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LIBERTE D'EXPRESSION, FRANCOIS HOLLANDE, DENT, CHARLIE HEBDO, CHARLIE, GILBERT COLLARD, SAVOIE, FRANCE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

 

               LIBERTÉ D'EXPRESSION

                                             OU

 

               LIBERTÉ D'EXPRES-SION ?

 

 

L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, se pose cette question,

après la déclaration de François Hollande, prési-DENT de la Ripoux-blique dite française.

 

Preuve:

 

      « JE SUIS CHARLIE » ne se sentent-ils pas « cocu, battu, fou et croyez-moi très mécontent. » (comme le dirait Gilbert Collard) car pour Hollande, la liberté d’expression c’est du passé ! 

 

Le capitaine de pédalo dans sa conférence de presse nous le dit sans aucune vergogne : « La France a été attaquée dans ce qu’elle avait de plus sacrée : LA LIBERTE D’EXPRESSION » !

 

D’après vous, pourquoi n’a-t-il pas dit ce qu’elle a ?

 

       

Preuve par document

 

  source:
  http://artemisia-college.info/

 
Et rappel, le dossier sur “l’Opération Charlie” à faire tourner (mise à jour du 9 février) :
 
 

"Bonjour à tous !

 

Chacun a son opinion, chacun a le droit d’avoir SON avis sur un fait, et d’en penser ce qu’il veut...

Ce préalable semble évident (si l’on fait abstraction du fait que penser n’est pas vraiment conseillé, et qu’il est impossible, voir interdit d’exprimer sa pensée librement... lire ci-dessous...).

Mais lorsque nos interlocuteurs appliquent cela à des faits établis, dûment démontrés, c'est tout de même limite... non ?

Ainsi, si nous pensons que l’eau mouille et que le feu brûle, certes, c’est NOTRE opinion, et les “charlies” ont le droit d’en avoir une autre... Mais alors, là, c’est connerie “No limit”...
Et que dire lorsque le 7 janvier, la voiture tourne à gauche, preuve vidéo à l’appui, et que les truands (journalistes, officiels...) la font tourner à droite pour coller à leur version mensongère : http://www.artemisia-college.info/pieces-a-telecharger.html
C’est le droit d’avoir son opinion qui permet de refuser la réalité, de mentir et de tromper honteusement ?
 

 

Par ailleurs, sachez que le pékin lambda ne comprend pas le second degré, il faut en tenir compte. Pire, avec l’Opération Charlie et singulièrement la marche du 11 janvier, il ne comprend pas non plus le premier degré ! Sinon, comment expliquer qu’il obéisse à une convocation à défiler POUR la liberté d’expression, avec les plus grands criminels de guerre, représentants des gouvern&ments où il n’y a pas de liberté (d’expression comprise) ? Allez lui faire comprendre que lorsque les Zillusionistes veulent s’attaquer (encore plus) à la liberté d’expression, ils organisent précisément une grand’messe POUR la liberté d’expression ! Après, le matraquage arrive et les gogos-naïfs, cocufiés, roulés dans la farine et pris pour des cons (en les faisant défiler avec “Je suis Charlie/simple d’esprit” sur la poitrine !!!), mougeons, idiots utiles, dits ici “charlies” (définition du mot charlie : simple d’esprit qui croit n’importe quoi), ne comprennent pas ce qui leur arrive. Non, pour le pékin lambda, c’est le degré zéro de la compréhension !

 

Et comment pourraient-ils comprendre que c’est l’union sacrée pour lutter contre les théories du complot”, c’est-à-dire pour lutter contre celles et ceux qui mettent en doute les versions officielles ? L’opération “Je suis Charlie” est claire : il faut une pensée unique, celle communiquée et autorisée par les autorités. Toute remise en cause relavant dès lors du terrorisme et du négationnisme. En d’autres termes, une loi doit pouvoir mettre un frein à ces dérives qui mettent en péril la république elle-même (comprendre “le pouvoir de ces enfoirés”).

L’article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme ne sert à rien car en France la liberté d'expression est ENCADRÉE par la LOI.

 

Et ils en veulent encore plus… enfin… MOINS (de libertés) !
Article 19 (qui a déjà été sérieusement écorné par la loi Gayssot-Fabius, laquelle a ouvert la voie à une extension/généralisation...) :
« Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »
Quant à l’article 12, lui il est déjà passé à la trappe :
« Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. »

Il faut juste qu’ils s’inspirent de la loi Gayssot-Fabius (interdisant notamment de discuter de l’histoire de la Shoah), loi votée en catastrophe (seul moyen pour endiguer les objections des personnes ayant sérieusement étudié l’affaire). La version officielle pouvant s’effondrer faute de crédibilité sur des points techniquement incompatibles. C’est donc la discussion qu’il fallait interdire. C’est pratique, depuis il n’y a même plus à penser, puisque le prêt-à-penser est servi et imposé comme “vérité historique” indiscutable.

Pour mémoire, voici précisément ce que certains en pensaient :

- Jacques Toubon : « Je suis contre le délit de révisionnisme, parce que je suis pour le droit et pour l’histoire, et que le délit de révisionnisme fait reculer le droit et affaiblit l’histoire » (AN, 3e séance du 21 juin 1991).

 

- L’historien Claude Liauzu : « Nous ne sommes pas pour la loi Gayssot en tant qu’historiens, loin de là. Il est dangereux d’empêcher la liberté de la recherche et il est préférable d’affronter les négationnistes dans un combat d’idées » (chat Nouvel Obs, 22 septembre 2005).

Alors, ils n’ont plus qu’à appliquer cette recette magique, façon “loi Gayssot-Fabius” complétée “Valls”, au “11 septembre 2001” et jusqu’à “l’Opération Charlie”, et plus généralement à tous les communiqués du gouverne-ment et de l’OTAN. Circulez, y a rien à discuter... penser n’est pas autorisé !

 

Au moins, les choses seront claires et simples, plus besoin de penser... Ne manquera plus qu’une petite pilule du bonheur en prime, et la vie sera belle !

Une certaine idée de la “liberté d’expression”, adaptée pour “charlies” (cocus et contents de l’être) !

Bon, tout cela pourrait faire figure d’enfantillages (même si c’est très grave), si l’objectif n’était pas de préparer le terrain à une guerre mondiale (sachant que, selon leur méthode qui consiste à inverser, ils font semblant de tout faire pour l’éviter)...

 

 

 

 

 

Bonne lecture..."

 

Frédéric BERGERPenser
n'esr pas autorisé

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