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ECHO DES MONTAGNES - Page 53

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    la future combattante montagnarde savoisienne.jpg

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  • SAVOIE, MONUMENTS AUX MORTS, AFRIQUE, ALGÉRIE, MAROC, TUNISIE, RICHARD WAGNER, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER


            MONUMENTS AUX HEROS

    par Frédéric Hartmut Berger von Götz von Berlischingen

    Emmanuel Macron, président de la République Française, n'est pas allé honorer nos Morts en Héros en Afrique.
    Evidemment, là-bas, il n'y a plus personne pour voter pour Jupiter.

    C'est pour le Président de Savoie Indépendante répare cet oubli en vous publiant cette vidéo maison, faite à partir de souvenirs personnels.

    Notes:

    Pour moi, le monument le plus monumental est celui de Constantine.
    La division marocaine était composée d'Algériens et de Tunisiens, mais pas de Marocains!


    Cliquez sur: https://vimeo.com/300064835

    ou

    les monuments aux Héros from echo des montagnes on Vimeo.

  • SENEGAL, TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS JOSE CASTANO, DE GAULLE, COLONEL DE GAULLE, LEOPOLD SEDAR SENGHOR, CAMP DE THIAROYE, CAP VERT, DAKAR, TOULON, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                       COMMEMORATIONS
                                     OU
             MASSACRES DES TIRAILLEURS SÉNÉGALAIS                                          FRANCAIS



    L'Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, à l'heure où le président français, Emmanuel Macron, recherche des voix électorales sur les tombes des poilus de 14-18,
    lance ce cri, en tant que "toubab":




    1er décembre 1944
    Le massacre des tirailleurs sénégalais par l’armée française gaulliste
     
    « Prisonniers noirs je dis bien prisonniers français, est-ce donc vrai que la France n'est plus la France? [...] Sang ô sang noir de mes frères, [...] vous êtes la souffrance qui enroue ma voix » (Léopold Sédar Senghor)
     
    Au pouvoir à Paris depuis août 1944, le Gouvernement Provisoire de la République Française, le G.P.R.F., est dirigé par Charles de Gaulle. A ce titre, il est reconnu par les puissances Alliées (Royaume-Uni, Etats-Unis, U.R.S.S) en octobre 1944. Dès lors, la remise en question des troupes africaines dans le scénario politique de la Libération devient son obsession…
     
    L’historien Canadien, M. Echenberg précise que « pour de Gaulle et les gaullistes, la participation africaine aux opérations militaires de la Libération constituait une source d'embarras. Si les sujets de l'empire étaient aussi sans contredit des enfants de la France, il semblait exagéré de leur attribuer un rôle actif dans la libération de la mère patrie. »
     
    Fin novembre 1944, des prisonniers de guerre africains rescapés des mobilisations et des combats de 1939-1940 (campagne de France) et 1942-1944 (campagne d’Afrique et débarquement en Provence) sont rapatriés en AOF. Les 1280 premiers « tirailleurs sénégalais » originaires des territoires d’AOF sont internés au camp de Thiaroye, ville du Sénégal située dans la banlieue de Dakar, au sud de la presqu’île du Cap-Vert, entre Pikine et Rufisque.
     
    L’objectif est de les démobiliser dans le contexte général du « blanchiment » de la nouvelle armée française commandée par le général de Gaulle. Ces prisonniers –soldats des troupes coloniales- étaient détenus en France dans des frontstalags, camps de prisonniers de l’Armée allemande qui regroupait essentiellement les soldats des troupes coloniales par peur de maladies tropicales ou d'atteinte à la « pureté du sang aryen ». Les dirigeants de l'Allemagne nazie ne voulant en aucun cas de la présence d'« hommes de couleur » sur le sol allemand.
     
    La victoire pratiquement acquise, ces « coloniaux » n’avaient désormais plus, pour le gouvernement gaulliste, de raison d’exister. L’ère du « blanchiment » primait sur toute autre considération…
     
    Ces soldats africains qui avaient largement contribué aux opérations de libération de l'île d'Elbe, puis au débarquement de Provence (15 août 1944) et à la libération de Toulon (23 août 1944) puis de la vallée du Rhône, qui combattaient dans le nord-est de la France à l'automne, furent en quelques jours remplacés par des jeunes Français… qui n’avaient jamais combattu. L'argument officiel fut le risque du froid hivernal, mais il n'était que de pure forme.
     
    Selon M. Echenberg les motifs politiques de de Gaulle sont les suivants : « associée au succès des Alliés qui avaient libéré la France de la honte et de l'humiliation, la jeunesse française pourrait humer, ne serait-ce que de loin, le parfum de la victoire. » L'épreuve du « blanchiment » fut très rude pour les soldats africains, qui étaient au nombre d'environ 20 000 : « relevés de leurs positions sur les lignes de front et sans aucune forme de procès, on leur retira leurs armes et jusqu'aux uniformes qu'ils portaient et on les renvoya dans le sud, où ils passeraient la saison froide en attente des navires qui les ramèneraient en Afrique. »
     
    Les tirailleurs africains libérés devaient toucher leur solde avant leur démobilisation : celle-ci se composait des arriérés de solde depuis leur mobilisation, leur prime de démobilisation et leurs économies de la période du frontstalag. La nouvelle administration mise en place par De Gaulle après la chute du régime de Vichy, refusa de leur verser cet argent à l’embarquement et leur promit de régulariser la situation en Afrique.
     
               A leur arrivée en AOF, cette administration procéda, le 28 novembre 1944, à des conversions arbitraires de francs métropolitains en francs CFA des montants de démobilisation. Un groupe de tirailleurs, qui devaient regagner Bamako et le Soudan français, refusèrent de prendre la route. Le 30 novembre 1944 Le général Dagnan vint à leur rencontre au camp de Thiaroye. Pris à partie, l’affaire vira - selon la hiérarchie militaire- à l’émeute… ce qui décida le général Dagnan, en accord avec son supérieur, le général de Boisboissel, commandant des troupes à Dakar, de recourir à la force, le 1er décembre 1944.
                Ce jour là, les tirailleurs sans défense furent rassemblés sur l'esplanade du camp de Thiaroye. En face d’eux, cernant l’enceinte, sous les ordres du lieutenant-colonel Le Berre, 1100 tirailleurs du service d'ordre, acheminés depuis Saint-Louis, 120 soldats et officiers français. Les unités engagées dans l'opération étaient le 1er R.T.S, le 7ème R.T.S, le 6ème R.A.C. et la gendarmerie, le tout appuyé par trois automitrailleuses, deux half-tracks (autochenilles blindées) et un char américain. A 9h30, le feu fut commandé… et ce fut l'hécatombe.
     
    Le bilan officiel (minimisé selon de nombreuses sources) dressé au lendemain des événements fit état de 70 morts (24 morts le jour de l’assaut et 46 blessés qui décédèrent finalement à l’hôpital). Par ailleurs, 34 tirailleurs considérés comme « meneurs », furent condamnés en mars 1945 par un tribunal militaire  à des peines de un à dix ans de prison. Ils seront graciés en 1947 mais jamais réhabilités depuis.
     
    Sur le massacre des tirailleurs sénégalais par l’armée française gaulliste, à  Thiaroye -un des événements les plus sanglants de l'histoire de l'Afrique de l'ouest dans les années 1940-1960- l’Histoire officielle retiendra que ces soldats tombés sous les balles françaises, ne sont pas « morts pour la France ».
     
     
    14 ans plus tard, alors que le général de Gaulle s’apprêtait à visiter Dakar au cours de son voyage de propagande en vue du referendum constitutionnel du 28 septembre 1958, le Comité de Défense des Libertés Démocratiques, sous la conduite du Parti Africain de l’Indépendance, organisa le 17 août 1958 un pèlerinage à Thiaroye, pour « honorer la mémoire des soldats noirs massacrés en 1944 par le général de Gaulle ». Au retour, les « pèlerins » se heurtèrent aux forces de l’ordre. L’échauffourée dura plusieurs heures et fit de nombreux blessés.
     
    En août 2004, la journée du 23 août fut déclarée Journée du tirailleur sénégalais  par le Sénégal, qui invita les autres États d’Afrique d’où étaient originaires les tirailleurs. Le massacre de Thiaroye y est désormais commémoré.
    Le choix de la date du «  23 août  » n’est pas anodin. Il correspond, en effet, au 23 août 1944, qui marque la libération de la ville de Toulon par le 6èmeRégiment de Tirailleurs Sénégalais et symbolise aux yeux de l’ex Président de la République Abdoulaye Wade (1er avril 2000 au 2 avril 2012), « la participation de l’Afrique à la libération de la France et à la lutte des forces alliées contre le nazisme  ».
     
    « Répression d'une mutinerie » : Ce fut la thèse officielle de l’État français de 1944 à 2014, année où ce massacre fut officiellement reconnu par la France. On a également invoqué « la peur de la classe dirigeante française de voir les tirailleurs sénégalais porter, plus tard, des revendications politiques plus massives pour l'indépendance, en s'alliant avec la population locale ». Cela n’a pas empêché le Sénégal d’accéder à son indépendance, le 4 avril 1960.
     
    … Ne faudrait-il pas voir également dans ce massacre le contrecoup de la défaite anglo-gaulliste à Dakar, le 23 septembre 1940, face à l’armée coloniale française loyale au régime de Vichy ? C’est envisageable. De Gaulle avait la réputation d’être un homme orgueilleux, cinglant et rancunier. Il le démontra de nouveau, 17 ans plus tard, en retournant les armes françaises contre les Français d’Algérie… ceux-là mêmes qui l’avaient ramené au Pouvoir en 1958 mais à qui il refusait de pardonner leur trop grande fidélité au Maréchal. « Tous Pétainistes ! » clamait-il.
     
    José CASTANO
    Notes de la rédaction:

    RAOUL SALAN a commandé le 6ème régiment de tirailleurs :
    Sénégalais:
    « Unité ardente et manœuvrière qui, sous les ordres du colonel Salan, chef d'une haute intelligence tactique, d'un sang froid et d'un courage remarquables, a, dès son débarquement en France, du 20 au 21 août 1944, en six jours de combat ininterrompus et d'une violence sans cesse accrue, vaincu la défense nord-est de Toulon, rejetant l'ennemi de Solliès-VilleSolliès-PontLa FarlèdeLa Valette, le poursuivant jusque dans la place et lui imposant au sixième jour la reddition du fort d'Artigues, dont la chute marqua un moment décisif dans l'enlèvement de la place forte"

    et

    Le massacre des 43 tirailleurs sénégalais à Clamecy désigne un épisode de la Seconde Guerre mondiale survenu en 1940 à Clamecy en France.
    Entre le 18 et le 21 juin 1940, quarante-quatre soldats des troupes coloniales françaises, prisonniers de guerre, sont assassinés  pour la seule raison de leur couleur de peau.

     
    La liste des victimes, sur le Monument aux 43 tirailleurs sénégalais.
    Parmi les trente-deux tirailleurs identifiés, on dénombre :
     

    Maintenant, recueillez vous, ski vous plaît, en cliquant sur:  
    https://youtu.be/Sx1Gwlo0OWk

    et sur

    https://youtu.be/DaOXnuRVj8A

    re-notes de la rédaction:

    Votre rédacteur en chef préféré a été marié à une sénégalaise de Dakar   qui était amie de Ségolène ROYALE, même école à Jeanne d'ARC à Dakar) et a servi dans les troupes coloniales en Afrique pendant 15 années, sans revenir en France, en qualité de marsouin, puis  de sous-officier parachutiste.

    Frédéric Hartmut Berger von Götz von Berlischingen

  • SAVOIE, RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE, NOUVELLE-CALEDONIE , RÉFÉRENDUM, SAVOIE INDEPENDANTE, KANAK, CANAQUE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                    ESCROQUERIES à la FRANÇAISE


    Par Frédéric Hartmut Berger von Götz von berlischingen
    Mosaïque de la cathédrale de CIMABUE, notez au centre la Croix de Savoie dans son écusson:cliquez tout doux dessus:
     

     


    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer vous propose
    de faire connaissance avec 2 escroquerie à la française, typiquement francs-maçonniques.

    La première escroquerie consiste aux mensonges du réchauffement climatique, dû au gaz carbonique.
    Cette escroquerie a rapporté plus de 3 000 milliards d'euro aux escrocs planqués au GIEC= Groupe d'Experts intergouvernemental sur l'évolution du climat de l'ONU.

    La deuxième escroquerie consiste au référendum de la Nouvelle-Calédonie.

    Ski vous plaît, cliquez sans obligation sur la vidéo maison:
    https://vimeo.com/299045820

    ou

    réchauffement et nouvelle calédonie from echo des montagnes on Vimeo.

    Entendez " Ce monde n'a pas été inventé par nous" (Chœur Monastère Sretensky)

  • SAVOIE, ECOLOGIE, FRANC-MACON, NATURE, DIEU, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

                  LES ÉCOLOS
                             ET
            LES ANIMAUX= VRAIS ÉCOLOS

    L'Echo des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, constate que les vrais écolos sont la Nature, création de Dieu et non les Hommes et encore moins les partis poulitics francs-maçonniques, censés représentés la Nature et sa protec--sion.

    Regardez, si vous le voulez bien, et cela sous votre propre et seule responsabilité, les vrais écolos.

    A l'avenir votez pour Savoie Indépandante qui protège la Nature, création de Dieu.

    Les écolos ne peuvent pas défendre la nature, car ils sont contre Dieu et ses créations divines, vu qu'ils sont francs-maçons et sataniques.
    Donc n'attendez rien des partis poulitics et des pourriticiens écolos

    Dans la constitution de la Savoie Indépendante, l'écologie fait parti intégrante des missions du chancelier de la "protection de la population et de la nature", dont le chef est Jean-Pierre Révol, entre autre aussi apiculteur qui fait un miel excellent.

    Cliquez alors sur: https://vimeo.com/298766611

    Frédéric Hartmut Berger von Götz von Berlischingen