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  • MARGUERITE FRICHELET, SAVOIE, 18 MAI 2017, ANNECY, THÔNES, PÂQUIER, SAVOIE INDÉPENDANTE, FREDERIC BERGER



                  MARGUERITE FRICHELET



    Marguerite Frichelet est emprisonnée à la prison de l'Isle à Annecy et après un simulacre de procès, fusillée sur le Pâquier le 18 mai 1793.
    Elle n'a pas hésite à sacrifier sa vie pour défendre la Savoie, et la liberté .
    La Savoie reprendra sa souveraineté en 1815 à la suite du Congrès de Vienne, et depuis 1860 elle n' est que provisoirement française





    L'ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, ce qui est un droit constitutionnel et international, continue sa lutte contre le colonialisme sionsite français en SAVOIE.
    La SAVOIE est souveraine, indépendante, car le traité d'Union de 1860 est ABROGE et SUPPRIMÉ.


    Dans la nuit du 21 au 22 septembre 1792, les troupes françaises du général Moutesquiou envahissent par surprise le duché de Savoie, obligeant l'armée savoyarde, le roi et de nombreux fonctionnaires et membres du clergé à se réfugier au Piémont. Fin octobre, l'Assemblée des Allobroges, réunie dans la cathédrale de Chambéry déclare la fin du despotisme, la suppression des corvées et de la gabelle, la fin de la milice et la création du département du Mont-Blanc. Les savoyards deviennent français pour 23 ans.

    Dès le début 1793 et avant même l'arrêté du 21 janvier 1794, mettant fin à l'exercice de la religion dans le département, la population des Aravis, très attachée à l'Église catholique, ressent fortement les évènements et développe de très forts sentiments contre-révolutionnaires.

     Le dimanche 5 mai 1793, les paroisses s'insurgent contre les mesures anti-religieuses et les révoltés décident de faire du pont de Dingy qui commande l'entrée de la vallée de Thônes, leur première ligne de résistance. 
    Surpris par la fusillade, la grêle de pierres et l'explosion de mines, mais aguerris, les soldats républicains réussissent à prendre le pont puis se lancent à la poursuite des insurgés dans toute la vallée. Une bataille décisive de 2 nuits et un jour s'engage dans la nuit du 7 au 8 mai 1793 entre les soldats de la république et les résistants à Morette. Le 9 mai 1793, les résistants n'ayant plus de munitions sont obligés de se replier dans les bois et la montagne laissant la route de Thônes ouverte aux troupes françaises.

    La bataille aura causé la mort de 12 résistants, 5 autres résistants, dont une femme, Marguerite Frichelet, seront faits prisonniers et condamnés à mort par la justice révolutionnaire.

     Les troupes françaises prennent la ville de Thônes, dont les habitants par milliers se sont enfuis dans les montagnes proches, et la mettent à sac. Le curé témoigne : « Les toits abattus, les portes, fenêtres, armoires brisées, tout le bétail emmené, tout le vin bu ou versé; le pillage fut si universel qu'il ne resta ni pain, ni blé au retour des malheureux habitants [...] Toute la paroisse attendait le massacre général [...] Je ne crois pas que la terreur puisse être portée plus loin qu'elle n'était parmi le peuple [...] On se fuyait les uns des autres dans la crainte que ce fut des français ».

    Lisons ce texte de "femmes de SAVOIE" et merci à elles:

    "Alors que gronde la colère face aux troupes qui affluent de toute part pour une véritable chasse à l’homme, pour fournir des combattants aux armées de la République, la Savoie a été envahie au mois de septembre 1792 et vient d’être annexée sous le nom de Département du mont Blanc. Les jeunes hommes se cachent dans les forêts pour échapper aux soldats, mais une femme de Thônes soutient les Requis. Elle guide les fugitifs à travers les bois, encourage la résistance en réconfortant ou stimulant les uns et les autres. Elle organise l’évacuation des femmes et des enfants. Les 10 et 11 mai 1792, Après une rumeur de répit, elle revient au village où elle est dénoncée et arrêtée. Marguerite est condamnée pour avoir entravé le recrutement des hommes et d’avoir encouragé la révolte. Elle sera déclarée Coupable, promenée sur un char dans toutes les rues d’Annecy pour montrer l’exemple et sera déposée sur la promenade du Pâquier où elle dira au peloton : « Soldats, vous tirerez quand je le dirai ». Elle fut fusillée le 18 mai 1793 et enterrée dans la fosse commune".

    L'amnistie est proclamée dès le 12 mai 1793, permettant aux habitants de regagner leurs habitations. Cependant les révolutionnaires mettent en place pour 10 années une véritable armée d'occupation avec l'obligation pour les communes de subvenir aux frais de casernement des soldats. Au total 86 résistants seront tués par la troupe d'occupation.
    Visionnez cette vidéo, sauvegardez cette vidéo, crée par votre journal pour vous, pour la mémoire de la SAVOIE:

    cliquez sur:  http://dai.ly/xd5dja

    ou

    MARGUERITE FRECHELET par SAVOIEINDEPENDANTE


    Savoisiennes, Savoisiens, fêtons dignement le 18 mai 2018 en souvenir de la résistante MARGUERITE FRICHELET!
    Allumez une bougie sur le rebord de votre fenêtre, venez nombreux au "pont de DINGY", en souvenir de notre patriote MARGUERITE, sauvagement assassinée par les Français.
    Je compte sur votre sentiment patriotique savoyard, peuple debout contre l'occupant, un seul mot d'ordre:
    "d'sour françia"
    Premier acte solennel de la souveraineté de la SAVOIE, sera d'ériger une statue en mémoire du sacrifice de MARGUERITE FRICHELET.


    Frédéric BERGER von GÖTZ von BERLICHINGEN,Président de Savoie Indépendante

  • MARGUERITE FRICHELET, SAVOIE, 18 MAI 2017, ANNECY, THÔNES, PÂQUIER, SAVOIE INDÉPENDANTE, FREDERIC BERGER


                  MARGUERITE FRICHELET



    Marguerite Frichelet est emprisonnée à la prison de l'Isle à Annecy et après un simulacre de procès, fusillée sur le Pâquier le 18 mai 1793.
    Elle n'a pas hésite à sacrifier sa vie pour défendre la Savoie, et la liberté .
    La Savoie reprendra sa souveraineté en 1815 à la suite du Congrès de Vienne, et depuis 1860 elle n' est que provisoirement française





    L'ÉCHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, ce qui est un droit constitutionnel et international, continue sa lutte contre le colonialisme sionsite français en SAVOIE.
    La SAVOIE est souveraine, indépendante, car le traité d'Union de 1860 est ABROGE et SUPPRIMÉ.


    Dans la nuit du 21 au 22 septembre 1792, les troupes françaises du général Moutesquiou envahissent par surprise le duché de Savoie, obligeant l'armée savoyarde, le roi et de nombreux fonctionnaires et membres du clergé à se réfugier au Piémont. Fin octobre, l'Assemblée des Allobroges, réunie dans la cathédrale de Chambéry déclare la fin du despotisme, la suppression des corvées et de la gabelle, la fin de la milice et la création du département du Mont-Blanc. Les savoyards deviennent français pour 23 ans.

    Dès le début 1793 et avant même l'arrêté du 21 janvier 1794, mettant fin à l'exercice de la religion dans le département, la population des Aravis, très attachée à l'Église catholique, ressent fortement les évènements et développe de très forts sentiments contre-révolutionnaires.

     Le dimanche 5 mai 1793, les paroisses s'insurgent contre les mesures anti-religieuses et les révoltés décident de faire du pont de Dingy qui commande l'entrée de la vallée de Thônes, leur première ligne de résistance. 
    Surpris par la fusillade, la grêle de pierres et l'explosion de mines, mais aguerris, les soldats républicains réussissent à prendre le pont puis se lancent à la poursuite des insurgés dans toute la vallée. Une bataille décisive de 2 nuits et un jour s'engage dans la nuit du 7 au 8 mai 1793 entre les soldats de la république et les résistants à Morette. Le 9 mai 1793, les résistants n'ayant plus de munitions sont obligés de se replier dans les bois et la montagne laissant la route de Thônes ouverte aux troupes françaises.

    La bataille aura causé la mort de 12 résistants, 5 autres résistants, dont une femme, Marguerite Frichelet, seront faits prisonniers et condamnés à mort par la justice révolutionnaire.

     Les troupes françaises prennent la ville de Thônes, dont les habitants par milliers se sont enfuis dans les montagnes proches, et la mettent à sac. Le curé témoigne : « Les toits abattus, les portes, fenêtres, armoires brisées, tout le bétail emmené, tout le vin bu ou versé; le pillage fut si universel qu'il ne resta ni pain, ni blé au retour des malheureux habitants [...] Toute la paroisse attendait le massacre général [...] Je ne crois pas que la terreur puisse être portée plus loin qu'elle n'était parmi le peuple [...] On se fuyait les uns des autres dans la crainte que ce fut des français ».

    Lisons ce texte de "femmes de SAVOIE" et merci à elles:

    "Alors que gronde la colère face aux troupes qui affluent de toute part pour une véritable chasse à l’homme, pour fournir des combattants aux armées de la République, la Savoie a été envahie au mois de septembre 1792 et vient d’être annexée sous le nom de Département du mont Blanc. Les jeunes hommes se cachent dans les forêts pour échapper aux soldats, mais une femme de Thônes soutient les Requis. Elle guide les fugitifs à travers les bois, encourage la résistance en réconfortant ou stimulant les uns et les autres. Elle organise l’évacuation des femmes et des enfants. Les 10 et 11 mai 1792, Après une rumeur de répit, elle revient au village où elle est dénoncée et arrêtée. Marguerite est condamnée pour avoir entravé le recrutement des hommes et d’avoir encouragé la révolte. Elle sera déclarée Coupable, promenée sur un char dans toutes les rues d’Annecy pour montrer l’exemple et sera déposée sur la promenade du Pâquier où elle dira au peloton : « Soldats, vous tirerez quand je le dirai ». Elle fut fusillée le 18 mai 1793 et enterrée dans la fosse commune".

    L'amnistie est proclamée dès le 12 mai 1793, permettant aux habitants de regagner leurs habitations. Cependant les révolutionnaires mettent en place pour 10 années une véritable armée d'occupation avec l'obligation pour les communes de subvenir aux frais de casernement des soldats. Au total 86 résistants seront tués par la troupe d'occupation.
    Visionnez cette vidéo, sauvegardez cette vidéo, crée par votre journal pour vous, pour la mémoire de la SAVOIE:

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    MARGUERITE FRECHELET par SAVOIEINDEPENDANTE


    Savoisiennes, Savoisiens, fêtons dignement le 18 mai 2018 en souvenir de la résistante MARGUERITE FRICHELET!
    Allumez une bougie sur le rebord de votre fenêtre, venez nombreux au "pont de DINGY", en souvenir de notre patriote MARGUERITE, sauvagement assassinée par les Français.
    Je compte sur votre sentiment patriotique savoyard, peuple debout contre l'occupant, un seul mot d'ordre:
    "d'sour françia"
    Premier acte solennel de la souveraineté de la SAVOIE, sera d'ériger une statue en mémoire du sacrifice de MARGUERITE FRICHELET.


    Frédéric BERGER von GÖTZ von BERLICHINGEN,Président de Savoie Indépendante