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  • GRECE, SAVOIE, EUROPE, VLADIMIR POUTINE, BRICS, TSYPA, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

     

                                LE BRAS D'HONNEUR DE LA GRECE

                                                              OU

                               LA QUENELLE GRECQUE

     

    L’Écho des Montagnes, dans le légitime but de vous informer, vous livre, grâce

    à une collaboratrice , une analyse homérique de la situation de panique dans laquelle se trouve le monde des jérusalistes et des francs-maçons assassins.

     

    Accrochez-vous  à Aristote, Platon et Socrate!

     

    Cette analyse se fera en plusieurs temps, comme le Chasaposervico:

     

    Allez on fait un pari ?
     
    Volonté cachée au peuple grec par Tsypa  : sortir la Grèce de l'Europe et de la zone euro pour s'allier à la Russie et aux Brics qui sauveront la Grèce soi-disant à la dernière minute, alors que tout peut déjà avoir  été préparé par avance ces derniers mois avec Poutine et les BRICS.
     
    Il ne faut pas s'imaginer qu'au Gouvernement de Tsypa ce sont des imbéciles qui n'ont rien préparé à l'avance y compris sans doute de frapper leur propre monnaie en cas d'échec des nouvelles négociations prévues avec les nazis de l'eurogroupe, Angela Merkel, la BCE et le FMI.

    Poutine n'attendant que cela qu'un pays de la zone euro sorte de l'UE après que les nazis continuent depuis 1 an 1/2 à lui faire porter le chapeau du coup d'état fabriqué en Ukraine par la France, l'Allemagne, la Pologne et les USA. Objectifs : faire adhérer l'Ukraine à l'europe et à l'Otan pour que la Russie se retrouve avec un ennemi à ses portes.
     
    1°) - Tsypa fait mine de retourner à la table des négociations pour imposer l'avis du peuple Grec, aux nazis de l'UE, pour faire patienter le peuple Grec et gagner du temps pour frapper sa propre monnaie et s'allier avec la Russie de Poutine et les BRICS,
    2°) - les banksters refusent d'accorder à la Grèce un plan qui ménagerait aussi les intérêts sociaux du peuple Grec et l'aménagement du remboursement de la dette dite publique qui permet aux banskters de s'enrichir,
    3°) - le plan proposé à la Grèce est inacceptable, le Gouvernement de Tsypa prend le peuple Grec à témoin après le référendum largement plébiscité par un non massif, du genre pour montrer au peuple qu'ils auront tout essayé pour sauver la Grèce et les intérêts du peuple Grec, et que les nazis sont des voleurs et des terroristes, comme l'a déjà dit le Ministre des finances Grec.

    Grèce : Varoufakis compare les créanciers à des terroristes

    http://www.lesechos.fr/monde/europe/021186553604-varoufakis-accuse-les-creanciers-dathenes-de-terrorisme-1134469.php
    4°) - la Grèce sort de l'UE et de la zone euro, fait frapper sa monnaie pour éviter une crise économique et humanitaire graves, elle s'allie avec la Russie de Poutine et adhère aux BRICS. Et là, les banksters seront mouchés par Tsypa/Poutine.
     
    Qui sera le gagnant dans l'Histoire ?

    Poutine !!! qui prendra sa revanche sur l'UE qui ne tardera pas à se disloquer après la sortie de la Grèce de l'UE et adieu l'état européen aux portes de la Russie avec l'Ukraine  déjà mal barrée avec des crises financières et humanitaires graves.
     
    Un nouvel échec et mat de Poutine en vue, contre les USA et l'UE avec l'aide de Tsypa et du peuple Grec ?
    Quelques articles ci-dessous qui laissent à penser à ce scénario et à ce dénouement possible.

    Vladimir Poutine allège l’embargo russe pour la Grèce
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/04/10/vladimir-poutine-allege-l-embargo-russe-pour-la-grece_4613628_3214.html


    L'accord gazier scelle le rapprochement de la Grèce avec la Russie

     http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/l-accord-gazier-scelle-le-rapprochement-de-la-grece-avec-la-russie_1691393.html#dGFzEqhrhqP6ZH7g.99

    En quoi une faillite de la Grèce menacerait-elle la Russie ?
    « Les échanges entre la Grèce et la Russie pourraient augmenter après un Grexit si, par exemple, la Russie supprimait la Grèce de sa liste des pays occidentaux sous embargo alimentaire »

    Pour la Russie, "un pas vers la sortie de la zone euro"

    Pour la Russie, la Grèce a fait un "pas vers la sortie de la zone euro". "On ne peut pas ne pas comprendre" qu'il s'agit d'un "pas vers la sortie de la zone euro", a déclaré Alexeï Likhatchev, un vice-ministre russe de l'Economie cité par l'agence officielle TASS, tout en précisant qu'il était prématuré de dire que la Grèce "irait jusqu'au bout du chemin".

    "Une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro serait une sorte de thérapie de choc pour l'Union européenne", a-t-il indiqué, ajoutant s'attendre à ce que l'"euro chute dans un premier temps face au dollar, mais pas de manière catastrophique". "Si l'UE en tire de bonnes conclusions (...), cela aboutira à un certain assainissement" budgétaire dans la zone euro, et "la monnaie européenne remontera", a affirmé M. Likhatchev.

    En cas de sortie de la Grèce de la zone euro, d'autres pays pourraient aussi suivre son exemple ce qui aboutirait à des "conséquences irréparables pour l'UE (...) et pour l'euro, la deuxième devise internationale" après le dollar, selon le vice-ministre russe. "C'est peu probable, mais théoriquement possible", a-t-il souligné.

    http://www.lalibre.be/actu/international/sigmar-gabriel-ministre-allemand-de-l-economie-tsipras-a-coupe-les-derniers-ponts-entre-la-grece-et-l-europe-55996f8b3570e4598cc37e22

    La Grèce se rapproche de la Banque des BRICS
    Les pourparlers sont en train d’examiner la possibilité pour la Grèce de devenir le sixième participant de la Banque de développement des BRICS.
    http://francais.rt.com/international/3486-lafazanis-grece-banque-brics

    Voilà comment les Banksters ruinent les peuples et les pays, en y parachutant des apatrides technocrates, non élus par les peuples, dans les pays qu'ils souhaitent ruiner avant de se les accaparer ainsi que leurs richesses !


    Dans Actus 20minutes, le 07 Juillet 2015 .

    L'ex-ministre des finances grec, Yanis Varoufakis, s'inquiétait dès 1993 des effets de l'austérité sur son pays et du retard économique engrangé depuis les années 1960. Le professeur de l'université de Sydney affichait ses craintes sur une crise à venir, sur une chaîne de télévision australienne. Vidéo repérée par La Repubblica.
    Varoufakis annonçait les prémices de la crise grecque dès 1993

     


    Nigel Farage avait déjà prévenu de la Révolution à venir en Grèce en février 2012 au parlement de l'UE !

    « La Grèce vers la révolution » Nigel FARAGE (Parlement Européen) - 15/02/2012

    Farage: vos politiques ont conduit la Grèce vers la révolution...

    à suivre

    Frédéric BERGER

    Merci à M.

  • ZIAD MEDOUKH, GAZA, ISRAËL, HOLOCAUSTE PALESTINIEN, PALESTINE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Un an aprèsrien n’a changé à Gaza

    Ziad Medoukh

     

    7 Juillet 2014, 7 juillet 2015! Un an déjà, un an a passé, un an s’est écoulé depuis le début de  la nouvelle agression israélienne contre la bande de Gaza en juillet-août 2014-la troisième en cinq ans-. C’est comme si c’était hier, un événement terrible en Palestine, un véritable carnage à Gaza, des crimes et des massacres israéliens contre des civils et des innocents.


    Cette nouvelle attaque avait pour objectif de briser la volonté d’une population résistante, d'une population courageuse qui a résolu de défier le blocus, mais qui a surtout décidé de rester attachée à sa terre, en dépit de toutes les difficultés et des mesures atroces d’une occupation aveugle.


    Je ne vais pas revenir dans cet article sur les événements tragiques de cette dernière offensive  contre la population civile de Gaza, une offensive menée par une puissance militaire contre des enfants, des femmes, des personnes âgées, et des innocents , dans un territoire enfermé, isolé et soumis  à un blocus inhumain, offensive qui a duré plus de 50 jours .

     

    Je ne vais rappeler les pertes humaines de ce nouveau pilonnage - plus de 2200 morts, parmi eux, 600 enfants,  et 11000 blessés, civils et enfants en majorité-, sans oublier la destruction massive de l'infrastructure civile de la bande de Gaza.

    Je ne vais rappeler ce drame, parce que le monde entier le connaît, mais je veux seulement  dire à ce monde que rien n’a changé dans notre région oubliée, un an après ce nouveau massacre contre nos civils.

     

    Ces jours-ci, les Palestiniens en général, les habitants de Gaza en particulier et avec eux, tous les solidaires internationaux, commémorent le premier anniversaire de l’agression israélienne de l’été 2014 .

     

    Difficile d’oublier- et il sera difficile d’oublier, même après des années et des années-, difficile de sortir de nos mémoires ces images bouleversantes de 50 jours de bombes, de missiles et d'attaques sanglantes. 

    Il est impossible pour nous Palestiniens de Gaza d’oublier la guerre, les morts et les blessés, les maisons et les écoles détruites, les massacres, et les crimes commis par cette armée d’occupation, contre nos femmes et nos enfants, contre nos biens et nos structures, contre notre volonté et notre résistance, contre notre avenir et notre existence.

    Un an après : aucun projet de reconstruction privé ou public n’a commencé dans les rues de Gaza qui témoignent de la barbarie subie pendant ces 50 jours. Partout, ce ne sont que  ruines des maisons, des immeubles, des mosquées, des écoles, des stades, des usines ou des bâtiments détruits et visés par les bombardements israéliens.

     

    Un an après : les attaques et les agressions se poursuivent jour et nuit provoquant la mort de civils et des dégâts importants. Et cela se poursuivra tant que ces crimes resteront impunis, et tant que cette état d’apartheid et d’occupation ne sera pas jugé pour les crimes de guerre commis contre les enfants de Gaza.

    Un an après : rien n’a changé pour les sans abris, plus de 10.000 habitants vivent toujours sous des tentes ou à côté des ruines de leurs maisons détruites dans des conditions très difficiles, aucune habitation n’a été réparée, à cause du maintien du blocus et de l’interdiction d’entrée, par ordre militaire israélien, des matériaux de construction.

     

    Un an après : beaucoup d’événements se sont passés en Palestine, dans la région, et dans le monde, mais pour la population civile de cette région abandonnée : rien n’a changé.

    Un an après : Gaza est toujours sous blocus, Gaza subit les bombardements et les raids israéliens, Gaza est plus que jamais une prison à ciel ouvert. Et l’armée de l’occupation interdit et attaque les flottilles de liberté internationales qui visent à briser ce blocus inhumain.

    Un an après cette nouvelle offensive, la situation  stagne, rien ne bouge. Pour plus de 1,8 millions Gazaouis  toujours enfermés, cette situation reste très grave à tous les niveaux, surtout sur le  plan humanitaire, malgré, partout dans le monde, la mobilisation internationale contre les crimes israéliens  et malgré les promesses de reconstruction rapide.

     

    Un an après, suite à leur résistance remarquable contre les armes de l'aviation, de la marine et la force terrestre israéliennes, rien ne semble différent pour les Palestiniens de Gaza, toujours à la recherche d'une solution politique et pas seulement humanitaire. Les passages et les frontières avec l'extérieur sont souvent fermés par ordre militaire israélien et les produits alimentaires et autres qui entrent à Gaza sont rares. Les autorités israéliennes ouvrent le seul passage commercial  qui relie la bande de Gaza à l’extérieur deux ou trois fois par semaine pour permettre l'entrée de 300 camions et  de quelques convois humanitaires. Parmi ces camions,  5 à 6  seulement  contiennent des matériaux de construction, souvent destinés aux projets internationaux. Ce passage se ferme sous n’importe quel prétexte, par décision israélienne, sans prendre en considération les besoins énormes de la population civile.

     

    Chaque foyer à Gaza n’a  droit qu’à 8 heures d’électricité par jour, car la seule centrale électrique, qui a été détruite en juillet dernier, ne fonctionne pas, par manque de fioul et de carburant. Les conséquences sont dramatiques pour les hôpitaux, les centres médicaux, et les institutions éducatives.

     

    L’armée israélienne viole presque tous les jours l’accord du cessez le feu et ne respecte pas la trêve. Souvent, les chars mènent des incursions dans la bande de Gaza. Les soldats  contrôlent toujours les zones tampons sur les zones frontalières et tirent sur les paysans. La marine empêche l’extension de la zone de pêche et tire sur les pêcheurs palestiniens et leurs bateaux. Malgré la retenue des factions de Gaza, l’armée d'occupation poursuit ses provocations.

    Les Palestiniens de Gaza craignent la reprise des attaques israéliennes à n’importe quel moment et sous n’importe quel prétexte, car  la communauté internationale officielle qui a gardé un silence complice durant l’offensive israélienne de l’été dernier, n'exerce  pas de pressions sur le gouvernement israélien afin qu'il lève le blocus imposé à la population depuis plus de 8 ans.

    Les habitants de Gaza, épuisés à la fin de cette  nouvelle agression, ont peur pour leurs enfants et leur avenir. Ils espèrent le début rapide des projets de reconstruction, notamment après les promesses internationales.

     

    L’aspect le plus grave de toute cette situation difficile, aspect qui marque l’esprit de la majorité des habitants, est l’absence de perspectives pour ces gens qui ne voient aucun changement. C’est un sentiment horrible qui va influencer l’avenir de cette génération, surtout des jeunes.

    Les Palestiniens de Gaza attendent, attendent. Ils attendent une ouverture, ils attendent la levée de ce blocus inhumain, imposé depuis plus de 8 ans, ils attendent une réelle réaction internationale qui mette fin à l’impunité de cet occupant. Ils attendent avec un courage à toute épreuve, une sérénité exemplaire et une volonté remarquable.

     

    En attendant, à Gaza, la vie continue, ses habitants confiants et déterminés  s’adaptent et montrent une patience extraordinaire, ils tiennent bon, persistent, patientent, résistent, restent à côté de leurs maisons détruites, mais surtout, ils continuent d’espérer, espérer  un changement radical, une solution politique. Ils espèrent  en un lendemain meilleur, un lendemain de liberté, de paix, mais, avant tout et surtout, un lendemain de justice.