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  • SAVOIE, QUEBEC, CANADA, AUVERGNE, TULLE, COQ, SOCIALISME, MIREILLE MATHIEU, SAVOIE, BLUMSCHEIM ISAAC, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    EXCELLENT POÈME TRANSMIS PAR NOS "COUSINS"DU QUÉBEC

    Comme une bénédiction, le pouvoir présidentiel
      Aiguise bien souvent, l’appétit sexuel.
      L’Élysée, ce palais, est une cage dorée,
      Et pour s’en échapper, il a voulu ruser.
      
     Voilà que, titillé par une envie pressante,
     Grassouillet est allé retrouver son amante.
     Hélas ! Un photographe par le scoop alléché,
     Du haut de son balcon, a pris quelques clichés.
      
     Ainsi, on a pu voir pépère emmitouflé,
     A l’arrière d’un scooter, négligemment casqué.
     La France est médusée, les Français sont perplexes,
     Il est donc lui aussi un abonné du sexe ?
      
     On avait échappé aux frasques de D.S.K.
     Voila que l’Élysée nous offre un autre cas ....
     Il n’a pas, on le voit, l’allure d’un Apollon,
     Mais l’efficacité d’un fougueux étalon.
      
     Tous ses vibrants discours n’étaient que du bidon,
     La posture du dindon cachait un Cupidon.
     Entre deux « commissions » il s’en allait baiser,
     Le monde, pendant ce temps, nous ridiculisait.
      De Tulle jusqu’à Paris, de Paris jusqu’à Tulle
     Elles se sont succédées pour que Monsieur copule.
       
     Maîtresses d’un instant, elles ne perdent pas au change,
     Favorites pour un temps, ensuite elles engrangent.  
     Ségolène, à la banque, est bien sûr à l’abri,
     Il a casé Anne à la mairie de Paris.

     Finie la vie en rose avec sa Valérie,
     Il faudra lui trouver un juteux petit nid.
     Un carmel, un couvent, une belle abbaye ?
     Afin d’éliminer une encombrante furie.
          Il est parti à Rome, prendre l’avis d’un sage,
     Et pour aussi, bien sûr, redorer son image.



    BRAVO à LILIANE DE LIMOGES ......

    UN POEME ECRIT PAR UNE VRAIE LIMOUSINE.....

     

    Le  p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir

    Nous dire qu’il était NUL, qu'on s'était fait avoir

    Que si le blé manquait, c'était pas de sa faute

    Que tout son poulailler dansait d'une patte sur l’autre  ,

    Grattait de ci de là, pondait des coquilles vides

    Plaçait tous leurs copains inutiles et avides

    De ne jamais rien faire, à part un peu de lard

    Que si l’on voulait bien, il n'était pas trop tard

    Pour mettre notre pays au niveau de la GRECE

    Et que de toute façon nous l'aurions dans… les fesses.


     

    Le  p’tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir

    Les plumes en bataille, toujours reteintes en noir

    Nous dire: bande d'imbéciles, ne perdez pas espoir

    Jai coulé la CORREZE, je n'en tire nulle gloire.

    Patientez, patientez car je suis-là maintenant

    Pour couler la FRANCE aux bons emplacements.

    J'ai pas beaucoup à faire, on m'aide constamment

    Les quarante inutiles s'appliquent à tous moments.

    Et pendant ce temps-là, je m'occupe des poules

    Qui tournent autour de moi, vraiment, il y a foule !


       Le  p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
       Dressé sur ses ergots du haut de son perchoir

    Fustigeant les rapaces, ses vils prédécesseurs

    L'empêchant lui et ses copains de faire leur beurre !

    Le jabot de travers toujours évidemment

    Il aurait bien voulu se faire croire compétent.

    Bien d'accord sur ce mot, en le coupant en deux

    Sachant depuis longtemps qu'il nous restait les yeux

    Pour pleurer sur la FRANCE, vidée, exsangue et nue

    Par tous ces incapables, vivants comme des sangsues.

     

      Le  p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir
      Il peut lisser ses plumes, vous vous êtes faits avoir.

    Si l'important pour lui, ce n'est pas le chômage

    Il a bien trop à faire pour bouffer le fromage

    En s'occupant des gay, des drogués, et puis des émigrés

    Il faut bien sûr maintenant taxer les retraités

    Ceux qui ont voté pour lui, c'est bien pour leur malheur

    Il en a rien à foutre de tous les électeurs

    Maintenant qu'il a la place, il y met tout son coeur

    Pour vivre sur notre dos, comme toujours en douceur

      Le  p'tit coq nain de TULLE est venu jeudi soir

    Il dit qu'il nous enfume, qu’on est de bonnes poires

    Qu'ils allaient nous presser comme de vulgaires citrons

    C’est bien fait pour notre gueule puisqu'on est assez con

    Pour croire toutes les promesses qu’il ne veut plus tenir

    Il n'y avait pas de crise, il la pas vu venir…


       Le  p'tit coq nain de TULLE est un triste vautour

    Il s'est bien déguisé sous de jolis atours.

    Il voudrait nous faire croire qu’il était SOCIALISTE,

    Quand lui et ses copains sont tous CAPITALISTES.

    Alors, n'attendez rien de ces tristes fumistes

    Que des IMPOTS nouveaux ajoutés à la liste.

    Un conseil pourtant : gardez quelques écus,

    Achetez de la vaseline et planquez votre cul !

     CONCLU-SION

                        Manu dit Valse crie son amour éternel pour Usraël.

                        Manu dit Valse veut changer le nom du Parti Socialiste= P.S.

                        Manu dit Valse veut revenir au vrai nom à l'origine du P.S., crée par des Jérusalistes?, c'est à dire

                                       Parti Sioniste.

                       Car, il faut cliquer sur:      

                        Blumcheim Issac - Le droit de la race superieure. 1934.pdf

      et

                                anous la france.pdf

     

  • BRUNO GOLLNISCH, EUROPE, EI, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER, IRAN

     
     

    Bruno Gollnisch à propos de comabattants de l'EI venus d'Europe

    Bruno Gollnisch
     

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    Regardez et commentez cette vidéo sur le Blog de Bruno Gollnisch.

    http://youtu.be/64co_mJczok

  • MASARU EMOTO, JAPON, PENSEE, SAVOIE

    Masaru Emoto,  décédé le 17 octobre 2014.

    Merci Monsieur.



    http://www.etreplus.fr/pages/annonce.php?id=29713&from=0&nb=&t=a&l=l&i=0&s=0&PHPSESSID=4df3fda020010a5441e8eb233ed5a7de


    Masaru Emoto — Wikipédia

    Masaru Emoto (江本 勝, Masaru Emoto), né le 22 juillet 1943 et mort le 17 octobre 2014, est un auteur japonais connu pour sa théorie sur les effets de la pensée ...


    Les extraordinaires découvertes de Masaru Emoto | Urantia ...

    www.urantia-gaia.info/.../les-extraordinaires-decouvertes-de-masaru-emo...



    PPT]diaporama - Retrouver son Nord





    Masaru Emoto message de l'eau esoterisme 1 - YouTube

    et


    www.youtube.com/watch?v=1Ra_7Li1ZBM

     

    Frédéric BERGER, qui remercie BLUE

  • WEB, NUMERIQUE, CERVEAU, MEMOIRE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

    Le numérique nous fait-il perdre la mémoire ?

    Nous confions de plus en plus le soin à des appareils d’enregistrer les informations à notre place. Le fait de se reposer sur les technologies numériques pourrait permettre à notre cerveau de se consacrer à d’autres tâches. Mais cela ne risque-t-il pas, à terme, d’affaiblir notre mémoire ? Enquête auprès de spécialistes du sujet. 
     

    Extraordinairement inventive, notre mémoire est aussi terriblement fragile. D’où les multiples « prothèses » physiques (parois de grottes, os, cailloux, tablettes d’argile ou de cire, peaux animales traitées, rouleaux de papyrus, parchemins, papiers, microprocesseurs…) utilisées par les sociétés humaines, au fil des siècles et des innovations technologiques, pour démultiplier la puissance et pallier les défaillances de cette fonction cognitive qui nous permet d’enregistrer, synthétiser, conserver et récupérer des informations. « Tout au long de son histoire, l’homme a fait appel à des supports externes pour consolider et amplifier sa mémoire interne », résume le neuropsychologue Francis Eustache, directeur de la plateforme d’imagerie Cyceron, à Caen.

     

    Examen neuropsychologique de la mémoire. Plateforme Cyceron à Caen

    Toutefois, depuis l’irruption d’Internet et des technologies du numérique, « la mémoire nous échappe, commente le philosophe Bernard Stiegler, directeur de l’Institut de recherche et d’innovation du Centre Georges-Pompidou et président de l’association Ars Industrialis. De plus en plus souvent, nous nous dépossédons d’éléments de notre mémoire (numéros de téléphone, adresses, règles d’orthographe et de calcul mental…) que nous confions à des machines presque toujours à portée de nos mains et dont les capacités doublent tous les dix-huit mois pour le même prix, selon la loi de Moore. »

    Le Web, super-mémoire du monde

    Surtout, ordinateurs, smartphones et tablettes permettent d’accéder en un clin d’œil à la super-mémoire du monde qu’est devenu le Web et d’y treuiller à tout moment des savoirs « copiables et collables » qu’il n’est plus indispensable d’apprendre par cœur. Depuis la fin du XXe siècle, le processus d’extériorisation de la mémoire humaine, jadis lent et progressif, s’est donc brusquement accéléré et massifié. Jamais notre mémoire ne s’est trouvée à ce point hors de nos têtes. Un disque dur externe de quatre téraoctets coûtant moins de 200 euros, « tout un chacun ou presque peut désormais tenir entre ses mains un équivalent numérique de la Bibliothèque nationale de France (BNF), laquelle contient environ 14 millions d’ouvrages, indique Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à l’UPMC et chercheur au LIP61. Le volume total du Web, qui vient de franchir la barre du milliard de sites, a quant à lui été évalué en 2012 à 2,8 milliards de téraoctets, soit à peu près 200 millions de BNF. Et les choses ne feront qu’augmenter. Dès 2015, la Toile représentera un demi-milliard de BNF ! Notre époque est la première à disposer de si gigantesques capacités de stockage et de traitement des données », à tel point que la mémoire, au cœur de l’activité d’entreprises comme Microsoft, Apple, Google ou Facebook, est devenue l’un des principaux enjeux industriels du XXIe siècle.

    Jamais notre mémoire ne s’est trouvée à ce point hors de nos têtes.

    Mais les appendices technologiques qui nous épargnent de fastidieux efforts d’archivage nous permettent-ils de nous adonner à des tâches plus valorisantes et d’avoir « la tête bien faite plutôt que bien pleine », comme le souhaitait Montaigne ? À l’inverse, ces artefacts, en privant la mémoire interne d’informations à synthétiser, ne risquent-ils pas de l’affaiblir et, à terme, de porter atteinte à notre façon de penser et à notre libre arbitre ? Pour Francis Eustache, impossible de répondre par oui ou par non à ces questions majeures de société, faute de recul.

    Quelles conséquences pour notre cerveau ?

    Mais, de toute évidence, les mémoires externes de plus en plus puissantes et intrusives qui nous environnent ne sont pas complètement neutres. « On peut se réjouir de voir la machine libérer notre cortex de certains exercices de gavage, commente notre expert. Mais on peut aussi imaginer que, dans un système où notre cerveau déléguerait une majorité d’informations à des dispositifs techniques, le juste équilibre à maintenir entre mémoire interne et mémoire externe se trouverait rompu. Cela porterait très certainement atteinte à notre réserve cognitive, c’est-à-dire au capital de savoir et de savoir-faire que chacun d’entre nous doit se construire, tout au long de sa vie, pour mieux résister aux effets négatifs de l’âge et retarder l’expression de maladies neurodégénératives comme celle d’Alzheimer. » Pousser à l’extrême la numérisation de nos mémoires ne semble donc pas le meilleur moyen de ralentir l’érosion des neurones.

    Non moins important : vivre dans un monde toujours plus rempli d’informations de surface, comme celles que l’on trouve en surfant sur Internet, « stimule une mémoire du passé immédiat ou, dans le meilleur des cas, une mémoire de travail surdimensionnée capable de traiter simultanément de multiples informations (textes, images, sons…), commente Francis Eustache. Ce type de mémoire à court terme s’exerce au détriment d’une réflexion sur notre passé et notre futur, sur notre relation aux autres, sur le sens de la vie… Or les travaux en neurosciences cognitives montrent que l’un de nos réseaux cérébraux (le réseau par défaut), indispensable à notre équilibre psychique, s’active lorsque nous nous tournons vers nos pensées internes, que nous nous abandonnons à la rêverie, à l’introspection, ce que ne favorise pas le recours intensif à des béquilles mnésiques. Enfin, mémoriser des chansons, des poèmes, etc., nourrit le partage et la solidarité, renforce le lien social, améliore la qualité du vivre ensemble. »

    Toute technique
    est à la fois
    remède et poison,
    émancipation
    et aliénation.

    Réfléchir aux conséquences de l’externalisation de la mémoire humaine ne date pas d’hier. Au Ve siècle avant notre ère déjà, Socrate, le père de la philosophie, traitait du sujet dans le Phèdre, un dialogue écrit par Platon. « Dans ce texte fameux, Socrate évoque un mythe égyptien, celui du dieu Theut qui aurait inventé l’écriture, laquelle serait à l’origine de la puissance des Égyptiens, explique Bernard Stiegler. Lorsque Theuth présente son invention au roi Thamous, celui-ci lui répond que cette mémoire artificielle va affaiblir la mémoire véritable, celle par laquelle l’homme pense par lui-même et invente, et qu’elle va produire une illusion de savoir, l’apparence de la sagesse. En fait, Socrate ne dit pas qu’il ne faut pas fréquenter les livres, bien au contraire, mais que les livres peuvent être toxiques si l’on n’en a pas une pratique raisonnée. »

    Pas de pensée sans mémoire biologique

    Vingt-cinq siècles plus tard, la leçon, appliquée au numérique, vaut toujours, estime Bernard Stiegler. Toute technique, depuis que l’homme a commencé à devenir homme en taillant des silex, « est en effet ambivalente comme un pharmakon (un médicament, en grec). Toute technique est à la fois remède et poison, émancipation et aliénation ». Ainsi, les mémoires artificielles offertes par les actuelles technologies de l’information remédient aux failles de notre mémoire biologique, mais nous font entre autres désapprendre l’orthographe avec les systèmes d’auto-complétion.

    Thot, dieu de la lune, du calendrier et de la chronologie. Relief Deir el-Medinah (Thèbes-ouest, Egypte) ; période ptolémaique, 3e-2e siècle av. J.C.

    Surtout, le travail de la mémoire est le terreau de la pensée. Un savoir n’est acquis et fertile que s’il est intériorisé. « Seule cette inscription dans la mémoire permet d’organiser les connaissances », insiste Bernard Stiegler qui, loin de rejeter les technologies numériques qui transforment aujourd’hui très profondément notre mémoire psychique, invite à « les critiquer, au sens grec du terme, c’est-à-dire développer une réflexion sur leur mode de fonctionnement et leurs limites. Ce n’est qu’en mobilisant le corps des philosophes, des épistémologues, des anthropologues, des mathématiciens, des historiens…, que l’on y parviendra, pour le bienfait de tous les sujets du savoir : chercheurs, professeurs, enseignés, citoyens ».

  • SAVOIE, SILENCE, SAVOIE INDEPENDANTE, FREDERIC BERGER

     

               

     
     
    Le gouvernement français recule, recule, profitez-en!
     

    "Le silence valant accord"

    Le secrétaire d’État chargé de la réforme de l’État et de la simplification a présenté les projets de décrets mettant en œuvre le « silence vaut accord » au sein des administrations d’État, véritable révolution administrative au profit des particuliers et des entreprises qui ne verront plus leurs droits limités par l’inertie administrative.
     
    Le conseil des ministres du 22 octobre 2014 marque ainsi l’aboutissement d’un ambitieux chantier, placé au cœur du choc de simplification voulu par le Président de la République au printemps 2013.
     
    Cette « révolution juridique » du « silence vaut accord » a pour ambition de rétablir le lien entre les citoyens et leur administration, en accélérant les délais de réponse à leurs demandes. Ce principe se substituera à la règle « silence valant rejet », vieille de 150 ans. L’absence de réponse de l’administration sera désormais créatrice de droits. La règle nouvelle ne dispensera pas l’administration de son devoir de répondre dans les meilleurs délais aux demandes qui lui sont adressées. Le principe du « silence vaut accord » permettra en revanche d’assurer que les éventuels retards de l’administration ne préjudicieront plus aux demandeurs.
     
    La mise en œuvre de cette réforme a nécessité de réaliser une revue exhaustive de l’ensemble des procédures d’autorisations prévues par des textes législatifs ou règlementaires dans tous les ministères. 3 600 procédures ont ainsi été recensées dont environ 1 900 procédures d’autorisation éligibles. Hors exceptions fondées sur la Constitution et les engagements internationaux, ce sont maintenant près des deux tiers des régimes d’autorisation qui sont désormais soumis à la règle du « silence vaut accord », soit près de 1 200 procédures. Des procédures aussi concrètes que la procédure de validation des acquis de l’expérience, l’inscription en première année à l’université ou encore l’immatriculation au répertoire des métiers entrent désormais dans le champ du « silence vaut accord ».
     
    Ce recensement permettra en outre d’identifier celles des procédures qui peuvent être supprimées, ou au moins allégées.
     
    Le nouveau principe « silence valant accord » entrera en vigueur le 12 novembre 2014 pour l’État et ses établissements publics. C’est un an plus tard, le 12 novembre 2015, que la réforme sera applicable pour les collectivités territoriales, les organismes de sécurité sociale et les autres organismes chargés d’une mission de service public.
     
    Au service des particuliers, comme des entreprises, le principe du « silence vaut accord » marque une avancée importante dans les relations entre les Français et leur administration, et constitue ainsi un puissant outil de réforme administrative et de modernisation de l’action publique. Au-delà de l’aspect quantitatif qui montre le caractère systématique et volontariste de la démarche de simplification menée par le Gouvernement, il s’appliquera au quotidien à des procédures qui ont un impact réel sur la vie des Français et des entreprises et témoigne, concrètement et sur une très grande diversité de champs, des avancées de la simplification.