La théorie du genre “qui n’existe pas” avance à grande vitesse.
27 établissements scolaires de Nantes proposent à leurs garçons et à leur personnel masculin de se présenter le 16 mai vêtus d’une jupe et/ou avec du rouge à lèvres. Bien sûr, on s’empresse de nous dire qu’il s’agit d’une proposition – dans le cadre d’une journée contre le sexisme – et non d’une obligation.
Le lendemain, chez Auchan à Epagny, les hommes reçoivent une réduction de 5 euros sur leurs achats s’ils viennent habillés en femme. Même chose pour les femmes qui viendront habillées en homme.
Ces deux faits illustrent la propagation de l’idéologie du genre malgré le déni qui l’accompagne.
Deux conseils. Aux parents nantais : réagissez, protestez et, pourquoi pas, gardez vos enfants à domicile ce jour-là si vous le pouvez pour montrer votre désapprobation. Aux clients d’Auchan : réagissez, protestez et allez faire vos achats ailleurs !
Coup de gueule d'une amie:
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Reçu dans ma messagerie (voir le texte plus bas) et je ne peux pas m'empêcher de réagir, d'abord parce que je trouve çà malsain, poisseux, on se demande où est la finalité de cette corruption de bas étage, des enseignants obligés de s'habiller en femme au prétexte de lutter contre le "sexisme" c'est quoi ce cirque ?
Et qu'est-ce que ça veut dire de voir Auchan offrir 5€ aux hommes qui s'habilleront en femme et mettront du rouge à lèvres et aux femmes qui se déguiseront en hommes... où on va là ????
Ce gouvernement ferait mieux de s'occuper de la pauvreté qui gagne du terrain à cause des mesures indignes qui sont prises depuis deux ans, un gouvernement qui ose se dire "socialiste" et "de gauche" et qui n'a ni éthique, ni morale, ni parole, ni honneur ! Un gouvernement d'usurpateurs au service du pire et non du meilleur... ces gens là sont des traîtres pas des socialistes qu'ils insultent en se réclamant d'eux !"
Nantes : les garçons invités à venir en jupe au lycée au nom de l'égalité
L'Académie de Nantes invite les garçons de plusieurs lycées à porter une jupe vendredi 16 mai prochain afin de lutter contre le sexisme. Académie de Nantes
Des garçons en jupe au lycée ? Cette drôle d'idée, imaginée par des lycéens de l'académie de Nantes afin de lutter contre le sexisme, et validée par le rectorat, fait du grabuge ce mercredi sur les réseaux sociaux. Concrètement, les filles et les garçons de 27 lycées de l'académie de Nantes sont invités le 16 mai prochain à participer à une opération spéciale baptisée «ce que soulève la jupe». Une journée de partage autour des discriminations, au cours de laquelle filles et garçons sont invités, s'ils le veulent, à venir en jupe au lycée. Pour les moins enclins à montrer leurs guibolles, il est aussi possible de porter un simple autocollant «je lutte contre le sexisme, et vous ?».
La jupe de la discorde
Si le principal ingrédient de cette journée sera la tenue de débats, son intitulé, inspiré d'un ouvrage de Christine Brard sur le sexisme, ainsi que cette invitation à porter une jupe pour les garçons, ont mis le feu aux poudres sur les réseaux sociaux. L'opération, qui survient quelques mois après la polémique sur le genre à l'école, suscite entre autres une levée de bouclier du côté des détracteurs de la théorie du genre. Certains n'hésitant pas à affirmer - faussement - qu'il est «demandé» aux garçons de venir en jupe et de «mettre du rouge à lèvres».
Frigide Bardot, égérie de la lutte contre le mariage pour tous, interpelle notamment le ministre de l'Education nationale sur Twitter en lui demandant : «Et les filles, elles portent une barbe ?».
Christine Boutin a également critiqué la démarche sur Twitter.
Tugdual Derville, militant anti-mariage gay, a lui aussi fustigé l'opération en dénonçant une «confusion des genres» dans un tweet ironique : «Ce n'est pas le 1er avril. Ça n'est pas un canular».
«Je n'ose y croire tellement c'est grave. C'est scandaleux. C'est pourquoi Benoît Hamon doit intervenir sans délai pour condamner fermement cette initiative et l'annuler» a déclaré dans un communiqué la présidente de la Manif pour tous, Ludovine de la Rochère. Béatrice Bourges, leader du Printemps français, groupe d'opposants radicaux au mariage gay, déclare dans un twitt accompagné d'un lien menant à l'affiche de l'opération: «Scandale absolu. Tout cela se terminera très mal, c'est certain. Les seules manifestations ne suffisent plus».
L'académie se défend de toute «journée de folklore»
«L'académie de Nantes ne demande pas aux garçons de venir en jupe», a tenu à rectifier le rectorat mercredi. C'est une «action de lutte contre le sexisme», qui consistera «principalement en un temps d'échange sur les discriminations sexistes et les moyens éventuels d'y remédier dans la vie du lycée», a précisé le porte-parole du rectorat. «Il ne s'agit en aucun cas de se déguiser ou d'une journée de folklore, surtout en période d'examen : l'an dernier pour la première édition le 12 avril 2013, ce sont surtout des filles qui sont venues en jupes, parfois même, de manière symbolique, sur des pantalons, et chez les garçons, il y a peut être eu deux ou trois kilts», a précisé le porte-parole du rectorat.«Se mettre en jupe n'est pas le propos de cette action», a affirmé le porte-parole.
Dans le Figaro, Elisabeth Costagliola, responsable de la Fédération des parents d’élèves de l’enseignement (PEEP) défend elle la démarche. Parlant d'une «provocation utile», elle affirme n'avoir eu «aucun retour négatif» l'an dernier. «A l’inverse, des éléments positifs sont remontés, des élèves racontant que même certains professeurs masculins s’étaient prêté au jeu l’année dernière en venant en jupe» ajoute-t-elle.
Pas sûr que cela rassure les groupes anti-théorie du genre «Les Nantais pour la famille» et «Sentinelles» qui ont appelé à une action de protestation pacifique le 16 mai.
«Navré de voir qu'une initiative lycéenne originale est transformée en complot du ministère pour faire mettre des jupes aux hommes», a regretté dans un tweet Corentin Durand, président de l'UNL, première organisation lycéenne.
«Pseudo-information» et initiative «potache» pour le gouvernement
L'UMP, par la voix de la députée de l'Orne, Véronique Louwagie, s'est émue de cette initiative lors de la séance des questions, dénonçant la «dérive idéologique de la théorie du genre», et accusant le gouvernement d'avoir «sciemment caché les actions» qu'il entendait mener en ce sens. «Les documents relatifs à cette initiative ont été retirés du site de l'académie», a-t-elle accusé. Estimant que «notre jeunesse a besoin de repères», que «l'Education nationale doit remplir tout son rôle dans l'apprentissage des savoirs fondamentaux», Véronique Louwagie a tempêté contre la «démolition systématique des repères qui structurent nos enfants».
Évoquantune initiative «potache», visant à «lutter contre le sexisme», le ministre de l’Éduca-sion nationale Benoît Hamon a de son côté indiqué lors de la séance de questions au gouvernement qu'elle avait été lancée «par le conseil académique de la vie lycéenne». «Il n'y a pas de demande faite aux lycéens de cette académie de venir en jupe», a-t-il défendu, accusant l'élue UMP de «colporter les mensonges» formulés par «des organisations radicales».
VIDEO. Hamon : «Il n'y a pas de demande faite aux élèves de venir en jupe»
http://www.dailymotion.com/video/x1un65y_il-n-y-a-pas-de-demande-faite-aux-eleves-de-venir-en-jupe-14-05_news
Quelques questions plus tard, le député UMP de Côte-d'Or, Alain Suguenot, est revenu à la charge, assurant au ministre qu'il était «en contradiction avec le rectorat de Nantes». «Nous tenons à sa disposition la lettre du rectorat», a-t-il fait savoir.
Plus tôt dans la journée, le porte-parole du gouvernement avait refusé de commenter l'information à la sortie du Conseil des ministres. «Si c'est pour lancer une petite rumeur supplémentaire pour essayer d'agiter encore le microcosme médiatique, eh bien ne comptez pas sur moi pour rentrer dans ce type de débats» a ainsi lancé Stéphane Le Foll. «Donc aucun commentaire sur cette pseudo information du Figaro», a conclu le porte-parole du gouvernement.
DOCUMENT. «Ce que soulève la jupe», le dossier de presse de l'académie de Nantes
http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/nantes-les-garcons-invites-a-venir-en-jupe-au-lycee-au-nom-de-l-egalite-14-05-2014-3839875.php
Conclu-sion
L'eurovi-sion est bien maçonnique-talmudique.
La vidéo du drag-queen commence par un diamant!
Le diamant, symbole maçonnique et bijou de loge !
Le diamant est au coeur de la spiritualité des Francs-Maçons. La pierre brute et le diamant, sont des symboles qui balisent les extrémités du parcours spirituel dans lequel s’engage tout franc maçon honnête. Car, avant tout, les francs maçons visent un certain épanouissement personnel par la pratique de la philosophie, l’échange de connaissances,… Autant de clés pour une vie plus harmonieuse et pour développer une relation pacifique au monde. Le Diamant est symboliquement le but philosophique de ceux qui s’initient aux rituels maçonniques. Une recherche spirituelle qui, dans ses principes, ne s’assujetti à aucune religion, ni à aucun pouvoir politique, c’est du moins ce que souhaitèrent les « constitutions d’Anderson » de 1717 qui sont reconnues comme le socle de la tradition maçonnique. Constitutions d’Anderson qui, dans sa première édition se plaçait sous les hospices de Pythagore & d’Archimède. Les Francs-maçons se donnent des origines historiques et mythologiques remontant respectivement au Moyen-âge et à la très haute antiquité…
L’aigle cache en fait un phœnix, en rapport avec la civilisation Égyptienne. Un phœnix est supposé renaître de ses cendres. C’est l’idée de mourir pour renaitre, un peu comme les attentats du 11 Septembre qui ont donné le signal de départ de cette étape transitoire et du commencement de l’accomplissement de l’agenda secret tel qu’il avait été planifié par XXX.
Cet agenda luciférien qui prévoit une civilisation humaine sans dieux, et sans spiritualité dans un gouvernement international fasciste humaniste dirigé par l’élite sionisto-jérusaliste.