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ECHO DES MONTAGNES - Page 114

  • ALLEMAGNE, SUDÈTES, PIERRE BROULAND, ACCORDS DE MUNICH, BOHÊME, MORAVIE, Beneš, TCHÉCOSLOVAQUIE, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER

    Un drame humanitaire ignoré : l’expulsion des Allemands des Sudètes.




    « Des milliers d’Allemands furent expulsés de leur domicile,
    emprisonnés dans des camps de fortune,
    envoyés à pied vers l’Allemagne ou l’Autriche,
    victimes de nombreuses exactions et massacrés par centaines.
    Loin d’être spontanées,
    ces violences étaient voulues et planifiées
    par le gouvernement tchécoslovaque
    »
    Entretien avec Pierre Brouland, auteur de Les Allemands des Sudètes (éditions Dualpha)
    (propos recueillis par Fabrice Dutilleul), publiés sur le site de la réinformation européenne Eurolibertés.
    Qui étaient les Allemands des Sudètes ?
    Pour les Français, les Allemands des Sudètes ne sont connus en général qu’à travers l’épisode des accords de Munich. Nos compatriotes ignorent en général tout de leur histoire et de leur destin. Le terme « Allemands des Sudètes » est lui-même assez récent. Il apparaît au début du XXe siècle pour désigner la minorité germanophone vivant en Bohême et en Moravie. La présence des Allemands dans les Pays tchèques est ancienne, et remonte au Haut Moyen Âge même si elle se développe surtout après les années 1150. Les rois de la dynastie des Prémyslides firent appel à des colons allemands pour mettre en valeur leur royaume. De la fin du XIIIe siècle jusqu’en 1945, les germanophones représentèrent environ un tiers de la population de Bohême et de Moravie. Les relations entre Tchèques et Allemands furent longtemps pacifiques. Nulle part en Europe, la rencontre entre les cultures slave et germanique n’apparut aussi féconde. Les relations entre les deux communautés commencèrent à se dégrader à partir de la fin du XVIIIe siècle. Le renouveau de la langue tchèque durant les années 1780 se traduisit par l’affirmation du caractère slave des Pays de la couronne de Saint Venceslas, ce que les germanophones refusèrent car pour eux l’identité allemande de ces territoires constituait une donnée allant de soi. Les relations entre les deux communautés prirent une tournure de plus en plus conflictuelle à partir des années 1870. Se voyant comme une minorité menacée, les germanophones développèrent dès cette époque un discours séparatiste en réclamant la division Bohême en districts germanophones, « tchécophones » et mixtes. La création de la Tchécoslovaquie en 1918 fut très mal vécue par les germanophones qui ne trouvèrent jamais leur place dans le nouvel État. C’est pourquoi ils soutinrent massivement le parti de Henlein à partir de 1935. Si Henlein au départ était plutôt un autonomiste, il se « nazifia » durant l’année 1937 et finit par réclamer le rattachement des régions habitées par les germanophones au Reich, ce qui aboutit aux accords de Munich.
    Comment germa l’idée d’expulser la minorité germanophone ?
    Pour les Tchèques, les Allemands des Sudètes s’étaient comportés comme une cinquième colonne. Dès 1937-1938, des plans visant à les expulser furent élaborés. Néanmoins, c’est seulement lorsque la guerre éclata et que Beneš à partir de juillet 1940 prit la tête d’un gouvernement en exil, que le projet d’expulsion des Sudètes commença à prendre vraiment forme. Pour le gouvernement tchécoslovaque, le premier objectif consistait à convaincre les Alliés, à commencer par les Anglais, du bien-fondé de l’opération. Or, ces projets massifs de transfert de population reçurent au départ un accueil assez mitigé. Les Anglais avaient certes dès la fin de l’année 1940 envisagé de redéfinir la carte de l’Europe centrale pour mettre fin aux problèmes liés aux minorités nationales. Cependant, l’expulsion massive des Sudètes avait été considérée comme une opération complexe et peu souhaitable. En février 1942, lorsque le gouvernement tchécoslovaque en exil adressa une note au gouvernement anglais pour se prononcer sur le projet d’expulsion des Sudètes, le Foreign Office observa un long silence. Ce fut la terrible répression consécutive à l’exécution de Heydrich, le « Protecteur » du Reich, qui convainquit finalement Londres en novembre 1942 de donner son accord, mais pour une expulsion limitée aux Sudètes qui avaient soutenu le parti nazi, dont le nombre fut fixé plus ou moins arbitrairement à la moitié de la population germanophone, soit environ 1,5 million de personnes. Les Américains au printemps 1943 et les Soviétiques en décembre 1943 finirent avec réticence à se rallier à ce projet.
    Beneš, contrairement à ce qu’il a écrit dans ses Mémoires, était déterminé à expulser la quasi-totalité de la population germanophone. Face aux réticences des Anglo-saxons, il était déterminé à passer en force et à placer les Alliés devant le fait accompli.
    Comment se déroulèrent les expulsions ?
    Traditionnellement, on distingue deux phases dans les expulsions : les « expulsions sauvages » durant le printemps et l’été 1945 et les « expulsions organisées » tout au long de l’année 1946.
    Les expulsions sauvages se déroulèrent dans un climat d’extrême violence. Jusqu’à une date récente, on les présentait comme une réaction spontanée de la population à une longue période d’occupation – rappelons à ce sujet que Prague fut la première capitale occupée par la Wehrmacht, dès mars 1939, et la dernière à être libérée. Sur le sol tchèque, les ultimes combats ne prirent fin que le 12 mai 1945. Dès la Libération, des milliers d’Allemands furent expulsés de leur domicile, emprisonnés dans des camps de fortune, envoyés à pied vers l’Allemagne ou l’Autriche, victimes de nombreuses exactions et massacrés par centaines. Loin d’être spontanées, ces violences étaient voulues et planifiées par le gouvernement tchécoslovaque. Cette phase s’acheva officiellement en août 1945 avec la conférence de Potsdam, où les vainqueurs de l’Allemagne décidèrent de prendre en main le processus d’expulsion.
    Durant l’année 1946, près de deux millions de Sudètes furent transférés, après avoir été dépouillés de presque tous leurs biens vers une Allemagne en ruines. À l’issue de ces transferts, il ne restait presque plus d’Allemands. Au cours des années 1947-1948 environ cent à cent cinquante mille Allemands furent encore expulsés.
    Combien de victimes ?
    Le nombre de victimes reste très difficile à évaluer. Les autorités tchécoslovaques se sont longtemps refusées à établir le moindre décompte. À la fin des années 1940, dans les milieux sudètes, on établissait le nombre de victimes à plus de cinq cent mille. Par la suite l’Office fédéral des statistiques, au milieu des années 1950, donna un chiffre de 220 000 à 250 000 morts survenus durant les expulsions. Après la chute du régime communiste en Tchécoslovaquie, une commission mixte germano-tchèque donna une évaluation de 20 000 à 30 000. Ce chiffre semble cependant très sous-évalué. Des travaux plus récents établissent le nombre de victimes à environ 150 000.
    Les Allemands des Sudètes de Pierre Brouland, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 400 pages, 33 euros.

  • SAVOIE, FRANCE, NIQUER, VIVE, FRÉDÉRIC BERGER VON GÖTZ VON BERLICHINGEN, DÉPUTÉ, ASSEMBLÉE NATIONALE, EMMANUEL MACRON, ASSELINEAU, JERUSALISME






             
                        VIVE LA FRANCE
                                  OU
                         NIQUE LA FRANCE ?

    Le Chancelier d’État de la Savoie 
    vous donne des nouvelles alarmantes de la France, pays colonialiste et d'occupation de la Savoie.

    Ce qui se passe en France est horrible,c'est encore une des raisons que Frédéric Berger von Götz von Berlichingen se bat pour quitter la corrup--sion jérusaliste de la France.

    En France si tu ne veux pas être arrêté
    par la gestasi -jérusaliste, il vaut mieux pour le franchouliard crier "nique la France" au lieu de "vive la France".

    PREUVE:

    Cliquez sur ou insérer:
         https://youtu.be/HLJsUo2SdZM

    OU

     
     
                                  

  • SAVOIE, JOSEPH DE MAISTRE, SOUVERAIN SÉNAT DE SAVOIE, FRANCE, HONNEUR, FRÉDÉRIC BERGER von GÖTZ von BERLICHINEN

     

     

     

     


     
     
    Cliquez sur le texte, merci:

                                               




      LA FRANCE  MÉRITE CE          QU'ELLE      A  SEMÉ

    La Savoie, pays souverain occupé,
    rappelle ceci à ses occupants putatifs:

    Joseph de Maistre (1753-1821), qui fut membre du souverain Sénat de Savoie avant que l’invasion française ne l’oblige, en 1792, à émigrer, est l’auteur de cette sentence : 
     « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. » 

    La devise de l'honorable famille de Maistre est"Fors l' honneur, nul soucy. » 

     



    FRÉDÉRIC BERGER

     
  • SUISSE, SAVOIE, FRANÇOIS DE SIEBENTHAL, FRANC-MAÇON, JÉRUSALISME, EUTHANASIE, SAINT RÉDEMPTEUR, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER








                         LA SAVOIE
                                  ET
                        L'INJUSTICE

    La  Savoie, pays propre moralement et physiquement, n'a pas besoin de loi de moralité, comme l'occupant colonialiste maçonnique français .

    Le chancelier des affaires humaines
    de l’État de Savoie dénonce l'affaire
    suivante:
     François de Siebenthal


    Morts par euthanasies actives illégales de mes deux parents

     

     

    Mes deux parents sont morts dans des circonstances très étranges.
     
     Le décès de mon père le le 5 février 2006 est vraiment suspect.
    . Nous n'avons toujours pas reçu le rapport final de l'autopsie que nous attendons des autorités vaudoises depuis le mois de février 2006 qui a été demandé plusieurs fois sur recommandation du médecin qui a trouvé louche ce décès au milieu de la nuit et les deux médicaments antagonistes.
     
     
    Hospitalisé au CHUV pour un très grave refroidissement sur demande d'un médecin, il est renvoyé quelques heures plus tard dans une ambulance glaciale à St Loup, hospitalisé loin des siens pour des motifs sordides et faux d'économies, vu les pressions des banques et de leurs bénéfices honteux par de la « création » monétaire du néant, qui violent la morale…( voir la démonstration ci-dessous ). Il est alors « parqué » dans une chambre d'angle et au coin Nord glaciale, fenêtre presque toujours ouverte et sans chauffage
     
    . Il lui était impossible de dormir tellement il avait froid. Le chauffage n'est ouvert que 3 jours plus tard (témoin externe à la famille).
     
     
    On lui fait une interdiction d'employer des plantes qu’il utilisait depuis des mois avec succès (notamment. l'épilobe). Vu le froid, il s'infecte et il est opéré en urgence pour vider la vessie d'un drain qui reste extérieur et ouvert jusqu'à sa mort, porte ouverte aux infections.
     
     
     
    Il est à nouveau infecté et transféré à Béthanie qui n'est pas un hôpital où il subit un traitement tardif de cette infection avec forte fièvre seulement sur ma demande insistante.
     
     
     
    Nouveau transfert sans nous consulter à Sylvana d'un vieux Monsieur qui n'aime pas être transbahuté comme un colis au plus froid de l'hiver, tout ceci à quelques jours d'intervalles, et voici un décès très suspect vu l'administration de médicaments contradictoires ( notamment par un fort diurétique et une forte hausse de tension provoquée par un autre produit) et la visite d'une femme docteur qui insistait fortement et longuement pour faire de l'euthanasie active.
     
     
    Il faut rappeler que tout ceci se déroule lors d' une élection où mon père était candidat aux élections.
    Sans oublier d'autres faits troublants, concernant notre mère, qui a subi de graves mauvais traitements, avec notamment un bras cassé à l'EMS de Mont-Calme, l'ingestion de médicaments douteux et un quasi emprisonnement à l'Orme.
     
     
     
    En effet, elle est entrée dans cet établissement en sachant marcher, et j'ai découvert de retour d'un voyage qu'elle y a été ligotée sur son lit ou sur sa chaise et en est ressortie quelques semaines plus tard impotente, avec des cloques et des esquarres…
     
     
     
    On peut se demander si la pire conséquence ne serait pas une maladie dite d'Alzheimer. Celle-ci s'est aggravée par un traitement indélicat d'un dentiste ..., M. X..., soit une narcose avec ablation totale des dents, en profitant de l'état de faiblesse de notre mère.
     
     
     
    Puis, par un grave accident sur la paroisse du St Rédempteur, dû à une mauvaise construction et conception d'un escalier toujours sans rambarde, qui a motivé à nouveau une narcose dommageable au cerveau de notre mère. L’escalier sur le côté de l'Église de la paroisse du St Rédempteur est toujours sans rambarde pour économiser…
     
     
    Et voici que l'EMS arrête totalement de la nourrir sur ordre de la direction pendant les fêtes de Noël, sans rien nous demander car en restrictions de personnel...et elle meurt le 3 janvier…

    http://desiebenthal.blogspot.ch/2011/05/pour-un-capital-social-local-le.html

     

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    Invitations 2017
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    Donner à chacun ce qui lui est dû par un dividende social à tous!
    à faire circuler largement, merci, le monde est déjà meilleur grâce à ce simple geste de solidarité.
     
    Frédéric Berger von Götz von Berlichingen
     
    Prochain dossier: Jacques Goguy
     
    et le tract de René Forney




  • SAVOIE, GERHARD ULRICH, HUBERT VON DEN TORREN, FRANC-MAÇON, SIONISTE, ECHO DES MONTAGNES, FRÉDÉRIC BERGER von GÖTZ von BERLICHINGEN


    LA (pas)FRANC-MAÇ(R)ONNERIE

                         EN ŒUVRE

                           JUDICIAIRE


    L’ÉTAT de SAVOIE se permet de vous rappeler que la (pas)frans-maçonnerie
    est interdite en Savoie Souveraine depuis 1792.

    Voila 2 dossiers qui justifie judiciairement cette position courageuse face à la
    mafia sionisto-maçonnique , secte zioniste.

    Cliquez sur les différents liens, merci: c'est important pour votre avenir,
    sans boule de cristal.
    La_tentative_de_liquidation.pdf

    Conférence de M. Hubert Van Den Torren concernant la mafia maçonnique.

     


    Conférence marseillaise très intéressante dans laquelle M. Hubert Van Den Torren, auteur de 3 livres sur la question de la mafia maçonnique, vient nous exposer et décrire son expérience extraordinairement violente avec la secte. Il a, à lui seul, réussi à faire muter ou mettre en retraite anticipée 22 personnes, 22 magistrats ! Idem pour un sénateur-maire ainsi qu’un commissaire divisionnaire ! Son affaire est caractéristique de cette mafia maçonnique organisée en réseau très efficace car incluant juges, commissaires, magistrats, notaires, huissiers, experts… sans oublier les médias, essentiels pour cacher la vérité au public, tout en diabolisant leurs ennemis. On a déjà parlé des jugements triponctués de Privas que nous vous conseillons chaleureusement, afin de mieux comprendre les méfaits de l’association de malfaiteurs maçonnique. Vidéo à voir, revoir et diffuser au plus grand nombre.

    https://youtu.be/AsBPkaZq9Jw

    et
    et https://youtu.be/utfgv9KTdCE
    https://youtu.be/utfgv9KTdCE

    ou si pas "sang-sur":