Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • SAVOIE, DECOLONISATION, BRIGADE DE SAVOIE, ONU, LIVRE SAVOISIENNE, OR, INDEPENDANCE, TRAITE DE TURIN, TRAITE DE PARIS, SAVOIE INDEPENDANTE, FREDERIC BERGER

     

             DÉCOLONISATION DE LA SAVOIE

     

    SAVOISIENNES, SAVOISIENS, 

     

    L'heure de l'Indépendance de notre pays avance rapidement.

    A l'instant magique de la libération de notre Savoie, il faudra être vigilant.

    Car la France colonisatrice ne se laissera pas faire facilement, malgré les injonctions de l'ONU.

     

    Beaucoup d'entre vous m'en reprochez la création de l'armée de la Savoie, la mystique Brigade de  Savoie, surnommé "SAVOIE BONNE NOUVELLE"; et oui il faudra se battre pour protéger notre Souveraineté retrouvée.

     

    Vous ne me croyez pas et préférez écouter les collabos de Gaymard and CO, qui vous achètent avec du fric, un emploi, un permis de construire ou de gagner une affaire en justice?

     

    Alors lisez ceci et pensez bien que l'histoire se répète toujours, car depuis la nuit des temps se sont les mêmes jérusalistes sataniques qui tirent les ficelles, dont vous êtes les marionettes!

     

    Foccart & Houphouet-Boigny

    Photo : Foccart & Houphouet-Boigny, les pères fondateurs de la françafrique

     

    Le saviez-vous? Aujourd’hui encore, beaucoup de pays africains continuent de payer un impôt colonial en France, et ce malgré l’indépendance !

     

    Lorsque Sékou Touré de Guinée décida en 1958 de sortir de l’empire colonial français, et opta alors pour l’indépendance du pays, l’élite coloniale française à Paris était s’est indignée, et dans un acte de fureur historique, demanda à son administration alors en place en Guinée de détruire, dans tout le pays, ce qui représentait, à leur yeux, les avantages de la colonisation française.

     

    Trois mille Français quittèrent le pays, en prenant tous leurs biens et détruisant tout ce qui ne pouvait être déplacé: les écoles, les crèches, les bâtiments de l’administration publique furent détruits, les voitures, les livres, les médicaments, les instruments de l’institut de recherche, les tracteurs ont été écrasés et sabotés; les chevaux, les vaches dans les fermes ont été tués, et les nourritures entreposées furent brûlées ou empoisonnée.

     

    Le but de cet acte scandaleux était bien évidemment, d’envoyer un message clair à tous les autres colonies sur les conséquences du rejet de la France.

     

    Le fait est que peu à peu, la peur s’empara des Élites Africaines, et après ces évènements aucun autre pays ne trouva jamais le courage de suivre l’exemple de Sékou Touré, dont le slogan était “Nous préférons la liberté dans la pauvreté à l’opulence dans l’esclavage”.

     

    Pour les pays nouvellement indépendant il fallut trouver des compromis avec la France. Sylvanus Olympio, le premier président de la République du Togo, un petit pays d’ Afrique de l’Ouest, trouva une solution susceptible de calmer les Français :

    Ne voulant pas continuer à subir une domination française, il refusa de signer le pacte colonisation proposé par De Gaule, mais accepta en contrepartie de payer une dette annuelle à la France pour les soi-disant avantages obtenus lors de la colonisation française.

     

    Ce furent les seules conditions de la France pour ne pas détruire le pays avant de partir. Toutefois, le montant estimé par la France était si grand que le remboursement de la soi-disant « dette coloniale » était proche de 40 % du budget du pays en 1963.

     

    Dès lors, la situation financière du Togo tout juste indépendant fut très instable, et afin de se sortir de cette situation, Olympio décida de sortir du système monétaire mis en place par la France coloniale le FCFA ( franc des colonies françaises d’Afrique ), et créa la monnaie du pays.

     

    Le 13 Janvier 1963, trois jours après , qu’il ai commencé à imprimer les nouveaux billets, une escouade de soldats (soutenus par la France) s’empara et tua le premier président élu de l’Afrique indépendante : Olympio fut exécuté par un ex Légionnaire français, le sergent de l’armée Etienne Gnassingbé qui, au passage, reçu à ce moment une prime de 612 dollars de l’ambassade française locale pour le succès de sa mission.

    Le rêve de Olympio était de construire un pays indépendant et autonome. Mais l’idée ne correspondait pas aux volontés françaises.

     

    Le 30 Juin 1962, Modiba Keita, le premier président de la République du Mali , décida également de se retirer du système monétaire FCFA ( imposé à 12 pays africains nouvellement indépendants ).

     

    En effet, pour le président malien, qui se penchait plus vers une économie socialiste, il était clair que la colonisation qui perdurait avec ce pacte avec la France, devenait un piège, un fardeau pour le développement du pays.

     

    Le 19 Novembre 1968, comme, Olympio, Keita sera victime d’ un coup d’état menée par un autre ex légionnaire français des Affaires étrangères, le lieutenant Moussa Traoré.

     

    De fait, durant cette période turbulente où l’Afrique combattait à se libérer du joug de la colonisation européenne, la France usera à nombreuse reprises de mercenaire anciennement affiliés à la légion étrangère pour réaliser des opérations coup de poings contre les présidents nouvellement élus :

    • Au 1er Janvier 1966, Jean- Bedel Bokassa, ex légionnaire français, portait un coup d’état contre David Dacko, le premier président de la République centrafricaine.

       

    • Le 3 Janvier 1966, Maurice Yaméogo, le premier président de la République de Haute-Volta,  aujourd’hui appelé Burkina Faso, a été victime d’un coup porté par Aboubacar Sangoulé Lamizana, un ex légionnaire français qui a combattu avec les troupes françaises en Indonésie et en Algérie contre ces pays l’indépendance

       

    • Le 26 Octobre 1972 Mathieu Kérékou qui était un garde de sécurité au président Hubert Maga, le premier président de la République du Bénin, a porté un coup d’état contre le président, après avoir fréquenté les écoles militaires françaises de 1968 à 1970.

    En fait , au cours des 50 dernières années, un total de 67 coups état qui se sont passés dans 26 pays en Afrique, 16 de ces pays sont des ex- colonies françaises, ce qui signifie que 61 % des coups d’états en Afrique ont été initiés dans d’anciennes colonies françaises.

    Nombre de Coups en Afrique par pays

    Ex colonies françaises

     

    Autres pays africains

     

    Pays

    Nombre de coup d’état

    Pays

    Nombre de coup d’état

    Togo

    1

    Egypte

    1

    Tunisia

    1

    Libye

    1

    Cote d’Ivoire

    1

    Equatorial Guinea

    1

    Madagascar

    1

    Guinea Bissau

    2

    Rwanda

    1

    Liberia

    2

    Algeria

    2

    Nigeria

    3

    Congo – RDC

    2

    Ethiopia

    3

    Mali

    2

    Ouganda

    4

    Guinea Conakry

    2

    Soudan

    5

    sous-TOTAL 1

    13

       

    Congo

    3

       

    Tchad

    3

       

    Burundi

    4

       

    Central Africa

    4

       

    Niger

    4

       

    Mauritania

    4

       

    Burkina Faso

    5

       

    Comores

    5

       

    sous-TOTAL 2

    32

       

    TOTAL (1 + 2)

    45

    TOTAL

    22

     

    Comme ces chiffres le démontrent, la France est tout à fait désespérée, mais active à conserver une forte emprise sur ses colonies peu importe comment, peu importe le prix.

     

    En Mars 2008, l’ancien président français Jacques Chirac a déclaré:

     

    «Sans l’Afrique, la France va glisser vers le bas dans le rang de troisième puissance [ du monde ] “

     

    Le prédécesseur de Jacques Chirac François Mitterrand déjà prophétisé en 1957 que : «Sans l’Afrique, la France n’aura pas d’ histoire au 21e siècle”

     

    En ce moment même où j’écris cet article , 14 pays africains sont obligés par la France , à travers le pacte colonial , de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sous le contrôle du ministère des finances français. Jusqu’à maintenant , en 2014, le Togo et environ 13 autres pays africains doivent encore payer la dette coloniale en France . Les dirigeants africains qui refusent sont tués ou victimes de coup d’état . Ceux qui obéissent sont soutenus et récompensés par la France grâce à style de vie somptueux, tandis que leurs populations endurent la misère et le désespoir.

     

    Un tel système maléfique, est dénoncé par l’Union européenne, mais la France n’est pas prête à se passer de ce système colonial qui lui offre une trésorerie d’environ 500 milliards de dollars en provenance de l’Afrique, et ce par année.

     

    Nous accusons souvent les dirigeants africains de corruption et de servir les intérêts des nations occidentales, mais il y a une explication claire de ce comportement . Ils se comportent ainsi parce qu’ils ont peur d’être tués ou d’être la victime d’un coup d’état. Ils veulent s’allier à une nation puissante pour se sauvegarder en cas d’agression ou de difficultés. Mais, contrairement à une protection amicale, la protection de l’Ouest est souvent offert en échange du renoncement à servir leur propre peuple ou les intérêts des nations.

     

    Les dirigeants africains travailleraient dans l’intérêt de leur peuple s’ils n’étaient pas constamment harcelés et intimidés par les pays coloniaux.

     

    En 1958 , effrayé des conséquences de son choix d’indépendance face à la France , Léopold Sédar Senghor a déclaré: « Le choix du peuple sénégalais, c’est l’indépendance, ils veulent qu’elle ait lieu seulement dans l’amitié avec la France , pas en litige. “

     

    Dès lors la France a accepté qu’une « indépendance sur le papier” pour ses colonies , mais a signé en parallèle des ” accords de coopération “, précisant la nature de leurs relations avec la France, en particulier les attaches envers la monnaie ( le Franc ), le système éducatif français, les ententes militaires et les préférences commerciales.

    Voici les 11 principales composantes de la poursuite du pacte de colonisation depuis les années 1950 :

    1 . La dette coloniale pour les avantages de la France colonisation

    Les pays nouvellement «indépendants» doivent payer pour l’infrastructure construite par la France dans le pays pendant la colonisation.

    Je dois encore trouver les détails sur les montants, l’évaluation des avantages coloniaux et les conditions de paiement imposées aux pays africains, mais nous y travaillons ( nous aider avec des informations ).

    2 . Confiscation automatique des réserves nationales

    Les pays africains doivent déposer leurs réserves monétaires nationales en France à la banque centrale.

    La France a tenu des réserves nationales de quatorze pays africains depuis 1961 : Bénin, Burkina Faso, Guinée- Bissau, Côte-d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo -Brazzaville, la Guinée équatoriale et le Gabon.

     

    La politique monétaire régissant un tel regroupement diversifié de pays est simple car il est, géré par le Trésor français , sans en référer aux autorités fiscales centrales comme l’UEMOA ou de la CEMAC. Selon les termes de l’accord qui a été mis en place par la banque centrale du CFA, chaque Banque centrale de chaque pays africain est obligée de garder au moins 65 % de ses réserves de change dans un « compte d’opérations » tenu au Trésor français, ainsi qu’un autre 20 % pour couvrir les passifs financiers.

     

    Les banques centrales CFA imposent aussi un plafond sur le crédit accordé à chaque pays membre à l’équivalent de 20 % des recettes publiques de ce pays sur l’année précédente. Même si la BEAC et la BCEAO ont une facilité de découvert auprès du Trésor français, les traites sur les facilités de découvert sont sous réserve du consentement du Trésor français. Le dernier mot est celui de la Trésorerie française qui a investi les réserves étrangères des pays africains en son propre nom à la Bourse de Paris.

     

    En bref , plus de 80% des réserves de change de ces pays africains sont déposées dans les « comptes d’opérations » contrôlés par le Trésor français . Les deux banques CFA sont africaines de nom, mais n’ont pas de politiques monétaires propres. Les pays eux-mêmes ne savent pas, ne sont pas informés, à hauteur de combien la réserve de change détenues par le Trésor français leur appartient en tant que groupe ou individuellement.

     

    Les gains de l’investissement de ces fonds du Trésor français sont censés être ajouté à la réserve de change, mais il n’y a pas de comptabilité transmise aux banques ou aux pays, ni les détails de ces modifications. « Seul un groupe restreint de hauts fonctionnaires du Trésor français connaissent les montants figurant dans les « comptes d’opérations » où ces fonds sont investis ; si il y a un bénéfice sur ces investissements ; ils ont interdiction de divulguer ces informations aux banques CFA ou aux banques centrales des états africains. ” écrit le Dr Gary K. Busch.

     

    Il est estimé que la France gère près de 500 milliards d’argent africain dans sa trésorerie, et ne fait rien pour mettre un peu de lumière sur ce côté sombre de l’ancien empire.

    La finalité reste : Les pays africains n’ont pas accès à cet argent.

     

    La France leur permet d’accéder à seulement 15 % de leur argent par an. S’ils ont besoin de plus, les pays africains doivent emprunter, à des taux commerciaux, sur les 65% de leur argents détenu au Trésor français.

     

    Pour rendre les choses plus tragiques , la France impose un plafond sur le montant de l’argent que les pays peuvent emprunter à la réserve . Le plafond est fixé à 20 % de leurs recettes publiques de l’année précédente. Si les pays ont besoin d’emprunter plus de 20% de leur propre argent, la France a un droit de veto.

     

    L’ancien président français Jacques Chirac a récemment parlé de l’argent des pays africains dans les banques en France. Voici une vidéo qui parle du système d’exploitation français. Voici une courte transcription de l’extrait : “Nous devons être honnêtes et reconnaître qu’une grande partie de l’argent dans nos banques viennent précisément de l’exploitation du continent africain”.

     

     

     3 . Droit de priorité sur toute ressource brute ou naturel découvert dans le pays

     

    La France a la priorité en matière d’achats de toutes les ressources naturelles de la terre de ses ex- colonies. C’est seulement un refus de celle-ci que les pays africains sont autorisés à chercher d’autres partenaires.

    4 . Priorité aux intérêts et aux entreprises françaises dans les marchés publics et constructions publiques

    Dans l’attribution des marchés publics , les entreprises françaises doivent être considérées en premier lieu, et seulement après les marché étrangers sont considérés. Le fait que les pays africains pourraient obtenir une meilleure offres financière ailleurs n’est pas prit en compte.

     

    En conséquence, dans la plupart des ex- colonies françaises, toutes les plus grosses compagnies et acteurs économiques sont dans la main des expatriés français. En Côte d’Ivoire, par exemple, les entreprises françaises possèdent et contrôlent tous les grands services publics – eau, électricité, téléphone, transports, ports et les grandes banques. Idem dans le commerce, la construction et l’agriculture.

     

    En fin de compte, comme je l’ai écrit dans un précédent article, les Africains vivent maintenant sur un continent possédé par les Européens !

    5 . Droit exclusif de fournir des équipements militaires et de former les officiers militaires des pays.

    Grâce à un système sophistiqué de bourses, de subventions, et les « accords de défense » attachés au pacte colonial, les africains doivent envoyer leurs officiers supérieurs de formation en France ou dans des infrastructures militaires françaises.

    La situation sur le continent est telle que la France a formé et nourris des centaines, voire des milliers de traîtres. Ils sont en sommeil tant qu’ils ne sont pas nécessaires, et activés en cas de besoin pour un coup d’état ou à d’autres fins !

    6 . Droit pour la France de pré-déployer des troupes et intervenir militairement dans le pays pour défendre ses intérêts.

    Sous la dénomination « Accords de défense » attachés au pacte colonial. La France a le droit d’intervenir militairement dans les pays africains, et aussi de stationner des troupes en permanence dans des bases et installations militaires, entièrement géré par les Français.

     

    Les bases militaires françaises en Afrique


    Lorsque le président Laurent Gbagbo de Côte d’Ivoire a tenté de mettre fin à l’exploitation française du pays, la France a organisé un coup d’état. Durant le long processus pour chasser Gbagbo du pouvoir, les tanks français, les hélicoptères de combat et les forces spéciales sont intervenues directement dans le conflit, ont tiré sur des civils et tué beaucoup d’entre eux.

    Pour ajouter l’injure à l’insulte, la France estime que la communauté d’affaires française a perdu alors plusieurs millions de dollars lors de la ruée pour quitter Abidjan en 2006 (où l’armée française a massacré 65 civils non armés et blessé 1200 autres.)

     

    Après la réussite du coup d’état par la France, et le transfère de pouvoir à Alassane Ouattara, la France a demandé au gouvernement Ouattara de verser une indemnité à la communauté d’affaires française pour les pertes pendant la guerre civile.

     

    Du fait, le gouvernement Ouattara leur a payé le double de ce qu’ils ont dit qu’ils avaient perdu en quittant.

     

    7 . Obligation de faire du français la langue officielle du pays et de la langue pour l’éducation

    Oui , monsieur. Vous Devez parler français, la langue de Molière ! La langue française et une organisation de la diffusion de la culture a été créé. Appelé «Francophonie» qui regroupe avec plusieurs branches et organisations affiliées toutes contrôlées par le ministre français des Affaires étrangères.

    Comme démontré dans cet article, si le français est la seule langue que vous parlez, vous auriez accès à moins de 4% de la connaissance de l’humanité et des idées. C’est très limitant.

    8 . Obligation d’utiliser la l’argent de la France coloniale le FCFA

    C’est la véritable vache à lait pour la France, un tel système maléfique, est dénoncé par l’Union européenne, mais la France n’est pas prête à se passer de ce système colonial qui lui offre une trésorerie d’environ 500 milliards de dollars en provenance de l’Afrique, et ce par année.

     

    Lors de l’introduction de la monnaie euro en Europe, d’autres pays européens ont découvert le système d’exploitation français . Beaucoup, en particulier les pays nordiques, ont été consternés et ont suggéré à la France se débarrasser du système, mais sans succès.

     

    9 . Obligation d’envoyer le rapport annuel France du solde et de réserve

    Sans le rapport, pas d’argent. Quoi qu’il en soit le secrétaire des banques centrales des ex- colonies, et le secrétaire de la réunion bi-annuelle des ministres des Finances des ex- colonies est effectué par la France banque centrale / du Trésor.

    10 . Renonciation à entrer en alliance militaire avec tout autre pays , sauf autorisation par la France

    Les Pays africains en général sont ceux avec le moins d’alliance militaires inter-etat. La plupart des pays ne disposent que d’alliances militaires avec leurs ex- colonisateurs ! ( drôle, mais vous ne pouvez pas faire mieux! ).

    Dans les cas où ils souhaiteraient une autre alliance, la France les gardent bien de le faire.

    11 . Obligation de s’allier avec la France en situation de guerre ou de crise mondiale

    Plus d’un million de soldats africains se sont battus pour la défaite du nazisme et du fascisme pendant la seconde guerre mondiale.

    Leur contribution est souvent ignorée ou minimisée, mais quand vous pensez que cela a pris seulement 6 semaines pour l’Allemagne pour vaincre la France en 1940, la France sait que les Africains pourraient être utiles pour conserver la « Grandeur de la France ” à l’avenir.

     

    Il y a quelque chose de quasiment psychopathe dans la relation de la France avec l’Afrique.

     

    Tout d’abord, la France est gravement accro au pillage et à l’exploitation de l’Afrique depuis l’époque de l’esclavage. Ensuite, il y a ce manque complet de la créativité et de l’imagination de l’élite française à penser au-delà du passé et de la tradition.

     

    Enfin, la France dispose de 2 institutions qui sont complètement gelés dans le passé , habitées par des paranoïaques et psychopathes ” les hauts fonctionnaires ” qui répandent la crainte l’apocalypse si la France devait être amenée à changer, et dont la référence idéologique vient toujours du romantisme du 19ème siècle. Ils sont : le ministre de la Finances et du Budget de la France et le ministre des affaires étrangères de la France.

     

    Ces deux institutions ne sont pas seulement une menace pour l’Afrique, mais pour les Français eux-mêmes.

    C’est à nous que revient de libérer l’Afrique, sans demander la permission, parce que je ne peux toujours pas comprendre par exemple comment 450 soldats français en Côte d’Ivoire pourraient contrôler une population de 20 millions de personnes?

     

    La première réaction des personnes lorsqu’ils apprennent l’existence de l’impôt colonial français est souvent une question: « Jusqu’à quand “

    A titre de comparaison historique, la France a fait payer à Haïti l’équivalent moderne de 21 milliards de dollars de 1804 à 1947 ( près d’un siècle et demi ) pour les pertes causées aux marchands d’esclaves français suite à l’ abolition de l’esclavage et à la libération des esclaves haïtiens.

     

    Les pays africains paient la taxe coloniale depuis les 50 dernières années, donc je pense un siècle de paiement pourrait être de trop.

     

    CONCLUSION 

     

    Pour la Franceraël, le mot coopération signifie esclavage et 

    soumission sous peine de mort, comme pour Fontanet, Boulin, commandant Niaux, la liste est encore longue n'est-ce-pas "mon colonel, pardon mon Général"; n'est-ce-pas GISCARD PAS DESTIN; n'est-ce-pas Francisque MITTERRAND; n'est-ce-pas CHICHI; n'est-ce-pas Nicolas SARKÖSY DE NAGYBOCSA; n'est-ce-pas Hollande des bougnats?

     

    j'ai passé 15 années en FRANCEAFRIQUE et cotoyé pas mal de chef d'état africain qui avait la peur au ventre, même le sergent Bokassa, que j'ai connu à l'EFORTOM à Fréjus!

     

    Frédéric BERGER 

     

     

  • MARION MARECHAL-LE PEN, SAVOIE, JUSTICE, SOCIALE, MARISOLE TOURAINE, ASSEMBLEE NATIONALE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

          OU EST LA JUSTICE SOCIALE?

      Marion Maréchal: à réfléchir! 
      
     Même si on n'est pas membre ou  sympathisant du F N, on doit reconnaître que la plupart des questions posées sont légitimes et doivent attirer notre attention afin de réagir avant qu'il ne soit trop tard.    

     Questions posées à l'Assemblée Nationale  

     Ces questions sont troublantes, n'est-ce pas ? 
        
    Lorsque Marion Maréchal- Le Pen a posé ces questions à l'assemblée, la seule réponse de la ministre concernée,  Marisole Touraine, a été: 
          
      "Vous êtes là pour inciter à la haine et à la  discrimination... "   

      VOICI CES Q U E S T I O N S   G E N A N T E S :  

       - Où est  la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite, alors que tout étranger de 65 ans, n'ayant   jamais travaillé ni cotisé en France,  a droit à une  retraite de 780 euros par mois, dès son arrivée ?  

        - Où est  la justice sociale quand une femme de paysan ayant  travaillé 50 ans à la ferme, n'a pas droit à ces 780  euros, au prétexte que son mari et elle dépassent le plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?  

      - Où est  la justice sociale quand la sécurité sociale en faillite  continue de payer à l'étranger, sans le moindre  contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis des lustres ?   

      - Où est la justice sociale quand l'Aide Médicale d’État soigne 220 000 sans papiers, chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécurité sociale ne  dépense « que »1600 euros par affilié qui travaille et cotise ? 

         - Où est  la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la  CMU et d'une mutuelle gratuite, alors que 5  millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ?   30% des Français ont différé leurs soins en 2011 !   

     - Où est  la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses  cartes Vitale sont en circulation et permettent   de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse  identité, au détriment des ayant droit ? 

       - Où est  la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames, certains d'entre eux percevra  plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors  que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?     

     - Où est  la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire pour un logement social, alors  qu'un jeune couple français doit attendre sept ou  huit  ans son premier logement pour avoir un enfant ?  

      - Où est  la justice sociale quand on sait qu'un million de faux  passeports, donnant droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports biométriques soi-disant«  infalsifiables » ?    

    - Où  est la justice sociale quand un Français né à  l'étranger doit prouver sa nationalité à  l'administration, ce qui se traduit souvent par un  véritable parcours du combattant, alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages blancs ?

         - Où est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux  étrangers, alors que nos élus ont confisqué aux citoyens  leur « non » au référendum sur la Constitution  européenne et que  des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas représentés au Parlement ?  

      - Où est la justice sociale quand on accueille, chaque année, plus de 200.000 étrangers non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté  augmente, que nous avons près  de 5 millions de sans emplois et que le chômage atteint déjà 40% chez la population immigrée ?  

         - Où est  la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti-français est systématiquement  ignoré et les plaintes classées sans suite ?  


      - Où est  la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne sont jamais  inquiétés, au nom de la liberté d'expression ?   

      - Où  est la justice sociale quand la délinquance explose et que  les droits des voyous passent avant ceux des victimes ?   Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout  simplement parce que nos dirigeants ont confondu antiracisme  et acceptation de l'autre, avec le renoncement à nos valeurs. 

      FAITES CIRCULER CE MESSAGE , à moins que vous ne soyez en osmose avec tout ce qui vous entoure AVEC LES JERUSALISTES SATANISTES SIONISTES MAÇONNIQUES?

    Entendez, entendez, debout les guerrières et guerriers.

     

    Frédéric BERGER, ancien du 1er REP, rédacteur en chef de l'EDM
     
    "Si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi !
    ARVI

  • SAVOIE, VIE, MONTAGNE, SAVOIE INDEPENDANTE, FREDERIC BERGER

     

     

     

     

                           PAGE DE LA VIE

     

     

     

    Feuilletons ensemble, ski vous plait les pages de la vie.

     

    Cliquez sur le lien suivant, tout doux:

     

          Page de la vie.pps

     

    Arvi

     

     

     

  • CORSE, YVAN COLONNA, CEDH, STRASBOURG, NICOLAS SARKÖSY DE NAGY-BOCSA, CLAUDE ERIGNAC, CARGESE, PROTESTANT, FRANC-MACON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

     

    La cour européenne juge recevable la requête déposée par Yvan Colonna

     

     

    La cour européenne juge recevable  la requête - 28110674.jpg

    Ici photographié à l'endroit même où est tombé le préfet de Corse Claude Erignac (assassiné le 6 février 1998 à Ajaccio) lors du transport de justice pendant le procès de 2011, Yvan Colonna a toujours affirmé être innocent.Michel Luccioni

     
     
     
     

    La plus haute autorité en matière de justice a été sensible aux quatre griefs soulevés par Me Patrice Spinosi. La France a six mois pour justifier que le procès qui s’est tenu en 2011 était bien équitable.

     

    Yvan Colonna sera-t-il rejugé pour l'assassinat du préfet Erignac? La réponse à cette question sera donnée à Strasbourg par la cour européenne des droits de l'homme (CEDH) qui vient de juger recevable la requête déposée par son avocat, Me Patrice Spinosi.

     

    Condamné en appel lors d'un tonitruant troisième procès, par la cour d'assises spécialement composée de Paris à la réclusion criminelle à perpétuité, Colonna avait formulé un recours en janvier 2013.

     

    Celui-ci vient donc de passer le premier filtre, ce qui ouvre un nouveau chapitre judiciaire puisque la requête a été transmise au gouvernement français en début de semaine.

    « Moins de 5 % des recours présentés contre la France passent ce premier stade de la procédure », savoure Me Patrice Spinosi, avocat devant le conseil d'État qui voit dans cette recevabilité « la preuve du sérieux des arguments qui nécessitent une décision sur le fond motivée par des juges européens ».

     

    La balle est à présent dans le camp de la France qui doit répondre d'ici le mois de juillet par la voix du ministère des Affaires étrangères en se justifiant des dysfonctionnements soulevés par la défense d'Yvan Colonna. Quatre missiles juridiques avaient été lancés par Me Patrice Spinosi en ciblant des « atteintes aux règles du procès équitable ».

     

    Une lettre de menaces au cœur des débats

     

    Le premier grief n'est pas une nouveauté : il porte sur la nature des gardes à vue de certains membres du commando des anonymes et de leur épouse qui ont été effectuées en mai 1999 sans avocat.

    Or, depuis 2011, la France a dû se mettre en conformité avec le droit européen et rendre obligatoire la présence d'un défenseur auprès de son client dès la première heure de garde à vue.

    Me Spinosi pointe ensuite l'un des coups de théâtre du dernier procès en appel d'Yvan Colonna. Christian Lothion, avait déposé à la barre de la cour d'assises spéciale de Paris en sortant de sa casquette de directeur central de la police judiciaire, la photocopie d'une lettre de menaces rédigée en langue corse.

     

    Yvan Colonna l'aurait adressée en détention à l'un des membres du commando, Pierre Alessandri (qui s'était accusé par la suite d'avoir été celui qui a tiré trois balles dans le dos du préfet Claude Erignac, ce 6 février 1998 à Ajaccio).

     

    La cour avait versé aux débats la missive qui promettait la « guerre »à Alessandri si son épouse et lui ne le disculpaient pas à la barre. Colonna avait reconnu sa rage, mais niait avoir été la plume. Sa défense avait crié au faux. « On ne sait toujours pas si cette lettre est authentique ou non, mais elle a pesé sur l'issue du procès », assure Me Spinosi.

     

    Vers la commission de révision ?

     

    Mais la cour européenne a aussi retenu un contexte autour d'Yvan Colonna, l'homme le plus recherché de France qui avait été arrêté dans une bergerie d'Olmeto en juillet 2003. « Des atteintes à la présomption d'innocence ont été flagrantes de la part d'autorités publiques qui l'ont présenté comme l'assassin du préfet Erignac alors même qu'il n'était pas jugé », rappelle Me Spinosi, égrenant les noms des anciens ministres Jean-Pierre Chevènement, Nicolas Sarkozy, Michèle Alliot-Marie ou de l'ex maire de Bastia Émile Zuccarelli.

     

     Enfin, la défense de Colonna tape au cœur de la structure de la cour d'assises spécialement composée, héritière de la cour de sûreté de l'État.

    La règle de la majorité simple y suffit pour emporter une culpabilité, contrairement aux cours d'assises ordinaires, où elle doit être renforcée.

     

    « La France doit maintenant répondre et convaincre la CEDH », reprend l'avocat conscient que ce n'est qu'une première étape. Car au-delà de la réponse du ministère des Affaires étrangères, la défense disposera encore d'un délai de deux mois pour répliquer.

    Puis, la cinquième section de la cour européenne composée de sept magistrats pourrait audiencer l'affaire. « Cela serait possible pour le premier semestre 2017 », estime Me Spinosi.

     

    Tout reprendre à zéro

     

    À partir de là, deux scénarios sont envisageables : la validation du verdict épuiserait pratiquement tous les moyens de recours. Dans le cas contraire, si la France est condamnée, Yvan Colonna saisira la commission de révision et de réexamen qui peut ordonner la tenue d'un autre procès d'appel, le quatrième en tout pour Yvan Colonna dans le dossier Erignac.

     

    Si la CEDH démontre qu'il y a eu une méconnaissance des libertés fondamentales, tout repartirait à zéro et en droit, il serait présumé innocent.

     

    « Après tout ce temps écoulé, on a pu voir que des éléments de doute ont rendu friable la thèse de l'accusation; ce doute aurait dû lui profiter depuis le début », déclare Me Patrice Spinosi qui reprend cette fois son calendrier pour évaluer à 2018 la tenue d'une nouvelle audience devant la cour d'assises spéciale.

     

    Tous ces « si » vont-ils réécrire une histoire que la vérité judiciaire a inscrite dans le marbre d'une condamnation ? Cela constituerait aussi, pour la famille Erignac, une nouvelle épreuve.

     

    source:CORSE MATIN

     

    Notes de la rédaction de l'Echo des Montagnes:

     

     L’Écho des Montagnes a non seulement toujours défendu Yvan Colonna, innocent , mais a aussi donné le portrait et le nom de l'assassin du préfet Erignac. Qu'on se le dise!

     

    Et les 50 premières pages des cahiers du préfet Erignac, où sont-elles?

     

    Yvan Colonna a été l'entraineur de Pierre et Jean SARKÖSY de Nagy-Bocsa à Cargèse!

    Car Nicolas SARKÖSY de Nagybocsa était marié à une Corse, Marie-Dominique Culioli, qui était la tante d'Yvan Colonna et la maman de Pierre et Jean!

     

     C'est pourquoi les notes sur Nicolas Sarkösy de Nagy-Bocsa parent avec Yvan Colonna, ce qui est troublant, surtout que le Nicolas a déclaré publiquement " on a arrêté l'assassin du préfet Erignac, c'est à dire Yvan Colonna", violant ainsi la présomption d'innocence!

     

    N'oublions pas Jacques Martin, ami de Nicolas Sarkösy de Nagy-Bocsa, qui lui a piqué sa femme Cécilia (voir photographie ci-dessous), a eu un accident bizarre à la COLUCHE, avec un camion dont les freins avaient lâchés et il en est mort!

     

    Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa est le fils de Pál Sarközy de Nagy-Bocsa immigré hongrois, et d'Andrée Mallah. La mère d’Andrée, Adèle Bouvier, est française, née à Lyon (Rhône-Alpes) ; son père, Bénédict Malah, est un juif séfarade de Thessalonique (Empire ottoman).

     

    Nicolas Sarkozy s'est marié trois fois et il est père de quatre enfants : Pierre (1985) et Jean (1986), nés de son mariage avec Marie-Dominique Culioli (mariés en 1982, divorcés en 1996).

     

      Tous les journaux ont écrit sur son père Pal et ses origines hongroises. Rares sont ceux qui se penchent comme l’Écho des Montagnes,  sur la vraie famille de Sarkozy, les Mallah. Nous allons donc vous présenter la famille juive sépharade de Mme Andrée Mallah, mère de Nicolas Sarkozy.

     

    Car Nicolas Sarkozy va grandir dans la famille de sa mère. Le jeune Nicolas n’a que 4 ans lorsque son père Pal Sárközy de Nagybocsa quitte le domicile conjugal et divorce de Mme Andrée Mallah. Pour les 3 garçons Guillaume, François et Nicolas, la figure paternelle devient Bénédict Mallah, le père d’Andrée Mallah.

     

    Bénédict Mallah, né Aaron “Beniko” Mallah, est un megorashim, c’est-à-dire un descendant des juifs sépharades expulsés d’Espagne en 1492 par le Roi Ferdinand, à l’instar du sénateur UMP Roger Karoutchi, un des proches de Nicolas Sarkozy. Le grand-père Bénédict Mallah est un « Juif de Grèce », né à Salonique en 1890. Il appartient à la famille Mallah (« Messager » ou « ange » en hébreu) qui s’installe au 16ème siècle dans le Sud de la France avant de s’installer à Salonique, 2ème ville de Grèce, au 17ème siècle.

    Salonique est une communauté juive installée dès le 1er siècle, et St Paul de Tarse prêcha dans la synagogue de la ville sur son chemin vers Rome. St Paul y écrivit ses célèbres 2 Epîtres aux Thessaloniciens. Salonique est devenu le centre du mouvement messianique juif des Sabbatéens, déclenché par Sabbataï Tsevi, du 17ème siècle jusqu’au début du 20ème siècle. A cette époque, la communauté juive représente plus de la moitié de la population de Salonique (on y parle le ladino) jusqu’au grand incendie de 1917 qui détruisit la ville et ruina ses habitants, forcés à l’exile.

    Bénédict Mallah est l’aîné de 7 enfants. A la mort de son père en 1913, sa mère part avec tous ses enfants en France où le jeune Bénédict devient médecin et sert en tant que docteur au sein de l’armée française durant la Première guerre Mondiale. C’est pendant la Grande Guerre qu’il rencontre sa femme, Adèle Bouvier, une jolie infirmière catholique avec qui il aura 2 filles : Suzanne et Andrée Mallah, la mère de Nicolas Sarkozy. Bénédict Mallah s’installe ensuite à Paris 17ème en tant que médecin urologue.

    Lors d’un voyage à Salonique en 2006, la communauté juive de la ville a remis à Nicolas Sarkozy l’arbre généalogique de la famille Mallah. On y retrouve le père de Bénédict, joaillier, son oncle Moshé, rabbin et éditeur du journal grec El Avenir. On trouve également deux cousins Asher Mallah, sénateur grec qui en 1912 participa à établir l’université du Technion à Haïfa en Israël, et Peppo Mallah, également sénateur grec appelé à devenir le premier représentant diplomatique d’Israël en Grèce.

    Durant la Seconde Guerre Mondiale, la plupart de la famille Mallah de Salonique périt dans l’Holocauste (les nazis ayant tué 96% des Juifs de Grèce). Les survivants sont établis en France, en Angleterre, en Israël et en Suisse. En France, la famille Mallah se cache en Corrèze pour échapper aux rafles.

    Après la naissance des 3 frères Sarkozy et le départ de Pal en 1959 lorsque Nicolas a 4 ans, Mme Andrée Mallah reprend ses études d’avocat et élève ses fils avec l’aide du grand-père Bénédict. Nicolas est le plus proche de Bénédict Mallah qu’il considère dans un récit biographique comme son père. Bénédict transmet à son petit-fils sa passion pour la France et pour De Gaulle. En 1972, lors du décès de Bénédict Mallah, Nicolas Sarkozy a 17 ans et c’est la déchirure, une profonde tristesse. L’idéal judéo-grec n’est plus auprès de lui mais aura su laisser des traces profondes dans ses valeurs. La famille quitte Paris pour s’installer à Neuilly sur Seine, où habite Pal, et dont Nicolas deviendra à l’âge de 28 le plus jeune maire. La suite appartient à l’Histoire.

    Nicolas Sarkozy a effectué plusieurs visites en Israël. Il entretient des liens amicaux avec plusieurs personnalités dont Benjamin Netanyahu, ancien Ministre israélien et favori des prochaines élections en Israël. Sa position par rapport à Israël était déjà résumé dans son « Discours d’Herzliya » prononcé en décembre 2004 dans la capitale de la high-tech israélienne (vous pouvez retrouver le texte ici ).

     

    Nicolas Sarkozy rappelle dans ce discours tout ce qui rapproche nos 2 pays, la francophonie forte de 500,000 personnes en Israël et la coopération intense avec des compagnies comme BNP-Paribas, Calyon, CIC, Dexia, Rothschild ou Teva.

     

               Cliquez sur la photographie:

     

     

    Frédéric Berger

  • ZIAD MEDOUKH, GAZA, OLIVIER, OLIVE, NUSSIRAT, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Le département de français participe à la cueillette des olives à Gaza

     

    par ZIAD MEDOUKH

     

    Le lundi 26 octobre 2015, un groupe d’étudiants du département de français de l’université Al-Aqsa de Gaza , accompagné du directeur du département Monsieur Ziad Medoukh, s’est rendu dans la ville de Nussirat au Centre de la bande de Gaza afin de participer avec les familles à la saison de la récolte des olives.

    La récolte des olives s’est déroulée chez la famille Abou Srar, qui habite au camps de Nussirat.

    Cette famille a été très heureuse de voir des jeunes étudiants cueillir les olives chez elle.

    Malgré la situation explosive dans les territoires palestiniens occupés et malgré la poursuite des affrontements entre jeunes palestiniens et soldats israéliens dans la bande de Gaza, l’équipe du département a insisté pour participer à la saison de la récoltes des olives.

    Ziad Medoukh, a confirmé que la participation de ses étudiants à cette cueillette montre l’ouverture du département sur la société civile dans la bande de Gaza, ainsi que la participation des étudiants aux différentes activités et occasions dans les familles et dans la société.

    Il a ajouté que ces étudiants ,par cette participation sociale, montrent leur attachement à leur terre et à leurs racines. Et que la récolte des olives en Palestine est un signe de résistance, de vie et d’espoir pour l’avenir.

    Les étudiants participant à cette cueillette ont remercié la famille Abou Srar pour leur accueil et le département de français pour cette initiative.

     

    REPORTAGE PHOTOGRAPHIQUE DE ZIAD.

     

    Cliquez sur les photographies, superbe, bravo ZIAD!