AMIDLISA
Le texte ci-dessous a été publié par WP. Il peut être repris par tout un chacun pour être publié largement, tous les mots ayant été bien « pesés ».
TRÈS BONNE NOUVELLE !
La Cour de Cassation a rendu son arrêt le 30 mars 2016 qui CASSE et ANNULE toutes les accusations de dénonciation calomnieuse et de dénonciation de faits imaginaires contre Sophie suite à sa plainte pour viol en 2007 d’un de ses enfants, et de faits plus graves en 2008 et 2009. Il CASSE aussi une des trois accusations contre Jack, son beau-père, pour les mêmes chefs.
Cet arrêt reconnaît donc implicitement la suspicion de viol sur enfant perpétré par 2 hommes, le père des enfants et un de ses amis, le 7 octobre 2007, reprochant à la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence et au Tribunal correctionnel de Draguignan d’avoir dénaturé le rapport médical initial du Dr Néton et reconnaît pour le reste que Sophie n’a pas fait de dénonciation calomnieuse ni de dénonciation mensongère !
Cet arrêt ANNULE aussi, pour Jack et Sophie, toutes les condamnations qui avaient été prononcées à leur encontre et les renvoie à nouveau devant la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence autrement composée pour être jugés sur ce qui a été cassé.
Cette Cour d’Appel ne pourra normalement que prononcer la relaxe totale pour Sophie suite aux injonctions de la Cour de Cassation qui reconnaît qu’il n’y a pas de mauvaise foi de sa part et que la fausseté des faits n’a pas été démontrée.
La date de l’audience devant la Cour d’Appel n’est pas encore fixée.
MAIS SCANDALE DEUX JOURS PLUS TARD !
Le Tribunal de Draguignan en début de soirée du 1er avril 2016 a retiré en urgence ses 3 enfants à Sophie alors qu’ils débutaient leurs vacances scolaires avec leur maman, pour les laisser en garde exclusive à leur père !
Des événements qui se répètent…
Rappel :
En octobre 2007 Sophie porte plainte avec des éléments médicaux probants suspectant le viol d’un de ses enfants. Le lendemain-même le procureur de Draguignan lui fait retirer à l’Hostellerie de la Sainte-Baume ses 3 enfants dont elle avait la garde principale au motif qu’elle avait déposé une vaine plainte, alors que l’enquête n’en est qu’à son premier jour, et prétendant qu’elle semblait psychiquement « fragile » alors qu’il ne l’avait jamais vue.
Pendant 3 semaines il lui sera impossible d’avoir des nouvelles de ses enfants qu’elle n’avait jamais quittés auparavant.
Elle n’a pas été convoquée aux audiences du Juge des enfants, et ses enfants après un placement de 3 semaines en foyer seront confiés à la garde exclusive de leur père.
Au bout de 2 mois elle obtiendra seulement un droit de visite et d’hébergement classique.
L’affaire ne s’arrête pas là !
Les enfants ont dénoncé des faits pédocriminels de plus en plus graves jusqu’en mai 2009, soit jusqu’à l’interdiction totale faite à Sophie de voir ses enfants !!!
Le procureur et le père suspect l’accusent alors de dénonciation calomnieuse sans qu’il y ait eu d’instruction ni de décision judiciaire pour statuer sur les faits dénoncés, ce qui est contraire à la Loi .
En 2015 Sophie est relaxée en appel d’une partie de ces accusations,
puis en 2016 toutes les accusations sont annulées par la Cour de Cassation !
Mais deux jours après le résultat de la Cour de Cassation, on lui retire à nouveau ses 3 enfants lors de l’exercice de son droit d’hébergement récupéré un an plus tôt, pour les donner exclusivement au père au prétexte que son état psychique mettrait les enfants en danger alors qu’elle a fourni 7 évaluations psychiatriques qui disent toutes qu’elle ne présente aucune pathologie mentale !
Seule l’expertise ordonnée par le Juge d’instruction de la dénonciation calomnieuse dispose que Sophie ‘’délire au moment des faits’’ c’est-à-dire quand elle dénonce les faits criminels pourtant reconnus médicalement !!!
Frédéric BERGER, rédacteur en chef
Merci Brigitte, honneur à toi.