SUISSE, YVERDON LES BAINS, GERHARD ULRICH, SAVOIE, JUGE, AVOCAT, PROCUREUR, FRANC-MAÇON, INDIGNÉS, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER
LES PAS-FRANCS-MAÇONS DES ROBES NOIRES, PERCÉES COMME LE GRUYÈRE SUISSE.
L'État de Savoie a interdit les francs-maçons et pour cause.
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Le président de Savoie Indépendante et toute la Savoie Souveraine soutienne fermement le combat de Gérhard Ulrich contre cette secte mafieuse criminelle.
Rappel des articles: SUISSE, SAVOIE, GERHARD ULRICH, LES BRIGANDES, JAC...
et
GERHARD ULRICH, SUISSE, FRANC-MACON, YVERDON LES B...
et maintenant, voici un compte rendu de la séance du 27 novembre 2017 au tribunal d'Yverdon -les-Bains en SUISSE.
Les amies et amies indignés étaient nombreux pour soutenir Gérhard dans son combat, pardon dans notre combat contre cette secte satanique.
60 à 70 personnes de 7 pays différents sont venus au procès, dont 53 ont assisté ensuite à notre première Landsgemeinde internationale des indignés.
Voici en direct la séance maçonnique, dont le président de la loge du tribunal bafouille beaucoup et qui déteste les journalistes. Les frères n'aiment pas la publicité qui n'est pas la leur.
A sauvegarder.
"Nous notons qu’il est demandé d’emblée aux journalistes de s’annoncer : Pourquoi ?
Nous notons que Gérard ULRICH avait demandé la possibilité de faire filmer l’audience -
manifestement refusé - A été autorisé la possibilité de filmer dans la cour - deux gendarmes veillant
aux opérations un sur la droite du parking un discutant avec nous.
Les portables sont confisqués à l’entrée par un grand homme (policier) vêtu d’une chemise blanche.
La juge a exigé qu’aucun portable ne pénètre dans la salle d’audience.
Nous notons que l’on m’a interdit, in extremis, d’entrer dans la salle avec mon sac à dos - ce qui m’a
privée de la possibilité de prendre des notes durant la première partie du procès
Procès en 3 actes
ACTE I : 5 minutes avec la juge PITET
J’entre dans une salle déjà bien remplie
L’huissière m’en interdit d’abord l’accès pourtant Gérard ULRICH m’a mise N°5 sur la liste des
personnes prioritaires d’accès - avec une autre personne qui est refoulée nous insistons car deux
places sont encore libres et sommes acceptées sans sacs et sans moyen de prendre des notes.
A propos de places : ce ne sont pas des bancs comme en France mais des chaises.
Énervement de la juge car certains n’entendent pas et le font savoir.
Elle menace donc de faire sortir quiconque dans la salle qui se manifestera bruyamment exigeant
donc un public docile et muet.
Nous assisterons à un moment très comique lors de la vérification de l’identité de Gérard ULRICH.
Ce dernier a demandé un traducteur puisque suisse allemand traduit devant un tribunal en suisse
française.
La juge PITET s’énerve également quand Gérard demande à s’exprimer et elle exige puisqu’il a un
avocat commis d’office que tout se passe entre elle et cet avocat.
Gérard demande à pouvoir apporter la preuve que tout ce qu’il a écrit est bien vrai au nom de la
manifestation de la vérité - cela lui est donc refusé.
La juge PITET requiert une suspension de séance au bout de 5 minutes afin de statuer sur les
doléances de Gérard ULRICH."
Nous notons que Gérard ULRICH avait demandé la possibilité de faire filmer l’audience -
manifestement refusé - A été autorisé la possibilité de filmer dans la cour - deux gendarmes veillant
aux opérations un sur la droite du parking un discutant avec nous.
Les portables sont confisqués à l’entrée par un grand homme (policier) vêtu d’une chemise blanche.
La juge a exigé qu’aucun portable ne pénètre dans la salle d’audience.
Nous notons que l’on m’a interdit, in extremis, d’entrer dans la salle avec mon sac à dos - ce qui m’a
privée de la possibilité de prendre des notes durant la première partie du procès
Procès en 3 actes
ACTE I : 5 minutes avec la juge PITET
J’entre dans une salle déjà bien remplie
L’huissière m’en interdit d’abord l’accès pourtant Gérard ULRICH m’a mise N°5 sur la liste des
personnes prioritaires d’accès - avec une autre personne qui est refoulée nous insistons car deux
places sont encore libres et sommes acceptées sans sacs et sans moyen de prendre des notes.
A propos de places : ce ne sont pas des bancs comme en France mais des chaises.
Énervement de la juge car certains n’entendent pas et le font savoir.
Elle menace donc de faire sortir quiconque dans la salle qui se manifestera bruyamment exigeant
donc un public docile et muet.
Nous assisterons à un moment très comique lors de la vérification de l’identité de Gérard ULRICH.
Ce dernier a demandé un traducteur puisque suisse allemand traduit devant un tribunal en suisse
française.
La juge PITET s’énerve également quand Gérard demande à s’exprimer et elle exige puisqu’il a un
avocat commis d’office que tout se passe entre elle et cet avocat.
Gérard demande à pouvoir apporter la preuve que tout ce qu’il a écrit est bien vrai au nom de la
manifestation de la vérité - cela lui est donc refusé.
La juge PITET requiert une suspension de séance au bout de 5 minutes afin de statuer sur les
doléances de Gérard ULRICH."
ACTE II : 3 MINUTES AVEC LA JUGE PITET LA PERTE DU LIEN DE CONFIANCE ENTRE AVOCAT ET CLIENT
Véronique PITET : «Asseyez-vous. Voilà. L’audience est reprise. Maître RAYMOND »
Me RAYMOND : « Oui Mme la Présidente. »
Véronique PITET : « Est-ce que j’ouvre le procès-verbal ? »
Me RAYMOND : « Alors, la pause a permis de mettre en évidence une rupture du lien de confiance
entre Mr ULRICH et moi-même qui donc je suis prêt pour ces raisons qui me conduisent à demander
à être relevé de mon mandat d’avocat d’office».
Véronique PITET à la greffière : « Ok donc Me Georges RAYMOND demande à être relevé de son
mandat de défendeur ».
« Doki, D’accord, alors je vais statuer sur ce point là - je vous demande deux petites secondes. Vous
voulez peut-être plaider ou..? »
Me RAYMOND : « Alors oui Mme la Présidente, très brièvement, je dois dire que je connais Mr
ULRICH de longue date, c’est vrai que le l’ai défendu dans plusieurs causes, il m’a demandé d’être
son avocat dans ce dossier euuuuh la raison pour laquelle Mr ULRICH n’a pas les moyens d’assumer
un avocat, j’ai demandé à être désigné avocat d’office, effectivement j’ai été désigné avocat euh
d’office, euuh ce qui m’a conduit aujourd’hui à demander à être relevé de mon mandat ce sont des
faits qui sont apparus aujourd’hui, sinon je l’aurai fait euh au préalable, aujourd’hui euh alors sans
porter aucun jugement sur les demandes de Mr ULRICH ; Mr ULRICH me demande de signer euh une demande de transparence sur laquelle euh il souhaite que j’indique si je suis franc maçon
scientologue ou si j’appartiens à d’autres associations telles que le ROTARY, le LIONS CLUB... les
ZOFINGIENS, l’OPUS DEI ou d’autres associations donc, par rapport à la matière concernée, mon
mandat jusqu’à présent était toujours basé sur un rapport de confiance et je soutiens qu’il n’y a
aucune raison de signer ce formulaire.
De plus il souhaite que je produise comme vous avez demandé
à ce que les pièces soient produites par l’avocat et non par le prévenu, ce que je comprends tout à
fait, Mr ULRICH voudrait que je produise ce formulaire et me demande de le remplir ce que je ne
peux pas le faire par rapport à l’éthique et par rapport à la déontologie euh c’est ce qui m’amène
aujourd’hui à réagir avec Mr ULRICH en bonne harmonie, Il y a rupture du lien de confiance réelle
raison pour laquelle bien malgré moi, pour la suite de l’audience, je demande à être relevé de mon
mandat d’avocat d’office. »
Véronique PITET : «Asseyez-vous. Voilà. L’audience est reprise. Maître RAYMOND »
Me RAYMOND : « Oui Mme la Présidente. »
Véronique PITET : « Est-ce que j’ouvre le procès-verbal ? »
Me RAYMOND : « Alors, la pause a permis de mettre en évidence une rupture du lien de confiance
entre Mr ULRICH et moi-même qui donc je suis prêt pour ces raisons qui me conduisent à demander
à être relevé de mon mandat d’avocat d’office».
Véronique PITET à la greffière : « Ok donc Me Georges RAYMOND demande à être relevé de son
mandat de défendeur ».
« Doki, D’accord, alors je vais statuer sur ce point là - je vous demande deux petites secondes. Vous
voulez peut-être plaider ou..? »
Me RAYMOND : « Alors oui Mme la Présidente, très brièvement, je dois dire que je connais Mr
ULRICH de longue date, c’est vrai que le l’ai défendu dans plusieurs causes, il m’a demandé d’être
son avocat dans ce dossier euuuuh la raison pour laquelle Mr ULRICH n’a pas les moyens d’assumer
un avocat, j’ai demandé à être désigné avocat d’office, effectivement j’ai été désigné avocat euh
d’office, euuh ce qui m’a conduit aujourd’hui à demander à être relevé de mon mandat ce sont des
faits qui sont apparus aujourd’hui, sinon je l’aurai fait euh au préalable, aujourd’hui euh alors sans
porter aucun jugement sur les demandes de Mr ULRICH ; Mr ULRICH me demande de signer euh une demande de transparence sur laquelle euh il souhaite que j’indique si je suis franc maçon
scientologue ou si j’appartiens à d’autres associations telles que le ROTARY, le LIONS CLUB... les
ZOFINGIENS, l’OPUS DEI ou d’autres associations donc, par rapport à la matière concernée, mon
mandat jusqu’à présent était toujours basé sur un rapport de confiance et je soutiens qu’il n’y a
aucune raison de signer ce formulaire.
De plus il souhaite que je produise comme vous avez demandé
à ce que les pièces soient produites par l’avocat et non par le prévenu, ce que je comprends tout à
fait, Mr ULRICH voudrait que je produise ce formulaire et me demande de le remplir ce que je ne
peux pas le faire par rapport à l’éthique et par rapport à la déontologie euh c’est ce qui m’amène
aujourd’hui à réagir avec Mr ULRICH en bonne harmonie, Il y a rupture du lien de confiance réelle
raison pour laquelle bien malgré moi, pour la suite de l’audience, je demande à être relevé de mon
mandat d’avocat d’office. »
Véronique PITET : « Ok, vous souhaitez vous exprimer Me HESS ? »
Me HESS : « Juste brièvement, pour dire qu’il y a des dossiers difficiles, il y a des clients difficiles
j’avoue que je suis très heureux d’être à ma place plutôt qu’à celle de mon confrère cela étant le lien
de confiance qui contrôle les liens personnels entre mon estimé confrère et son client est important ».
Véronique PITET : « Rien à ajouter ? On va suspendre. Je vais statuer. Je vous demande de vous
retirer le temps que je statue je vous demanderai de prendre toutes vos affaires avec vous ».
Cliquez sur la photomacrographie, ski vous plaît: