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SAVOIE, ESOPE, DONALD TRUMP, MERKEL ANGELA, ADOLF HITLER, JEAN DE LA FONTAINE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER,TALMUD, CRIF, LICRA AL WILSON

 

      LES MIGRANTS, MIGRENT, BIGRE

 

 

L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous parlent des MIGRANTS,  populace téléguidée par les jérusalistes pour appliquer le Talmud, c'est à dire tuer les chrétiens et les musulmans. 

 

Bigre.

 

Mais voila que le secret de cette  migra-sion , non saisonnière de cette espèce en voie de futur dispari-sion, est démontrée par votre journal préféré l’Écho des Montagnes qui , comme l'écho

parle toujours le dernier.

 

Preuves:

 

   La perversité de nos ennemis ne change pas, quelque bonté qu’on leur témoigne.
Donald Trump, est vraiment beaucoup mieux que cette Merkel fille d'Adolf Hitler, et cette Clinton. 

 

 

 

Trump. lui, pour ouvrir les yeux et les oreilles des électeurs américains avait choisi et a admirablement bien récité le texte allégorique du serpent de la chanson « The Snake » du chanteur américain Al Wilson en 1968, écrite par Oscar Brown en 1963.

 

 Cliquez sur :
https://youtu.be/ULx9k2QkL94

 

 Le texte de cette chanson est inspiré de la fable d’Ésope (620-564 av. J.-C.) « Le laboureur et le serpent gelé » Et le laboureur d’Ésope de s’écrier à la fin de cette fable: « Je l’ai bien mérité, ayant eu pitié d’un méchant. »

 

et repris par JEAN DE LA FONTAINE

 


LE VILLAGEOIS ET LE SERPENT


            Ésope conte qu'un Manant, (1)
            Charitable autant que peu sage,
            Un jour d'hiver se promenant
            A l'entour de son héritage, (2)
Aperçut un Serpent sur la neige étendu,
Transi, gelé, perclus, immobile rendu,
            N'ayant pas à vivre un quart d'heure.
Le Villageois le prend, l'emporte en sa demeure;
Et, sans considérer quel sera le loyer (3)
            D'une action de ce mérite,
            Il l'étend le long du foyer,
            Le réchauffe, le ressuscite.
L'animal engourdi sent à peine le chaud,
Que l'âme lui revient avec que la colère.
Il lève un peu la tête et puis siffle aussitôt,
Puis fait un long repli, puis tâche à faire un saut
Contre son bienfaiteur, son sauveur, et son père.
Ingrat, dit le Manant, voilà donc mon salaire ?
Tu mourras. A ces mots, plein d'un juste courroux,
Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête;
            Il fait trois serpents de deux coups,
            Un tronçon, la queue et la tête.
L'insecte (4) sautillant, cherche à se réunir,
            Mais il ne put y parvenir.
            Il est bon d'être charitable,
            Mais envers qui ? c'est là le point.
            Quant aux ingrats, il n'en est point
            Qui ne meure enfin misérable. 

 

Frédéric BERGER

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