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BERNARD TAPIE, CHRISTINE LAGARDE, ADIDAS, CREDIT LYONNAIS, CDR, XPF, DOMINIQUE STRAUSS-KAHN, RENE HOFFER, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                                                                                 TAPIE PREND (LA)GARDE A TOI

 

Bernard TAPIE, vous connaissez?

Ministre de la Ville (1992-1993)

Lorsque François Mitterrand décide en avril 1992 de remplacer son Premier ministre, Édith Cresson, par Pierre Bérégovoy, il impose à ce dernier la présence de Bernard Tapie au sein du gouvernement. Le président demande toutefois à Bernard Tapie de se retirer totalement des affaires. François Mitterrand considérant incompatibles la position de ministre et celle d’homme d’affaires de haut niveau. Appelé par Pierre Bérégovoy, Bernard Tapie se dit « fou de joie »14, accepte de quitter les affaires, mais demande en contrepartie que soit créé un ministère sur mesure : le ministère de la Ville, chargé de s’occuper des problèmes des quartiers difficiles. Il cède son poste de député à son suppléant Jean-Claude Chermann, codécouvreur du virus du Sida.

Christine LAGARDE, vous connaissez?

Vous croyez les connaitre, alors l’Écho des Montagnes va vous révéler une bouillabaisse , plus que marseillaise, peuchère.

De quoi s'agit-il?

Bernard Tapie estime que le Crédit lyonnais l'a berné en effectuant ce montage opaque, qui a permis à la banque de violer son obligation de loyauté et son obligation de neutralité lors de la vente, et ainsi d'empocher les près de 400 millions d'euros qui auraient dû lui revenir. Mais il ne peut pas attaquer le Crédit lyonnais car du fait de sa mise en liquidation par la banque, il n'est plus le propriétaire de BT Finance, la société qui possédait Adidas, qui est la société lésée dans l'opération, et dont les titres appartiennent désormais en quasi totalité au Crédit lyonnais (qui ne va donc évidemment pas porter plainte contre lui-même). Ce n'est donc pas Bernard Tapie mais le mandataire liquidateur de Bernard Tapie Finance et ses petits porteurs (les particuliers qui avaient conservé des actions BT Finance achetées en Bourse des années auparavant, financés par Bernard Tapie 25) qui vont entamer les procédures judiciaires qui vont durer quinze ans.

Bernard Tapie obtient de pouvoir se joindre à la plainte, et après plusieurs jugements favorables obtient le 11 juillet 2008, par la décision d'un tribunal arbitral, la somme de 403 millions d'euros (243 millions d'euros de dommages, 115 millions d'euros d'intérêts, et 45 millions d'euros de préjudice moral). Les conditions de recours à cette sentence arbitrale ont été très controversées au niveau politique et ont fait l'objet de plusieurs recours en annulation devant les juridictions administratives. Tous ces recours devant les juridictions administratives ont été rejetés.

Par ailleurs, une instruction de la Cour de justice de la République, compétente pour juger les ministres, a été lancée à l'encontre de Christine Lagarde pour établir si elle avait commis d'éventuelles infractions pénales. Celle-ci est auditionnée pendant vingt-quatre heures les 23 et 24 mai 2013, et placée sous le statut de témoin assisté le 24 mai 2013.

Dans un autre volet pénal non ministériel de cette affaire, Pierre Estoup, l'un des trois juges du tribunal arbitral est mis en examen pour « escroquerie en bande organisée ». L'avocat de Bernard Tapie, Maître Lantourne, et Bernard Tapie lui-même sont mis en examen le 28 juin 2013 pour le même chef d'accusation. Des lettres saisies dans le cadre de l'instruction  démontrent que Messieurs Estoup et Lantourne avaient partie liée bien avant la décision de nommer un tribunal d'arbitrage.

Fin mai 2013, Pierre Moscovici, ministre de l'Économie et des Finances du gouvernement Ayrault, affirme qu'il envisage la révision de l'arbitrage de 2008. De fait, l'État se constitue partie civile le 10 juin 2013 et le CDR dépose un recours en révision de l'arbitrage le 27 juin 2013.

SITUATION DU MARCHAND DE TAPIE à ce JOUR, le 5 octobre 2013:

L'état français maçonnique réclame 405 millions à TAPIE. Cet état talmudique a assigné l'homme d'affaires en responsabilité civile pour faute, contractuelle et délictuelle, devant le tribunal de grande instance de Paris.

Ainsi que son avocat Me MAURICE LETOURNE, et l'un des arbitres PIERRE ESTOUP.

Cette action  au civil concerne l'ensemble du processus arbitral ayant accordé, en juillet 2008, 405 millions d'euros à BERNARD TAPIE,(243 millions d'euros de dommages, 115 millions d'euros d'intérêts, et 45 millions d'euros de préjudice moral), suite à son conflit avec le crédit pas lyonnais maçonnique  à propos de la vente d'Adidas!

SENTENCE ARBITRAGE:

 

La vérité toute nue mise sur le TAPIE avec la nageuse de combat CRICRI LAGARDE:

Là il va y avoir du sport, accrochez-vous à vos spatules, ski vous plait.

On vous parle dans les pressestituées merdias sionistes de 405 millions, mais où ont-ils trouvé ces chiffres?

Car la vérité est autre, lisons la sentence arbitrage correctement, bien sur et vous verrez que les chiffres de la sentence sont loin du compte des 405 millions.

Cliquez sur ce lien (mise en garde, il existe que 5 exemplaires de cette sentence arbitrage, plus maintenant, merci l'Echo des Montagnes):

sentence_arbitrale_7_juillet_2008

Alors pourquoi cette différence d'à peu près 75 millions d'euros? Où est passé cette somme?

C'est bien CHRISTINE LAGARDE, qui avait la garde du coffre faible de BERCY qui a décaissé en tant que ministre responsable les 405 millions.

Dans quelle poche de NICOLAS SARKÖSY DE NAGY-BOCSA ont atterri cette somme de 75 millions ou du moins une partie, venue par la voie des airs en tapis volant, en survolant la "Polynésie Française"

du président RENE HOFFER, qui se bat contre le blanchiment ou noirciment des "XPF", inventé par DOMINIQUE STRAUSS-KAHN et repris par CHRISTINE LAGARDE?

Conclusion:

Les 75 millions d'euros en surplus représentent-ils une rétro-commission pour service "haut cul-te sionisto- jésuisto-talmudique" entre frères du GRAND ORIENT DE FRANCE, comme pour KARACHI  et les frégates de TAÏWAN?

Frédéric BERGER

 

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