YVAN COLONNA ET LES MARION-NETTES
L'Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous rappelle son article en date du
26 novembre 2007, concernant Yvan Colonna et son innocence.
Rappel de l'article:
lundi 26 novembre 2007
YVAN COLONNA et MARION
YVAN COLONNA et les MARION--NETTES
L'ECHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous livre la vérité quant à ROGER MARION, ancien contrôleur général de la division nationale antiterroriste à la direction centrale de la police judiciaire.
Aujourd'hui ce dernier est sans affectation et a perdu son procès contre DIMITRI DRAGACCI. En effet MARION avait accusé le SRPJ d'AJACCIO de fuite envers la famille COLONNA; donc là déjà MARION avait menti, surtout devant la commission d'enquêtes parlementaires.
Aujourd'hui, le 26 novembre 2007, l'ECHO DES MONTAGNES est en mesure de vous dire que MARION a encore menti, lors du procès d'assises, en accusant YVAN COLONNA d'être "l'assassin du préfet ERIGNAC".
En effet rappelons nous les déclarations faites sous sermon, par devant MR RAYMOND FORNI, président de la commission d'enquête parlementaire, le lundi 12 juillet 1999 et je cite les propos de l'ancien patron de la DNAT:
" Je précise qu'au niveau de l'enquête, j'ai procédé à l'identification des auteurs du meutre,au travers des communications de téléphones portables.
Je précise qu'YVAN COLONNA n'est apparu à aucun moment, puisqu'il n'avait pas de téléphone portable au moment de l'assassinat".
MR MARION précise bien qu'il précise, il est sûr de l'innocence d'YVAN COLONNA.
MR JEAN-PIERRE DINTILHAC, procureur de la République près le T.G.I. de PARIS à l'époque, clame l'innocence d'YVAN COLONNA, par devant la même commission d'enquête parlementaire, le mardi 28 octobre 1999 et je cite le procureur: "Yvan COLONNA ne pouvait pas être considéré comme l'auteur présumé de l'attentat contre le préfet ERIGNAC, puisqu'il n'existait aucun indice susceptible d'orienter l'enquête vers lui. Ceci-je tiens à le dire ici-est par ailleurs, un élément qui me paraît important".
Fermez le ban.
Frédéric BERGER von Götz von Berlischingen