président du conseil départemental et le député et le...etc.

     

     

     

     

     

    Démission, crie la foule savoisienne en liesse sur les marchés alimentaires et sur les marchés de NOËL.

     

    Son manque d'intérêt et de respect pour les Savoisiennes et les Savoisiens est  aussi prouvé par l'affaire d'une handicapée moteur en Savoie, à Saint -Jean de Belleville.

     

    Nous citons les propos d'Hervé Gaymard, tenu à l'époque lorsqu'il était secrétaire d'état à la santé et à la sécurité sociale:  "J'en ai rien à foutre de votre fille handicapée, vous n'avez qu'à vous démerder"!

     

    Voila l'état d'esprit qui présidait dans le cerveau de Vévé .

     

    Quelque temps après Vévé a protégé un pédophile notoire sur Frontenex en Savoie...et aussi la disparition de Madame Veuve Welma Pachod à Courchevel, propriétaire de 1400m²  de l'hôtel Mercure à Courchevel 1850.

     

     

    Cet hôtel a été vendu à un mystérieux acquéreur après le meurtre de plusieurs personnes, liées à cet hôtel de luxe, situé sur le plus beau terrain panoramique du domaine skiable de luxe de Courchevel, la belle.

     

    Que dire de la mort de Pierre Pachod, époux de Welma: il a été suicidé par les responsables du département de la Savoie de l'époque (S.A.S.) y compris et couvert par tous les responsables politiques et publiques depuis sa mort, se récupérant ainsi son hôtel, placé au pied de la plus belle piste de ski de la station.

     

    Cliquez sur le dossier pour le lire.

     

     

    De plus cerise sur le gâteau qui doit obliger Gaymard à démissionner, s'il a tant soit peu d'honneur: il a été le colistier d'Alain Juppé, l'assassin des 7 Moines de Tibhirine. Il a été au gouvernement sous les ordres de Juppé et a couvert cet assassinant des moines, étant en même temps président du conseil général de la Savoie et député de la Savoie.

     

     

     

     

     

     

     

                          

    Il n'a rien fait pour les Moines, lui qui se dit catholique pratiquant.

    Il s'est allié à Alain Juppé, un sataniste de la franc-maçonnerie bleue!

     

           

     

     

    GAYMARD D'SOUR

    Frédéric BERGER